Récits
Ma femme aime mon cul
il y a 2 ans

Collants et strapon sont les passions d’une femme phallique

Christelle et moi sommes mariés depuis six ans, en juillet. Durant ce temps, notre relation s’est épanouie et a grandi, en particulier notre vie sexuelle. Nous avons exploré nos fantasmes les plus profonds et en avons fait une réalité. Mon cul l’a toujours excitée. J’ai toujours trouvé cela surprenant, car je n’y voyais rien de spécial. Quand nous avons commencé à sortir, elle attendait que je sorte du bain et me penche pour pouvoir embrasser mes fesses. Plus tard, elle est devenue plus sûre d’elle et a pris mes fesses à part et a permis à sa langue de sonder plus profondément jusqu’à ce qu’elle lèche littéralement mon trou du cul. La première fois que c’est arrivé, j’ai failli éjaculer tout de suite. C’est la combinaison de la sensation physique de sa langue qui me mouille le cul avec de la salive et l’image mentale d’un acte aussi audacieux qui m’a conduit à un orgasme intense. Dans l’esprit de Christelle, il était loin d’être dégradant pour elle de me lécher, au contraire, je...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 63 : Trahison
il y a 2 ans

Deux dents s’accouplent ou se mettent en porte-à faux, dans le dernier cas, les contrevenants en subiront les conséquences.

Chapitre 63 : Trahison Vincent mon ami d’enfance ! - Salut, comment tu vas ? me dit-il simplement, comme si nous nous rencontrions par hasard dans notre rue, à une vingtaine de kilomètre de là. Que faisait-il ici ? Avait-il suivi la veille Ladyscar ? S’était-il fait attraper ? Avait-il négocié pour servir de garde-fou, si cela dégénérerait ? - Je vois que tu t’es déjà bien amusé, poursuivit-il en s’approchant de moi. Tu devais me prévenir pour que je ne m’inquiète pas. Tu te rappelles ? - Oui, acquiesçai-je. Mais je ne sais pas comment j’aurai pu. - C’est une excuse ? dit-il. Son ton avait changé. J’allai bien. Je n’avais pas besoin de lui. C’était en même temps rassurant et dérangeant de le savoir ici. - Que fais-tu là ? demandai-je un peu perdu. - C’est Ladyscar qui m’a invité la semaine dernière. Vendredi dernier exactement, quand elle m’a envoyé les photos de toi. - Avant que tu ne m’en parles ? me rappelant qu’il n’avait dit n’en avoir reçu qu’une et...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 62 : Surprises sans fin
il y a 2 ans

L’engrenage ne peut fonctionner si une des roues entrainées et déjà une de celle qui entraine.

Chapitre 62 : Surprises sans fin Cette fois, je décidai de rester plus concentré sur mon travail, pour aller plus vite. Je ne voulais pas subir quatre fois de plus ce que j’avais vécu. Je ne le pourrai d’ailleurs pas. Mais c’était peine perdue. Ces hommes savaient manier leurs mains et me procuraient des sensations d’excitations et de plaisir. Ils prirent moins de temps à s’activer, connaissaient mes points sensibles, ceux qui m’avaient fait le plus vibré. Et si, par la grâce de Dieu, j’arrivai à reprendre, pendant quelques secondes de trop, le contrôle de moi-même, c’étaient Lady Christine et Maîtresse Diane qui pianotaient une nouvelle mélopée sur leur télécommande, remuant les fils invisibles du pantin que j’étais devenu. A travers la vitre, je vis même cette dernière reproduire mes gestes de ses doigts et de sa langue. Ceux qui l’avaient mise en transe, ceux que je lui avais rappelés durant la soirée. Elles non plus ne me donneraient aucun répit. J’arrivai à la troisièm...
Les voyeurs bien punis
il y a 2 ans

S’attaquer à un camp de scout est osé

Scouts toujours… prêts ! Nous habitions un petit village de l’Allier et, comme chaque année en Juillet, un camp de jeunes filles scoutes s’installa pour le mois dans un terrain boisé de la commune qui longe la rivière. Ces jeunes filles en uniforme, qui avaient entre 16 et 17 ans, intriguaient fortement les jeunes garçons que nous étions alors. Nous connaissions la région comme notre poche et savions en profiter en nous cachant sous la passerelle en bois qui menait à leur camp pour regarder sous leurs jupes kaki et constater que, si toutes portaient le même modèle de culotte en coton blanc, pour certaines d’entre elles il arrivait que de petites portions de fesses s’échappent de l’étoffe, et pour d’autres, que le coton marque dans l’entrejambe un léger sillon, ce qui excitait grandement notre curiosité. A d’autres moments, planqués dans les arbres, nous les observions sur leur lieu de campement. Elles avaient construit une douche en plein air le long de la rivière. Des p...
Prisonnier des Cythriennes (16)
il y a 2 ans

Délivrance et... retour à la case départ.

