Récits
Alyssia, ma femme (15)
il y a 2 ans

Entre Eugénie et Alexandre il y a un rapprochement de plus en plus soutenu. Avec la bénédiction d'Alyssia

[Le début de cette saga est ici](/recit/192881) On a attendu Eugénie. Qui a fait son apparition sur le coup de onze heures. - J’ai pas pu plus tôt. Il y avait un monde ce soir… Alyssia a aussitôt pris la direction des opérations. - Bon, alors ce que je propose, puisque nous, les filles, on est en majorité, c’est que, pour commencer, les garçons nous offrent un petit strip-tease. Camille a battu des mains. - Oh, oui ! Oh, oui ! On s’est bien volontiers – et longuement – prêtés au jeu, Benjamin et moi. Sous le regard intensément attentif d’Eugénie, celui, intéressé, de Camille et le petit sourire semi-amusé d’Alyssia. Qui, quand on a enfin été nus, m’a regardé et a hoché la tête. - Il bande. Tu bandes, mon cochon. Et pas qu’un peu ! Je bandais, oui. À cause d’Eugénie. Qui nous contemplait tant et plus. Qui détaillait, qui examinait, qui jaugeait. Que le spectacle ravissait manifestement. Elle a proposé que quelqu’un vienne s’occuper de moi. - Parce qu’on...
Publie ton histoire et augmente tes chances de faire des rencontres
il y a 2 ans

Se faire connaître par le biais de ses publications

#### La publication d’histoire érotique est gratuite. Elle permet aux auteurs et aux membres de se faire connaître. Elle doit faire au minimum l’équivalent d’une page Word par exemple. ##### Nos conseils : - Faites attention à l'orthographe, la ponctuation, les majuscules, les paragraphes. Utilisez un correcteur. Faites des paragraphes, un pavé est difficile à lire. - Ajoutez une photo ou BD qui corresponde à votre texte augmente sa visibilité. - Choisissez bien les rubriques au moment de poster. ##### CE QUI EST INTERDIT Les histoires érotiques avec des personnes de moins de 18 ans, sauf exception (mais sans sexe) pour raconter votre première fessée par exemple ou, autre exemple avec l’ABDL ---> je régressais comme par magie et me suis retrouvé dans le corps d’un bébé, je pissais au lit, j’ai volé des couches à ma petite soeur. Zoo, racisme, inceste et Pédo. Pédo = suppression du texte et --> de votre compte. Fessestivites ne revendique aucun droit s...
Grands moments de solitude (7)
il y a 2 ans

Tout a une fin, hélas! Il restera de beaux souvenirs. Et la perspective de nouvelles aventures.

##### [LE DEBUT DE CETTE HISTOIRE EROTIQUE EST ICI](/recit/193862) J’ai investi la plage tôt, très tôt, pour pouvoir profiter à plein de cette dernière journée de mer et de soleil. Julien est presque aussitôt venu m’y rejoindre. Il s’est allongé sur le sable, à mes côtés. - C’est aujourd’hui… - Qu’on repart, oui. - C’est pas à ça que je faisais allusion. - Ah ! Ce à quoi, il pensait, lui, c’était… Il s’est redressé sur un coude. - On pourrait peut-être déjà s’offrir un petit acompte, non, qu’est-ce t’en dis ? Ce que j’en disais, moi, c’est qu’un type comme Julien c’était impossible de pas avoir envie avec lui ? Mais je me suis tue. Je me suis contentée de le regarder. Il s’est penché, penché encore. Ses lèvres ont effleuré les miennes. S’en sont éloignées. Y sont revenues. S’y sont installées. Sa queue s’est élancée, sous le maillot, contre ma cuisse. Les pointes de mes seins se sont dressées contre son torse. On s’est embrassés. Encore et encore. On s’est un peu...
Initié aux jeux humides par une femme
il y a 2 ans

Après le marathon au lit, elle lui fait découvrir d’autres plaisirs

J’étais complètement lessivé. Nu, couché sur le dos, je n’avais plus une once de f o r c e , mon entrejambe semblait ne plus exister, ma verge ressemblant à une nouille molle et poisseuse, vidée de toute sa substance. Une corrida épique avec Martine avait eu raison de toute mes f o r c e s et de toute mon énergie. Elle n’était d’ailleurs pas beaucoup plus fraîche, tout autant épuisée par ses orgasmes que par mes jouissances. Nous étions avachis, trempés de sueur, après une folle cavalcade et bien des essais du Kâmasûtra. Ivres d’un sexe B e s t i a l , effréné et débridé. Nous nous connaissions à peine, juste la rencontre d’un soir, vite conclue dans sa chambre avec pour seule envie de s’accoupler sans penser à rien d’autre. A peine si nous avions échangé nos prénoms dans ce bar trop bruyant; un regard avait suffi, nous ne cherchions pas le grand amour ni la rencontre de notre vie. Juste du sexe à l’état brut. L’accouplement égoïste tant pour l’une que pour l’autre. Notre façon...
Grands moments de solitude (6)
il y a 2 ans

La complicité entre ces quatre jeunes gens continue à s'épanouir grâce, entre autres, aux récits qu'ils se font les uns aux autres de situations compliquées dans lesquelles ils se sont trouvés.

