Récits
Une épouse sodomise son mari
il y a 3 ans

L’exquise écriture de cette histoire ne vous laissera pas de marbre ! La sodomie d’un homme présentée par un artiste de la plume.

Elle respirait profondément, son cœur battait fort et son clito palpitait. Il était penché devant elle, soumis, son cul parfait affiché pour son plaisir visuel, rose lisse et suppliant d’être léché. Elle ne pouvait pas résister, haletant légèrement, elle se pencha, courant doucement le bout de sa langue le long de la légère crête au centre de son périnée, il gémit et arqua son dos, se balançant légèrement en arrière, désireux que sa langue trouve son but, pour l’ouvrir et se détendre. Elle ralentit, souriant à son pouvoir sur lui, sa langue parcourut paresseusement le chemin vers le haut, lentement, son souffle refroidissant sa salive et le faisant se tordre d’impatience. Ses couilles contre son menton étaient tendues et elle savait sans pouvoir voir que sa bite était dure comme un roc, palpitante et ruisselante de liquide pré éjaculatoire. Elle encerclait son trou du cul, s’enfonçant de temps en temps dans le milieu, sa langue agile le rendant glissant. Juste au moment où elle le p...
Route étroite
il y a 3 ans

Quand personne ne veut céder...

Un dernier tour d’horizon. Tout avait l’air en ordre. Les compteurs coupés. Les tuyauteries purgées. Elle a fermé la maison. Ses dernières vacances. Parce qu’en mars, elle serait à la retraite et c’est en permanence qu’elle l’habiterait, son petit paradis. Il faisait beau. Les feuillages commençaient à se teinter d’automne. Dans les plates-bandes, les abeilles s’en donnaient à cœur-joie. Elle a pris la route en chantonnant. Elle se sentait bien. Détendue. Heureuse. Elle était presque arrivée en bas quand elle s’est trouvée nez à nez avec une autre voiture. Impossible, sur cette petite route étroite, de se croiser. Il fallait que l’un ou l’autre des deux véhicules recule jusqu’à l’un des décrochements qui étaient ménagés à cet effet sur les côtés, à intervalles réguliers. Des jeunes en face. C’était à eux de le faire. Et elle a attendu. En vain. Ils n’ont pas bougé. Bon. Elle a fini par descendre dans l’intention d’aller gentiment leur demander de bien vouloir lui céder le passage....
Transformé en poule mouillée
il y a 3 ans

La biographie d'une petite poule mouillée

Découvert et retranscrit par tante Claudette. A noter, le terme de « poule mouillée » n’a pas le même sens qu’en France, il ne fait en aucun cas référence à une personne sans courage. Notes et glossaire : Les robes portées sur des jupons bouffants étaient appelées "poufy", et non "gonflées" par les femmes. On disait qu'une robe ou une jupe avec suffisamment de jupons en dessous avait «beaucoup de pouf». C'était certainement le mode du printemps 1953 à environ 1960 pour les femmes et pour les filles, des tout-petits, des petites et des préa d o l e s c e n t es, jusqu'à leurs années post-pubères. Sears-Roebuck & Company, avec ses magasins dans de nombreuses villes des États-Unis et du Canada, a continué à vendre des slips bouffants pour les préa d o l e s c e n t es jusqu'en 1966. De nouvelles boutiques de vêtements vendant le style bouffant des robes et des jupes ont proliféré pendant cette «ère du jupon». offrant non seulement des robes, des jupes et de la lingerie pour fe...
Alyssia, ma femme (5)
il y a 3 ans

Un mois de vacances. Ce sera long sans l'amant.

Elle s’était occupée de tout. -  C’est pas plus mal que t’aies la surprise… Avait choisi le point de chute. - Tu verras… Au calme. En pleine campagne. Mais à proximité d’une grande ville quand même. Qu’on puisse sortir si on a envie. Aller visiter des trucs. Et préparé les valises. - On est opérationnels. Il y a plus qu’à embarquer. Demain matin. Aux aurores. Mais avant… je peux te demander quelque chose ? Seulement te sens pas obligé. Faut que tu me dises carrément. Ça t’embêterait s’il venait Benjamin ? - Avec nous ? En vacances ? - Ça, c’est pas possible, non. Il y a sa femme. Et ses enfants. Non. Ici, ce soir. Parce que faut pas trop que j’y compte qu’il réussisse à se libérer quand on sera là-bas, à ce qu’il m’a dit. Et je vais pas le voir d’un moment, du coup. - Évidemment qu’il peut venir ! Elle m’a sauté au cou. - T’es un amour ! A tapé un SMS en toute hâte. Et s’est engouffrée dans la salle de bains. On a attendu tous les deux, lui et moi, de concer...
UN ALLER RETOUR DEVIENT UN ALLER SIMPLE
il y a 3 ans

Une femme de 40 ans, LEXTIVA, a tout pour être heureuse. Mais non contente de son existence, elle entreprend un voyage à la connaissance d’elle-même.

