Récits
Quatre chenapans en quête de fessées
il y a 3 mois

Histoire de fessées pas du tout érotique

Lorsque j’avais 13 ans, avec trois copains de mon âge, Hugo, Albert et Annie dont nous nous étions tous amoureux et qui nous menait par le bout du nez, nous formions une fine équipe prête à tous les mauvais coups, les trois garçons rivalisant d’audace pour impressionner notre belle. Pas loin de l’école, il y avait une vielle maison abandonnée - une sorte de manoir - entourée d’un jardin en friches et la rumeur courait que le vieux gardien donnait la fessée déculottée à celui ou celle qui y pénétrait. Faisant mine de ne pas y croire mais je pense qu’en fait, comme moi, les deux garçons caressaient l’espoir de voir le popotin d’Annie et peut-être même plus, nous avons décidé un jour de vérifier par nous mêmes et avons réussi à entraîner Annie dans notre expédition, qui, sans elle n’aurait d’ailleurs pas eu beaucoup d’intérêt ! Nous devions escalader le mur d’enceinte et je fis la courte échelle à Annie pour l’aider à monter. Comme une bonne action est toujours récompensée, elle...
Une sereine convivence 10
il y a 3 mois

Encre une

10 Je me suis placé comme Monica me l'avait indiqué, à quatre pattes et en posant ma poitrine sur la table basse. Monica s'est assise sur mon dos et, avec ses jambes, a ouvert les miennes, m'obligeant à les écarter largement. Ses mains étaient menottées le long de mon dos et placées sous ses belles fesses. Je me sentais complètement exposé, mais aussi excité d'être ainsi à la merci d'une fille que je connaissais à peine, puis j'ai senti la chaleur des fesses de Monica sur mon dos. Emanuela : Alors Alby, es-tu prêt ? Je pense que quelques coups de pied suffiront comme punition. Moi : Prêt ? Je ne dirais pas cela Emanuela : Mauvaise réponse BAM, premier coup de pied Je n'ai rien compris, la douleur était insupportable. J'ai voulu fermer les jambes, mais Monica les a maintenues grandes ouvertes pour moi. Je manquais d'air et je ne pouvais même pas parler. Emanuela : C'était gratuit, ça ne compte pas pour les deux coups de pied. C'était pour que tu apprennes à répondre...
L’histoire d’une esclave volontaire FIN
il y a 3 mois

Ce soir là, elle l'accompagnait au cercle de jeux et ..........

CHAPITRE CINQ Ce soir là, elle l'accompagnait au cercle de jeux. S. était joueur, gagnait souvent, perdait beaucoup, mais gardait toujours son contrôle. Maud ignorait la source de ses revenus mais il pouvait perdre de grosses sommes sans en être particulièrement affecté. Toutefois, il savait généralement s'arrêter, qu'il gagnât ou qu'il perdit. Il s'agissait d'un cercle de jeux proche de l'Etoile, ou la clientèle était sévèrement choisie. Maud portait une robe noire sans manche très courte, moulante, montant jusqu'au cou mais laissant très bas le dos à nu. Sa tenue n'avait rien de réellement indécent mais elle était extrêmement suggestive. Maud était littéralement craquante. Elle était assise près de son maître, légèrement en retrait, évitant les regards des hommes, attitude qui lui avait été enseignée et qu'elle observait maintenant instinctivement. A la table de poker les enjeux étaient vite montés. Très rapidement, il ne resta plus que deux joueurs, S. et un homme d'une...
L’histoire d’une esclave volontaire 4
il y a 3 mois

L'arrivée d'une soeur de soumission va lui faire découvrir d'autres plaisirs

CHAPITRE QUATRE Les semaines passaient dans la nouvelle vie de Maud. Son nouveau statut d'esclave n'avait pas que des inconvénients. Entre deux séances ou périodes de soumission, elle menait la vie d'une jeune femme entretenue par un amant attentif et prévenant. Elle avait démissionné de son poste de juriste et passait ses journées à entretenir sa culture et son physique. Visites d'expositions dont elle était friande et séances de gym ponctuaient ses activités. Elle avait beaucoup d'amies qu'elle continuait de voir mais à qui elle n'avait rien dit, sans que son maître lui eu d'ailleurs interdit. Simplement, elle doutait que ses amies puissent comprendre qu'une jeune femme comme elle, au caractère indépendant, à la beauté avantageuse, intelligente et cultivée, puisse se laisser exhiber, humilier, martyriser. Elle menait une vie sociale riche, bénéficiait d'une large indépendance de la part de son maître qui, par ailleurs, la sortait souvent. Elle partit ainsi une semaine à Ag...
Joyeux Anniversaire Madame : La cravache
il y a 4 mois

Je suis heureuse de pouvoir partager avec les membres du site, un autre moment important que j'ai vécu aux pieds de Madame... Tout ce que j'ai écrit est bien 100% véridique, 100ù% vécu et 100% approuvé par Madame... Bonne lecture

