Récits
Premières expériences et engrenages : Chapitre 47 : Derniers mots, derniers maux
il y a 2 ans

Le couple d’une roue a plus d’importance que sa taille.

Chapitre 47 : Dernier mots, derniers maux Lady Christine en terminait enfin avec son soumis. Cinquante coups de cravache dans le dos ! Ce dernier prononçait les derniers nombres en expirant dans tous les sens du terme. Je réfléchissais, convaincu que l’attaque de front contre ces deux femmes que menait Ladyscar était vouée à l’échec. J’avais encore deux jours à passer avec elles. Je cherchais une meilleure idée. Il me fallait les amadouer. A part le verre de vin, je pense que j’aurai déjà pu réussir avec Maitresse Diane. Lady Christine, c’était différent ; elle aimait juste infliger de la douleur. Pour le maso que j’étais, ce ne serait pas un problème, enfin je le croyais encore à ce moment-là. - Pouvons-nous les détacher et les nettoyer, demanda sarcastiquement Ladyscar après que Lady Christine eut prolongé au maximum la séance. - Maîtresse, sans vouloir m’imposer, pris-je la parole. Je comprends que le sort m’ayant été favorable, et, plus encore, du regret de vos amies de...
Prisonnier des Cythriennes (12)
il y a 2 ans

Tenter de prendre la fuite?

[Le début de cette saga est ici](https://fessestivites.com/recit/196758) Je m’effondre sur mon lit. Germie me jette un regard effaré. - Mais qu’est-ce qui se passe ? Qu’est-ce que t’as ? T’es complètement décomposé. - Laisse-moi, s’il te plaît ! Laisse-moi ! - Sûrement pas, non ! Il s’approche, s’assied à mes côtés, me pose une main sur le ventre, me le caresse du bout du pouce. - Vide ton sac, va ! Ça te fera du bien. Il descend plus bas. - Non ? Tu crois pas ? Encore plus bas. Il m’effleure la queue, s’en éloigne, y revient, me la fait dresser. Je m’abandonne. Germie est orfèvre en la matière. Il n’a pas son pareil pour donner du plaisir avec les doigts. Je ferme les yeux. Il me fait surgir, s’allonge à mes côtés. - Là ! Ça va mieux ? Eh bien, raconte maintenant ! Et tout sort. D’un coup. En vrac. Vassilène. Guizwa. La fille qui veut que je l’engrosse. Korka. Xarma. Les types sous la tonnelle qui n’en sont plus. Tout. - T’es dans de sacrés beaux draps...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 46 : Correction
il y a 2 ans

Pour connaître la profondeur du puit, inutile d’y jeter un sot, compte les tours de la roue jusqu'à ce que le seau touche le fond.

Chapitre 46 : Correction - Compte ! me cria-t-elle. - Un. - Un, qui ? - Un, maîtresse. Merci Maîtresse. Le second coup, pareil au second toucha un autre endroit, multipliant par deux la douleur ressentie. J’en oubliai momentanément cette satanée pâte qui me cuisait de l’intérieur et de l’extérieur. - Deux, maîtresse. Merci Maîtresse. J’avais décidé de parler distinctement, sans que mes émotions ne s’expriment, comme un bon soumis. Pour cela j’attendais quelques secondes après le coup, juste le temps d’une respiration. - Trois, maîtresse. Merci Maîtresse. Les autres couples étaient en train de se préparer. Ben s’était nettoyé en une vitesse record, plus inquiet de l’impatience de sa maîtresse que de l’huile pimentée qui pouvait rester en lui, probablement peu habitué à cette générosité relative. - Quatre, maîtresse. Merci Maîtresse. Les coups s’enchainaient. J’étais plus masochiste que soumis à la différence de ce que je crusse connaitre des autres mâles...
Elle voulait jouer pets-play et se fait piéger
il y a 2 ans

Les soumises qui veulent faire des surprises.... à leur Maître n'ont pas toujours de bonnes idées

Pour fêter les deux ans de leur rencontre, une soumise en manque allume son Maître en mettant un plug de pets-play et en s’attachant devant lui. Ce qu’elle n’a pas prévu, c’est qu’il transforme sa surprise en piège. ................................. Il est arrivé tard et de mauvaise humeur, une de leurs machines était tombée en panne. Ne sachant pas s’il rentrerait pour 20 heures ou même 22 heures, par respect pour le restaurateur, il avait annulé la réservation au restaurant. Pour fêter les deux ans de notre rencontre via le site fessestivites, autant dire que la soirée était mal partie. Max est un homme adorable, attentif à mon bien-être mais il est aussi un Maître assez sévère. Je ne m’amuse jamais à le provoquer pour avoir « une punition », cela fait trop mal aux fesses ou ailleurs. La dernière fois que j’ai essayé de le motiver en faisant volontairement de petites bêtises, je me suis retrouvée attachée nue avec des pinces à sein lestées sur les tétons. Elles y sont resté...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 45 : Donjon, scène deux
il y a 2 ans

Même entre deux utilisations, un engrenage travaille ; la gravité, les tensions, les efforts résiduels le fatiguent.