[Le début de cette saga est ici](https://fessestivites.com/recit/196758) Au petit matin, elle nous fait monter à l’arrière d’une camionnette. Nous remet à chacun un sac de provisions. - Bon courage ! On compte sur vous, hein ! Elle referme les portières, échange quelque mots avec la conductrice. Dont nous n’avons pas vu le visage. Et en route ! Alrich ne fait que répéter, sur tous les tons. - Tu te rends compte ? On se tire. J’y crois pas. Non, mais j’y crois pas. On se tire. On s’arrête. - Déjà ! Il y a des voix. Plusieurs. Toutes féminines. On repart. - Et si tu me racontais ? Je lui raconte. Korka. Vassilène. La rivalité entre elles. Les menaces sur mon intégrité physique. La drogue dans mon plateau-repas. - Tu l’as échappé belle. - Et toi ? - Oh, moi ! J’allais être viré des SIB. C’était couru. Et même clairement annoncé. On allait m’envoyer je sais pas trop où. Heureusement qu’il y a eu Germie pour me sortir de là. - Comment il a eu ce filon, lui...
Confessions d’un soumis chanceux fétichiste du corset et des chaussures
il y a 2 ans

L’histoire d’un couple réel fétichiste dont le mari va être féminisé et dominé par 2 Maîtresses avant de se retrouver sous cage de chasteté H24.

##### Message à l’attention des lecteurs. J’ai l’autorisation de publier cette histoire de vie d’un couple bien réel que j’aurai peut-être le plaisir de recevoir [au gîte fétichiste](http://gitefetichistes.com/). Par discrétion, je garderai évidement pour moi leurs coordonnées. Il est donc inutile de me les demander. #### Résumé de cette très belle histoire La vie de couple d’un fétichiste des chaussures et du corset évolue lentement vers la soumission, et la féminisation totale ainsi que la chasteté. Une TRES belles histoire d’Amour et de vie à savourer sans modération. Chapitre 1 : Période de jeunesse, Cathie En remontant dans ma mémoire, je pense que j’ai toujours été profondément fétichiste. Mes premiers souvenirs précis sont vers mes 10 ans avec une jeune femme qui venait s’assoir sur un banc en face de chez nous. Je pouvais longuement regarder avec émotion ses longues jambes gainées de collants noir et ses chaussures à talons. A cet âge, ce n’était pas encore d...
Les vêtements de fille m'étaient réservés comme punition
il y a 2 ans

Subir la discipline du jupon

De Daniel à Danaé. J'étais très jeune lorsque ma tante a dû s'occuper de mon éducation suite au décès de ma mère. Ma tante n'avait eu qu'une fille, ma cousine Nadine; elle n'avait pas l'habitude d'élever des garçons et ça lui faisait un peu peur. Vers cinq ou six ans, je me suis retrouvé habillé en fille chaque week-end: de son avis, de celui de sa fille et de ses amies, j'étais tellement plus mignon en petite robe. J'avais de longs cheveux, de longs cils : il n'en fallait pas plus pour que tout le monde me prenne pour une fille. Peu après, j'ai signifié à ma tante que je désirais désormais être habillé en garçon, même le week-end. A regret, elle m'a exaucé, même si, de temps à autre, je devais faire une concession : mettre une jupe lorsque son amie venait à la maison. Celle-ci me couvrait de compliments et de baisers : elle me trouvait si adorable ! Vint un jour où je n'acceptai plus de concessions. C'est à partir de ce temps-là que les vêtements de fille m'étaient réservés...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 61 : Frottements pernicieux
il y a 2 ans

Le frottement est l’ennemi de l’engrenage, il use et échauffe, c’est tellement mieux bien huilé.

Chapitre 61 : Frottements pernicieux - Maîtresse Diane m’a demandé d’obtenir une échelle auprès du jardinier, dis-je en gardant la voix la plus masculine que je pouvais. Je devais bien avouer, qu’à dix-huit ans, je n’avais pas encore mué autant que je l’aurai voulu en cet instant. C’est alors que les vibrations se mirent en marche. Je me trémoussai, gémissant, devant ces hommes qui me regardaient, me détaillaient, me scrutaient sans rien dire. - Je te l’amène, dit l’un des hommes, un roux avec un accent anglais. Tu me devras un service, ajouta-t-il en me faisant un clin d’œil. Je le remerciai de la tête sans valider ouvertement mon accord dont d’ailleurs je me refusai à deviner à quoi il consentirait. Et j’attendis, résistant aux vibrations qui m’obligeaient à exécuter comme une danse lascive, attrayante de ce que je pouvais percevoir dans les yeux pervers de mes voyeurs. Je m’approchai de la première fenêtre, encore un peu plus près d’eux et déposai le seau. Je n’avais...
Enfin seuls!
il y a 2 ans

Oh, la coquine!