Chloé n’en revenait toujours pas. - Wouah, les filles ! Ce pied que j’ai pris, hier soir ! Non, mais ce pied que j’ai pris ! Il y avait des mois et des mois qu’un mec m’avait pas fait grimper aux rideaux comme ça, moi ! - Ça, on a vu. - Et entendu. - Vous pouvez parler, vous ! Vous étiez pas mal non plus dans votre genre. Pauline a ri. Moi aussi. - Faut reconnaître qu’on s’est pas mal défendues. On était toutes les trois dans la salle de bains. Et Julien… - Il est où, lui, d’ailleurs ? - Encore parti chercher les croissants, j’parie ! - D’ici à ce qu’il y ait boulangère sous roche… - Manquerait plus que ça ! Oui, ben alors là, il a pas intérêt. C’est chasse gardée, Julien. - À trois, on te rappelle, hein ! À trois. - Je sais, les filles, oui ! Je sais. Paniquez pas. Vous aussi, vous l’aurez. Chacune son tour. Comme à confesse. * * * Il avait ramené des croissants, oui, mais aussi des huîtres. Et de la lotte. - Que je vais vous préparer. Aux petits oigno...
Grands moments de solitude (5)
il y a 2 ans

Une bourrasque soudaine peut parfois jouer des tours quand on est en robe et sans culotte

Le lendemain, le sable avait séché. Et on s’est fait une orgie de soleil, de mer et d’huîtres. - Qu’est-ce qu’on est bien ! Ah, ça, elle pouvait le dire, Pauline. - Et ça passe nickel, en plus, tous les quatre. - Il y a pas de raison. D’autant mieux qu’évoquer ces souvenirs, là, comme on le faisait, ça créait un climat vraiment très très complice, elle trouvait, elle, Chloé. Pas nous ? - Si ! Si ! Bien sûr ! Et elle se posait une question. Parce que là, c’était toujours avec des inconnus qu’on s’était trouvés dans ce genre de situation. Mais avec des gens qu’on connaissait ? Ça nous était jamais arrivé avec des gens qu’on connaissait ? - Si, moi ! - Toi, Océane ? - Et à la fac, en plus ! - À la fac ? Oh, faut que tu nous racontes ça ! Faut absolument que tu nous racontes ça ! Julien a proposé. - Ce soir alors ! À l’intérieur. Et à poil ! Comme moi, hier. Il y a pas de raison. Elles ont fait chorus. C’était vrai, ça ! Il y avait pas de raison. 2-...
Grands moments de solitude (4)
il y a 2 ans

Au tour de julien de raconter...

Quand je me suis réveillée, il faisait grand jour. Et il y avait plus personne dans la chambre. Pauline était dehors, au soleil, sur le sable. - Ils sont où, les autres ? - Chloé dans la salle de bains. Et Julien, porté disparu. Sans doute retourné nous chercher des croissants. Sûrement. Il nous doit bien ça. Après la nuit qu’il nous a fait passer ! Je me suis étendue à ses côtés. - Ah, ça, faut reconnaître que pour donner, ça a donné. - Et que ça aurait pu donner davantage encore… - Comment ça ? Elle s’est appuyée sur un coude, a approché son visage tout près du mien. - J’ai pas osé. Te caresser… J’ai pas osé. Mais comment j’en avais envie ! Elle m’a souri, m’a pris la main, me l’a serrée. Je ne me suis pas dérobée. Je la lui ai laissée. J’ai pressé la sienne. On est restées un long moment comme ça. C’était doux. Très. C’était apaisant. Et apaisé. - Océane… - Oui ? - Je peux te demander quelque chose ? Ta cabine d’essayage, là, t’y repenses des fois ? - Ça...
Grands moments de solitude (3)
il y a 2 ans

Pauline a trop bu et ne maîtrise plus rien

Julien s’est levé sans bruit, s’est habillé à la hâte et est gentiment parti nous chercher les croissants. - Il a intérêt à en ramener assez. Parce qu’elle crevait la dalle, Chloé. - C’est rien de le dire. Pauline aussi. - Ça creuse l’air de la mer. Sans compter… Elle a marqué un long temps d’arrêt. - J’ai trop aimé ça, cette nuit, qu’il ait pas pu se retenir. -  C’est la faute d’Océane. - Ben, voyons ! Faut bien une coupable. - Si, c’est vrai, hein ! T’as pas vu sa tête quand tu racontais ? Ah, elles lui plaisent nos petites mésaventures, on peut pas dire. - Oui, oh ben, s’il y a que ça pour lui faire plaisir, j’en ai d’autres, hein ! Elles aussi. Plein d’autres. - C’est normal. Nous, les filles, c’est sans arrêt qu’il nous arrive des trucs. Parce qu’on est des filles justement. Bon, mais… et maintenant ? On allait faire quoi maintenant ? Parce qu’elle était d’avis, Chloé, qu’il allait recommencer. - Ça fait pas l’ombre d’un doute. - Tu comptes pa...
Ma Bardot à moi
il y a 2 ans