Nous sommes en l’an de grâce 2156. Depuis longtemps déjà, notre planète a été renommée TERRAMUBO. La population y stagne à 5 milliards d’habitants du fait d’une politique démographique mondiale drastique et de la v i o l e n t e épidémie qui a décimé des centaines de millions d’êtres humains il y a 50 ans. Les grandes fortunes ont disparu ainsi que la très grande pauvreté. Il n’y a plus à travers le monde que 8 grands groupes d’humains appelés MIDDLES. Ils sont classés selon leur cursus et leur travail. Le travail, appelé PLAX, est devenu obligatoire pour toutes les personnes à la fin de leur cursus. LEXTIVA fait partie du MIDDLE 5, niveau considéré comme une bonne classe moyenne. Elle et son mari FONNOR ont tous deux 40 ans. Ils forment un couple harmonieux, sans histoire, comblé et à la sexualité épanouie. LEXTIVA et FONNOR ont un PLAX pérenne qui leur assure un avenir convenable. Leurs 2 fils, RIGU et YAKSI, sont encore étudiants mais ont déjà leur PLAX réservé... Par ailleu...
Alizée et les cages de chasteté
il y a 3 ans

Quand on part en vacances sans son petit copain, il est quand même plus prudent de le mettre en cage.

Antoine s’est blotti contre elle. - C’était bien, hein ? Elle a souri. - C’était bien, oui ! Il a soupiré. - Et dire que tu pars demain ! Un mois ! Un mois sans se voir ! Comment ça va être long ! - Oui. D’ailleurs, à ce propos… Elle s’est levée. Est allée farfouiller dans son armoire. - Tiens, je vais te mettre ça… - Qu’est-ce que c’est ? - Une cage de chasteté. - Une… Non, mais ça va pas ? - Oh, si ! Ça va même très bien. Parce que je les connais, les types ! Je sais comment ça se passe. C’est plus fort qu’eux. Dès qu’une occasion se présente, faut qu’ils aillent fourrer leur queue. Ils peuvent pas s’empêcher… - Mais non, mais… - Je sais ce que je dis. Tu vas faire quoi, toi, pendant ces vacances, quand je serai partie ? Rester terré chez toi ? Bien sûr que non ! Tu vas sortir en boîte et là, tu vas être tenté. Forcément. Sans compter que, je les connais, le reste du temps il y a tes collègues qui vont te tourner autour. Alors si je veux être tranquille…...
Alyssia, ma femme (4)
il y a 3 ans

Le mari et l'amant font connaissance.

- Tu seras là ce soir, je suppose. Dans la chambre d’à côté. - Peut-être. Sûrement. - T’aimes ça m’entendre, hein ? - De plus en plus. Ça t’ennuie ? - De moins en moins. Et même… - Oui ? - Je crois que maintenant ça me manquerait que tu sois pas là. Je l’ai prise dans mes bras. - J’aime ton plaisir. Même si c’est pas moi qui te le donne. Nos lèvres se sont brièvement effleurées. - Et moi, j’aime que tu l’aimes. Elle s’est doucement dégagée. - Faut que j’aille me préparer. Si je veux pas le faire attendre. 2- C’est moi qui ai attendu. Jusqu’à huit heures. Ils ont monté les bagages dans la chambre et ils ont décidé de descendre aussitôt dîner. - Mais avant… - Qu’est-ce tu fais ? - Ça se voit pas ? Je te déculotte. Tu sais ce qu’on avait dit. - Mais pas déjà ! Pas aujourd’hui ! - Ben, pourquoi ? - Mais parce que… - Si je t’écoute, on le fera jamais. T’auras toujours une excellente raison. Allez, route ! - Laisse-moi changer de jupe au moins. Mettre...
Découverte des plaisirs saphiques
il y a 3 ans

Les soirées entre filles dér a p e nt souvent mais pas toujours sous la couette.

Un téléphone portable a sonné “Shake It Off” de Taylor Swift lors d’une chaude journée d’été dans la Saône et Loire. Taylor chantait encore et encore des répliques de la chanson jusqu’à ce que Sandrine Famot réponde à l’appel. Sandrine se préparait pour sa dernière année de lycée et elle ne pouvait pas attendre. Elle avait été pom-pom girl tout au long de ses études secondaires, mais elle ne pouvait pas attendre le début de la dernière année pour le faire. Elle avait le béguin pour un des garçons de l’équipe universitaire de football. Ce n’est pas le capitaine comme la plupart des pom-pom girls le font. C’est le joueur vedette, Chimon Nicolas. Bref, elle a répondu au téléphone. -Salut, Coach Noiseti ! C’était Olivia Noiseti, l’entraîneur des pom-pom girls. Tout le monde aimait Mlle Noiseti. Elle enseigne l’anglais à l’école en plus de ses fonctions d’entraîneuse. -Salut, Sandrine. L’entraîneur Noiseti a dit. -Ecoute, je t’appelais juste pour te dire que tu as été cho...
Fessées de vacances
il y a 3 ans

