Récits
J’ai couché avec le père de mon mari
il y a 5 ans

J’ai couché avec le père de mon mari

J’ai couché avec le père de mon mari Je suis une femme au foyer avec deux e n f a n t s. Il y a un mois, je suis allée chez mon beau-père pour lui faire du repassage. Quand il m’a vue, il a souri et fait la bise comme d’habitude. J’étais un peu fatiguée et stressée. Jean m’a demandée ce qui n’allait pas. Il s’est approché de moi, et j’ai fondu en larmes. Alors il m’a prise dans ses bras pour me consoler, et j’ai craqué. Je lui ai dit que son fils ne m’avait pas touchée depuis plus de deux mois. Il a eu l’air surpris. J’ai passé les bras autour de sa taille et posé ma tête sur son épaule. Il me caressait les cheveux en disant que tout allait s’arranger, et qu’il fallait être patiente. Je me serrais de plus en plus fort contre lui en pleurant. Il a déposé quelques baisers dans mon cou. Ça m’a fait frissonner de la tête aux pieds. Il s’en est aperçu et il m’a serrée encore plus fort. J’avais passé une jambe entre les siennes et je percevais une grosseur contre ma cuisse. Je ne bougeais...
La pianiste ensorcelle la salle avec un rêve d’Amour à la Liszt
il y a 5 ans

La pianiste ensorcelle la salle avec un rêve d’Amour à la Liszt Un sublime histoire érotique

Une sublime histoire érotique à dévorer sans modération Elle l’avait suffisamment répété à ses élèves et aux journalistes pour savoir le risque qu’elle prenait : « L’œuvre de Franz Liszt est érotique, il faut avoir le cœur enflammé de désir pour transcender son œuvre. Ses « rêves d’amour » ne valent rien s’ils ne sont pas interprétés par une pianiste assoiffée de volupté. C’est la raison pour laquelle Liszt sera toujours plus magnifique interprété par une femme. Le désir masculin n’est pas assez subtil, pas assez profond, il est trop urgent. Le désir qui habite une femme aimée et qui aime est inégalable et seul capable de comprendre l’œuvre de Liszt. » On l’avait taxée de sexisme à maintes reprises, certains pianistes célèbres ne manquaient pas de lui envoyer des pics avant leur concert quand ils s’apprêtaient à jouer du Liszt, informant leur public qu’ils feraient du mieux possible et s’excusant d’êtres des hommes… Et chaque fois qu’elle-même donnait un concert de ce compositeur don...
Un cadeau d’anniversaire original
il y a 5 ans

Un cadeau d’anniversaire original

Depuis quelques années, je suis strip-teaseuse professionnel. J'ai une page sur le minitel et une autre sur le web avec quelque photos de moi afin d'attirer la clientèle. Mes affaires ne marchent pas trop mal. Je suis invitée soit à des anniversaires ou bien à des soirée de célibataires. J'ai même été invitée un fois à une soirée de femmes. Ma garde de robe s'est considérablement étoffée ces dernières années. J'ai toutes sortes de vêtement utile au strip-tease. Même pour la vie de tous les jours, j'aime porter des vêtement qui me colle à la peau. Rien n'est plus excitant pour un homme de deviner si je porte une culotte ou pas. J'en mets parfois une sous un pantalon très moulant, et celle-ci se découpe aisément dessous. J'aime alors le regard brillant des hommes sur mes fesses. Bref j'aime les vêtements suggestifs, guêpière en dentelle, body, porte-jarretelles, et bien d'autre choses. Portant, je n'étais pas comme cela avant. Certes je prenais soin de mon corps, mais j'étais une femme...
Occasions manquées
il y a 5 ans

Il faut savoir profiter des occasions

La vie est trop courte et la santé si instable que j’ai toujours voulu profiter des occasions de satisfaire mes instincts sexuels. Je me souviens pourtant de trois occasions, ou du moins ce qui m’a semblé en être, où la conscience du devoir fut prioritaire. La première fois, roulant un jour de juillet sur la RN 10 en direction du sud, j’ai vu à l’intérieur la voiture qui me précédait, un couple de mon âge, alors environ 35 ans ; l’homme conduisant, la femme lui lisant le « livre à couverture bleue » auquel Françoise Giroud avait, quelques mois auparavant, consacré, sous ce titre un éditorial de [L’Express](https://www.lexpress.fr/). Pour ceux qui, par extraordinaire aujourd’hui, ne connaîtraient pas ce livre, il raconte l’histoire d’Emmanuelle, 19 ans, qui, récemment mariée à un bourgeois expatrié, s'offre à des amants et amantes dans la moiteur de Bangkok sous la coupe de Mario, son « professeur de jouissance ». Ses aventures, d'abord publiées dans la clandestinité, en avaient...
Aventure d'un soir
il y a 5 ans

