Récits
Pour le plaisir de ma Maîtresse (2)
il y a 2 ans

Où l'on rencontre un trône et une porteuse de cravache...

Quelques jours plus tard, Maîtresse m’appelle et me demande, toute affaire cessante, de venir la rejoindre chez elle. Quand j’arrive à son domicile, je trouve la porte entrouverte. J’ose entrer. Aucune lumière. Je cherche l’interrupteur. Sa voix m’arrête rapidement. « T’ai-je demander d’allumer ? Dénude-toi ». Je m’exécute et je prends la position, la seule qui me soit autorisée en sa présence : à genoux, les mains sur les cuisses, paumes ouvertes vers le ciel. « Rampe à présent »… Je la devine devant moi. Je m’avance ainsi, en rampant. Je sens subitement la morsure d’une cravache sur mes fesses. « Plus bas ! Rampe, je t’ai dit ». Comment est-ce possible : j’entends sa voix devant moi. La cravache vient du côté gauche. Après deux ou trois autres coups, je ne réfléchis plus. Je rampe. Quand j’arrive enfin devant elle, une lumière venant du sol l’illumine par en bas. Elle se tient assise, princière, sacrée, sur un siège en forme de trône. Je perçois, à mes côtés deux talons aiguilles : l...
Une éducation dans les années cinquante (3)
il y a 2 ans

La tentation peut quelquefois être trop forte.

J’étais passé haut la main en cinquième. Mes résultats étaient plus qu’honorables. J’avais tout, par ailleurs, de l’enfant sage. On n’avait rien à me reprocher. Pas de mensonges avérés. Pas d’insolences caractérisées. Mes professeurs étaient contents de moi. Mes parents aussi. Ils soupiraient. - Pourvu que ça dure ! Madame Morlier, avec qui maman continuait à entretenir des rapports suivis, était convaincue du contraire. - Il cache son jeu, c’est tout, mais le jour où ça va le reprendre… Je ne cachais pas mon jeu, non. J’étais au contraire fermement décidé à rester dans les clous. Autant que faire se pouvait. D’abord et avant tout parce que j’avais une peur panique de ce martinet à manche rouge suspendu dans l’entrée avec lequel je n’avais pas encore eu l’occasion de faire plus ample connaissance. J’avais voulu, un jour que j’étais seul à la maison, le tester sur ma cuisse. Pour voir. Pour me faire une idée. Je n’avais pas cinglé bien fort. J’avais pourtant eu mal. Et je n’...
Pour le plaisir de ma Maîtresse (1)
il y a 2 ans

Où il est question d'une invitation insolite...

Maîtresse m’a donné rendez-vous dans un café. La chose est rare. Il était prévu que je vienne encagé et plugé. Je m’y suis bien sûr tenu. Elle est là à l’avance. Je n’ose m’asseoir sans son ordre. Je reste donc debout. Elle me laisse attendre ainsi un moment, au milieu de la terrasse. Je sens les regards tournés vers moi. Je la salue plusieurs fois, avant qu’elle daigne me regarder. Un bref « assis-toi » suivi d’un regard sévère m’autorise enfin à quitter la pause. Alors que je cherche à appeler le garçon pour commander, elle me rappelle à l’ordre « Tu ne prendras rien. Nous ne sommes pas là pour ça. Depuis quand devrais-je boire en ta compagnie ? ». Elle me fait part alors de son souhait d’organiser un apéritif dans son jardin, en compagnie de ses amies. Je serai chargé de l’organisation, du service et des prestations en tout genre. Ma tenue, la façon d’agencer mon corps seront choisis en temps voulu, selon les caprices de Maîtresse. Je lui demande combien de personnes ell...
Les mésaventures d’un fétichiste des pieds féminins
il y a 2 ans

Piégé par son fétichisme il oublie la honte et les conséquences …

Une journée de cours tout à fait banale commençait. Au programme, des maths, un peu d’histoire et d’anglais puis le repas avant de retourner en cours jusqu’à 17h. Arrivé à 8h au lycée j’ai rejoint mes amis qui étaient déjà tous présents, comme souvent en raison de mon manque de ponctualité. Nous formions une bande d’une dizaine de personnes assez mixte six garçons et quatre filles. Dans cette bande, il y avait surtout cette fille en particulier, Lilou. Depuis le premier jour où je l’ai croisée, elle m’a tapé dans l’œil. Les cheveux châtain-clair toujours joliment coiffés, de beaux yeux bleus, des joues de bébé, bien maquillée et avec de jolis petits pieds qui me faisaient rêver en tant que fétichiste. Bref je trouvais cette fille très attirante et j’essayais chaque jour de sympathiser un peu plus avec elle, en essayant de ne pas rentrer dans la fameuse « friendzone », c’est à dire le point de quasi-non retour à partir duquel on devient trop amis pour qu’une histoire d’amour puisse...
Les grands moyens
il y a 2 ans

Quand le fesseur perd la motivation, il faut la lui faire retrouver.

