Récits
Une nuit torride avec des menottes
il y a 7 ans

Une nuit torride avec des menottes

Une nuit torride avec des menottes Ce soir, nous avons passé une très bonne soirée, bien mangé et passer un bon moment en amoureux. Elle vient de prendre son bain et elle est enroulée dans sa serviette. Moi je suis en train de travailler sur un projet me tenant à coeur mais je souhaite lui faire une petite surprise. Alors je me mets à la préparer, je fais le lit, j’allume des bougies, mets du parfum d’ambiance et sors quelque petits jouets que nous aimons tant. Elle ne se doute de rien et profite de son émission télé. Je lui propose que nous allions nous coucher ce qu’elle accepte volontiers. Elle pose donc sa serviette et me rejoins dans la chambre. Elle apparaît très surprise et sublime dans la lumière douce des bougies. Je lui demande de s’allonger et de se relaxer. J’attr a p e donc l’huile de massage et commence à lui faire un massage dont j’ai le secret. Je lui détends donc tout d’abord les épaules, puis je descends progressivement jusqu’à arriver à ses reins. Elle adore que j...
Le pensionnat
il y a 7 ans

Roman fessée et BDSM avec un prof pervers

Le pensionnat Par Donatien 15 octobre 1964. Fin de la première journée et début d’un exil dont je ne sais combien de temps il durera. Le temps que les choses s’apaisent là-haut. La fille était bien jeune et son notaire de père n’avait pas trop intérêt à ce que des prétendants apprennent qu’elle a vu le loup de près. Il la mariera sans doute en vitesse après ça. J’ai répondu à la première annonce et me voilà. Accepté du premier coup, sans enquête. Il faut dire que les candidats au poste ne doivent pas être légion. L’internat est situé dans une espèce de manoir un peu déglingué, plein de courants d’air. Au bout d’une route où personne ne passe. Air pur et discipline, disent les prospectus. Seconde à terminale, une petite centaine de filles. Pour le moment, je n’en n’ai vu qu’une, un joli minois d’ailleurs, qui attendait sur un banc devant le bureau de la supérieure. Des yeux verts un peu cernés. L’air effrayé et un peu farouche. Elle ne portait pas l’uniforme et avait à ses pied...
Mauvaise influence
il y a 7 ans

Offerte par son mac à un client, comme une putain, c'était là son fantasme le plus secret : être soumise et dressée par un homme

Philippe était un grand gaillard de trente huit ans, cadre commercial dans une société informatique, ce qui l'amenait à effectuer des déplacements fréquents. Il conservait d'un passé sportif une silhouette athlétique mais avait tendance à s'enrober. Corinne, trente quatre ans, occupait un emploi de fonctionnaire. Plutôt grande, blonde, la peau laiteuse, elle était toute en rondeur, de son visage jusqu'à sa croupe, en passant par des seins lourds et légèrement tombants, mais avec une taille marquée et de fort jolies jambes. Ses formes épanouies attiraient souvent le regard des hommes, mais elle restait complexée « avec ses grosses doudounes et son gros derrière » comme elle le disait parfois. Ce sont ces formes qui avaient d'abord attiré Philippe, il était rapidement tombé amoureux de la jeune femme, gaie et intelligente mais réservée et timide. Mariés de maintenant plus de dix ans, ils n'avaient pas d'e n f a n t . Les analyses montraient que tout était correct du coté de mons...
Laura avec un inconnu
il y a 7 ans

Soumise malgré elle mais cela ne lu_i déplait pas.

J’aime danser, onduler mes hanches larges, que les mecs matent mon cul … les faire bander humm… Je me présente Laura 25 ans brune 1m60 60kg 90b et un gros cul qui attire l’œil. Ce soir-là, avec ma pote Daisy, comme souvent nous sommes parties danser. La soirée se passait très bien, les mecs nous mataient, nous offraient des verres, nous invitaient à danser bien collez serrés… je sentais de belle queues contre ma jambe ou mon cul … j’adore faire ça, les faire bander, puis les repousser quand ils sont bien dur. C’est tellement bon de les voir dégouttés avec la queue dur qui déforme leur entre jambes. Mais ce soir-là, ça a un peu dérapé. A f o r c e de boire, un petit tour aux toilettes s’impose. Daisy étant en très bonne compagnie je décide d’y allez seule. Les toilettes des femmes était pleines comme souvent, un petit regard au niveau des hommes, personne ; je me faufile ouvre la porte d’une cabine. C’est là où tout a basculé… une présence derrière moi, une main ferme me pouss...
Elle roulait à deux cent et se fait démonter
il y a 7 ans

