Récits
Lèche mes orteils
il y a 5 ans

Lèche mes orteils une histoire érotique où la femme dirige

Après une journée consacrée pleinement à la plongée du matin jusqu’au soir, tout le groupe était d’humeur à faire la fête, moi y compris. Nous étions à l’aise avec nos deux instructeurs et l’ambiance était aux plaisanteries et aux fous rires. Le soir, dans notre restaurant unique et préféré où nous dévorions de délicieux poissons grillés, les langues commençaient à se délier. Autour de bières fraîches et propices à faire parler, nous nous dévoilions un peu plus. Sébastien finit par demander à Tania et Michael s’ils étaient ensemble, ce à quoi ils répondirent très tranquillement que cela dépendait des saisons et surtout des touristes présents sur l’île. Nous restâmes muets un instant avant qu’ils n’éclatent de rire et que nous les imitions. Mais je ne pus m’empêcher de jeter un œil en direction de Julia, assise sur les genoux d’Andrew. Elle riait comme les autres, toujours aussi impassible. Comment faisait-elle pour ne rien montrer à ce point ? Est-ce que ce Michael n’avait été qu...
Erreur libertine
il y a 5 ans

Erreur libertine une histoire érotique de trio surprise

- C’est la suite d’un pari me dit cette jeune femme. Etonnée je lui demande de quel pari il s’agit. - Votre mari a parié qu’il pourrait me baiser devant vous. - Lui ? Il a dit ça, et quand ? - Je ne sais pas c’est seulement moi qui devait venir : mon ami me l’a demandée, j’ai accepté parce que j’aime bien baiser. Je suis furieuse d’entendre cette pimbêche et aussi contre mon mari qui me cache ce genre de saloperie. En plus elle a l’air sincère. Je connais bien les envies de mon mec : nous parlons souvent de faire l’amour à trois, jusqu’à présent ce n’était que des fantasmes partagés, sans plus. J’ai une idée, pourquoi pas accepter, la fille est belle, sexy avec tout ce qu’il faut. Seulement mon mari n’est pas encore entré du travail. Pas grave, je vais venir la fille dans le salon, la fait asseoir sur le divan. - Vous savez, nous l’attendrons ici, en attendant nous pouvons commencer à deux, le trio sera pour plus tard. - Je veux bien pour nous mettre en chauffe. A croire que...
Des pinces pour sa première sodomie
il y a 5 ans

Des pinces pour sa première sodomie

A cette époque là, j’avais des relations avec deux femmes d’ages comparables (la trentaine jeune) ; Christine était une collègue de bureau et Marie qui, travaillant dans la même société se trouvait à un niveau supérieur au mien mais à un autre endroit. Christine était devenue ma maîtresse quelques mois plus tôt et nos relations étaient torrides et classiques jusqu’au jour où je lui ai suggéré de se livrer à un jeu Sado Maso où elle serait ma propriété pour une durée de quatre heures ; j’étais relativement inquiet de cette proposition car je m’attendais à une fin de non recevoir et vraisemblablement à une fin tout court. Contrairement à mon appréhension elle m’a dit avoir lu « histoire d’O » en cachette de son mari et s’être souvent caressée en y songeant. - Qu’est ce qui te fait mouiller Chris dans ce livre ? - la situation de dépendance ; les ordres ; les coups légers mais pas la douleur - et l’épisode avec Anne Marie, avec les femmes - J’ai déjà goûté aux femmes… - Oui ? - A...
Le goût de cul
il y a 5 ans

Je ne parle pas de celui de la photo !

Je partageais déjà depuis plus de cinq ans, avec Marie, d’ardentes parties de jambes et de cul en l’air, lorsque m’est venue l’idée de faire passer ma bite de sa chatte à son cul. Pour la préparer je lui ai, du bout d’un doigt, enduit la rondelle de ma salive. Inerte tant que je suis resté à la porte, Marie tressaillit lorsque, franchissant la barrière du sphincter, mon doigt batifola de l’autre côté. Une doigtée de salive n’étant pas suffisante, je suis allé en faire provision pour masser l’intérieur du cul de ma salope, comme elle aimait se faire appeler. De nouveau le doigt en bouche, j’ai découvert le goût du cul de Marie et, sans doute sous le coup de l’excitation, j’ai trouvé ce goût divin. Marie refusa longtemps de laisser ma bite lui dilater le sphincter, mais toléra toujours d’y laisser entrer mon doigt et, plus tard, sollicita de le remplacer par ma langue. Lui mettre au cul un doigt enduit de salive, déguster son jus en faisant de nouveau provision de salive, cela fit bie...
Attachée par mon mec !
il y a 5 ans

Attachée par mon mec !