Il a tiré les rideaux, ouvert la fenêtre. La douce lumière de septembre a inondé la chambre. Elle s’est brusquement redressée. - Ah, c’est toi ! - C’est moi, oui ! Mais c’est quoi, tout ce bazar ? Il s’est passé quoi, ici ? - Ici ? Je t’ai fait cocu, mon chéri. J’en ai profité que t’étais pas là. T’es content ? - Non, mais tu te fous de moi, là ! - Ah, mais non ! Non. Pas du tout. Et dans notre lit en plus, je l’ai fait. Le lit conjugal. C’était bien plus excitant. - Tu peux pas être sérieuse deux minutes ? Et m’expliquer ? - Mais je suis sérieuse. Très sérieuse. J’ai ramené un mec, cette nuit. Je voulais qu’il reste à t’attendre ce matin, mais il a préféré partir. - Non, mais alors là, c’est la meilleure ! - J’en avais trop envie, attends ! Non, et puis ce qu’il y a surtout, c’est que c’est plus ce que c’était, maintenant, quand tu me donnes la fessée. Tu fais ça du bout des doigts. Tu t’investis plus. On dirait presque que tu t’ennuies. - Hein ? Mais pas du tout ! - Je...
Soumis aux pieds de sa colocataire
il y a 2 ans

Intéressée par son fétichisme des pieds, elle en fait son soumis

On n’entendait parler que de ça dans les médias, le coronavirus, le confinement, les hôpitaux surchargés… Une actualité particulièrement anxiogène qui rendait la vie de tout le monde plus difficile, enfermé à la maison, loin des amis et des activités habituelles. De mon côté, je n’étais pas le plus mal loti. La vingtaine, en bonne santé, vivant en colocation dans un grand appartement avec balcon. J’allais profiter pleinement d’Internet pour rester en contact avec famille et amis, tout en appréciant la compagnie de mes colocataires. Enfin, devrais-je plutôt dire, de mon colocataire Antoine, puisque le second, Vincent, avait décidé d’aller vivre la période de confinement chez ses parents à la campagne. Pourtant, peu avant le début effectif des règles de confinement, un élément allait venir mettre un peu de piquant dans ce calme constat. En effet, la cousine d’Antoine s’apprêtait à venir vivre avec nous, fuyant les vingt petits mètres carré de son studio pour venir profiter du balcon e...
Un bondage poussé à l’extrême et à mourir de plaisir
il y a 2 ans

Les adeptes du BDSM sont parfois un peu fou dans la recherche du plaisir.

Cela faisait quelques temps que Kevin ne s’était pas « occupé » d’Elsa, une éternité pour lui et un temps de répit pour elle. Il a eu tout le loisir de fantasmer sur le futur traitement qu’Elsa allait avoir à subir. Après de multiples hésitations, il a décidé de donner vie à un dessin de BD qui était loin de le laisser indifférent et lui faisait toujours le même effet au niveau de son bas ventre quant il y pensait. En fait, il y avait le dessin, mais surtout le texte qui expliquait avec moult détails la situation dans laquelle était la fille. Pour ce qui est du dessin, ou plutôt des dessins, une fille simplement attachée les bras dans le dos, rien de bien exceptionnel, mais un deuxième dessin était déjà plus explicite sur les équipements équipant la fille. Une ceinture de chasteté un peu particulière munie de 2 plugs qui n’ont pas l’air si méchants que cela. Mais c’est le texte qui décrit toute l’horreur de la situation. La fille est en fait une prisonnière qui au lieu d...
Une éducation dans les années cinquante (2)
il y a 2 ans

Après la fessée à la main se profile le terrible martinet

Ma rentrée en sixième, au retour de ces mémorables vacances, je l’ai effectuée la boule au ventre. La perspective d’avoir désormais affaire à une multitude de professeurs plutôt qu’à un instituteur unique m’effrayait. Et ce, d’autant plus qu’il me paraissait impossible que, sur la dizaine d’enseignants devant lesquels j’allais me trouver, il n’y en ait pas au moins un pour administrer de cuisantes fessées quand il le jugeait nécessaire. Être corrigé devant toute une classe– ce qui ne m’était encore jamais arrivé – m’apparaissait comme l’horreur absolue. J’en faisais des cauchemars. Je me réveillais en sursaut, au cœur de la nuit, trempé de sueur et le cœur battant. Mes appréhensions se sont fort heureusement très rapidement révélées vaines : aucun des enseignants de la classe de sixième A, dans laquelle je me trouvais, n’avait recours à ces méthodes. Il n’en demeure pas moins que je restais en prise directe et quasi permanente avec la fessée. À la maison essentiellement où je risqua...
Fantasme d’uro BDSM et selfbondage
il y a 2 ans