Aventure d'un soir histoire érotique

Aventure d'un soir Consultante junior en ressources humaines, j’étais en mission dans un séminaire d’entreprise de trois jours, dans un hôtel. Le soir du deuxième jour, je discute, comme la veille, des activités du lendemain avec le collègue que je seconde dans cette mission. Bientôt il remarque que des notes, restées dans sa chambre, lui manquent. Je lui dis d’aller les chercher vite fait, mais lui me propose de terminer cette réunion dans sa chambre, sous prétexte que nous y serions plus au calme que dans le bruit du bar. Pressée d’en finir, j’accepte sans trop argumenter. Nous allons donc dans sa chambre et, impatiente d’aller me reposer et d’en finir avec cette journée, je m’évertue à conduire la discussion au plus vite vers sa conclusion. Lui au contraire semble avoir tout son temps et bien souvent la conversation s’égare d’anecdotes en divagation, de confidences en plaisanteries. Il est beau parleur, ce collègue et il a ce charme discret qui fait que, malgré soi, on s’intéresse...
Pris au piège
il y a 5 ans

Pris au piège

Une histoire érotique de pucelage qui s’envole dans les douches J'avais 18 ans à l'époque. J'étais toujours puceau et les seules expériences sexuelles que j'avais eues jusqu'ici consistaient à la branlette en solo ou encore, quelques branlettes mutuelles poussées par la curiosité de l'a d o l e s c e n c e avec un cousin. Néanmoins, la masturbation me permettait de lâcher mon fou. J'étais excité par un rien... La vue d'une épaule de fille vêtue en camisole, le bruit du vent dans les arbres, l'odeur de la tarte aux pommes ou encore la simple idée de me retrouver seul quelque part. Mon érection se faisait alors rapide comme l'éclair et bien qu'arborant fièrement ma queue dressée dans le privé de ma chambre ou à la salle de bain, en public, il en était tout autre chose. Il ne fallait pas que ça se voit, sinon imaginez la honte! Alors que nous avions tous cours libre par une belle matinée, je profitais doucement des premiers rayons chauds du soleil du printemps. Avant de sortir, j'avai...
Rencontre avec une nympho
il y a 5 ans

Les confessions érotiques d’un policier appelé pour des agissements suspects

Dès que j’arrivais près de la maison, j’entendis les notes d’une mélodie au piano qui s’en échappaient. Je me demandais si c’était une des habitantes qui en jouait. Je secouai la tête, me reprenant ; je ne devais pas avoir d’a priori. En face, la mer était calme. Cette maison près de la plage était très isolée. Une mère y vivait avec sa fille. Nous avions reçu un appel d’un homme – le plus proche voisin, à plus d’un kilomètre – lançant des allégations étranges, accusant, etc. Le topo habituel. Mais cet homme avait l’air effrayé. Vraiment. On ne pouvait donc pas rien y faire, paraissait-il. Voila pourquoi on m’avait envoyé, juste en vérif'. L’entrée de la maison se trouvait face à la plage. Je m’avançai, et cherchai une sonnette… en vain. Mal à l’aise, je toquai alors au chambranle de la porte. Une silhouette arriva dans mon champ de vision, à travers la porte-moustiquaire. C’était une jeune fille, la vingtaine, vêtue simplement d’un mini-short rouge et d’un haut rose. Je portai mon...
Blandine au confessionnal
il y a 5 ans

Une histoire érotique très coquines avec un curé très pervers

"Blandine courait, courait vers l’église, elle avait fauté, péché, oh mon Dieu , ces mots jouaient la sarabande dans sa tête. À peine 18 ans, et voilà que les conseils de Monsieur le curé étaient passés à la trappe. Elle avait couché comme on disait. Le curé la regardait s’approcher, du porche de son église. Elle courait, tout son corps de jeune femme en mouvement. Jambes galbées sous sa petite jupe qui laissait voir ses genoux ronds, hanches larges, mais bien proportionnées au-dessus dune paire de fesses qui ne pouvaient qu’attirer le regard ou les mains. Plus haut la poitrine, lourde, mais ferme se balançait au rythme de la course Le visage de Blandine reflétait dans son ovale encadré de cheveux roux, à la fois l’effort, la crainte, la perplexité mais aussi le caractère sensuel de la jeune femme : lèvres charnues, bouche ouverte, yeux brillants et expressifs, perle de sueur aux tempes et au front. Elle déboula dans la nef, sans même voir l’homme d’église qui s’était reculé au m...
Au clair de la lune chez les Africains
il y a 5 ans

