Récits
Première déculottée et en public
il y a 2 ans

La fessée d’anniversaire

En ce dimanche de mai 2011, nous étions tous (sœurs, époux et e n f a n t s) réunis chez les grands-parents pour fêter l’anniversaire de Mamie! L’ambiance était donc à la liesse! Ceux-ci étaient aux anges d’avoir leurs petites filles et le dernier né (Kevin, 1 ans) à leurs cotés, pour les choyer! Tout allait bien, Maman nous avait comme à son habitude préparée un somptueux repas, de quoi nourrir plus qu’un régiment, presque à gaver la terre entière! A la fin du repas gargantuesque, je me souviens que Maman, accompagnée de ses quatre petites filles, alla chercher son gâteau d’anniversaire! Là, mon chéri me regarda et, tapotant ses tablettes de chocolat, me fît comprendre qu’il était repu et n’en pouvait plus. Mon beau-frère en fît de même avec sœurette! Ce qui eut pour effet de nous faire tous les quatre pouffer de rire! Papa (ex-gendarme) nous regarda avec circonspection, ne comprenant pas la raison de ce fou rire! Il nous adressa néanmoins un grand sourire! Maman, qui n’a...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 68 : Restaurant cinq étoiles
il y a 2 ans

L’entretien passe aussi par l’inaction qui réduit les tensions

Chapitre 68 : Restaurant cinq étoiles Nous nous habillâmes et sortîmes. Une grande voiture, une Royce Rolls peut-être, nous attendait moteur allumé. Il s’agissait du valet italien au volant. Nous nous mîmes à cinq à l’arrière dans des sièges en cuir se faisant face. Ma Maîtresse et Diane me faisaient face alors que j’étais entourée de Marguerite et de Christine, cette dernière ne prenant pas beaucoup de place. - N’oublie pas que tu es une femme ce midi ! me rappela Ladyscar. J’aurai bien répondu par sarcasme que je ne pouvais alors ni roter, ni péter, mais je ne voulais pas gâcher l’instant. A la place, je fis un sourire que j’espérais aguichant. Nous prîmes moins de quinze minutes pour arriver. La voiture s’arrêta en plein centre-ville, le temps que nous en descendîmes. Déjà le regard d’un passant, alors que je n’étais pas totalement sortie de la voiture, m’obligea à tirer sur ma robe en me déhanchant pour la faire descendre. Il était maintenant clair que je ne devrais pas m’...
Mémoires d'une fesseuse (1)
il y a 2 ans

On dirait bien qu'elle a des secrets, cette colocataire!

Je venais d’avoir mon bac. Avec mention. Et je voulais faire Langues O. J’y tenais absolument. Depuis toute petite. Mes parents, eux, de leur côté, faisaient tout ce qui était en leur pouvoir pour s’efforcer de m’en dissuader. Non pas qu’ils aient quelque préjugé que ce soit à l’encontre de ces études en particulier, mais elles impliquaient que je « monte à Paris ». Ce qui les terrorisait. Ils se représentaient la capitale comme une sorte de Chicago des années trente où je courrais, matin, midi et soir, une multitude de dangers de toute sorte. Où la mort me guetterait à chaque coin de rue. - Tu te rends pas compte, Lisa, tu te rends vraiment pas compte. Je campais sur mes positions. Et eux sur les leurs. C’est la femme d’un notaire du coin, pour laquelle ils éprouvaient la plus grande considération, qui a finalement débloqué la situation. Sa nièce poursuivait, depuis un an déjà, ses études en fac de droit à Paris. Elle n’y avait été ni détroussée ni violée ni égorgée. Elle s’y...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 67 : Sorties pour déjeuner
il y a 2 ans

Le choix des matières d’un engrenage est essentiel, ductilité, résistance à l’usure, type de lubrifiant, tout est réfléchi, pensé.

Chapitre 67 : Sorties pour déjeuner Ladyscar m’ôta les pinces. Cette fois la douleur était sans commune mesure. Je les avais gardées trop longtemps et ce n’étaient plus les jouets de débutants qu’elle m’avait offerts quinze jours auparavant. Je me frottais longuement les tétons sans qu’aucune maîtresse ne me le proscrive. J’espérai qu’elles poursuivraient le démontage, mais à part de dévisser les crins de cheval du plug et de ne me remettre ni le bâillon ni le masque, je gardais la même tenue que ce matin. Outre les vêtements féminins, il me restait l’attirail au centre de mon corps, le plug anal, la cage électrique et les poids alourdissant mes testicules. Ben redescendit avec une robe d’été bleue un peu transparente. Elle était courte, élastique et très moulante. Elles se mirent à plusieurs pour me l’enfiler. - Le plug est trop visible, dit Ladyscar. - C’est un problème ? demanda Tata Marguerite, usant d’un ton démentant la question-même. - C’est dommage qu’on lui enfi...
Poussé sur la scène
il y a 2 ans

