Récits
Dominée par sa patronne lesbienne
il y a 2 ans

Entre les mains d’une lesbienne dominatrice

Aujourd'hui Caroline arrive à son entreprise peu après 9h30, comme tous les jours elle salue la dizaine de salariés présent dans les différents bureaux. C'est une patronne respectueuse et appréciée de ses employés. Puis elle entre dans le bureau de sa secrétaire, c'est un passage obligé pour atteindre le sien. - Bonjour Elodie. Comment tu vas aujourd'hui? - Bonjour Caro ça va et toi? J'ai mis le courrier sur ton bureau comme d'habitude, il y en a pas beaucoup ce matin. Vu leur peu de différence d'âge les deux femmes se tutoie. Elodie a répondu avec un sourire forcé, mais Caroline ne veut pas la questionner. - Ça va très bien. Ok merci pour le courrier, tant mieux si il y en a peu. A plus tard. Caroline entre dans son bureau pose sa veste et son sac à main, s'assoie à son bureau et écoute le message sur son répondeur. Le message est celui de monsieur Martin, un important client qui est très en colère. Il reproche à Caroline de ne pas être venue à deux reprises à des rendez-v...
Site de rencontres
il y a 2 ans

Tel est pris qui croyait prendre.

Jessica s’est laissée tomber sur le canapé. - Vous savez quoi, les filles ? Ben finalement, il est pas divorcé. - Ah, ben ça ! On te l’avait dit. On te l’avait pas dit ? - Oui, mais il va le faire. Il va engager la procédure. - Quand ? Il t’a dit quand ? - Bientôt. Il m’a promis. Pauline et Chloé ont éclaté de rire. - Ben, voyons ! Tu veux qu’on te dise ce qui va se passer ? On le connaît, le truc, depuis le temps. Il va te lanterner tant et plus. Jusqu’à ce que sa femme soit sortie de sa dépression nerveuse. Ça la tuerait, la pauvre ! Ou que les enfants soient grands. Qu’ils soient autonomes. Qu’ils n’aient plus besoin de lui. Ou que la maison soit finie de payer. Ça le mettrait dans une situation pas possible. Ou tout ça à la fois. Il aura toujours tout un tas de bonnes raisons. Mais il divorcera pas. Il divorcera jamais. Il n’en a jamais eu et il n’en aura jamais l’intention. - Oui, mais à ce qu’il me dit, sa femme… - Est la pire des mégères. Et lui rend la vie impo...
Le plaisir d'être cocu
il y a 2 ans

Candaulisme quand tu nous tiens

Encore cette odeur chimique qui agresse mes narines. Comme une odeur de pétrole. Depuis quelque temps déjà elle flottait dans l’appartement. J’avais fouiné partout en vain dans l’espoir d’en débusquer l’origine. Et ma femme, elle, prétendait ne rien sentir. Étais-je devenu fou ? Ce matin-là je m’étais levé vers 8 heures. J’avais très mal dormi. Depuis quelque temps il était question de divorce, or j’étais toujours très attaché à ma femme et cette perspective me faisait frémir. J’ai téléphoné à ma secrétaire pour lui dire que je ne viendrais pas aujourd’hui, qu’elle se débrouille sans moi. Ma femme dirige une petite entreprise de chaussures en gros. Elle était déjà partie travailler. Tant mieux. Je ne m’étais pas senti le courage de partager le petit déjeuner avec elle. Rien n’allait plus entre nous. J’ai préparé mon café et malgré son arôme enivrant, l’horrible effluve subsistait ! Quitte à mettre la maison sens dessus dessous j’étais décidé à en déterminer l’origine coûte que co...
La passion des couches pour une jeune fille
il y a 2 ans

L’envie d’essayer va générer pour elle une addiction

Emily a alors 18 ans. C'était une journée assez ennuyante d'automne. Dehors, il pleuvait. Tout paraissait ennuyant à ses yeux d’étudiante, alors elle faisait les cents pas dans sa maison, comme souvent ces temps-ci. Ses deux parents travaillaient tous les deux, et elle, étant déjà assez autonome, restait donc chez elle, seule. À un moment dans l'après midi, l'idée d'aller dans le grenier lui vint. Le grenier avait toujours été à ses yeux un endroit très mal entretenu, où l'ordre n'était pas roi, loin de là même. Elle n'y était allée que très peu de fois, mais elle ne gardait pas un excellent souvenirs de ces petites explorations, étant donné l'apparence lugubre de l'endroit. Elle était petite, et elle pouvait se souvenir que ces petites explorations lui avait donné une frousse pas possible à l'époque. Il y avait eu besoin de plusieurs semaine afin que ses nuits redeviennent paisible. Mais du haut de ses 18 ans, une lampe à la main et armée d'une bonne dose de courage, Emily était b...
Une éducation dans les années cinquante (8)
il y a 2 ans

Voir, voir et encore voir! C'est devenu une véritable obsession pour notre héros. Une obsession qui lui vaudra bien des déboires.