Cela fait 6 mois maintenant que je suis avec Jérôme, mon mec, et tout se passe très bien, tant sentimentalement que sexuellement. Bien sûr, ici, il s'agit de vous compter une histoire touchant au deuxième cadre... Un soir, quand je suis rentrée du boulot, j'ai bien vu à l'attitude de Jérôme qu'il préparait quelque chose. C'est un genre de choses que l'on sent venir, je ne pourrais pas l'expliquer. La soirée se passe donc bien, comme d'habitude, je dirais, puis je pars prendre ma douche. Quand j'en sors, il vient me chercher dès que j'ai fini et il commence à m'embrasser partout : le visage, le cou, le dos, la poitrine, le dos...J'adore quand il s'occupe de moi comme ça ! Il m'attire vers le lit, me soulève, puis me repose à genoux sur le bord du matelas. Nous sommes serrés l'un contre l'autre, il m'embrasse toujours et nos deux corps chauds ne font plus qu'un. Il me fait un peu reculer sur le lit et je me retrouve à 4 pattes devant lui. Je le vois venir gros comme une maison. Il s'...
La lente descente aux enfers d'un ange
il y a 6 ans

La lente descente aux enfers d'un ange

Alors qu'elle tient entre ses mains un vieux roman d'amour, Eevi échoue pourtant à s'évader de son quotidien. Son regard se pose bien plus souvent sur les aiguilles de l'horloge que sur les pages défraîchies du livre. Le grand amour s'est révélé ce qu'il est vraiment : un mythe créé pour d'ingénues jeunes filles. Elle ne parvient même plus à essayer de se convaincre de son existence. Ce n'est une quête sans espoir qui accentue sa désillusion. Sans doute cette jeune fille de bonne famille aurait-elle pu épouser un homme de son milieu, le fameux gendre idéal, si elle était demeurée chez elle, en Finlande. Mais éprise d'idéalisme, elle s'est voulue bohême, rebelle au formalisme bourgeois familial. Elle est venue à Paris suivre des études de cinéma. Paris, la ville du romantisme par excellence. Maintenant diplômée, elle occupe un emploi bien rémunéré, qui autrefois lui plaisait. Mais sa bonne humeur communicative s'est effacée, affectée par l'évolution de sa vie sentimentale qui n'est q...
Depuis que je vis avec Diane je suis cocu
il y a 6 ans

Depuis que je vis avec Diane, je suis cocu

Depuis que je vis avec Diane, je suis cocu. Bon, bien sûr, il faut relativiser un peu cette affirmation car tout d’abord, quand je suis sorti avec elle, je savais qu’elle avait un mec et qu’elle sortait plus ou moins avec un autre. Moi, je m’en foutais pas mal ! Je la considérais alors comme une bonne copine et comme je la trouvais vraiment canon, si elle disait oui, je n’allais pas dire non. Nous avions alors 22 et 23 ans et, franchement, je crois que ni pour elle, ni pour moi, nos aventures n’engageaient à quoi que ce soit. De fait, à ce moment, je ne peux pas dire que j’étais cocu et, je ne vivais pas avec elle non plus. Comme je disait, Diane était une amie avant tout et pendant environ trois ans, on se voyait épisodiquement, à l’occasion de soirées, quelques jours pendant les vacances ou comme ça pour une sortie au musée, cinéma ou au restaurant. Elle avait toujours plus ou moins un copain même si ça changeait souvent mais ça ne marchait jamais vraiment. Il faut dire qu’ils avaie...
Addiction anale
il y a 6 ans

Souvenirs et les raisons de mon addiction

Depuis la soirée où, à 17 ans, j’avais été enculé pour la première fois, j’étais dans un état d’excitation permanente, une excitation focalisée sur mon anus, je ne pensais qu’à ça. En voyant une aubergine, je me demandais quelle sensation cela me ferait si elle était enfoncée dans mon anus. J’ai alors décidé d’aller acheter un plug. J’étais rouge de honte à l’idée d’entrer dans cette boutique, imaginant le regard lubrique d’un vieux client pervers et le sourire en coin du vendeur qui, en fait, était une jeune vendeuse, à peine 18 ans. « Bonjour monsieur » dit-elle d’un ton joyeux en sortant de l’arrière-boutique, « Je vous laisse faire le tour, n’hésitez pas à me demander conseil" « Quels conseils une fille de mon âge peut-elle me donner » pensais-je, mais il était évident qu’une vendeuse de sex-shop en connait bien plus, qu’un ado qui, sodomisé depuis moins d’une semaine, achète son premier plug. Je fis rapidement le tour de la pièce du regard ; repérant l’emplacement des...
Après 4 ans d'abstinence, ma femme reprends un amant
il y a 6 ans

