Récits
La jeune veuve devient une esclave sexuelle
il y a 2 ans

Manipulée sous prétexte de protéger son fils, elle se fait embarquer dans une sombre affaire.

Alors voilà, je suis au « Club-house » en train de sucer profondément Jérôme. Celui-ci est le harceleur de mon fils Jacques. Derrière moi, j'entends ma meilleure amie Jessica se faire enculer brutalement par Eric. Jérôme parle au reste de ses copains avec leurs petites amies pendant que je le suce. Tout le monde est entièrement habillé alors que Jessica et moi ne portons que nos plugs anaux (Jessica a le sien dans sa bouche, car son cul est bien occupé), des porte-jarretelles, des bas, des talons aiguilles de 15 centimètres, des anneaux aux clitoris, des anneaux aux mamelons et une chaîne en or entre ces anneaux. Oh oui bien sûr, il ne faut pas que j'oublie les colliers et les laisses. Jérôme et ses copains viennent de terminer leurs études secondaires ainsi que mon fils et la fille de Jessica, Avril. Cela signifie que notre esclavage sera bientôt terminé. Je ne suis pas vraiment sûre de ce que je ressens en ce moment. J'avais l'habitude de compter les jours jusqu'à ce que ce soit f...
La jeune veuve devient une esclave sexuelle 2
il y a 2 ans

Une sérieuse évolution dans sa condition d’esclave sexuelle

Le lendemain, mon réveil sonne et je me lève immédiatement. Tout en me traînant hors de lit, j'enfile mon peignoir. Je descends pour prendre un café et préparer le petit-déjeuner de Jacques. Apparemment mon trou du cul s'est adapté et s'est habitué au plug pendant que je dormais. Il ne me faut pas beaucoup d'efforts pour marcher normalement ce matin. Mais les sensations envoyées par cet objet commencent à humidifier ma chatte. Après le départ de mon fils, je finis mon café et je vais me doucher. Je passe le rasoir sur toutes les parties de mon corps qui en ont besoin, aisselles, jambes, chatte. Puis je me savonne et me lave complètement. De retour dans ma chambre, je lubrifie soigneusement le plug de taille moyenne, sort le petit, remet du lubrifiant sur mon cul et enfonce l'autre, il fait quatre centimètres de diamètre et dix centimètres de long environ. Heureusement j'ai toute la journée pour m'entraîner à marcher avant que Jacques ne revienne à la maison. Je règle une minuterie,...
La jeune veuve devient une esclave sexuelle 3
il y a 2 ans

Découverte par une amie qu’elle entraîne avec elle et pas que sous la couette

C'est la mi-janvier, un vendredi après-midi. La saison de football est terminée, mais Jérôme a convaincu Jacques de rejoindre l'équipe de Basket-ball. Jérôme ne joue pas à ce sport. Il ne veut pas risquer une blessure qui mettrait fin à ces espoirs de bourses. Je me prépare à ce que Jérôme vienne. Mon fils s'entraîne tout l'après-midi. Je ne porte qu'un peignoir en soie et je m'apprête à mettre mon collier et la laisse quand la sonnette retentit. Il est trop tôt pour que ce soit Jérôme, alors je regarde par le judas et je vois Jessica. Je crois avoir déjà mentionné que Jessica n'est pas seulement ma meilleure amie, mais aussi la mère d'Avril. Celle-ci est la petite amie de mon fils. Jessica est sûrement l'une des trois personnes que je ne veux pas voir chez moi maintenant. Les deux autres sont sa fille et mon fils. m e r d e ! J'ouvre la porte pour essayer de lui dire que c'est le mauvais moment pour qu'elle vienne de voir. Mais elle me renverse presque en entrant et me poussant...
self bondage au travail et failli se faire attraper
il y a 2 ans

Je pratique le self bondage pendant mes heures de travail et ça a failli mal finir 2 fois

Je me présente vite fait homme proche de la quarantaine marié et je pratique le self bondage depuis mes 15 ans environs. Donc voici mon récit qui est réel et que lorsque je regarde les vidéos j'ai toujours aussi peur de me faire attraper. Depuis quelque temps et comme dans toutes les entreprises la période juillet août et signe de ralentissement niveau charge de travail, donc il m'est sorti comme folie de repéré tous les endroits disponible de l'entreprise ou je pourrai m'attacher avec plus ou moins de risque et je pèse le pour et le contre de chaque endroit si je le fais à cet emplacement ou définitivement non. Le repérage terminé et de retour chez moi je regarde quels équipements je vais emmener et si cela passe dans mon sac sans que cela ce voit. J'ai donc pris ma cage de chasteté, mon crochet anal avec 3 boules, de la corde et des pinces à tétons. Le matin en me levant je m’équipe de la cage et je sors promener le chien en rentrant je me prépare et je pars au travail. S...
Découverte des cages de chasteté
il y a 2 ans

Des filles joueuses. Et des garçons qui finissent encagés.

