Récits
Retour de vacances
il y a 4 ans

Retour de vacances

Retour de vacances Ma femme était partie en vacances pendant plus d’une semaine et elle commençait sérieusement à me manquer. Tous les soirs je l’imaginais nue et très chaude, prête à s’exhiber, elle qui est pourtant d’ordinaire très pudique. Je rêvais de situations très coquines et souvent je me branlais en pensant à elle. J’avais envie aussi d’essayer des expériences nouvelles afin que nous poussions réaliser tous nos fantasmes inassouvis. Il est vrai que l’on imagine plein de scénarios dans sa tête et que lorsque l’on se retrouve face à la réalité ces fantasmes restent souvent lettres m o r t es car les situations ne sont jamais exactement les mêmes que celles qu’on avait prévues. Ce qui est sûr en tout cas c’est que j’avais très envie d’elle, même après avoir craché tout mon jus plusieurs soirs de suite en me masturbant. Il y a des périodes, en effets où même la jouissance n’apaise pas les tensions et où l’on en veut toujours plus. Alors j’attendais avec impatience son retour. Je...
Enculé par un homme devant ma femme
il y a 4 ans

Enculé par un homme devant ma femme

Peu à peu, il m’est venue une envie étrange; lorsque je voyais le va-et-vient de ma queue dans le cul de ma femme, qu’elle se tortillait en gémissant, me suppliant de la laisser dans son cul, j’ai commencé à m’imaginer cette sensation, me voir à sa place, et ma queue se gonflait plus encore à cette idée... Je me suis mis à me poser des questions, d’où me vient cette envie, cette idée, ce désir d’être femelle, alors que je suis tout ce qu’il y a de plus "hétéro". Un soir, j’ai posé une question de manière innocente à ma femme... - ça te fait quoi quand je te la mets dans le cul? - j’adore, je me sens chienne, une sensation de chaleur et de bien-être indescriptible traverse mon corps quand tu me limes - crois tu que sur un mec, la sensation soit la même? - oui, les homos deviennent dingues lorsqu’ils y goûtent, ils me racontent leurs histoires au salon de coiffure. Je m’arrête de parler, mais elle reprend de plus belle; elle a vite compris... - pourquoi, tu as envie d’essayer? -...
Je suis devenue une pute à blacks
il y a 4 ans

Elle se guérit avec des noirs.

#### Tout avait mal commencé. Le décès de mon papa m’avait profondément affectée comme on peut le concevoir pour une fille pour laquelle celui-ci avait été le paradis et comme un dieu. Ainsi fus-je enfoncée dans une longue dépression qui devenant interminable choqua mon mari lequel voulut à toute f o r c e m’en guérir. Cela l’agaçait. La compassion y avait peu de part. C’était un égoïste. Mon mariage avec lui était devenu malheureux. Il m’exhibait telle une potiche. Il ne me touchait plus. Je lui savais des maîtresses par le propos d’âmes charitables. Tout s’était envenimé il y a deux ans. Nous avions embauché un homme à tout faire et pour lequel une part du revenu était compensé par du crédit d’impôt. Mon mari était du genre pingre et toujours avisé pour les choses d’argent. Je croisais tôt le matin, le gentil Traoré lorsque j’allais au bureau. Il enlevait à cette époque les feuilles m o r t es qui jonchaient notre pelouse. J’étais flattée de son regard sur ma personne. Inté...
Mon Maître sait que je fais du selfbondage
il y a 4 ans

Les confidences érotiques d’une soumise adepte sur selfbondage qui va vivre une expérience unique.

### Mon Maître sait que je fais du selfbondage pour assouvir mes envies. Il ne me l’interdit pas parce qu’il est marié et ne peut pas satisfaire mes besoins de contraintes et de jeux. Oh je ne suis pas abandonnée pour autant, quand il peut se libérer il est à la fois un ange et un démon. Il attend que ses enfants soient plus grand pour divorcer, personnellement cela me convient, même s’il ne divorce jamais, car je suis aussi très indépendante. Pour revenir au selfbondage, la seule chose qu’il m’a imposée c’est de le prévenir par texto quand j’en fais un puis un second plus tard, quand je me suis libérée. Il est convenu que je lui donne un temps maximum afin que si je suis bloquée, il puisse venir me libérer. Pour éviter les soucis inutiles et de le déranger, je rajoute toujours une dizaine d’heure au cas où ma libération serait plus longue que prévue. Je lui ai demandé d’a b u s e r de moi et même de me v i o l e r, si un jour il devait venir à mon secours. Il a, dans cette c...
La Signature
il y a 4 ans