Après 4 ans d'abstinence, ma femme reprends un amant

A l'approche de la cinquantaine, avec l'arrivée de la ménopause, ma femme a eu une baisse de libido, elle n'aimait plus son corps, prise de poids, etc... A cela s'ajoute des horaires de travail de plus en plus compliqués, bref, elle a cessé de rencontrer des amants, même les quelques rares réguliers, ont lâché l'affaire, lassés par ses refus. Cette période a duré plus de 4 ans, créant une routine de plus en plus pesante dans notre couple, nos rapports étaient devenus rares et sans intérêt pour moi qui apprécie la nouveauté, elle ne m'excitait plus, on baisait toujours dans l'urgence, parce qu'on en ressentait le besoin, mais sans vrai désir de ma part, sauf les rares fois où on faisait l'amour tendrement, ce qui est différent. Je ne reconnaissais plus la femme aux deux facettes que j'aimais, la douce et tendre et la salope vicieuse qui avait donc disparu. A f o r c e de lui dire que notre couple partait a la dérive et que mes sentiments s'évanouissaient, elle a réalisé qu'en rejetant...
Les toilettes du Mac Do
il y a 6 ans

Les toilettes du Mac Do

Les toilettes du Mac Do Voilà ce qu’il m’est arrivé il y a quelques semaines, un après midi. Je faisais des courses en ville, et prise d’une petite faim, je suis allée prendre un fondant et un thé au Mac Do. Avant de repartir je suis passée aux wc. Après avoir fait mon pipi, m’être essuyée, j’allais juste tirer la chasse quand j’ai entendue des paroles dans le couloir, une fille qui disait ’non, pas là, attendez...’, puis la porte des WC s’est ouverte, et des rires ont envahi la pièce. Je ne sais pas pourquoi, mais ma curiosité me dit de ne pas bouger. — Oh ma cochonne t’es trempée, dit une voix d’homme. — Vite entrons dans cette cabine, dit elle. Puis il y eut des froissements de vêtement et un ’viens empale toi sur moi’ dit par une autre voix d’homme, et le premier lui dit ’oui poommpe moi fooort Coriiiinne’. Et je ne put pas résister longtemps à l’envie de me caresser, aussi j’ai relevé ma jupe et me suis rassise, ma main est vite venue caresser ma chatte déjà inondée par cette...
Le double dong en couple
il y a 6 ans

Le double dong en couple

Le double dong en couple Je suis mariée depuis plus de 35 ans et en a pratiquement tout essayé dans le sexe avec mon mari. Je vais même vous confesser qu’il m’a offerte en gangbang à des inconnus dans un sous-sol. Quel souvenir ! Mais si je viens aujourd’hui sur le blog de Lisa et Lucie, c’est pour vous raconter une histoire taboue comme il est de coutume ici. Mon mari s’est découvert il y a quelque temps un penchant pour la sodomie et il m’a demandé mon aide. Nous sommes très complices et il était évident que j’allais la lui apporter. Je suis une femme bisexuelle assumée depuis 15 ans. J’ai toute une panoplie de jouets intimes que j’utilise avec mes maîtresses d’un jour ou d’un soir. Mon mari aime la sodomie sans être bi. C’est-à-dire qu’il adore lorsque je m’empare de mon gode ceinture et que je le pénètre profondément. J’ai lu sur les forums que certains d’entre vous aimaient bien cela aussi. La dernière fois, tout était prêt pour que je le prenne en position de levrette, sa posi...
Le goût de cul 2
il y a 6 ans

Le plug dans mon cul

Marie refusa longtemps de laisser ma bite lui dilater le sphincter, mais toléra toujours d’y laisser entrer mon doigt et, plus tard, sollicita de le remplacer par ma langue. Lui mettre au cul un doigt enduit de salive, déguster son jus en faisant de nouveau provision de salive, cela fit bien vite partie du rituel de nos soirées, de nos matins et de nos siestes. La manœuvre se renouvelant, j’avais bientôt dans la bouche autant de jus de cul que de salive ; en l’embrassant, je partageais le mélange avec Marie qui, au début, resta indifférente. Un jour, particulièrement excitée, elle voulut savoir si le jus de mon cul avait le même goût ; le rituel s’élargit, chacun goûtant les doigts sortant de son propre cul et de celui de l’autre. Peu de temps après, Marie, allongée sur le ventre, écartant bien ses deux globes, réclamait de se faire enculer, même si cela ne la faisait pas jouir, dans le seul but de sucer ma bite au sortir de son cul et déguster, de préférence, une giclée de sperme a...
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