Récits
Premières expériences et engrenages : Chapitre 91 : Drôle de matinée
il y a 1 an

Les tensions résiduelles doivent être soulagées car plus l’entropie est basse et plus l’excitation peut être prolongée.

Chapitre 91 : Drôle de matinée Basile avait menti. Il m’avait laissé sous-entendre que tout le monde pourrait profiter de moi, mais j’avais tenu. J’avais tenu, comme la chèvre, jusqu’à l’aube, toute symbolique car le soleil ne se lèverait pas avant plusieurs heures. Mes maîtresses viendraient me récupérer dans dix minutes. Déjà je voyais les clients sortir avant la foule de la dernière seconde, profitant de ne pas faire la queue au vestiaire. J’étais comme dans un manège qui ralentissait jusqu’à l’arrêt. C’était fini mais il fallait attendre. Jamais ma bite ne voulut redurcir, ni même se redresser. Ils avaient eu beau tout essayer. Pixie remplaça Tommy sans plus de succès. Cette fois je tins bon. Jamais ils ne purent me la mettre au fond d’un anus que je supposais être à l’un des deux, comme Basile l’avait prévu. Cette nuit je ne perdrais pas mon pucelage avec un homme, la bite dans son anus à jouir et à éjaculer en perdant lucidité, discernement, en même temps que ma virginité....
Premières expériences et engrenages : Chapitre 90 : Dépucelage
il y a 1 an

Quand une seule roue casse, tout l’engrenage s’arrête et même en la remplaçant, il est rare qu’il retrouve sa fluidité.

Chapitre 90 : Dépucelage Une nouvelle verge entra dans ma bouche. L’homme m’obligea à l’avaler profondément. Cela n’arrangeait pas Lassie. L’étranglement, l’étouffement généré, l’envie de vomir, brisèrent son excitation et je sentis ma propre verge redevenir molle dans la bouche de Tommy. Pixie nous rejoint. Il me massa et suça mes boules avec application et douceur dans le but évident que j’éjacule, toujours empêché par cet homme qui tenait à me faire vomir. Il la sortait pour m’aider à respirer puis recommençait, l’enfonçant le plus profondément possible sans rechercher sa propre jouissance. Derrière, de quatre doigts, nous passâmes à cinq. Je venais de comprendre leur intention, il voulait me fister, m’enfoncer le bras dans le cul. Je repensais à ce que Nathalie disait de mon trou du cul, à quel point il s’agrandissait. Lassie gémit à l’avance de sentir ce bras. Sur internet, j’avais vu des filles recevoir ce membre plus grand, plus large plus long, mais dans leur chatte...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 89 : Au milieu de la piste
il y a 1 an

Les paramètres extérieurs peuvent agir sur le comportement d’un engrenage et modifier son fonctionnement.

Chapitre 89 : Au milieu de la piste Une main caressa ma fesse. Un homme m’embrassa la joue. Je tournai la tête pour obtenir sa bouche. Un espace se libéra sous un projecteur plus puissant que les autres, formant au sol un halo bleu, presque blanc, de deux mètres de diamètre. Je m’immobilisai en son centre et commençai à danser autant que mes forces résiduelles me le permettaient. J’étais regardée, j’étais désirée, moi, Lassie. La lumière m’aveuglait dès que je voulais redresser les yeux. Je fis passer ma langue sur mes lèvres. Qu’ils me désirassent donc un peu plus, que les bites soient dures, que je les sentes dans mes orifices, pensai-je en boucle, comme une litanie. Je sentais autour de moi, les gens refluaient vers cette lumière, vers son centre, dans ma direction. L’un d’entre eux m’attrapa la croupe. Je fis un mouvement, ondulant, fis semblant de m’échapper. Il resserra sur moi sa poigne ! Une poigne dure, masculine, animale comme j’aimais les sentir sur mon corps abando...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 88 : Cent queues ni tête
il y a 1 an

Parfois il est plus difficile d’arrêter un engrenage que de le démarrer.

Chapitre 88 : Cent queues ni tête Je ne me rappelle pas tous les instants de cette soirée. Comme les hommes, ils se succédèrent par devant et par derrière, et en les relatant j’appréhende de commettre des erreurs chronologiques. Au début j’avais quelques appréhensions. Je craignais de devoir subir plus que ce pourquoi j’étais là. Il y avait tellement de choix, de perversions, de gens et d’idées associées à chaque, tellement de chose pouvait se passer durant ces prochaines heures. Mais, comme si des commandements avaient été écrits, ils ne firent que ce pourquoi leur numéro avait été tiré des chapeaux. J’eus bien le droit à quelques gifles et de nombreuses fessées que je reconnaissais, au vu de ce que j’avais subi, plus sensuelles et sexy que sadiques ou douloureuses. Lassie se plaignait même qu’ils ne se laissent pas aller à un peu plus de force, d’assurance, de masculinité, ranimant ainsi les sensations connues avec mes camarades d’étude. Parfois quand l’homme s’avérait avar...
Une femme consciencieuse
il y a 1 an

