Récits
La voisine est une soumise sexuelle
il y a 2 ans

Il n’y a pas besoin de la pousser beaucoup pour qu’elle se donne totalement

Je n’arrive pas à croire en ma chance. Je suis sur un chemin dans les bois et à quelques mètres de là, je vois ma voisine contre un arbre, la jupe troussée à sa taille, son chemisier ouvert exposant ses deux gros seins tandis qu’un gars de je n’ai jamais vu auparavant pilonne sa chatte avec vigueur. Je m’empresse de sortir mon téléphone pour faire quelques bonnes photos avant que mon chien Rex ne les aperçoive et se dirige vers eux en aboyant comme un fou. Ils essaient de se rhabiller pendant que je récupère mon chien, mais je vois bien qu’elle m’a reconnu. Quelques jours plus tard, on sonne à ma porte : - Madame RAYNAUD, Que puis-je faire pour vous ? Il faut que je vous dise que elle et moi nous nous entendons pas. Depuis qu’elle a emménagé avec son abruti de mari, j’ai des problèmes. Il est chauffeur de camion longue distance et il boit beaucoup. Chaque fois qu’il ne travaille pas, il passe ses soirées en ville puis quand il rentre à la maison il frappe sa femme. A deux repr...
Le jeu du ticket vous connaissez ?
il y a 2 ans

Jeu de fessées aléatoire... La Dame devine ce que la machine décidera. Et si elle perd....................

Au cours de notre grande époque joueuse, quand madame était dans de bonnes dispositions pour prêter ses fesses à quelques jeux au cours d’un week-end “fessées” ou d’un départ en vacances… nous pratiquions de temps à autre un petit jeu charmant: le jeu du ticket. Quand on emprunte une autoroute payante, on doit prendre un ticket. Il y a toujours deux sorties possibles pour celui-ci. Parfois le ticket est sorti automatiquement, parfois il faut appuyer sur un bouton pour le faire sortir. Avant d'arriver à un péage d’autoroute, Madame était invitée à deviner de quel coté sortirait le ticket. Coté gauche ou coté droit ? Si elle perdait madame avait droit à une fessée sur un prochain parking qui le permettrait. Si je perdais, elle pouvait décider si oui ou non elle acceptait une fessée mais elle pouvait aussi m’octroyer un gage. Ainsi j’ai eu droit à quelques fessées moi aussi mais en général c’était plus généralement elle me "prescrivait" une “contrainte” sexuelle, un devoir à a...
Pour le plaisir de ma Maîtresse (9)
il y a 2 ans

Où cela finit par se corser...

Les règles établies par Maîtresse pour la troisième ne m’étaient pas très claires. Et pour cause… Maîtresse avait finalement décidé de donner libre cours aux désirs de ses invitées. Alors que je les servais de la même façon que les fois précédentes, l’accueil de chacune était sensiblement différente. Dans un groupe de trois femmes réunies, l’une exécutait ce que les autres pensaient intéressant. Elles me firent donc mettre à quatre pattes. La première me caressait de sa chaussure, la passe entre mes jambes et écrasa ainsi mes testicules. Une deuxième m’attrapa par le collier et me versa l’alcool sur le visage en déclarant qu’elle me donnait l’autorisation de participer à la fêter et de boire avec ses Supérieures. Dans un autre groupe, une invitée me fit coucher sur le ventre et but son verre tandis qu’elle me marchait dessus. Je reçus bien sûr fessées, coups de cravaches et divers humiliations. Il n’était pas rare qu’elles serrent ma queue, tirent sur les anneaux – du tétons aux testic...
Poussée à l’abandon dans sa sexualité
il y a 2 ans

Une rencontre BDSM qui va lui changer la vie et lui permettre d’accéder aux jouissances plus facilement.

Comment en suis-je arrivée là ? Je suis folle, givrée, bonne pour l’hôpital psy en soin intensifs et sous camisole. Je suis entravée, nue, debout bras et jambes en croix avec ce satané bâillon ouvert qui me fait baver, je ne sais pas ce qu’il va me faire. Mon dieu que j’ai honte à présent d’être ainsi offerte sans défense dans son jardin. Aveuglée par un bandeau, je ne peux qu’écouter les bruits qui me font peur. Je lui ai indiqué que je ne voulais pas de rapport sexuel, que je ne voulais pas tromper mon mari mais que j’étais prête pour vivre une expérience BDSM sans marque. J’espère vraiment qu’il respectera cet engagement. Le pire, c’est que quand je lui ai indiqué que j’avais beaucoup de mal à jouir, il m’a répondue que cela ne durerait pas quand je serai chez lui. Ce Maître a longuement insisté sur l’abandon, sur le fait que j’arrête de vouloir tout gérer et que je devais apprendre à m’abandonner. Lors de nos échanges je lui ai répondu que je n’y arriverai pas, qu’il avait...
Pour le plaisir de ma Maîtrise (8)
il y a 2 ans

Où l'on apprend comment servir un apéritif...