Une nuit de bonheur

##### Après l’après-midi racontée dans « En jockstrap chez les Africains », suivit un bain de minuit avec, outre « mes » trois Africains et mon cousin, deux couples invités, un homme et trois femmes. Autour de la piscine, par un lumineux clair de lune, tous étaient nus, moi en jockstrap, totalement épilé, acceptant tout ce qui avait été convenu pendant le dîner : lécher tous les culs et les chattes, boire leur pisse, recevoir des giclées de sperme dans la bouche et sur le visage, me faire ramoner et fister le trou du cul à volonté, me faire étirer le paquet bite-couilles, me faire planter des pointes dans la peau des couilles et des aiguilles médicales dans les couilles, toutes pratiques dont je suis friand, j’aime que l’on s’occupe de mon corps. J’avais mis une condition préalable : me faire planter dans chaque fesse au moins cent épingles à tête ronde avec aiguille de 25 mm, j’en avais apporté davantage. Pour moi c’est une jouissance, hélas trop rarement réalisable, mes parten...
L'entrevue
il y a 5 ans

L'entrevue histoire érotique

Aurélie est nerveuse, c'est évident. Difficile de la blâmer, après un nombre vraiment décourageant de refus, c'est la première fois qu'elle obtient une entrevue réelle, en personne. "Pour un travail?" Me demanderez-vous? Pas tout à fait... enfin, oui, peut-être. Tout dépend de votre définition du mot travail. Cela fait maintenant un an que nous sommes ensemble, Aurélie et moi. Elle a vendu son appart et est emménagée chez moi il y a dix mois déjà. Elle semble vraiment bien heureuse de ce dénouement et pour moi, c'est carrément le rêve devenu réalité. Aussi tordu que ça puisse sembler, je suis tombé ridiculement amoureux de cette fille la première fois que je l'ai vue, même si c'est au moment où elle se faisait... enfin, je vais laisser Aurélie raconter cette partie puisque c'est pertinent à l'entrevue qu'elle s'apprête à passer. On peut donc dire que c'est un emploi dans le sens le plus pratique du terme puisqu'il indique un salaire, même si cet emploi risque fort de s'avérer occasio...
Carnaval 1
il y a 5 ans

Mes trente ans à Rio de Janeiro

Je suis allé passer la semaine de mes trente ans à Rio de Janeiro, pendant le carnaval, en compagnie d’une amie, Christine, vingt-cinq ans, grande, mince, une poitrine de gamine, un pubis parfaitement lisse, une affamée de sexe qui, travaillant dans le milieu du cinéma, était déjà venue à Rio pendant le carnaval. Jamais de soutien-gorge pour Christine, c’était inutile ; ni bas ni culotte, de vaporeuses robes ne descendant guère au-dessous des fesses, de légères sandales ; ##### La trousse toilette était l’essentiel de son bagage. Avant même d’arriver à notre hôtel, sur Copacabana, nous baignions dans la samba qui, nuit et jour, pendant toute la semaine, n’arrêtera jamais. Samba pendant les défilés officiels, bien sûr ; mais samba toujours et partout, que l’on soit dans la rue ou à l’intérieur des maisons ou des hôtels, toujours un air de samba vibre à vos oreilles, vous enveloppe, vous donne envie de danser, envie de s’exhiber, envie de baiser. À peine arrivés dans la chambre...
Lèche mes orteils
il y a 5 ans

Lèche mes orteils une histoire érotique où la femme dirige

Après une journée consacrée pleinement à la plongée du matin jusqu’au soir, tout le groupe était d’humeur à faire la fête, moi y compris. Nous étions à l’aise avec nos deux instructeurs et l’ambiance était aux plaisanteries et aux fous rires. Le soir, dans notre restaurant unique et préféré où nous dévorions de délicieux poissons grillés, les langues commençaient à se délier. Autour de bières fraîches et propices à faire parler, nous nous dévoilions un peu plus. Sébastien finit par demander à Tania et Michael s’ils étaient ensemble, ce à quoi ils répondirent très tranquillement que cela dépendait des saisons et surtout des touristes présents sur l’île. Nous restâmes muets un instant avant qu’ils n’éclatent de rire et que nous les imitions. Mais je ne pus m’empêcher de jeter un œil en direction de Julia, assise sur les genoux d’Andrew. Elle riait comme les autres, toujours aussi impassible. Comment faisait-elle pour ne rien montrer à ce point ? Est-ce que ce Michael n’avait été qu...
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