- Martial ? Tu sais quoi ? Ils seront pas là samedi. Ils partent. Ils vont à un mariage. On aura toute la maison à nous. Toute la journée à nous. On va pouvoir faire ce qu’on voulait. Depuis le temps ! - Alors là ! Là ! Je peux te dire que tu vas y attraper. Et quelque chose de bien. Mes parents nous hébergeaient. Le temps qu’on retrouve du travail. Du travail et un toit. C’était très gentil de leur part, tout se passait le mieux possible, mais… mais il fallait reconnaître que, pour notre vie de couple, ce n’était pas vraiment l’idéal : notre chambre jouxtait la leur et il nous fallait systématiquement « la mettre en sourdine » A 23 ans c’était terriblement frustrant. Quant aux petits jeux dont nous rêvions, nous devions, pour le moment, nous contenter d’en parler. Alors… Alors une véritable bénédiction ce mariage ! J’ai investi le séjour Le grand canapé en cuir du séjour. - Qu’est-ce tu fais ? - Ça se voit pas ? Je bouquine. - Comme ça ? À poil ? - Je suis pas à poil. J’a...
Si c’est lui, on va lui donner une bonne fessée !
il y a 2 ans

Confidences de jeunesse

Le verdict était tombé, annoncé de façon magistrale. Tout était dans ce « on », cette façon quelque peu désuète et qui ne manque pas de noblesse d’employer la troisième personne. Cela confère une certaine supériorité et laisse dans cette situation entendre que la fessée ne sera pas une réaction personnelle mais plutôt un dû, un dû collectif. C’était très clairement articulé et presque chanté, d’une voix devenue vive, un « bôoneu » accentué à la méridionale. C’était peut-être ses origines à cette maîtresse de maternelle ? Je la perçois dans mes souvenirs comme jeune, pimpante, dynamique, et attachée à ses élèves. Attachante et maternelle; une mère en quelque sorte, mais moins « reine mère » que la mère biologique. Je dirais plutôt une seconde maman qui savait plein de choses et aimait nous en faire profiter. Maternelle ? C’était justement à l’école maternelle, avant les six ans et avant cette « terrible fessée » du CE2 que j’ai déjà relatée. « Bonne », c’était sa façon à ell...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 60 : Spectacle aux fenêtres
il y a 2 ans

Quand toutes les roues se mettent à tourner, il devient difficile de contrôler un engrenage.

Chapitre 60 : Spectacle aux fenêtres Ben m’empoigna l’aspirateur des mains, me facilitant la tâche. Il avait déjà installé la servante vers l’une des grandes fenêtres donnant sur le devant de la maison, si j’en croyais mon sens de l’orientation. La fenêtre montait presqu’au plafond. Je m’y dirigeai. Je n’avais jamais nettoyé une vitre de ma vie. Je ne savais même pas comment l’on faisait. Il m’avait montré l’instrument composé d’une brosse et d’un racloir disposé ensemble au bout d’un bras qui pouvait s’allonger. A nouveau, à cause de mes mains attachées entre elles, et malgré son manche télescopique, la brosse n’atteindrait pas le haut de la fenêtre. Je devais reprendre l’escabeau. - Commence par les fenêtres de ce côté d’abord ! m’ordonna maitresse Diane, alors qu’on commençait à y distinguer de l’animation. Je m’y déplaçai, emmenant moi avec la servante le seau et la brosse à vitre, dans un premier temps. Je reviendrai pour l’escabeau. Derrière la fenêtre, l’on pouvait dist...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 59 : Tâches ménagères
il y a 2 ans

Un engrenage de qualité est efficace, son travail est reproductible et son résultat parfait.

Chapitre 59 : Tâches ménagères - Merci. Mais rappelle-toi que je suis un homme. Il secoua la tête. - Pas ce matin, dit-il. Comme avec mes voisins, je craignais qu’il ne cherche à me forcer la main, et pas seulement cette partie de mon corps. Enfermé dans ce placard, je n’étais pas en position de lui résister. Mais il dut penser à ce que Maitresse Diane ou Ladyscar lui ferait, car il tourna la tête vers le salon et son regard redevint celui du soumis sans résistance qu’il était. - Que dois-je prendre ? lui demandai-je, à part mes jambes à mon coup pensai-je derrière. Il m’indiqua différents éléments et leur utilisation. Il me montra aussi la servante à roulette pour les y mettre. Déjà nous n’étions pas le premier samedi du mois et j’évitai donc les cuivres. - C’est quoi cette histoire de fenêtres ? Combien y-a-t-il de serviteurs ici. Maîtresse Diane vit seule ? - Oui elle est veuve, répondit-il à la dernière question. Son mari était très riche, mais il est mort....
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