La Signature

Cela faisait deux jours maintenant et Laure ne parvient toujours pas à s'ôter de l'esprit cette soirée si lourde en conséquence. Les préparatifs de son prochain rendez-vous l'en empêchent. Elle, si patiente normalement, en avait eu assez d'attendre, assez de sans cesse susciter, provoquer une réaction qui finalement n'avait jamais pris rendez-vous avec ses sentiments. L'engueulade, les mots qui volent, dépassant la pensée, irrattrapables. Des crochets qui toujours atteignaient leur but, préparant les uppercuts qui frappaient au plus profond de l'âme. Il ne l'avait pas encore comprise mais il était déjà bien trop tard. Ensuite, rien de plus que l'irrémédiable, le départ, la tragique absence. Comme une vie peut basculer en 48 petites heures! Elle, qui n'attendait que l'amour, allait accepter qu'un autre puisse disposer d'elle à sa convenance. Qu'un homme rencontré il y a quelques heures à peine, qui depuis leur premier regard la repousse et lui fait peur, puisse cueillir impuném...
Un petit début avec 3 récits érotiques
il y a 4 ans

Un petit début avec 3 récits érotiques

Ce journal intime à double écriture a été écrit durant 13 ans, il relate une évolution, des progrès... J'y ai inclus des commentaires venus à l'esprit à la relecture. Voici mon histoire qui commence à 19 ans. J'ai fait la connaissance de celui qui deviendra mon mari. Il avait 3 ans de plus que moi. Une de mes amies qui était sortie avec lui m'avait dit de m'en méfier parce qu'il était fou, obsédé et je ne sais quoi encore. J'ai pensé qu'elle était jalouse et je n'ai pas tenu compte de ces paroles pour le moins « vaches ». Pour me dépeindre, j'étais une jeune fille très « écoles des Soeurs », petite (1m60), brune, très réservée. Pendant nos premières sorties j'ai trouvé mon compagnon plutôt réservé, une main parfois égarée, des baisers presque chastes. Un jour, je portais comme souvent une robe chemisier, sur une lingerie blanche bien sage, il m'a demandée quand je suis montée dans sa voiture d'ôter mon soutien-gorge, disant qu'il était inutile. Je l'ai déposé dans la boite à gants,...
Lavement comme une Gourmandise
il y a 4 ans

Une histoire érotique où le lavement n’est pas que d’ordre médical

Je suis une jeune femme pas trop mal foutue, avec ce qu'il faut, où il faut, et s'il m'est arrivé de rentrer seule quand je sortais en boite, c'était toujours le fait de mon choix, et non par pénurie de candidats à me raccompagner. Le problème ne se pose plus aujourd'hui puisque je suis lasse de toujours rentrer avec le même bonhomme, j'ai trouvé qu'il serait plus simple de sortir avec lui, de trouver une petite place pour moi dans sa vie, ou de lui faire une grande place dans la mienne. En bref, nous nous sommes mariés quoi ! Lui sans être beau mec, il a au moins l'avantage de me plaire, et ce qui n'est pas tout à fais négligeable, nous avons les mêmes valeurs. Coté bagatelle, ni l'un, ni l'autre, n'avons besoin de nous f o r c e r, c'est quelque chose de joyeux, spontané et débridé. La seule limite que je nous impose, c'est mon refus de la sodomie. Il a fort bien compris que je fixe cette barrière, ce n'est pas une question de pudibonderie ou de principe. Seulement étant d'un natu...
Drôle de métier drôle de vie
il y a 4 ans

Les confidences érotiques d’une légiste

Les confidences érotiques d’une légiste J’ai vite compris et accepté que jamais je ne pourrais supporter la douleur. Pas la mienne : celle de mes patients. Mon père est médecin de ville. Son père fut chirurgien, et sa mère ophtalmologue. Dans une famille de médecins, la destinée est tracée, déjà, dès les premières années de maternelle. On vous prépare, on vous formate. Pas une journée sans que j’entende parler de médecine, de pathologies, de maladies rares, de patients en fin de vie. Mes parents me voyaient radiologue ou chirurgien plasticien. Moi, pas du tout. J’ai quand même suivi le cursus qu’ils me proposaient, ou plutôt qu’ils m’imposaient. Je n’avais de toute façon pas d’autre idée de carrière. Puis quand j’ai eu le choix, j’ai tranché. J’ai opté pour la médecine légale. Mes parents ont hurlé. Mon père a failli faire une attaque. Ils ont cru à une passade, un caprice, mais j’ai tenu bon. Je suis médecin légiste, l’une des meilleures de Paris paraît-il, la plus tenace, la plus...
Je suis devenu une chienne soumise heureuse de l’être pendant le confinement.
il y a 4 ans

Une histoire érotique de chienne soumise heureuse de l’être pendant le confinement.