Obligé de s'habiller comme une fille

Quand j'étais jeune, j'avais l'habitude d'aller occasionnellement dans le New Jersey et de rester avec ma tante (la sœur de ma mère) et ses deux filles, en particulier après la m o r t de ma mère. Sheila avait mon âge et Denise avait 2 ans de moins. Je les ai toutes aimées et nous avons généralement passé un bon moment. Lors d'une visite quand j'avais 14 ans, je n'étais pas plus tôt arrivé que ma tante m'a attrapé et m'a emmené dans la cuisine pour discuter de quelque chose de "très important". Elle a dit qu'un ami proche et voisin de la ville avait écrit une pièce qui allait être jouée dans la maison de théâtre de la ville samedi soir. Dans l'une des scènes, un a d o l e s c e n t est obligé de s'habiller comme une fille, y compris des sous-vêtements de fille et une robe à froufrous avec une jupe ample et des jupons. Une fille dans la pièce tire ensuite sa jupe révélant sa culotte à froufrous. Le garçon qui devait jouer ce rôle venait de se retirer parce qu'il avait peur des...
Lucie découvre la vie, l’ABDL et le BDSM 2 sur 3
il y a 2 ans

De l'ABDL à la fessée en passant par de délicieuses fellations appelées biberon des grandes, l'apprentissage de la vie continue

[Le début de cette histoire est ici](https://fessestivites.com/recit/198217) CHAPITRE QUATRE La journée au travail se déroule normalement, hormis les employés râlant de plus en plus et s’estimant sous-payés. Il faut dire que le gouvernement Macron accentue bien la crise engendrée par ses prédécesseurs ayant bien commencé à vendre la France. Les fins de mois commencent à devenir difficiles pour les salariés ayant 1500 euros net par mois et un crédit immobilier à payer. La grogne commence à se faire sentir dans l’entreprise de Jean qui pourtant est un bon patron. Le soir même, Jean souhaite s’occuper de son nouveau bébé d’amour, et, après qu’elle ait préparé le dîner, lui refait le même scénario que la veille. Sous la douche, cette fois moins timide que la veille, Lucie s’amuse à mouiller son Daddy, à jouer sa vilaine fille avec de grands éclats de rire. Cela amuse Jean, il a l’impression de rajeunir aux côtés de sa perle d’amour qu’il compte bien initier à d’autres jeux...
Premières expériences et engrenages :Chapitre 66 : Humiliation ultime
il y a 2 ans

Parfois un engrenage prévu pour de petites charges, par suite d’un écartement parfait des dents, peut en soulever de grandes.

Chapitre 66 : Humiliation ultime - Tu as déjà une idée, n’est-ce pas ? demanda Lady Christine. - Si tes autres valets déchargeaient dans la figure de ta pute, proposa Tata. - Nous avons passé beaucoup de temps à la maquiller, protesta Diane. - Alors, juste dans sa bouche. Regarde, il t’en redemande, ajouta-t-elle, alors que sans instruction, je continuai à la garder ouverte. J’avais l’impression qu’en refroidissant le sperme commençait à me coller à la bouche et aux dents et je n’avais qu’une envie, m’en débarrasser d’un côté ou de l’autre. - Vous serez capable de viser, sans en mettre partout, leur demanda leur patronne. Ayant écouté toute la conversation, tous répondirent par l’affirmative. Aucun n’aurait pris le risque de se voir rejeter de ce jeu qui semblât les amuser grandement. Je dois vous avouer, qu’à ce moment précis, cela ne m’inquiétait, ni ne me dérangeait. Mon esprit était entièrement focalisé sur le mexicain et ce qu’il avait dévoilé un peu plus tôt...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 65 : Au cul de basse-fosse
il y a 2 ans

Une fois activé et lancé, le plus dur pour un engrenage c’est de savoir l’arrêter, car souvent il ne veut pas lui-même

Chapitre 65 : Au cul de basse-fosse Dès le début, je sentis que je n’avais plus affaire à mon meilleur ami, intimidé qui ne recherchait qu’une fellation amoureuse. Il s’agissait de deux hommes plus expérimentés qui ne voyaient en moi que de la chair fraiche pour les satisfaire d’un besoin élémentaire. Il n’y avait plus la douceur qu’avait mise Vincent, que je ne décelais que maintenant qu’elle était absente, cachée par la honte, la peur et le dégoût qui saturaient mes sens depuis que j’avais compris ce qui allait m’arriver. Pourtant, je protestais à peine. Je laissai aller mon esprit vagabonder sur les prairies de mon imagination. J’omettais cet instant de mon esprit, comme lui demandant de couper l’enregistrement de ce qui allait suivre, jusqu’à ce que ce soit fini. Ou, si je ne pouvais pas, l’enregistrer dans le cerveau pervers et féminisé de Lassie qui appréciait follement ce qui m’arrivait. Cette part de moi que je refusais de reconnaître malgré le plaisir que je pris à te...
Un remède de cheval.
il y a 2 ans

Il sait manoeuvrer, ce médecin!