Une histoire érotique de Cocufiage

Je me doutais que quelque chose venait de se produire, elle semblait préoccupée depuis son retour tardif. Je lui demandais ce qui n'allait pas et elle me répondit en évitant mon regard qu'il n'y avait rien, qu'elle se sentait un peu fatiguée, c'est tout. Elle venait de trouver un emploi de secrétaire et cela faisait deux semaines qu'elle travaillait. Son salaire nous permettra de vivre un peu plus à l'aise mais cela n'avait pas été facile après quinze ans d'inactivité. Nous sommes mariés depuis dix-huit ans et elle est restée à la maison pour s' occuper de nos e n f a n t s. Ma femme a trente-huit ans et elle est restée vraiment jolie. Assez grande, mince, très bien faite, elle est blonde aux yeux bleus et elle plaît beaucoup, je le constate souvent. Les hommes la regardent dans la rue d'autant plus qu'elle porte des jupes ou des robes très courtes qui découvrent ses longues jambes et sa petite culotte quand elle monte un escalier, s'assoit ou se baisse. Cela l'amuse et moi j'aime...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 87 : Changement de règles
il y a 1 an

On peut être surpris des conséquences d’un engrenage tournant en sens inverse de son fonctionnement attendu.

Chapitre 87 : Changement de règles - Vous êtes jeune ! - Je suis majeur, lui répondis-je, cette fois sans préciser plus. - C’est votre maître qui vous a imposé le jeu ? - Mes maîtresses, corrigeai-je. - Vous n’’êtes pas homosexuel ? - Pas le moins du monde, mentis-je. Mais j’obéirai à tous les ordres que me donnera ma maîtresse. - Vous en avez une ou plusieurs ? - J’en ai une, mais elle a des amies et je ne sais laquelle a décidé de mon sort pour cette soirée. L’homme tendit son bras, montrant le tampon encreur indiquent le quarante-sept. Je confirmai sans savoir si c’est ce qu’on attendait de moi. Basile aussi. - Comment doit-on procéder ? demandai-je. - Je ne sais pas. C’est la première fois que je gagne, dit l’homme. - Le mieux serait probablement de vous attacher, dit Basile avec un grand sourire que je n’appréciais pas. Oh oui, pensait Lassie. Ce sera tellement plus facile. Quelque chose n’allait pas. Je ne pouvais dire quoi. - Et comment...
La Saint Valentin rêvée pour une Maîtresse et son soumis
il y a 1 an

Du romantisme et de l'amour, mais surtout de la soumission ...

Ce jour là, c'était la Saint Valentin, alors en partant au travail je lui ai laissé un petit mot avec quelques instructions : "Ce soir j'ai envie d'un dîner aux chandelles. Je compte sur toi pour préparer le repas, la table, et acheter un joli bouquet de fleurs. Bonne Saint Valentin ma petite chienne
Premières expériences et engrenages :Chapitre 86 : Une danse lascive
il y a 1 an

Tant que l’engrenage n’a pas tourné à toutes ses vitesses, il serait difficile de juger de ses capacités.

Chapitre 86 : Une danse lascive Je savais que cette nuit serait longue, la plus longue de mon actuelle et courte vie, probablement la plus longue avant bien longtemps. - Danse sur le piédestal ! me demanda Basile. Il faut bien présenter la marchandise pour la faire désirer. J’escaladai, aussi bien que je pouvais, la marche d’un demi-mètre de haut, me surélevant d’autant de la piste des danseurs, à la vue de toutes les tables de cet amphithéâtre que je contemplais quasiment plein. Puis, lentement, je commençai à tourner autour de la barre verticale, le plus sensuellement possible. Malgré mon bain, je ressentais encore les douleurs de la journée et seules les lumières tamisées empêchaient d’en dévoiler les détails de mes stigmates. Mon corps, fin, androgyne, plus adapté à cette démonstration que mon prédécesseur, fit son effet. La salle, bruyante de discussion, s’apaisa, s’assagit drastiquement. Lassie, coordonnant mes mouvements comme une chorégraphe, m'arrêta plusieurs f...
Lucie découvre la vie, l’ABDL et le BDSM 3
il y a 1 an

ABDL et BDSM avec la perte de son dernier pucelage.