Texte hard

Marion roulait sur l'autoroute. Elle roulait plutôt vite et dépassait toutes les voitures qui se pointaient devant elle. Marion était une petite bonne femme, aux cheveux mi-longs bruns. Elle avait un joli minois qui aimait sourire, de petits yeux en amande, un petit nez et une petite bouche qui s'harmonisait au trait de son visage. Le reste de son corps était tout aussi attrayant. Une belle poitrine ferme d'un 90 B, un ventre plat et un minou épilé. Elle se sentait bien. Tout bascula pour elle quand des gyrophares bleus se mirent à clignoter derrière sa voiture. - Ho merde! S'exclamât-elle en regardant sa vitesse. Elle roulait à 200km/h. Elle pesta contre sa mauvaise fortune et ralentie graduellement en se rangeant sur l'air d'autoroute. Elle regarda la voiture qui se garait derrière elle. Ce n'était pas une voiture de patrouille normale. Le gendarme se gara et descendit de la voiture. Marion l'observât alors qu'il s'approchait. C'était une armoire à glace, non une montagne...
Dilatation et défonce
il y a 7 ans

Jouir à en perdre la raison

Encore un texte trouvé sur un blog qui .... Cela fait 3 semaines que je n’ai pas jouis avec un sexe d’homme, je ne tiens plus, de plus les dates de départ changent quasiment tous les jours je ne peux rien prévoir, et pour finir nous n’allons plus en province. Bruno ne me décolle pas. Didier m’a envoyé un sms pendant ce temps et Pascal cherche plus ou moins à me baiser seul sans Didier. Je l’appelle mais sans résultats. Karine ne va pas très bien et Sophie a des activités nocturnes intenses, en début de semaine, qui laissent des séquelles et qui n’arrangent pas son rendement productif. Elle se traînait, avait les traits plus que tirés, le teint livide et surtout des difficultés pour marcher, s’assoir, rester assise. Elle l’était toujours à moitié. Elle devait avoir des nuits plus qu’agitées, mais l’avantage est que ne l’entendait plus. Les autres collègues se moquent plus ou moins d’elle, je ne sais pas qui est celui qui lui fait sa fête comme cela, mais là, il y met du cœur. De m...
Conte de Noël
il y a 8 ans

Elle avait besoin de se faire enculer

À la rue, sans travail, abandonné par la femme qui l’avait ruiné, il survivait en mendiant. Ce soir de Noël, désespéré, il descendit vers le fleuve pour mettre fin à ses souffrances. Emmitouflée dans un manteau démodé, une femme vint lui proposer de partager son repas ; il la suivit dans un appartement modeste mais bien chauffé. - Prenez une douche, rasez-vous et venez dîner avec ce peignoir. À son retour, elle était nue, le mot Salope tatoué sur le ventre. - Je vous avais dit de vous raser, pas seulement le visage ! D’un v i o l e n t coup de pied, elle lui écrasa les couilles, le pliant en deux. Elle le releva ; un furieux coup de genou lui mit les burnes en feu. - Va te raser : Penaud, il s’exécuta. Elle le suivit, exhibant un corps lisse. Ses deux petits seins n’avaient pas besoin de support ; sur les fesses, un autre tatouage : Pute à enculer. - Fais-moi mal. Interloqué, il ne bougea pas. Un nouveau magistral coup de pied dans les couilles le fit hurler de douleur. - F...
Gavage d'une oie blanche
il y a 8 ans

Gavage d'une oie blanche

#### Ronde cinquante et un ans et cougard elle découvre la soumission A presque 56 ans j’ai découvert qu’en fait je n’étais qu’une oie blanche, c’était l’an dernier un samedi du mois d’août. Mariée pendant 33 ans, sans famille, veuve depuis presque cinq ans, ma vie sexuelle était un immense désert. Depuis mon veuvage j’avais eu cinq ou six « aventures » sans grand intérêt. Je ne sortais pas le soir, n’avais aucune vie sociale, pas d’amis ou si peu ; plutôt des connaissances, des collègues. J’avais bien trois copines avec qui je m’entendais bien, mais nous n’étions pas à proprement parler des amies intimes ; quand nous nous rencontrions pour des soirées de filles le sexe était très peu évoqué, l’une était mariée, les deux autres divorcées. Il y avait bien de temps à autre une allusion, mes deux copines « libres » évoquaient quelque fois leurs rencontres, tout compte fait aussi inintéressantes que les miennes ; personnellement je ne me livrais pas. Je gardais mes frustrations et me...
Figging
il y a 8 ans