Chapitre 45 : Donjon, scène deux - Tirons au sort avant. Nous n’aurons peut-être pas à tous les détacher, proposa la pragmatique Lady Christine, alors que je cherchais encore ce qui nous attendait. Ma maîtresse n’avait pas dit un mot depuis le début de la précédente activité. - Nous avons à nouveau quatre tirages, le soumis, l’objet, l’endroit et le nombre, précisa Maîtresse Diane que le hasard amusait, excitée probablement par ces jeux qu’elle avait préparés. - Pour l’objet et l’endroit, je propose qu’on ne fasse pas de présélection, dit Lady Christine. En revanche pour le nombre, je ne veux pas entendre cinq ou dix. Nous devons être intraitables. Nos soumis nous ont tous déçus. Ils ont été mauvais ce soir. Ben n’a pas donner satisfaction à Ladyscar. Nathan s’est trouvé mal, probablement les conséquences d’une vie malsaine de malbouffe et de tabac et le nouveau a tendance à être sarcastique, il n’écoute pas et renverse du vin sur la robe de notre hôtesse. Je voulais rép...
Aux deux troncs
il y a 2 ans

D'un commun accord...

- Non, mais tu y crois, toi, que quand on était petites on adorait ça venir ici ? - Fallait vraiment qu’on soit petites. Et particulièrement connes. - On se casse ? - Pour avoir la pantomine pendant des mois ? S’entendre répéter sur tous les tons qu’on est des sans-cœur ? Qu’on n’a même pas pu consacrer une semaine de nos vacances à tante Sophie qu’est tellement vieille que peut-être que dans un mois elle sera crevée. - Qu’est-ce qu’on va bien pouvoir foutre ? - A part se faire des mecs je vois pas trop. - Il y en a pas beaucoup. Et la plupart, apparemment, ils sont en mains. - Oh alors ça, pour moi, c’est pas vraiment un problème. Celles qui les ont si elles sont pas fichues de les garder c’est tant pis pour leur pomme. - Oui, mais il y a Kevin. J’y tiens, moi, à Kevin. - Parce que tu crois que j’y tiens pas, moi, à John ? C’est pas une raison pour pas s’éclater quand il y a une occasion qui se présente. Du moment qu’ils risquent pas de le savoir. Surtout là que si on n’a pas...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 44 : Laissons la pâte agir
il y a 2 ans

Attention à l’échauffement de l’engrenage, la graisse peut se liquéfier, les roues peuvent fondre et se gripper

Chapitre 44 : Laissons la pâte agir Sa main se déplaça légèrement et ses doigts fins et rachitiques, adaptés à passer entre les barreaux de la cage, s’y glissèrent, massant sexe et gland avec la même dextérité. Elle avait mis de la pâte. Plus elle frottait, plus cela chauffait. Le gland en semblait tout particulièrement sensible. Elle arrivait à me masturber à travers la cage. La chaleur qui envahissait cette zone restait appréciable pour un temps en la comparant avec la brulure anale. Mais mon sexe gonflait dans la cage, empêchant qu’elle poursuive. - Dommage que tu ne sois pas encore équipé, dit Lady Christine, sans que je ne sache de quoi elle parlait. Ses coups de boutoir s’estompèrent en fréquence et en intensité tandis que ses mains continuaient à me masser les couilles et la bite. Elle se pencha vers moi, du plus qu’elle pouvait malgré sa petite taille, sans peur de salir son tailleur dont elle n’avait même pas ôté la veste et tandis qu’elle s’activait à nouveau main...
Prisonnier des Cythriennes (11)
il y a 2 ans

Les menaces se précisent.

[Le début de cette saga est ici](https://fessestivites.com/recit/196758) Germie veut savoir. - Tu sors d’où ? - Je n’en ai pas la moindre idée. - Tu te fiches de moi ? On t’emmène. Tout le monde se demande où t’es passé. On te ramène six heures après. Et toi tu me viens dire, la bouche en cœur, que tu sais pas où t’étais ? Prends-moi bien pour un imbécile ! Je n’ai pas le temps d’inventer une explication plausible. Qui ménage les susceptibilités. Qui ne porte pas les jalousies des uns et des autres à incandescence. Parce que deux autres gardiennes surgissent. - Amène-toi ! Allez, grouille ! Ce n’est pas la route qui mène chez Korka. On se dirige plus au sud. - Vous m’emmenez où ? - Tu verras bien. Ferme-la ! C’est encore plus cossu que de l’autre côté. Une succession de gigantesques villas enchâssées dans des parcs immenses. On roule. Longtemps. Une grille. Qui s’ouvre devant nous. Les gardiennes m’abandonnent à l’entrée d’une allée. - C’est là-bas. En face...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 43 : Strap-on
il y a 2 ans

Il suffit qu’un peu de sable entre dans l’engrenage et l’usure destructrice de l’ensemble des roues est assurée.