[Le début de cette histoire est ici](https://fessestivites.com/recit/198217) CHAPITRE SIX Le grand dévergondage L’idée de prendre Lucie par derrière et de s’amuser à d’autres choses que de la régression titille Jean. C’est dans ce but et pour préparer « mentalement » le petit orifice qu’il achète des sextoys et des [plugs]( https://abcplaisir.com/fr/41-plaisir-anal), puis un [rosebud]( https://abcplaisir.com/fr/recherche?controller=search&orderby=position&orderway=desc&search_query=rosebud&submit_search=) sur ABCplaisir. En effet, pour sa Little, le plaisir anal viendra plus facilement en gommant sa peur d’avoir mal et en la dilatant un peu. Bien décidé à tromper l’ennemi « peur », le premier accessoire qu’il lui dévoile est présenté comme un bijou anal. Le mot « bijou » enchante Lucie, c’est son premier cadeau avec une jolie pierre rouge. Sa destination par contre, la perturbe un peu même s’il est petit. Grand stratège du dévergondage, Jean commence par une petite fessée...
Premières expériences et engrenages :Chapitre 66 : Humiliation ultime
il y a 1 an

Parfois un engrenage prévu pour de petites charges, par suite d’un écartement parfait des dents, peut en soulever de grandes.

Chapitre 66 : Humiliation ultime - Tu as déjà une idée, n’est-ce pas ? demanda Lady Christine. - Si tes autres valets déchargeaient dans la figure de ta pute, proposa Tata. - Nous avons passé beaucoup de temps à la maquiller, protesta Diane. - Alors, juste dans sa bouche. Regarde, il t’en redemande, ajouta-t-elle, alors que sans instruction, je continuai à la garder ouverte. J’avais l’impression qu’en refroidissant le sperme commençait à me coller à la bouche et aux dents et je n’avais qu’une envie, m’en débarrasser d’un côté ou de l’autre. - Vous serez capable de viser, sans en mettre partout, leur demanda leur patronne. Ayant écouté toute la conversation, tous répondirent par l’affirmative. Aucun n’aurait pris le risque de se voir rejeter de ce jeu qui semblât les amuser grandement. Je dois vous avouer, qu’à ce moment précis, cela ne m’inquiétait, ni ne me dérangeait. Mon esprit était entièrement focalisé sur le mexicain et ce qu’il avait dévoilé un peu plus tôt...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 65 : Au cul de basse-fosse
il y a 1 an

Une fois activé et lancé, le plus dur pour un engrenage c’est de savoir l’arrêter, car souvent il ne veut pas lui-même

Chapitre 65 : Au cul de basse-fosse Dès le début, je sentis que je n’avais plus affaire à mon meilleur ami, intimidé qui ne recherchait qu’une fellation amoureuse. Il s’agissait de deux hommes plus expérimentés qui ne voyaient en moi que de la chair fraiche pour les satisfaire d’un besoin élémentaire. Il n’y avait plus la douceur qu’avait mise Vincent, que je ne décelais que maintenant qu’elle était absente, cachée par la honte, la peur et le dégoût qui saturaient mes sens depuis que j’avais compris ce qui allait m’arriver. Pourtant, je protestais à peine. Je laissai aller mon esprit vagabonder sur les prairies de mon imagination. J’omettais cet instant de mon esprit, comme lui demandant de couper l’enregistrement de ce qui allait suivre, jusqu’à ce que ce soit fini. Ou, si je ne pouvais pas, l’enregistrer dans le cerveau pervers et féminisé de Lassie qui appréciait follement ce qui m’arrivait. Cette part de moi que je refusais de reconnaître malgré le plaisir que je pris à te...
Anne-Françoise, une femme conduite vers des rives inconnues.
il y a 1 an

Elle refusait les menottes BDSM, c’est devenu un défi de la faire abdiquer

J'ai rencontré dernièrement, lors d'une soirée anniversaire, un couple fort sympathique : lui, la quarantaine bien tassée, et elle, approchant la trentaine ; lui, Patrick, le regard canaille, comme je crois le deviner chez certains, et elle, Anne-Françoise, au contraire, plus réservée quoique très agréable de conversation. Anne-Françoise, un doux prénom, est une femme assez grande, les cheveux bruns, mi-longs, la silhouette harmonieuse de laquelle émerge une splendide poitrine comme je les aime : seins assez lourds, légèrement en forme de poires, mais qui ont conservé une fermeté si délicieuse sous la langue. A ce moment, je fantasmais bien sûr, n'ayant pas eu le bonheur d'y goûter, mais rêvant déjà à des plaisirs futurs. Ce qui m'amusa et m'attira en premier chez cette inconnue, ce fut de la voir, toute gauche, avec sa jupe noire, trop courte à ses yeux, qu'elle tirait souvent pour dissimuler ses genoux. Je ne cherchais pas spécialement à draguer et c'est, je dois l'admettre,...
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