##### Confidences érotiques d'une femme appréciant le pets-play Déjà que mes finances étaient malades, après 47 jours de confinement, mon compte en banque est plus que rouge. Professionnellement, je vis de petits boulots d’intérim et autres en plus d’être danseuse dans un petit cabaret. Juste danseuse, je danse en maillot et c’est tout. Avant d’en venir à l’objet de cette histoire, un petit flash-back s’impose pour que vous compreniez comment j’en suis arrivée là. Ayant du abandonner mon petit appartement, je loue une chambre de bonne depuis plus d’un an. J’ai de gros problèmes pour payer mon loyer. Mon propriétaire est très sympa et c’est un très beau mec. Une fois j’avais trois mois de retard de loyer, et il est venu me voir pour en parler. En rigolant, je lui ai dit que nous pourrions négocier s’il acceptait que je paie en nature. Il a refusé en me disant qu’il n’était pas de ceux qui profitent des gens en difficulté. Quand j’ai constaté que je l’avais un peu fâché avec cet...
Initiation à la sodomie et à la soumission d’une soumise qui prend cher
il y a 4 ans

Initiation à la sodomie et à la soumission d’une soumise qui prend cher

Initiation à la sodomie et à la soumission d’une soumise qui prend cher Je me prénomme Virginie. J’ai 30 ans. Je suis cadre RH dans une grande entreprise et je suis mariée avec Stéphane, 35 ans, ingénieur en informatique. Il y a quelque temps, à bord du train de Paris, j’étais seule dans le compartiment et même dans le wagon. En revenant des toilettes, j’ai vu le bout d’une revue coincée entre la banquette et la paroi du wagon. Comme je n’avais rien à lire, j’ai pris cette revue pour voir ce que c’était. Il s’agissait d’un magazine érotique. Je suis retournée à mon compartiment et me suis mise à lire. Très vite, je me suis sentie à la fois gênée et excitée par les confessions que je lisais. À un moment, je me suis rendu compte que j’avais une main glissée dans ma culotte et que mon sexe était plus trempé que jamais. Aussitôt, j’ai retiré ma main et j’ai refermé les jambes, honteuse de découvrir mon excitation et effrayée qu’on ait pu me voir dans de si inavouables activités. J’ai fer...
Hier soir, mon mari m'a offerte à un ami ...
il y a 4 ans

Hier soir, mon mari m'a offerte à un ami ...

Hier soir, mon mari m'a offerte à un ami ... Je suis une femme de 43 ans, mariée depuis 22 ans, fidèle pendant plus de 20 ans. En février 2008, j'ai craqué et je me suis donnée à mon dentiste, un homme qui est veuf, qui a l'âge de mon père, et avec qui je fais l'amour deux à trois fois par mois chez lui lorsque mon mari est en déplacement en province ou à l'étranger, cet homme me donne énormément de plaisir... Mon mari n'est pas au courant de cette liaison et ne se doute absolument de rien. Mon mari est un peu voyeur et comme la plus part des femmes, je suis un peu exhibitionniste... J'ai souvent constaté que les hommes lorgnaient mes cuisses quand je m'asseyais quelque part ou que je montais un escalier, rien de plus normal mais, plusieurs fois mon mari m'a demandé d'écarter les cuisses pour le plus grand plaisir des voyeurs qui me mâtaient. Ca l'excite et moi aussi, d'ailleurs, je ne suis pas très pudique et laisse voir, souvent, ma petite culotte, par inadvertance, bien sûr. Cet...
Soumise A m'attend
il y a 4 ans

Une histoire érotique de rencontre BDSM secrète dans un hôtel

13:55 Si tout va bien, A. doit maintenant m’attendre, presque nue, dans la chambre 507. Je viens de rentrer dans l’hôtel Maison Albar Céline, rue du Pont-Neuf à Paris. J’aime cet hôtel. J’ai mis du temps à trouver le bon, l’hôtel idéal pour mes escapades libertines. À Paris, il y a de moins en moins d’hôtels qui réunissent encore les critères un peu particuliers que je recherche : – un hôtel 4 ou 5 étoiles ; – un grand lit, vous allez me dire, c’est relativement simple ; mais j’en veux un avec des montants pour pouvoir attacher mes amantes, et ça, c’est plus rare ; – et une baignoire ainsi qu’une douche à l’italienne : certaines femmes aiment la sensualité douce de deux corps enlacés dans la baignoire, quand d’autres apprécient beaucoup plus être prises violemment sous la douche ; – une piscine, un hammam, un jacuzzi, permettent de s’évader pour un temps de la chambre, de se ressourcer avant de mieux se replonger dans l’exaltation sensuelle du corps-à-corps ; – enfin, une excel...
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