A l’heure dite, ponctuelles, chacune des invitées est arrivée chez Maîtresse. Elles portaient toutes de longues robes sous une veste légère. Maîtresse m’a ordonné de rester à l’entrée, de recevoir leur carton d’invitation, d’indiquer leur nom fort et intelligiblement et de les débarrasser de leur veste. Toutes, absolument toute, ont une robe dégagée sur le devant, laissant leur poitrine nue, à l’image des anciennes prêtresses crétoises. Les amies de Madame se sont ensuite égaillées dans la jardin. Elles ont alors félicité Maîtresse de ses goûts en matières d’ornementation, décoration et de choix de ses objets. Elles s’extasiaient devant les charmes du jardin. On sentait à les entendre et à les voir qu’elles avaient plaisir à être présentes, entre-elles, au cœur du domaine de Maîtresse. Ce n’est que plusieurs minutes après les avoir introduites dans le jardin, charmées de leurs discussions communes, que Maîtresse fit un claquement de doigt à mon adresse. Le moment de servir l’apéritif m...
Métamorphose
il y a 2 ans

Une histoire érotique de domination féminine par une lesbienne

Je m’appelle Colette C*. J’ai 53 ans. J’ai divorcée il y a plusieurs années d’un mariage accepté par convenances sociales. Il y a trente ans, malgré l’éclosion des mouvements de libération de la femme, ou peut-être à cause d’eux, l’homosexualité féminine était encore confinée au sous-entendu et au demi-mot. D’ailleurs, cela a-t-il vraiment changé aujourd’hui ? J’avais donc convolé « en justes noces », pour éviter que mes préférences amoureuses ne deviennent un sujet de critique et de rejet. Sans être ouvertement discriminante, la qualification de « goudou » ne promettait pas un avenir radieux en dehors des cercles militants et de certains couvents… J’ai supporté mon état de femme mariée pendant dix ans. Le travail, les sorties, les amis – et surtout les amies – rendaient la chose acceptable. J’ai même admis presque avec plaisir l’obligation du « devoir conjugal ». Je n’ai pas eu d’enfant. Était-ce une réaction inconsciente de mon corps, une forme de dénégation ? Quoi qu’il en soi...
Métamorphose 2
il y a 2 ans

Avilissement

En se dirigeant vers l’atelier de retouche, les vendeuses invitèrent ma Maîtresse et ses amies à terminer tranquillement leurs emplettes ou à patienter dans le salon du fond. Ces dames s’y rendirent en papotant, comparant dessous chics désirés et coups de cœur inespérés, se promettant d’en faire de nouveaux essayages en toute franchise réciproque. Je restais hésitante et nue devant la banque. La voix sèche de Maître L* mit fin à mon indécision. - Eh bien, Colette ? Ne restez pas plantée là comme une souche, on n’attend plus que vous ! Je m’empressai de les rejoindre. Les autres continuaient à examiner mutuellement leurs divers achats et quelques-unes ôtaient jupe ou chemisier pour tester l’effet qu’aurait donné sur elles-mêmes tel ou tel modèle qu’elles n’avaient pas choisi. Hésitations, regrets, doutes et certitudes s’échangeaient dans un pépiement de voix croisées. Ève m’installa mains dans le dos face à la glace en m’intimant l’ordre de n’en pas bouger et de me taire. Penda...
Le psychopathe de la nuit
il y a 2 ans

Lorsque deux femmes rencontrent un monstre cruel assoiffé de sexe, elles savent, l’une après l’autre, que cela va être l’enfer.

Une histoire particulièrement hard .................... Carole regagne son appartement après une journée harassante. Cadre commercial d’une chaîne de distribution de matériel informatique, elle vient de préparer le lancement d’une nouvelle ligne d’imprimante. Les ordres sont passés, la campagne publicitaire prête. Elle repasse encore dans sa tête les quelques décisions qu’elle a prises tout au long de la journée. Elle est satisfaite. A vingt huit ans, elle est la plus jeune mais la mieux payée des cadres de son entreprise. Une réussite reconnue de tous dans un monde pourtant machiste. Célibataire, elle vit à deux pas de son travail et profite de ces quelques mètres à pieds pour aérer son esprit et relâcher la tension nerveuse accumulée par onze heures de course contre la montre. Il fait nuit. Ses pas rapides résonnent sur les murs gris de la capitale, les talons hauts de ses chaussures martelant en rythme le pavé humide et glissant. Au détour d’une ruelle, elle croise...
Pour le plaisir de ma Maîtresse (7)
il y a 2 ans

De l'autorité de Maîtresse sur son petit monde...