Ils avaient dix-huit ans tous les quatre. Ils s’étaient connus aux cours de code. Et ils avaient sympathisé. Si bien sympathisé que, quand ils avaient passé et réussi le permis, ils avaient décidé de fêter ça tous ensemble. Le soir même. Chez Silvia dont les parents étaient absents. - Apportez de quoi dormir. Duvets. Sacs de couchage. Que vous ayez pas les voitures à reprendre. Qu’on puisse boire un peu. Ils avaient effectivement bu. Mais pas trop. Juste ce qu’il fallait pour se sentir bien. Ils avaient parlé. Ils avaient plaisanté. Ils avaient ri. Et c’est sur le coup de minuit que Silvia les avait sorties. - C’est quoi, ces trucs ? - Des cages de chasteté. Lionel avait levé un sourcil, perplexe. - Et ça sert à quoi ? - À enfermer dedans la queue des messieurs quand on veut pas qu’ils s’en servent pour aller voir ailleurs. - Et d’où t’as ça, toi ? - Une copine, à mon anniversaire. Pour déconner. Une copine qui a précisé : « Et deux, je t’en ai pris, tant qu’à faire...
Les jeux BDSM d’un couple gay DL
il y a 2 ans

Adeptes de couche bien pleines et parfumées associées à du BDSM ils s’en donnent à coeur joie.

Tom et Max se sont connus sur Abkingdom mais rencontrés lors d’une grande rencontre organisée par Fessestivites. S’écrire, partager leurs fétichismes et fantasmes les plus fous, a été pour eux un premiers pas. En effet, oser dire que l’on est adepte des couches n’est pas facile et dévoiler ses petits jeux solitaires est une étape. Passer au réel lors de la grande rencontre chez Fessestivites a été pour eux assez difficile. Qu’allait-on penser d’eux en les voyant en couche ? Le premier jour de cette grande rencontre, au début ils étaient si timides et réservés qu’ils osaient à peine parler. En voyant que les participants de cette rencontre se moquaient royalement qu’ils portent ou non une couche, les a aidé à se décontracter. En les voyant assumer et délirer sans aucune pudeur, ils ont commencé à se rapprocher des gens avec prudence. Pire encore comme déclencheur d’envies perverses, l’un des membres a demandé à l’organisateur de lui faire un bondage. Ce dernier lui a fait un shibari...
Une éducation dans les années cinquante (4)
il y a 2 ans

Ça mérite une fessée de regarder par le trou de la serrure de la salle de bains.

Début juillet ma grand-mère, la mère de maman, est tombée malade. Très gravement malade. Et mes parents se sont précipités à son chevet. Après m’avoir confié à la garde de tante Milena. - On n’a pas besoin de lui par les pieds. - D’autant que ça risque d’être particulièrement éprouvant. - Bon, mais on compte sur toi, hein, Herbert ! Tu seras raisonnable. J’ai promis. Tante Milena était tchèque. Elle avait épousé, juste avant la guerre, Gontran, le frère aîné de maman, qui avait été tué dès les premiers combats, en juin 1940. Elle était, après tout un périple de plusieurs années, retournée vivre dans son pays et n’était que depuis quelques mois revenue s’installer en France, du côté de Guéret, dans une maison que lui avait léguée son époux. Je ne l’avais donc jamais vue et c’est habité par un peu de curiosité et beaucoup d’appréhension que je suis monté dans le train qui devait m’emporter jusque chez elle. Elle m’attendait à la gare. C’était une grande femme blonde à la quar...
Pour le plaisir de ma Maîtresse
il y a 2 ans

Où l'on apprend qu'un corps peut être travaillé...

S. me faire asseoir dans un fauteuil qui s’apparente à celui d’un dentiste. Elle m’y attache les poignets et les chevilles. Je ne comprends pas pourquoi, comme je ne comprends pas en quoi consiste le travail sur mon corps, mais je me tais. S. prend un rasoir et me tond, pubis, queue et testicules. Elle le fait assez sèchement si bien que plusieurs éraflures me font saigner. J’ai l’impression que ça lui plait. Elle vient à chaque fois lécher le sang. S. m’explique ensuite que c’est la première phase du travail de transformation souhaitée par Maîtresse. Elle revient avec des aiguilles et sans prévenance me perce un, puis deux tétons. Je hurle : rien n’y fait. S. continue consciencieusement son travail. A mes cris, Maîtresse vient assister au spectacle. Mais elle reste dans l’ombre… A chaque téton, S. fixe un anneau. Puis, elle s’attache aux testicules et au prépuce dont elle transperce la peau… Aux testicules, elle attache des anneaux auxquels pendent des poids en forme de boule… Un troi...
Pour le plaisir de ma Maîtresse (3)
il y a 2 ans

Où il est dit que les chaussures se nettoient d'une certaine façon...