Jeudi 15 janvier, je retrouvai enfin Madame après plusieurs semaines de "séparation" dû aux fêtes de fin d'année. C'est donc dans une chambre d'un hôtel parisien, qu'à 20h30 je l'attendais , à genoux, encagée, habillée "comme une pute", les yeux bandés. Une petite demi-heure d'attente (dans cette tenue et dans cette position) plus tard j'ai entendu la porte s'ouvrir, Madame est entrée, n'a rien dit et s'est posée pour se mettre à l'aise... J'entendais ses pas autour de moi, tentais de sentir son parfum, et essayais de deviner ce qu'Elle faisait dans cette pièce... certains bruits captaient mon attention... Au bout d'une dizaine de minutes je l'ai senti s'approcher de moi pour passer mon collier de chienne autour de mon cou, accompagné d'un doux "Bonsoir ma pute..." Puis Elle commencé à pincer mes tétons pour m'arracher mes premiers gémissements... Après m'avoir fait embrasser ses mains encore un peu froides, joué un peu avec moi, caressé et filé quelques gifles, Elle s'est d...
Les bonnes manières
il y a 4 mois

Toujours demander avant de toucher une femme...

Petite soirée libertine avec 2 amies et un homme que l'on connait peu. Au cours de nos ébats cet homme propose vulgairement d'enculer nos 2 amies tout en les doigtant à sec sans prévenir ! Il a bu un verre de trop et devenait désagréable... Mes 2 copines d'un clin d'œil me sollicite pour se venger et lui faire découvrir ce que tu ressens lorsque tu subis un rapport rectal non pleinement consenti...elles l'accroche solidement sur le ventre contre une table basse et me suce toutes les deux pour gonfler l'arme du crime... Ma bite est au maximum de son érection, chaude, baveuse, toute dure...sans l'avoir préparé, dilaté, je m'introduis en lui, doucement, mon gland a du mal à forcer le passage, je force délicatement, il ressent cette petite douleur. Douleur qui fait du bien, passage obligé mais éphémère. Celle que tu ressens lorsque tu te mets un plug medium sans avoir mis aucun doigt. Sauf qu'au lieu que ton petit trou se referme et engloutisse le plug, là mon chibre doit continuer...
L’histoire d’une esclave volontaire 3
il y a 4 mois

Soumise et masochiste,cette jolie femme âgée de trente ans va découvrir des mondes qu'elle n'aurait jamais imaginés.

Le jeu reprit. Cinq minutes plus tard, c'est Marlène qui eu le gage. Nul ne douta qu'elle l'ait fait exprès. Surtout pas Véra qui la connaissait et craignait sa cruauté. Marlène se leva, s'approcha des deux victimes et les toisa, détaillant chaque pouce de leur corps. Soudain son visage s'illumina : "Ces salopes sont poilues comme des chiennes ! Il faut les débarrasser de ça !" C'est vrai qu'aussi bien Maud que la grosse Véra étaient bien fournies en toison. L'une comme l'autre étaient garnies d'une belle fourrure. Celle de Véra remontait haut sur le ventre. C'est par elle que Marlène commença. Alors que la grosse couinait doucement, ignorante de ce qui allait lui arriver, Marlène se saisissait d'un briquet. Approchant doucement la flamme, elle passa rapidement sur les poils. Aussitôt ceux-ci s'embrasèrent et se recroquevillèrent. Véra hurlait. Une affreuse odeur de poulet grillé se répandit dans la pièce. Marlène fit plusieurs passages rapides au point que, bientôt, il ne...
Un weekend au touquet
il y a 4 mois

On a parié au UNO que si je perdais la partie on irait se faire un weekend complet au touquet lors duquel je devrais être en femme 48h.

Un soir alors qu’on jouait au UNO , on a décidé de donner des gages au perdant. Mon gage était un weekend complet en tant que femme au bord de la mer. Et … J’AI PERDU… L’hôtel réservé, il nous restait 1 semaine à attendre. J’ai stressé toute la semaine car je ne suis jamais sortie en public ainsi. Samedi matin, réveil 8h, ma conjointe m’avait préparé une tenue complète, sous vêtements de femme, collant, talons et robe. Ainsi que une perruque brune au cheveux long. Et elle a rajouté un collier avec l’inscription « Slave »! Je ne m’y attendais pas , et il était bien voyant 😅. Après avoir fait la valise on prend la route direction le bord de mer. Compliqué de conduire en talons 👠 ce fut la première fois. Puis avec ses pieds sur moi tout le trajet quel plaisir ! Arriver à destination, ce fut l’heure de la première épreuve ! L’accueil de l’hôtel … Mon cœur battait fort, et après avoir longuement réfléchis elle me f orça la mains à descendre, c’était trop tard je ne pouvai...
Si j'avais su...
il y a 4 mois

Invitée par des Amies en Italie, le séjour se passe super bien. Du moins la première partie...

