Récits
La vengeance extrême d’une femme cocue 2
il y a 2 ans

Chasteté, féminisation, bisexualité imposée et couche. Nouvelle humiliation

Vers 15H00, Yves arrive et félicite Sophie pour son travail : - Parfait, avec ça, il ne pourra plus rien refuser à sa femme. Non ne le détaches pas, Arielle m’a permis de l’essayer en paiement de la course et comme punition pour son attitude d’hier soir! Paniqué, je crie - non pas question, je ne veux pas ! sans autre résultat qu’Yves me bâillonne à nouveau, puis il se redresse et retire son short, en dessous duquel il n’a rien, se positionner entre mes cuisses ouvertes et je sens le bout de son sexe se poser à au bord de mon petit trou et s’arrêter : Atterré, ne comprenant pas ce que j’avais pu faire à ma femme pour qu’elle me fasse subir cela, je sens le sexe d’ Yves peser sur mon anus, m’écarteler et s’enfoncer légèrement dans mon cul, me causant une forte douleur et une envie d’aller aux toilettes, puis après un moment, peser à nouveau plus fort. Enfoncé à moitié, Yves s’arrête pour me laisser sans doute m’habituer. Je me sens ouvert et rougis en gémissant devant le regard...
Une endurance - pretium beatituditis
il y a 2 ans

Le prix du bonheur.

La soumise est conduite au salon. Du aste volume de la pièce l'on ne distingue mal un donjon confortable. La croix de Saint-André est dissimulée derrière le grand buffet. L'anneau brun sur la poutre du plafond et les instruments apparaissant au travers des vitres de la bibliothèque sont discrets. Ellen longe le coffre. Sa libération passera par l'ouverture de celui-ci. Mais elle ne souhaite cela maintenant. Au contraire les deux pénétrations à suivre lui sont devenues essentielles, cela nécessairement ajoutées aux sévices que son Maître a sadiquement concocté pour elle. Pour descendre, j'ai harnaché Ellen histoire de lui compliquer le trajet. Chevilles et poignées serrés de menottes et mains croisées dans le dos, jointes aux omoplates, j'ai fixé une petite chaîne à chaque poignée passée par dessus l'épaule pour la relier à la cheville opposée. Suffisamment tendue pour rendre la démarche gauche. Mon assujetties qui m'avait exprimé il y a quelques semaines son voeux de faire embro...
Un job d'été menant à la régression 3
il y a 3 ans

Un job d'été qui conduit à l'infantilisation du protagoniste... Récit écrit en 2013, que je pensai avoir supprimé et que je viens de retrouver... Suite à vos encouragements j'ai repris l'écriture 8 ans plus tard. L'idée de base a peut être déviées, d'autres idées se sont incrustées... Mais j'espère que vous prendrez autant de plaisir à lire cette suite, que la publication initiale.

[Le premier chapitre de cette histoire est ICI](/recit/182677) Dimanche Je me réveille donc, dans le noir et en ignorant totalement de l’heure qu’il peut être. Seule certitude, en effet j’ai passé la nuit seul entre des barreaux… mais qu’est ce que cette tenue est agréable !!! Toute douce, ce sentiment de sécurité à pouvoir me laisser aller même quand je dors… j’ignorai qu’un tel sentiment était possible. C’est alors que la porte s’ouvrit, laissant entrer un filet de lumière et elle apparut… cette maman autoproclamée qui m’a réduit à cet état (lamentable ?). Avec toute la délicatesse dont elle était capable, elle m’aida à sortir du lit et une fois à terre me raccrocha la laisse avant de me trainer vers la salle de bain. « J’espère que tu as bien dormi, mais ce matin on a du pain sur la planche, il faut que je te rende présentable !! » Avec ma tétine, je ne pus lui demander si c’était pour sa fille qu’il fallait me rendre présentable, ou pour une autre raison… Une foi...
La soumission e vigie
il y a 3 ans

Une personne ayant déjà connu le monde BDSM, voit par hasard une femme proposer à un homme d'entamer une relation D/s. Il décide de les suivre sur le web.

Cela m’est revenu soudainement, comme un flash, des choses d’une existence passée auquel on n’attend pas la réminiscence parmi le banal du quotidien. Épauler, avouons-le par un petit artifice, un délicieux instrument pas vraiment fair-play... Cela est arrivé dans un hyper-marché de bricolage où j’avais le désir de faire fissa, car il s’agissait simplement me ravitailler en consommables de quincaillerie. Seulement il y avait ces deux personnes calées dans l’angle droit de mon regard qui conversaient depuis un moment, lanternant autour des pots et jarres. Je n’entendais pas leur propos, la partie jardinerie étant trop éloignés. Cependant l’on voyait que la dame, immobile, parlait beaucoup ; alors que le monsieur semblait se contenter de répondre et naviguer d’une gamme à l’autre des articles exposés. Puis il s’abaissa, le dos courbé, les jambes se pliant et le corps se voûtant plus encore fini par mettre une main à terre, l’autre fouillant le rayon le plus bas. L’effort avait abo...
Lisa et son amant
il y a 3 ans

