Récits
TEXTE CONCOURS DECLARATION D'AMOUR
il y a 9 ans

TEXTE CONCOURS DECLARATION D'AMOUR

Tout les jours tu égaye ma vie quand tu souris. Tes paroles me font vibrer telle une machine a vapeur qui fait battre mon coeur. Le ton de tes mots me fait prendre une autre dimension comme si nous y étions. Tu brille de mille feux comme un rayon de soleil qui vient me caresser les yeux . Pour moi ta beauté intérieur me prend toute la place dans mon coeur. Telle une rose noir tu est éternelle, toujours belle. A toi ma beauté MESSAGE DE FESSESTIVITES Concours de déclaration d'Amour Liste des participants et lien Rappel : les gagants seront définis par le nombre d'évaluations et d'étoiles. VOTEZ en mettant un commentaire
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CONCOURS / La 1ere rencontre
il y a 12 ans

Tu es là, sur cette terrasse. Ton cœur ne palpite pas, pourquoi le ferait-il? Dans le même temps, un émoi parcourt ton épiderme... Au loin, je Te devine... aucune tenue vestimentaire demandée (enfin spécialement)... Juste là pour que nos regards se croisent...juste... le cœur s'emballe malgré moi... Ton regard, tes lèvres, ce rictus à la fois si certain et si fragile, si pudique... Les corps se rapprochent... quelques mètres.... puis quelques centimètres... Un doigt vient s'installer sur mes lèvres.... signe de ce chutttt;;.. Mon sourire dévoile mes fÔcettes, mes yeux brillent dans les tiens.... Mes mains T' enlacent de façon naturelle... mes bras viennent Te soutenir... et ma bouche se pose à l'orée de la tienne... sur le coin gauche, proche, très proche... ma langue ne peut rester terrer dans sa grotte.... ma langue vient butiner tes lèvres, mes bras te serrent très fermement maintenant... ta langue se fait docile... je remonte vers ton lobe... pas pour le titiller, pas...
Première fessée (concours)
il y a 12 ans

Concours d'histoire sur la fessée

" J'avais roulé presque 30minutes. Je descendais vers Douai la tête ailleurs. Il faisait beau, c'était le matin. J'avais écouté des chansons, Je sortis de L’autoroute et je me dirigeais vers Aubry. J’étais vêtue d’une jupe à carreaux, chemisier blanc, je ressemblais à une étudiante Arrivée, après quelques recherches, je finis par trouver la rue Emile Zola. En roulant lentement, j'aperçus une maison et une piscine. J'en déduis que je n'étais pas loin. je découvris enfin une boite aux lettres dont le nom me fis frémir... Thierry, j'étais arrivée. Je respirai un grand coup, je pris une grande brassée d'air. Mon ventre était noué, mais en feu. J'ouvris la portière de la clio Je posai un pied au-dehors, puis un autre. Je récupérai mon sac sur le siège passager, puis en refermant ma portière, je me dis que je commettais une folie. Qu'importe. J'ouvris le coffre de la voiture, je pris mon autre sac. Je repris ma respiration, je remis ma jupe bien en place (et me dirigeai vers la maison....
Une vie de soumission (chapitre 1) CONCOURS
il y a 12 ans

Une vie de soumission (chapitre 1)

Je me trouvai dans un couloir bien éclairé. Il y avait trois portes; la première s'ouvrit et une "infirmière" m'invita à d'entrer. Je dit "infirmière" car tout pour moi évoquait le milieu médical, et pourtant je me doutais que cela n'avait pas vraiment de rapport avec les soins médicaux. Cette "infirmière", "assistante" serait plus approprié, n'avait rien de la tenue classique. Elle était assez bizarrement habillée: bermuda de latex rouge vif très moulant ("le rouge doit être la couleur réservée aux femmes", pensais-je), gaine de cuir, rouge également, agrafée dans le dos; une paire de baskets montantes portées pieds nus complétait le costume. Après avoir longuement regardé l'assistante je balayai la pièce du regard. Il y avait deux autres filles, habillées de la même manière, ainsi qu'un homme, vraisemblablement le "docteur", ou tout du moins le responsable, qui, lui, avait droit au pantalon de latex bleu électrique et à une gaine de couleur identique. Seules ses chaussures ét...
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Moment éprouvant! « concours »
il y a 13 ans

Confession d'une soumise réelle

##### Voici une séance ou mon Maître a approfondit mon dressage…premiere grosse punition, premier fist et premiers jeux d’uro…. Lorsque mon Maître est venu ce soir là, je ne pensais pas vivre une séance aussi éprouvante…. Pour commencé, j’ai du lui montrer les différents endroits que j’ai nettoyé, afin de vérifier si j’ai bien suivi ses ordres….Maître A n’a pas été satisfait du résultat….j’ai eu droit à une remontrance mémorable ! « Oui, tu as nettoyé, mais pas en profondeur ! Je veux une hygiène impeccable ! Tu as fais le choix d’avoir des animaux chez toi, tu as des gamins, tu dois assumer ! Ce n’est pas parce que tu réserves un endroit pour tes animaux que cela ne doit pas être nettoyé à fond ! Désormais, à chaque fois que je viendrai, je vérifierai tout ! Sache que si je constate le moindre laissé allé, tu en subiras les conséquences ! » J’avoue que je me suis sentie comme une petite fille prise en flagrant délit…extrêmement honteuse…. Maître A m’a ensuite ordonné...
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concours
il y a 13 ans

variation sur le célèbre poème de Victor Hugo Stella dédie a maîtresse Mirae Je m'étais endormi la nuit près de la grève. Un bruit m'éveilla, je sortis de mon rêve, J'ouvris les yeux, je vis ma femme un fouet à la main. Elle resplendissait habillé de cuir et de satin Dans son regard de fer, oublié la femme tremblante. Je compris que venait ma tourmente. Dans ces yeux je sus qu’elle avait mué. C'était un démon qui pensait, qui vivait Elle dressait son orgueilleuse poitrine, tétin tendu Sous la soie. Elle s’approcha de moi : dieu déchu. Il faisait nuit sombre, mon règne prenait fin, Mon désir se dressa, elle eut un sourire divin. Sans un mot elle se saisit de mon manche; Le roi était nu, mais la reine était blanche Des fers me furent tendu scellant mon appartenance, et c’est de cet esclavage que vint ma jouissance Comme une déesse venue d’un autre temps Mon désir, me privant de toute raison, allait vers elle, Pleurant tout bas,...
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concours
il y a 13 ans

Je vivais sans cœur, je vivais sans flamme, Incomplets, rêvant d'un sort plus beau De mon corps en jouerez-vous toute la gamme ? C'est ainsi que par mes sens vous pires mon âme Jamais on ne me fit meilleur cadeaux Oui c'est vous, merci...C'est vous divine maîtresse Qui m'avez fait sentir le profond amour... Vous mites du rouge sang à ma noirceur d'âme, Exposant ainsi mon cœur au grand jour ! Je tombais, tombais... ange infidèle A mon cœur vide manquait un battement Pour me soutenir manquait une aile Mais vous maîtresse, d'un coup de fouet, d'un claquement Vous fîtes mieux que me relever De ma vie vous fîtes un rougeoiement Et vers les nuées, je me dresse Au son de vos rires, et de mes hurlements "je certifie que ce texte et bien de moi"
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