- Alors ? - Attendez ! Laissez-moi le temps. - Vous voyez quelque chose ? - Oh, beaucoup de choses. - Approchez-vous, si vous voulez ! - Ce n’est pas de refus, oui. Ce sera plus commode. - C’est grave ? - Difficile de se prononcer avec certitude. Il y a de fortes probabilités pour que ce le soit. Ou, à terme, le devienne. Parce que toutes les humeurs corporelles de Madame la duchesse sont venues se concentrer là, dans les parties charnues. - Mais c’est affreux ! Existe-t-il un remède ? - Laissez-moi examiner encore… - Faites ! Faites ! - Il est indispensable de chasser ces humeurs au plus tôt. - Comment cela ? - La seule méthode réellement éprouvée consiste à fustiger la région concernée. - Vous voulez dire… - Qu’il va falloir fouetter Madame la duchesse, oui. - N’y a-t-il point d’autre méthode ? - Aucune qui soit réellement efficace. - Il va donc être nécessaire… - Qu’elle se résolve à en passer par là, oui. Si elle s’y refuse, je ne réponds plus de rien. - Elle s’...
Lucie découvre la vie, l’ABDL et le BDSM 1 sur 3
il y a 2 ans

La chance sourit à une jeune fille vivant dans une famille d’accueil particulière. Embauchée chez un homme aussi charmant que pervers, elle va vivre des aventures fétichistes multiples. De la régression à la fessée puis au BDSM soft avec Amour.

- Le seul souvenir que j’ai de quand j’étais petite, ce sont les camions rouges et les lumières bleues puis les pompiers qui courraient partout. Après plus rien. Ensuite, j‘ai été placée dans une famille d’accueil. Là des souvenirs j’en ai plein. C’était horrible. Ils étaient tous méchants avec moi, j’étais surtout une source de revenus et l’esclave de la maison. Il faut dire qu’à cette époque, je ne parlais quasiment pas, cela les énervait. - Mais, il n’y avait pas des contrôles, des assistantes sociales qui venaient ? - Si, mais ce jour là, ils étaient gentils, même les deux frères pour qui j’étais le souffre douleur. Bien souvent, lors de ces visites, ils avaient le droit de sortir ou des maquettes à monter. - Pourquoi tu ne lui en parlais pas ? - Parce que la fois où je lui en ai parlé, après son départ j’ai été battue et enfermée dans l’armoire comme quand les frères faisaient des bêtises et disaient que c’était moi. - Enfermée dans l’armoire ? - Dans ma ch...
Habilement éduqué par les défis
il y a 2 ans

C'est le 4eme récits de l'histoire "des défis" et qui clôure cette histoire.

- «Avec ta mine épanouie et éthérée je ne suis pas certaine que tu ai retenu quoi que ce soit...» En effet, Faby, aimablement descendue à mon bureau pour discuter, a reçu en échange, mon attitude lointaine, un peu ailleurs. J'apprécie converser avec cette collègue mais là je suis sur les ondes du BDSM, des ordres successifs de Sabine. Car à l'évidence Elle m'a éduqué afin que je devienne son soumis, un de ses soumis. Lorsqu'Elle vint chez moi pour établir entre nous des règles qui furent alors qualifiées de défis, la Domina un pouvoir sur moi : je ne pouvais pas savoir où j'allais mettre les pieds. Très justement me mettre à ses propres pieds ! - «Je ne t’écoute pas vraiment Faby, pardonnes-moi. Veux-tu qu’on déjeune ensemble demain ? Je serais plus disposé au dialogue, tout de suite accaparé par les caprices de mon âmes.» - «Çà me tente oui. Mouais ! Soit-disant ton âmes délurée, je crois plutôt une aventure dans un plumard. Tu me raconteras au resto demain ?» Me demande t-elle m...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 64 : Tête-à-queue
il y a 2 ans

Quand un nouvel engrenage débute, il ne sait pas plus que nous comment tourneront ses roues lors du premier tour.

Chapitre 64 : Tête-à-queue Vincent passa devant moi. Je fermais les yeux. Peut-être cela serait-il plus supportable comme cela, si je n’en gardai pas l’image en mémoire ? Que devais-je faire maintenant ? Juste ouvrir la bouche ? - Dans quelle situation t’es-tu donc mise, dit-il, usant comme mes maîtresses de ma féminisation pour m’en attribuer le genre. Alors que je voulais répondre, elles me mirent un objet dans la bouche. Cela me fit rouvrir les yeux, juste devant son sexe bandant. Je voyais même à cette distance, le flux et le reflux sanguin qui le faisait tenir droit, horizontal. Je ne pus que le jalouser. Non seulement il était plus gros que le mien, mais il était libre et fonctionnel ! L’appareil dans ma bouche était une sorte d’écarteur qui prit naturellement sa place derrière mes dents avant d’être mis en tension, ouvrant ma bouche, écartant mes mâchoires. Pendant que Ladyscar le manipulait, les autres maîtresses, devant mon corps attaché, ne purent éviter d’en u...
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