L'histoire érotique d'une rencontre coquine

Le temps allait tourner à l'orage, elle le sentait. Sans même prendre la peine de se lever de son bureau pour consulter le ciel qu'elle devinait sombre et menaçant, elle sentait que les éléments feraient sentir leur puissance ce soir. L'inquiétude, l'angoisse mêlé à la saveur acide de l'excitation, ce subtil mélange qui la rendait presque tremblante, vulnérable, comme une enfant qui s'apprête à commettre une bêtise en toute conscience, ce mélange subtil de sentiments pourtant antinomiques lui plaisait, son corps en témoignait à travers ses jambes qui ne la portait plus par nécessité que par réel enthousiasme.. C'est aujourd'hui qu'elle avait décidé de franchir le pas... Ils s'étaient rencontrés via un site de chat, d'abord sans arrières pensées autre que d'oublier l'espace de quelques heures la monotonie du quotidien. Puis vint ce petit picotement à chaque pensée pour l'autre, puis le désir, d'abord timide puis ensuite sauvage; Un désir animal, instinctif... « Internet sépare...
Le piège du laboratoire de recherche
il y a 3 ans

Ils augmentent la libido sexuelle des femmes pour en faire des bombes

Inès du Plessis Méreuil travaillait sur le nouveau produit de l’entreprise de cosmétique Floréal : le Bimbeau. Son poste chez Floréal était son premier emploi après sa sortie d’école, et pour une jeune femme de vingt-cinq ans, c’était un emploi prestigieux : directrice du marketing… La campagne promotionnelle de ce produit devrait s’avérer facile à élaborer. En tout cas, dans le métier, le Bimbeau était ce qu’on appelait un produit qui se vendrait tout seul. Il suffirait d’en présenter les caractéristiques pour que le public se jette dessus. En tant que chef du marketing chez Floréal, elle avait le souci de promouvoir ce produit efficacement. Elle relut la description que les ingénieurs chimistes lui avaient fournie : « Le Bimbeau augmente le taux de phéromone de 300 % sans aucun effet secondaire ; le rayon d’action est de cinq mètres ; les effets commencent à se faire sentir vingt-quatre heures après la prise du produit et durent une semaine. Ce produit révèle la femme, il prod...
La secrétaire médicale
il y a 3 ans

Fétichisme médical, soumission et perversions en tout genre

Mon prénom est Caroline. J'ai 24 ans, brune assez grande, mince, mignonne. Mes cheveux m'arrivent à la taille, j'ai de petits seins très fermes, un derrière bien rond. Depuis trois ans, je suis l'assistante d'un médecin, je devrais plutôt dire l'esclave... À l’époque, je cherchais du travail, avec mon diplôme en poche et très peu d'expérience, à part quelques stages et un peu d'intérim. D'un naturel assez timide, sur le plan sexuel, je ne savais pas grand-chose non plus. Je me présentai donc après avoir lu une annonce. L'homme qui me reçut dans son cabinet était grand, bel homme, la cinquantaine bien conservée et me fit d'emblée une forte impression, malgré son air très froid. Il était spécialiste en gynécologie. Il était en blouse blanche, me fit entrer dans son cabinet, me fit asseoir dans un fauteuil assez bas devant son bureau où il prit place. Il examina mes références, m'expliqua ce qu'il attendait de moi. Tout en me parlant, il m'examinait de la tête aux pieds de faç...
La secrétaire médicale 2
il y a 3 ans

Fétichisme médical, soumission et perversions en tout genre

Le travail "normal" reprit de plus belle. Vers cinq heures, nous eûmes une courte pause causée par une décommande. À ce moment, il était assis à son bureau et j'étais debout près de lui. Soudain, avant que j'aie pu réagir, il glissa vivement sa main sous ma jupe, remontant jusqu’à l’entrejambe trempé de ma petite culotte, que ses doigts eurent vite fait d'écarter pour pénétrer mon sexe ! - Mais dit donc, petite cochonne, ça t'a fait de l'effet de me voir pratiquer un fist fucking ? Je ne pouvais le nier, mais n'osais rien dire. Il me caressait merveilleusement et instinctivement, j'écartai les jambes pour lui faciliter l'accès à ma petite chatte. Il jeta un rapide coup d'oeil à sa montre et me dit : - Nous avons un quart d'heure devant nous. J'ai très envie de te baiser, tu sais ! Moi aussi, j'avais envie ! Sans protester, je le laissai me disposer comme il l'entendait : il me fit plaquer le buste sur le plateau de son bureau, passa derrière moi, troussa ma blouse...
La secrétaire médicale 3
il y a 3 ans