A quelques heures de la soirée, Maîtresse indique que je dois m’apprêter. Je sens trop le chien couché dans sa niche, estime-t-elle. S. m’amène dans une grande salle carrelée. Elle m’ordonne d’écarter les jambes et de poser les mains sur le mur. A grands coups de jet, elle me douche, tandis qu’une troisième femme, G., que je n’ai encore jamais vu me récure armée une brosse. A la suite, G. me maquille les yeux de khôl. Je me fais l’effet d’un hindou, mais ce n’est bien sûr pas de ça qu’il s’agit. Elle me peint, après cela, entièrement d’une couleur dorée. Aux anneaux de mes tétons, elle accrochent des pendentifs aux armes de Maitresse. Ma queue est ornée d’un bijou et de l’anneau du prépuce, une chaine dorée passe entre mes jambes, revient dans mon dos pour être accroché au collier. Mes cheveux sont enduits d’un enduit blanc. Mes lèvres sont peintes. Je sais alors que j’ai la ressemblance d’un esclave des temps passés. C’est d’ailleurs ainsi que je reçois les employées du traiteur. Ra...
Pour le plaisir de ma Maîtresse (6)
il y a 2 ans

Sur l'intérêt de posséder un jardin

Le jardin est orné de tentures magnifiques. Certaines flottent au vent. Des tables sont dressées un peu partout au sein d’une végétation épanouie, abondante, florissante. Le parfum des fleurs embaume. Au centre se tient une fontaine jaillissante. Ses eaux, murmurantes sortent de plusieurs figures féminines sculptées. Ces dernières, nues, présentent leur seins de leurs mains, à l’image de déesses mères vénérées. Leur sexe est source de vie d’ou se répandent les jets. Le mur qui retient le bassin est orné d’un relief complexe faisant le tour. On y voit des hommes attachés par des colliers et liés entre eux par une lourde chaîne. Mains attachées derrière le dos, ils avancent, ployant. Les premiers sont à genoux, presque en prière devant la représentation surdimensionnée d’une Déesse entouré de deux grands chiens sauvages, domptés, qu’elle tient en laisse. Quelques autres femmes sont représentées de ci, de là, le long de la chaîne d’hommes, fouet à la main, debout, impudiques et fières...
Souvenirs de déculottées et fessées cuisantes
il y a 2 ans

A cette époque, la fessée n'était pas interdite en France

Aussi étrange que cela puisse paraître, encore à 19 ans je recevais des corrections corporelles… comme on pouvait en recevoir dans sa jeunesse à cette époque. Une situation pas si extraordinaire que cela. Un jour d’été de 1959, j’étais avec mes parents dans un grand magasin et, du haut de mes 19 ans, je me mis à « gueuler » très fort contre la hausse des prix et, bien entendu, contre l’ineptie du gouvernement en place qui laissait aller les choses à vau-l’eau. Mon père m’ordonna d’une manière péremptoire de me taire, en ajoutant que je ne n’étais pas seul dans le magasin. Comme je continuais de plus belle à crier et même à tonitruer, mon père me saisit alors par le cou, et à la vitesse de l’éclair, me fit une vraie prise de bras pour m’immobiliser entre son épaule gauche et son avant-bras. Puis, sans hésiter, devant les clients curieux et médusés, il retroussa les jambes de mon short le plus haut possible et se mit à marteler l’arrière de mes cuisses dénudées d’une bonne d...
Pire que soumis dans un bordel chinois
il y a 2 ans

Une petite histoire hard bien parfumée pour adepte du facesitting

Son plaisir est le facesitting, ses fantasmes avoir plein de femmes à lécher mais réaliser ses fantasmes était impossible. Lors de son voyage d’affaire en chine, il lui vient l’idée de contacter le patron d’un bordel et de lui demander si il pourrait l’aider à réaliser son fantasme moyennant finances. L’adaptabilité et la puissance de travail des chinois n’est plus à démontrer comme va le constater Sam. Pour convaincre le patron qu’il ne veut pas baiser plein de filles, il lui annonce qu’il viendra avec une cage de chasteté et il lui donne une avance de 200 euros en indiquant son cahier des charges. « Je veux être nu, attaché sur le dos sous une sorte de chaise percée et que les filles m’obligent à les lécher toute la soirée ». Pour le patron de ce bordel, 1000 € n’est pas rien en cette période de conflit international. Entre la Chine, les Etats Unis et la France qui n’a rien trouvé de mieux que de s’en mêler, les touriste aisés se font rares. Autant profiter de ce mec soumis p...
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