Maîtresse m’indique que la soirée qu’elle envisage doit lui rendre honneur. Pour cela, je dois être digne de présentation. Elle ne voit qu’une solution : que mon corps soit travaillé selon ses souhaits. Ainsi, elle trouve que je me suis trop laissé aller. Elle estime que j’ai pris de l’embonpoint. La cravache claque à nouveau. Cette fois sur mon dos. Je gémis. J’entends par un murmure à peine audible, mais qui a quelque chose de carnassier, la satisfaction de ma voisine. Jusqu’à la soirée, je devrais demeurer ici en pension et suivre mon régime. Maîtresse sent aussitôt ma satisfaction : « détrompe-toi tout de suite : ton régime sera sévère et n’aura rien d’agréable. Mais pour l’heure, je te laisse entre les douces mains de S. Elle saura travailler ton corps à ma convenance. Maîtresse se lève et vient présenter ses souliers. Je sais qu’il me faut les essuyer de la langue. Une fois lassée, elle s’écarte : la conversation est close. Alors que je tente de me lever, S. m’ordonne de rester c...
Découvert par sa femme en étant travesti et attaché
il y a 2 ans

Un selfbondage qui ne se passe pas comme prévu

Je me demande pourquoi je ne lui ai pas dit. Ne devrions-nous pas pouvoir parler de n'importe quoi. Ou peut-être que je devrais juste y renoncer. Je descends dans la chambre supplémentaire et regarde dans le placard. J'ai apporté des choses avec moi - une longueur de chaîne, un collier de chien et un bâillon-boule. Pourquoi est-ce si important ? Nous possédons un bâillon pour l'amour de Dieu. Nous sommes probablement plus aventureux que la plupart des couples, du moins la plupart des couples du Midwest. Quand j'ai dit à ma femme que j'aimerais essayer un bâillon-boule, elle est sortie et en a acheté un, quoique bon marché. C'était plutôt cool. Mais le travestissement est tout simplement trop embarrassant pour en parler. Je regarde dans le placard et trouve ce que je cherche. Rien que de le voir, je deviens dur. C'est une mini-robe en velours vert. Elle l'a depuis le lycée, j'en suis sûr, et ne l'a probablement pas porté depuis. C'est indécemment court. J'essaie d'imaginer ma femme l...
Retenues au château des perversions.
il y a 2 ans

Une histoire érotique hard à savourer sans modération.

La pluie battait fort dans cette soirée d'été sur cette route isolée. La pluie était cependant chaude. Mes deux filles et moi étions épuisées car on s'était perdue au cours de cette randonnée en montagne. Enfin j'aperçus les phares d'une voiture. Je me levais toute mouillée pour faire signe,mon tee-shirt me collait et devait dessiner mes courbes et mes seins aux tétons dressés par la fraîcheur, ma petite jupe me collait aux fesses. Le conducteur allait avoir une surprise de trouver en ce lieu trois femmes épuisées demandant du secours. C'était en fait une camionnette conduite par une femme qui s'arrêtât aussitôt en nous voyant. Nous ne devions pas être trop belles à voir toutes les trois avec cette pluie qui nous avait surpris et mouillées nos vêtements légers. Une blonde très jolie sortit aussitôt pour ouvrir les portes du véhicule. Je remarquais dans son dégagement gracieux de son siége ses jambes superbement galbées ,elle portait des hauts talons vernis noirs avec un tailleur...
Le châtiment de Madame
il y a 2 ans

Madame a des faiblesses pour Guillaume, son chauffeur, le mari de sa servante. Faiblesses dont celle-ci compte bien la punir comme elle le mérite.

- Madame est satisfaite ? - Satisfaite ? Et de quoi donc devrais-je être satisfaite, Jeanne ? - Des services de Guillaume. Qui est un excellent amant. Non ? Madame ne trouve pas ? - Qu’est-ce que vous racontez ? Vous perdez la tête, Jeanne. - Faut dire que monté comme il est ! - Sortez ! Sortez immédiatement ! - Ah, ça, quand il pilonne, lui, on met pas trois jours à venir. Madame en sait quelque chose, à ce qu’il m’a dit. Même qu’elle criait comme une perdue. Qu’elle lui a griffé le dos. Et qu’elle l’a supplié de le lui renfiler, son truc. Trois fois. - Écoutez, Jeanne… - Madame compte aller y remettre le nez, j’imagine ? Oh, mais qu’elle se rassure ! Je suis partageuse. Et puis Guillaume trouve l’idée de se taper sa maîtresse extrêmement savoureuse. C’est un plaisir dont, vous en serez bien d’accord avec moi, il serait cruel d’envisager de le priver. Monsieur, lui, par contre, prendrait certainement fort mal d’apprendre que son épouse… - Il ne le saura pas. Jurez-le moi, Jea...
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