Comme si une Maîtresse m’imposait son champagne

L’été est propice aux culottes mouillées car sur le chemin de la plage, il est fréquent de voir des shorts humides. Le maillot mouillé des baigneurs humidifie les shorts lorsqu’ils ne se changent pas en quittant la plage. Cela m’a donné des idées ! Et si une Maîtresse m’obligeait à ... Bon moi, ce n’est pas à la mer mais dans le Doubs que les gens se baignent mais le principe est le même. L’avantage est que l’on peut s’isoler plus facilement derrière des arbres pour se changer ou mouiller une culotte. J’ai conservé une petite culotte oubliée dans le bac à linge par une de mes ex copines et, quand je vais au Doubs, je la prends dans mon sac de plage. Après le bain, je vais derrière les arbres pour me changer et surtout, mettre cette fameuse petite culotte dans laquelle je me laisse aller à un gros pipi. Ensuite, je remets mon short de bain et je vais au soleil pour la laisser sécher un peu avant de rentrer chez moi. En gros cochon soumis que je suis, je ne lave pas la petite...
La crucifixions de femmes
il y a 2 ans

Cette histoire pique et est plutôt hard comme vous vous en doutez.

D'abord, il y a la flagellation. Le poteau de flagellation, haut de 160 cm, est au milieu de la salle . Des chaises sont en périphérie pour les spectateurs qui choisissent la vue de la suppliciée. Des anneaux de fer, l'un placé à l'avant d'où pend une chaîne avec un crochet anal terminé par une boule de 3 cm de diamètre et l'autre à l'arrière d'où pend deux chaînes terminées par des bracelets métalliques larges en inox sécurisés par des vis inv i o l ables équipe ce poteau complété par une barre en inox de gros diamètre traversante à 0.80cm du sol. Des anneaux sont scellés au sol à l'avant écartés de 2.00m environ. L'ensemble est angoissant à voir pour les suppliciées car elle pouvait s'imaginer ainsi attachée sans défenses, présentée au fouet. Aujourd'hui le spectacle sera de choix dans la salle de t o r t u r e du château car trois femmes sont livrées au b o u r r e a u par leurs maîtres. Une mère et sa fille ainsi qu'une jeune étudiante. Le tribunal les a condamnées i...
Une éducation dans les années cinquante (1)
il y a 2 ans

Une autre époque...

Dans les années cinquante, pour l’immense majorité des parents, la fessée, à la main ou au martinet, parfois à la ceinture, allait de soi et ils auraient cru manquer à tous leurs devoirs s’ils n’avaient pas sévi, lorsqu’ils estimaient que c’était nécessaire, de cette façon-là. Les miens ne faisaient pas exception à la règle et c’est une punition à laquelle ils avaient systématiquement recours, quand ils considéraient que je l’avais méritée, persuadés que c’était pour mon bien, ce en quoi ils n’avaient pas forcément tort. Tout acte de désobéissance flagrante, tout mensonge avéré, toute dissimulation délibérée, tout bulletin scolaire calamiteux, surtout s’il était manifestement dû à la paresse, se payait comptant. Parce qu’elle restait à la maison, c’était le plus souvent maman qui s’apercevait que j’avais transgressé des règles que je connaissais pourtant fort bien. C’était également à elle qu’on venait rapporter que j’avais commis telle ou telle sottise. C’était donc elle qui officiai...
Fantasme de cocufiage et selfbondage
il y a 2 ans

Un soumis célibataire réalise des auto bondage avec une culotte sale

Dans mes fantasmes, ma femme est dominatrice, elle me cocufie et, quand elle rentre des ses soirées, me fait lécher sa chatte. Bien entendu, lors de nos rapports sexuels elle m’oblige à la lécher pour la laver de mes saletés. Le souci est qu’après m’être masturbé, je n’ai même pas le courage de lécher ma main. Lorsque j’ai lu l’idée de conserver du sperme au congélateur afin de pouvoir s’imposer de le consommer plus tard par son soumis, je me suis dit « bingo ». N’ayant ni femme ni Maîtresse, je ne peux réaliser mes fantasmes de soumission qu’en faisant du selfbondage, une de mes activités régulières. Avec cette idée de sperme congelé, j’avais la solution ! Pendant une semaine, de fruit de chacun de mes plaisirs solitaires a été collecté dans une petite culotte oubliée dans le bac à linge par une de mes ex copines. Immédiatement après la collecte, je la remettais au congélateur. Mon ex allait devenir Maîtresse sans le savoir. Le samedi soir, j’avais tout préparé, à savoir :...
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