On peut parfois regretter amèrement d'être parti en vacances;

C’est au cours de l’une de ces réunions paroissiales dont elle était extrêmement friande que ma mère avait fait la connaissance de Madame Brugent. - Une femme très pieuse. Qui est toute nouvelle dans la commune. Qui a beaucoup souffert. Et qui est très souvent venue lui rendre visite. Son fils Thomas l’accompagnait parfois. - Je l’ai amené. Qu’ils puissent s’amuser tous les deux. Et on nous expédiait dans ma chambre. Nous avions le même âge, quinze ans, mais très peu de points communs. Très vite, ça nous était apparu comme une évidence dont on s’était tranquillement accommodés. On échangeait quelques mots et puis je retournais à ma collection de timbres ou à mes maquettes tandis qu’il s’affalait sur mon lit avec un livre dont il n’émergeait que lorsque sa mère l’appelait. - Tu viens, Thomas ? On y va. C’est lui qui m’en a parlé le premier. Fin mai. - Apparemment que tu vas venir en vacances avec nous. Mais tu sais rien, hein ! Je t’ai rien dit. - Ah, oui ? En va...
Le bondage plaisir entre filles
il y a 3 ans

La captivité peut être douce et agréable

Isabelle et Ludivine marchaient sur un petit chemin lorsqu'elles aperçurent une maison un peu isolée. Elles s'en approchèrent et constatèrent que la porte était ouverte. Elles avaient toujours été curieuses par nature, aussi elles n'hésitèrent pas à entrer. La maison semblait vide. Elle était décorée avec goût mais sans luxe excessif. Tout à coup, une superbe jeune femme apparut. Elle avait la trentaine, elle était vêtue d'un chemisier blanc et d'une jupe noire en velours. Elle avait de longs cheveux blonds qui lui tombaient jusqu'aux reins, les yeux bleus et les lèvres légèrement sensuelles. Sa poitrine tendait le tissu de son chemisier à peine ouvert. Isabelle et Ludivine étaient tout aussi ravissantes. La première, vingt ans bien sonnés, portait un jean et un pull rose en mohair qui mettait en valeur ses formes généreuses. Brune aux yeux verts, cheveux légèrement ondulés, elle faisait tourner bien des têtes. La seconde venait d'avoir 18 ans. Elle aussi ne laissait personne...
Une femme de militaire dans la tourmente
il y a 3 ans

Son mari parti en mission, elle se fait piéger et va devenir une esclave sexuelle

Pour la première fois depuis le départ de Brian pour l'Irak, je m'accordais une petite sortie. Son unité de la garde nationale avait été appelée pour une période de service actif, et, avant même que nous réalisions, il était partit en Irak. Cela faisait trois maintenant mois qu'il était parti et je crevais d'ennui. Jusqu'à ce jour je me contentais de travailler et de rentrer ensuite à la maison pour regarder la télé et écrire à mon mari. Je lui écrivais une lettre chaque nuit et ne recevait pas souvent de réponse. Je savais que ses conditions de vie en Irak étaient très primitives et qu'il en voyait des vertes et des pas mûres. Mais un simple mot me disant que tout allait bien et qu'il m'aimait m'aurait suffi. Cela faisait un plus d'un an que nous étions mariés et je savais qu'il m'aimait mais je m'inquiétais beaucoup pour lui et j'avais besoin d'être rassurée. Je ne voulais pas qu'il me dise qu'il m'aimait, je le savais pertinemment, mais je voulais savoir s'il était en bonne forme...
Alyssia, ma femme (3)
il y a 3 ans

Entre cocue et cocu on peut facilement s'entendre.

Le mercredi, elle m’a appelé. Sur le coup de midi. - Alex ? Je voulais te dire… Ne m’attends pas ce soir. Benjamin a une opportunité. Alors on la saisit. - Tu rentres plus tard ou tu rentres pas du tout ? - Pas du tout. On va rester dormir là-bas. - Au petit castel ? - Au petit castel, oui. Pourquoi ? - Non. Pour rien. Vous auriez pu avoir envie de changer. - Ben, non, tu vois ! Dis-moi… - Oui ? - Toi, tu… ? - Si je vais venir ? Dans la chambre d’à côté ? Peut-être. Je sais pas encore. Elle est arrivée toute seule. La première. En chantonnant. S’est aussitôt précipitée dans la salle de bains. Quand elle en est sortie, trois quarts d’heure plus tard, elle chantait toujours. Il a presque aussitôt surgi. Un long silence. Et puis… - Qu’est-ce t’avais de si important à me dire ? - J’avais envie de te voir. Tellement. - De me voir ou de te prendre un bon petit coup de queue ? - Oh, Benjie… - C’est pas ça, peut-être ? - Aussi, oui, mais pas seulement. - C’est loin v...
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