Une jolie histoire d’amour et de fist sensuel

Un rayon de soleil se faufile entre les rideaux de la chambre d’hôtel, pour tomber juste sur la chute de reins de Juliette. Je ne me lasse pas de l’observer, allongée sur ces draps froissés, témoins de notre étreinte. J’ai envie de caresser son épiderme à quelques centimètres de moi, de laisser mes doigts courir de sa nuque à ses orteils. De faire parcourir à ma langue et à mes lèvres ce corps que je connais pourtant désormais par cœur. Mais je ne veux pas la réveiller. Alors, c’est à peine si j’ose respirer et je me perds dans la contemplation des reflets vénitiens de sa chevelure, dans les ondulations que j’ai eu tant de plaisir à mettre en désordre alors qu’elle était agenouillée devant moi, voici une heure. Sa main gauche est reposée sur le drap et le rayon farceur finit par tomber dessus, me renvoyant l’éclat doré de son alliance en plein visage. Je n’aime pas cet anneau. Il me rappelle le mien, que je touche machinalement du pouce. Je soupire. Juliette s’agite, puis tourne le vis...
Grands moments de solitude (2)
il y a 2 ans

Se retrouver toute nue, en plein magasin de vêtements, devant tout le monde, ce n'est pas forcément une partie de plaisir.

Pauline s’est penchée sur moi. - Tu dors plus ? - Plus vraiment, non. - On va chercher des croissants alors ? - Allez… Au-dehors, le soleil était déjà haut. On s’est engagées sur le petit chemin bordé d’ajoncs, derrière, à droite. C’était un raccourci, sûrement. - Il y a un sacré beau petit poulet, Julien, hein ! Ça, j’allais pas dire le contraire, mais c’était pas un scoop. Il y avait longtemps qu’on le savait. - Oui, mais on avait pas tout vu. Tandis que maintenant… Elle s’est absorbée un instant dans ses pensées et puis… - Elles sont à croquer ses petites fesses, n’empêche ! Comment je me suis régalé les yeux, moi ! Pas toi ? - Oh, que si ! - Tu l’imaginais comment sa queue ? - Je sais pas. Je… - Me dis pas que tu y as pas pensé. Toutes, on essaie de se représenter comment ils les ont faites, les mecs. Toutes ! Et à moins d’être vraiment coincée du cul, ce qu’est loin d’être ton cas… Alors ? - Quand je me l’imaginais, c’était plutôt en train de bander. T...
Grands moments de solitude (1)
il y a 2 ans

Se faire voler tous ses vêtements pendant un bain de minuit, ça craint!

- Une petite semaine au bord de la mer, ça vous dirait, les filles ? Tu parles si ça nous disait ! Tu parles ! Surtout qu’après la licence – qu’on venait toutes les trois d’obtenir haut la main – on avait sacrément besoin de décompresser. - Alors, on y va. Je vous emmène. La seule chose, c’est qu’il est pour quatre, le truc que j’ai trouvé. Et qu’il nous en faudrait une autre du coup. Que ça nous fasse moins cher. Une autre ? D’accord, oui, mais qui ? On en connaissait des filles. Des quantités. C’était pas là le problème. Seulement il en fallait une avec qui on soit sûres de s’entendre au moins un minimum. C’était pas la peine sinon. On en a passé tout un tas en revue, mais il y avait toujours quelque chose qui coinçait. D’une façon ou d’une autre. J’ai fini par proposer, en désespoir de cause. - Et si on demandait à Julien ? Chloé a bien fait un peu la moue. - Un type ? On prend des risques. Mais Pauline s’est tout de suite montrée enthousiaste. - Oh, oui, Ju...
Une nuit coquine avec une cochonne à fister
il y a 2 ans

Un récit érotique croustillant et très « humide »... mené de main de maître

Les directeurs de notre bureau de Beauvais m’ont envoyé à notre usine de Mâcon pour travailler avec les gens sur un problème de production. Ce n’est qu’une semaine, m’ont dit les gérants, peut-être deux au plus, mais un mois plus tard, je suis là, et je suis en train de mettre les choses au point et de me préparer à rentrer à la maison. L’usine de Mâcon n’était pas vraiment à Mâcon…, mais dans une petite ville au nord de la ville elle-même. J’y ai pris un petit appartement de location temporaire, et quelques nuits par semaine, j’ai pris l’habitude de m’arrêter dans un petit salon qui se trouve entre l’usine et mon appartement. Je prends une bonne Guinness bien fraîche, ou parfois un whisky, je bavarde avec le barman, puis je me rends chez moi. J’ai vite remarqué qu’il y a un ou deux habitués de cet endroit, et qu’à une table, il y a habituellement trois filles, peut-être dans la vingtaine, qui font la même chose que moi, c’est-à-dire prendre un verre sur le chemin du retour. Ell...
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