Marie figguée

Le figging consiste à insérer une racine de gingembre, ou du poivre, dans l'anus. La sensation de brulure m’apporte un intense plaisir, je souhaite à mes lecteurs de le partager. Choisir une belle racine de gingembre au supermarché, c’est comme choisir une grosse aubergine pour me dilater le fion, cela fait déjà partie du plaisir, je m’y attarde longuement, espérant qu’une vendeuse ou un autre client comprenne l’usage que je vais en faire. Ce n’est pas du tout impossible : dans mon histoire Élection présidentielle, j’imaginais le maire avec un plug au cul, j’ai su depuis qu’un maire adhérent de Fessestivités allait présider le conseil municipal avec un plug dans le fondement. Mais revenons au figging. Une fois la racine pelée, je creuse avec précaution une concavité aux deux tiers de la racine, tout autour, ce qui permet de maintenir la racine en place. Pour moi, pas besoin de lubrifier le trou de balle, le gingembre entre facilement à l'intérieur de mon troufignon. Au début le g...
Vacances en Jamaïque
il y a 8 ans

Histoire érotique hard

Vacances en Jamaïque Cindy et Dave étaient excités comme des poux, ils avaient travaillé comme des fous, mais ils allaient enfin pouvoir s'offrir leurs vacances en Jamaïque, Cindy bichait, elle allait enfin pouvoir porter son micro bikini qu'elle avait acheté pour cette occasion. La petite brunette était très jolie, mais ses principaux atouts étaient ses longues jambes et son petit cul bien rond. Jamais elle n'aurait osé porté un bikini aussi minimum chez elle parce qu'en fait, elle était très réservée, voire guindée. Cela faisait longtemps qu'elle rêvait de trésors de la Jamaïque : ses plages, ses randonnées, sa culture, jusqu'ici, de ce point de vue ils avaient été comblés. La veille de leur retour aux USA, ils louèrent des mobylettes pour faire une petite excursion dans les montagnes, histoire de profiter pleinement du paysage. C'était envoûtant, mais cependant un peu inquiètent si on s'attardait sur ces rastas, ces grands Jamaïquains aux coiffures emmêlées et sale...
OrbitHome
il y a 8 ans

OrbitHome

OrbitHome par Patrik 14 août 2048, déjà 5 mois dans cette station orbitale, pendant que sur terre, il n’y a plus rien. Adeline de Mont-Michel, épouse Lorcy, le fameux magna industriel, y songe douloureusement. Elle est seule, là-haut, personne autour d’elle, personne pour la servir, personne pour rayonner, personne pour même écouter. Elle est seule à elle-même avec pour miroir, le grand hublot qui donne rituellement vue sur la terre toutes les 3 minutes, rotation impérative pour maintenir une gravité terrestre. Par l’autre petit hublot, elle peut contempler une gigantesque structure circulaire d’au moins 500 mètres de diamètre, bardée d’emplacements d’arrimage, mais seul le sien est occupé par un module, un tout petit module de 15 mètres de long, un tuyau aménagé de 2.50 m de section. Bref, certainement pas les palaces qu’elle a connus, sa salle de bain était nettement plus grand que çà, ce truc ridicule dans lequel elle finira vraisemblablement ses jours. Déprimée, elle se pose la...
Réciprocité
il y a 8 ans

Si je le fais, tu le fais

Valérie, 30 ans, la comptable de la petite entreprise où j’ai travaillé pendant quelque temps, était une belle rousse à la peau très blanche et au minois constellé de taches de rousseur. Célibataire, elle collectionnait les amants mais, si l’on en croit ce qu’elle racontait pendant le déjeuner, dans le petit restaurant où tout le personnel se retrouvait, elle avait bien des orgasmes mais jamais le grand frisson. Je l’ai invitée à dîner, nous sommes rentrés à pied chez elle où, sitôt arrivés, je l’ai renversée sur le lit, lui ai retiré la culotte et l’ai sauvagement empalée sans même lui laisser le temps d’enlever son manteau. Râles, orgasme, une cascade d’orgasmes, jamais je n’avais connu une partenaire aussi enflammée et il en fut de même les jours suivants ; Valérie vint même me retrouver à Clermont Ferrand où le travail m’avait appelé. Pourtant fière de sa toison pubienne aussi rousse que ses cheveux, elle consentit à l’épilation intégrale pour m’être agréable. Attiré par son...
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