Fétichisme médical, soumission et perversions en tout genre

Le dimanche, je déjeune chez mes parents et passe l'après-midi au cinéma avec mes soeurs. La nuit précédente, j'ai dormi d'un sommeil agité, sans doute à cause de la cassette que j'avais regardée avant de m'endormir. Ce matin, je me suis livrée à une petite cochonnerie, que je peux confier à ce journal intime. J'étais debout, toute nue devant le lavabo de la salle de bains, en train de me brosser vigoureusement les dents quand la phrase du docteur m'est revenue en mémoire : "...Tu peux pisser en te lavant les dents..." et pourquoi pas ? Je resserrai mes jambes et me concentrai pour essayer d'uriner : cette fois ça vint très vite, mais j'essayais de contrôler ma miction, pour qu'elle dure le plus longtemps possible, m'efforçant d'interrompre le jet, puis me relâchant à nouveau ! Mon urine chaude coulait le long de mes cuisses et de mes jambes, et je continuais de ma brosser les dents, me mirant dans le miroir et me traitant de cochonne d'oser faire des choses pareilles......
Un job d'été menant à la régression
il y a 3 ans

Un job d'été qui conduit à l'infantilisation du protagoniste... Récit écrit en 2013, que je pensai avoir supprimé et que je viens de retrouver... N'hésitez pas à signaler si vous voulez une suite...

**Introduction** Cela c’est passé l’été de mes 19 ans. Étudiant à la fac d’éco de Strasbourg, je suis prioritaire pour travailler cet été au sein du conseil général. C’est ainsi que je me retrouve à travailler dans un service qui fait du social, à ranger des documents, trier des dossiers… Dans ce genre de service, il y a bien plus de femmes que d’homme. Moi excepté, il y avait seulement un autre homme plus âgé qui avait pris ses vacances pour le mois d’Août. Lors de mon tout premier jour, j’ai visité les bureaux, et vis un cadre avec une jeune fille blonde, très mignonne. Je suppose que c’est sa mère qui travaille là, et je cherche à en savoir davantage…Mais on me dit que Sophie (le nom de la mère) n’est de retour que la dernière semaine de Juillet. Apparemment, elle vient tout juste de divorcer du père de sa fille à cause de son infidélité, et elle a ramassé un jolie pactole au passage dû à la situation de son mari (un avocat d’affaire gagne assez bien sa vie il parait…). Malgr...
Candaulisme, une révélation
il y a 3 ans

Un soir au bois l'expérience sexuelle me donna des envies de plus

Avec mon copain nous sommes très coquins. Nous partageons nos fantasmes sans pudeur, enfin moi plus que lui mais ce n'est pas grave, le principal est que nous nous aimons. Au fil des années, nous avons commencé à sortir de la maison pour réaliser nos fantasmes en allant par exemple dans des bois ou des maison abandonnées pour faire l'amour. L'idée que je me fasse baiser par un autre sous ses yeux excitait prodigieusement Luc, nous avons même réalisé de petits scénarios pendant lesquels je me godais et me branlais dans la chambre pendant que lui attendait dans le salon. Un soir où nous étions monstrueusement excités, nous avons décidé d'aller dans un petit bois où nous avions repéré des voitures qui tournent et d'autres qui restent arrêtées en attente d'un hypothétique rencontre. Je m'étais habillée très sexy avec une robe ultra courte sous laquelle évidement je n'ai pas mis de culotte. Lors de notre arrivée il n'y avait personne, Luc m'a alors demandé de descendre de la voiture et l...
Mon histoire de cocu
il y a 3 ans

Ma femme se venge

Ma femme était particulièrement joyeuse depuis quelque temps, elle chantonnait, souriait souvent et était d'humeur très coquine, ce qui ne lui était pas arrivée depuis longtemps. Je la trouvais vraiment belle, elle s'habillait très sexy et je dois dire que notre vie sexuelle avait pris un sérieux coup d'accélérateur. Sophie redevenait comme au début de notre mariage, il y a 9 ans. Avec la routine, le travail et les enfants, nous avions un peu perdu de vu notre amour. Agés tous les deux de 34 ans, nous avons une vie plutôt paisible, je suis directeur commercial d'une petite PME et ma femme est secrétaire dans une grosse entreprise de bâtiment, nous gagnons pas trop mal notre vie et nos deux e n f a n t s se portent bien. Après l'avoir questionné plusieurs fois sur son changement d'humeur, auquel je n'ai pas eu de réponse, j'ai décidé de profiter de la situation. Nos câlins qui étaient, il y a encore un mois, de médiocre qualité et assez peu fréquent, devenaient une vrai fête des...
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