Si j’avais su… « Dans cinquante mètres, tournez à droite. Votre destination sera sur votre gauche. » Je regardais l’écran de mon GPS pour confirmer que j’avais bien compris sa voix métallique. Je m’engageais dans la rue, quelques mètres plus loin, une jeune femme me fit signe. Elle m’attendait tout sourire devant son portail. Elle n’eut pas besoin de s’assurer qui était au volant, ma plaque française en Italie parlait pour moi. Ses cheveux noirs corbeau, son teint mat et ses yeux noisette semblaient coller avec ce magnifique Pays, mais elle venait « d’ailleurs », comme elle me le disait parfois. J’immobilisais ma voiture devant son muret et descendis pour lui faire la bise. C’était notre première rencontre, l’émotion était intense. - La route s’est bien passée ? - me demanda Krisztina avec un léger accent de l’Est après m’avoir serrée dans ses bras. - Ça va, oui. Longue, mais ça va. - Aillen est à l’intérieur, viens. Longue n’était pas un vain mot 1300 kilomètres...
L’histoire d’une esclave volontaire 2
il y a 4 mois

Soumise et masochiste, une jolie femme âgée de trente ans se livre corps et âme dans le monde du BDSM extrême.

"Tu connais ces règles : - obéir en toute circonstance - baisser les yeux - ne pas pleurer, ne pas crier si mon maître me l'interdit même en cas de souffrance extrême - ne pas porter ni culotte, ni soutien gorge, sauf ceux que t'ordonne ton maître." Effectivement, elle les connaissait pour les avoir lues dans des romans. Mais elle n'imaginait pas qu'elle devrait se les appliquer à elle-même. Toutefois elle ne savait pas si elle frissonnait de crainte ou de désir. Pendant qu'elle prenait ses ordres, elle sentait le regard de la serveuse sur son chemisier, ou plutôt sur ce qu'on voyait en transparence. En effet, à la lumière le vêtement laissait voir la peau nue, à peine teintée par le voile du chemisier. Elle ne faisait que passer et repasser, lorgnant tour à tour sur ses seins et sur ses cuisses largement découvertes au point que la chair était visible au-dessus de ses bas. Sous son regard, elle sentit ses bouts se durcir. Il ne tarda pas à s'en apercevoir. "Ouvre ton chem...
Sous le lit
il y a 4 mois

Prise en mains d'un étudiant pervers

Après le bac, il m’a fallu, pour poursuivre mes études, « monter à Paris ». Mes parents se sont aussitôt employés à me trouver un point de chute. Ce qui fut rapidement chose faite. En proche banlieue, chez un couple dont la femme affichait une quarantaine voluptueuse qui m’a tout aussitôt émoustillé. Mes logeurs semblaient très amoureux l’un de l’autre et j’étais convaincu qu’ils devaient se livrer à de somptueuses parties de jambes en l’air. Parties dont il m’était malheureusement impossible de profiter, ma chambre étant très éloignée de la leur. Et je redoutais de me faire surprendre si je venais rôder aux abords de leur porte. J’avais beau, de mon lit, tendre tant et plus l’oreille, je n’arrivais pas à percevoir quoi que ce soit. Et ça me rendait fou. On m’avait offert, pour mes cours, un petit enregistreur qui démarrait à la voix. C’était tentant. Très. Et, un après-midi que j’étais seul à la maison, je suis allé, le cœur battant, le glisser sous leur lit. Je l’ai récupéré le...
L’histoire d’une esclave volontaire 1
il y a 4 mois

Récit hard Soumise et masochiste, une jolie femme âgée de trente ans se livre corps et âme dans le monde du BDSM extrême.

Elle ne se serait jamais doutée de sa vraie personnalité même si, avec le recul, elle devait reconnaître que l'attirance qu'elle avait eue pour lui ne s'expliquait pas autrement. Elle l'avait connu comme son chef de département, chaleureux, sûr de lui, réussissant dans le domaine difficile de la finance internationale. Elle était amoureuse de lui mais n'avait jamais osé lui avouer ouvertement. Lui ne voyait rien ou ne voulait pas voir. En dépit de sa timidité héritée de sa famille bourgeoise, elle avait porté devant lui des tenues trop suggestives pour son âge et pour son milieu. Certes à trente ans, petite et mignonne comme elle l'était, elle pouvait se permettre ces petites robes hyper moulantes qui faisaient ressortir ses fesses cambrées et ses petits seins naissants. Mais, même lorsqu'elle s'asseyait sur son bureau, dégageant ainsi ses cuisses fines et fermes au point qu'elle-même en rougissait, il ne voyait rien. C'est donc avec d'autant plus d'étonnement qu'elle découvr...
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