Chapitre 43 : Strap-on Mon instinct me commandait de lui faire confiance. Je pris le papier de gauche, qu’il m’indiquait, et le dépliai. Les maîtresses ne réagissaient pas. Elles ne devaient pas savoir. C’était le petit ! Je soufflai après l’avoir lu. Je regardai Nathan mais ce dernier faisait semblant de m’ignorer. Il avait dû leur trouver une différence en les préparant. Ne les tirant probablement jamais, cela ne lui était jamais utile. Il voulait juste me remercier. Si je pouvais lui décrire la force du bien qu’il me fît. En fait je pouvais lui décrire la taille de ce bonheur, c’était juste là, en face de moi, attrapé par Maîtresse Diane et bientôt à l’intérieur de son corps. Il ne dit rien en ouvrant le dernier papier, confirmant qu’il n’y avait pas de tricherie. Ladyscar était soulagé et Lady Christine, déçue, enfilait le petit gode. - Il reste le lubrifiant, dit-elle en s’adressant à Ben. Ben prit un des trois papiers restants de la dernière corbeille. - Hui...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 42 : Alea jacta est
il y a 2 ans

La mécanique est une science, le hasard ne fait pas partie de ses paramètres, même pas antinomique, elle l’ignore.

Chapitre 42 : Alea jacta est Plus d’une dizaine d’endroits, de zones, de poste de travail, oserai-je dire, occupait pleinement un espace qui recouvrait l’ensemble salon et salle à du rez-de-chaussée. Quatre-vingts mètres carrés, plus grand que mon appartement, beaucoup plus grand ! Je reconnus vers le centre de la pièce le système à poulie de suspension avec de chaque côté le chevalet et la chaise gynécologique qui nous attendaient. Il y avait aussi un lit sans matelas avec un sommier grillagé qui n’inspirait aucun repos, une cage de taille humaine, une vierge de fer ouverte, dont les pointes avaient été remplacées par des sortes d’électrodes reliées à une batterie de bonne taille et une console, une croix très célèbre dans ces séances. Je me rappelais qu’elle avait le nom d’un saint. A croire que seule la religion pouvait pousser la torture vers un plan astral. J’essayai de comprendre l’utilisation de toutes ces machines, mais mon imagination perverse, à cet âge, était encore...
La rencontre d’une Little avec un Daddy sévère
il y a 2 ans

Little dans l’âme, elle est piégée un long week-end chez un réel Daddy très sévère qui n’épargnera pas ses petites fesses.

Little dans l’âme, elle rêvait de vivre un week-end dans son élément et de s’immerger dans son monde sans les contraintes de la vie. Un Daddy l’avait contactée, les échanges par internet via la messagerie de Fessestivites avait été cordiaux, respectueux. Si bien que se sentant en confiance, elle accepta avec plaisir d’aller passer un week-end chez lui, une maison isolée où elle allait pouvoir s’abandonner à son monde de douceurs et d’insouciance comme une petite fille, celle qu’elle est encore dans son âme. Lorsqu’il la récupère à la gare, il est particulièrement galant, souriant, attentif, demande si le voyage c’est bien passé malgré la chaleur écrasante de ce mois d’août particulièrement chaud. Arrivés à la maison, une propriété effectivement isolée, il ferme le portail à clé, libère le chien, un véritable monstre aux dents acérées qu’il contrôle à merveille. - Surtout ne le touche pas, il est très méchant. Je le libère pour que nous ne soyons pas ennuyés par des rôdeurs. Do...
Histoire de fantôme
il y a 2 ans

Ils ont de ces exigences quelquefois les fantômes...

- Un fantôme ? Mais ça n’existe pas, les fantômes, ma pauvre Amélie ! - Ah, si ça existe, si ! Même que ça fait trois nuits qu’il me rend visite, celui-là. - Ben, voyons ! - Oh, mais il est pas méchant, hein ! Il a juste besoin de parler. De vider son sac. - Et il te raconte quoi, on peut savoir ? - Qu’il a été assassiné, ici, dans cette maison, il y a près de deux siècles et demi et que, depuis, il est condamné à y errer sans pouvoir trouver le repos. À moins qu’une âme charitable ne consente à lui porter assistance. - Et comment donc ? - Il m’a pas dit. Mais il me dira, il m’a promis. D’autant… qu’il aimerait bien que ce soit moi qui lui rende ce menu service. 2- - Alors ? - Alors quoi ? - Ben, ton fantôme ! Tu l’as revu ? Il t’a dit ? - Oui. Il veut me fouetter. - Te fouetter ! Qu’est-ce que c’est que cette histoire ? - Une femme aurait pu empêcher qu’il soit tué. Elle ne l’a pas fait. Par lâcheté. Une autre doit expier, à sa place, de son plein gré. Faute de quoi,...
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