Au tout début du mois d’octobre, Hervé Brancholle, l’un de nos camarades de classe, nous avait invités, Jean Brionce et moi, à son anniversaire. Ce n’était pas désintéressé : nous étions désormais en première et il escomptait bien que nous lui apporterions notre aide dans les matières littéraires pour lesquelles il était, il faut bien le dire, assez peu doué. Ses parents, qui avaient les moyens, avaient fait les choses en grand. Loué une salle avec un petit orchestre. Et même autorisé l’a l c o o l. À condition que ce soit dans des proportions raisonnables. Il y avait une quarantaine d’invités parmi lesquels cinq ou six filles de l’école Sainte-Marie où sa cousine poursuivait ses études. Très vite je me suis enflammé pour l’une d’entre elles, une certaine Clémence aux longues tresses brunes et aux yeux d’un velouté vert profond. On a dansé. Et je suis tombé amoureux. Résolument, désespérément amoureux. Les jours suivants, j’ai fait obstinément le siège de la maison de ses parents. J...
Piégée en plein selfbondage elle devient soumise
il y a 2 ans

Les rencontres BDSM ne se font pas toutes sur internet. L’auto-bondage peut en être le déclencheur.

Après une dure journée de travail sur un devoir maison que je n’arrivais pas à résoudre, je rentrais chez moi pour m’adonner à la perspective réjouissante d’une séance de bondage en solo. Ayant découvert la discipline du selfbondage il y a quelques semaines, j’avais passé commande et enfin reçu le matériel nécessaire, soigneusement sélectionné sur Internet, et expédié par colis discret jusqu’à la maison que je partageais avec mes colocataires. J’avais inscrit cet évènement en rouge dans mon agenda, ayant prévu de profiter de l’absence de tous mes colocataires pendant quatre jours. Le temps d’expérimenter encore et encore... Je rentrai donc à la maison et me déshabillai dans le hall. J’abandonnai mes vêtements et montai à l’étage prendre une douche. Une fois douchée, séchée, enduite de crème parfumée et de soins en tout genre, je me préparais pour cette aventure érotique délicieuse. Je disposai sur le lit mon équipement : deux paires de menottes, du Scotch de déménagement, un b...
L'échec au bac d'Émilie
il y a 2 ans

Rater son bac après avoir redoublé, ça méritait, à l'époque, une bonne fessée.

Émilie avait lamentablement échoué au bac et redoublait sa terminale. Sans véritable conviction. Si bien qu’à Noël, elle avait ramené un bulletin de notes calamiteux que sa mère avait jeté, d’un air affligé, sur la petite table, près du sapin. - Ah, ben ça vaut le coup de se crever pour te payer des études à toi ! C’est gratifiant… Elle l’élevait seule et consentait d’importants sacrifices pour assurer la meilleure des situations possible à sa fille qui avait alors tenté tant bien que mal de se défendre. - C’est pas de ma faute. En philo, deux fois j’ai fait des hors sujet. Et, en histoire, elle peut pas me blairer, la prof. Elle me sacque systématiquement. Sa mère avait haussé les épaules. - Mais bien sûr ! Tu as raison. Tu as toujours raison. Et soupiré. - Je te conseille d’avoir ton bac, Émilie. Je te le conseille vraiment. Sinon… Sinon quoi ? Elle n’avait pas précisé. Et Émilie n’avait pas cherché à approfondir. Mais elle avait tout de même décidé de fair...
Une première avec un transsexuel
il y a 2 ans

La découverte de sa transsexualité ne l’a pas arrêté, bien au contraire

De retour dans le midi, j’ai fait une pause sur une aire de repos. Après une pause pipi et café, j’allais reprendre la route lorsque j’ai aperçu une jeune femme avec un sac à main, genre valisette. Elle avait l’air bien embêté. Je me suis arrêté à sa hauteur. Elle m’a dit qu’elle était en panne et elle allait dans la même direction que moi, à une heure et demie de route. Elle avait un rendez-vous à 8 h 30 le lendemain matin pour une embauche. Elle portait un débardeur et un bermuda bien moulant. Elle est montée et nous sommes partis. On roulait tranquillement en bavardant de tout et de rien. Bientôt la conversation a dérivé vers le sexe. Ses vêtements, ses petits seins, ses cheveux assez courts et sa boucle d’oreille sensuelle me faisaient fantasmer. La nuit commençait à tomber et on était en automne, pas chaud ! À un certain moment, j’ai senti une main qui glissait le long de ma cuisse. Quelle heureuse surprise! Imperturbable, je me suis permis de lui effleurer la joue tout en...
Cocu en cage
il y a 2 ans

Une femme avide de plaisir et un mari insuffisant

Elle commence toujours comme ça. Un petit tour, le nez au vent, par les rues. Des rues très fréquentées de préférence. D’un pas tranquille. Il la suit. Les regards des mâles s’accrochent à elle, la déshabillent, s’attardent. Elle les ignore. Elle passe, en apparence souverainement indifférente. Elle repasse. Elle prolonge. Pour le plaisir de se sentir encore et encore désirée. Au retour, il lui fait aussitôt couler un bain. Assis sur le tabouret, à côté de la penderie, il la regarde s’y prélasser longuement. De temps à autre, sa queue tente de s’élancer vers elle, mais la cage la maintient, la contraint à rester sage. Quand elle sort de la baignoire, c’est nue qu’elle se lave les cheveux au-dessus du lavabo. C’est nue qu’elle se les sèche. C’est encore nue qu’elle se maquille. Avec le plus grand soin. Et c’est également avec le plus grand soin qu’elle choisit ses sous-vêtements. Sa robe. Son collier. Ses bracelets. Avant de s’en aller, elle se lance, dans la grande glace en pied...
Elle initie son mari au plaisir anal
il y a 2 ans

Cette nana aime le sexe débridé, les collants et le gode ceinture pour le plus grand plaisir de son mari

Christelle et moi sommes mariés depuis six ans, en juillet. Durant ce temps, notre relation s’est épanouie et a grandi, en particulier notre vie sexuelle. Nous avons exploré nos fantasmes les plus profonds et en avons fait une réalité. Mon cul l’a toujours excitée. J’ai toujours trouvé cela surprenant, car je n’y voyais rien de spécial. Quand nous avons commencé à sortir, elle attendait que je sorte du bain et me penche pour pouvoir embrasser mes fesses. Plus tard, elle est devenue plus sûre d’elle et a pris mes fesses à part et a permis à sa langue de sonder plus profondément jusqu’à ce qu’elle lèche littéralement mon trou du cul. La première fois que c’est arrivé, j’ai failli éjaculer tout de suite. C’est la combinaison de la sensation physique de sa langue qui me mouille le cul avec de la salive et l’image mentale d’un acte aussi audacieux qui m’a conduit à un orgasme intense. Dans l’esprit de Christelle, il était loin d’être dégradant pour elle de me lécher, au contraire, je...
Piégée!
il y a 2 ans

On finit toujours par devoir payer ses dettes. d'une façon ou d'une autre...

Premier jour Le même pas feutré et la porte presque aussitôt rouverte. Encore le valet. Son valet. Qui s’incline cérémonieusement, impassible, indéchiffrable. - Madame vient donc de se raviser ? Il l’invite à entrer, main ouverte, tendue. Elle avance de quelques pas sur les volutes entrelacées du tapis, s’arrête près du fauteuil de velours rouge, hésite. Il sourit imperturbablement. Les volutes s’entrecroisent et se perdent à l’infini. Rouges. Bleues. Vertes. Être absente le plus possible d’elle-même. De ce qui lui arrive. De ce qu’elle est obligée d’accepter qu’il lui arrive. Il constate. - Il faut bien reconnaître que Madame n’a pas vraiment le choix. Au-delà du tapis s’enfuient les lattes vernies du parquet. - Je suppose qu’il est inutile de rappeler à Madame les conditions de Monsieur ? Elle fait signe que non. Non, c’est parfaitement inutile. - Bien… Lui, il est déjà là sans doute, à côté, derrière la porte à moulures lambrissées grise. - Monsieur m...
Des vacances très BDSM
il y a 2 ans

Un travesti switch en vacances

J'avais répondu à une annonce lors d'un de mes séjours en Alsace déposée par un homme, Marc, qui recherchait une domination par un travesti. Je ne savais pas que j'allais connaître une féminisation f o r c é e pendant 3 semaines de vacances et subir les supplices sexuels réservés aux femmes. J'allais être en compagnie d'une soumise laissée chez ce couple pour être dressée comme une esclave, son mari venant voir régulièrement l'avancement de cette éducation. A la première rencontre je m'étais habillée très sexy et j'avais préparé tous les accessoires, chaînes pendantes sous la poutre du salon avec bracelets,cordes et fouet. Je suis allée l'accueillir au rez de chaussée en blonde, hauts talons, mini jupe et bien maquillée. Il a été subjugué se répandant en compliments. Je montais devant lui dans l'escalier et je savais qu' il pouvait voir sous ma mini jupe moulante noire finement rayée verticalement pour galber mes fesses ,mes bas couture attachés par mon porte jarretelles en sati...
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