Récits
Gavage d'une oie blanche 2
il y a 8 ans

Gavage d'une oie blanche 2

Voici le contenu du mail « Ma grosse pute chérie maintenant que ton gros cul a été inauguré il serait dommage de ne pas en profiter pour l’exploiter. Je veux faire de toi une vraie pute, tu te feras payer pour être baisée. Je te procure les clients et toi tu écartes les cuisses. Du vendredi soir au dimanche soir tu seras ma gagneuse. J’ai visité ta maison pendant qu’Ousmane te niquait, il y a quatre chambres à coucher et deux salles de bain et en plus elle est isolée donc discrète, ça fera un bordel idéal, on aménagera une chambre ou deux pour ton ‘travail’. Quand tu recevras tes clients je serai toujours présent pour assurer ta sécurité, mais attention je veux du travail bien fait, tu feras TOUT, absolument TOUT ce que tes clients réclameront, si ce n’est pas le cas je m’occuperai de toi de manière que tu ne seras pas près d’oublier. Tu n’auras pas la possibilité de refuser des clients, vieux, gros, moches… tu devras TOUS les satisfaire. Il n’y aura pas que des blacks, il y aura...
Je regarde ma femme caché dans le placard
il y a 8 ans

La candauliste va être comblé

##### J'avais envie depuis quelques temps que mon épouse, Anne, fasse l'amour avec plusieurs noirs bien montés. Le fait d’être "cocu" dans ces conditions ne me déplaisait pas. Une fois déjà je lui avais fait tenter l'expérience, qui s'était révélée désastreuse, car l'individu n'avait pas été hardi et pas du tout « surdimensionné ». Elle n'avait accepté que difficilement ce contact, bien qu'au bout d'un moment, elle se soit lancée dans l'action. Cette fois j'étais bien décidé à lui faire retenter l'expérience, mais avec des types qui n'auraient pas froid aux yeux, et bien dimensionnés ! Je tirais au Polaroïd des photos de ma femme nue, dans des poses hard, de manière à pouvoir la « présenter ». Elle avait accepté cette séance se doutant bien de ce que j'allais faire. Lors d'un passage à Toulouse, dans l'hôtel où j'étais descendu, je rencontrais en discutant avec le réceptionniste qui est arabe, un noir, Moussa, qui semblait être son ami. Nous avons bavardé tous les trois, la...
Ma femme, ma pute
il y a 8 ans

Ma femme, ma pute

Ma femme, ma pute J’ai connu Julie, elle n’avait que 20 ans et habitait un petit hameau dans les Ardennes. Jolie, naïve et mince, elle travaillait pour l’épicier du village et nous, nous campions dans les environs. Mes copains et moi aimions camper sauvagement dans des endroits comme le bord d’un bois ou d’un champ ou encore dans une prairie pas trop loin d’un village. Citadins venant de la capitale nous aimions allez dans les bals et fêtes des petits villages Ardennais. C’est au cours d’une fête de village, en plein été que, je connu Julie, belle comme une rose et gaie comme un pinson. On la draguait tous les quatre mais c’est avec moi qu’elle se laissa aller et le soir même derrière une étable, je la dépucelai. Ma pauvre Julie, n’y connaissait rien en sexe et me laissa faire tous ce que je voulais d’elle. En une semaine, je fis le tour de son corps et explorai toutes les positions du « Kamasutra » Julie acceptait tous ce que je lui faisais, sans poser de question mais, sans être...
Ombres dans le noir
il y a 8 ans

Une soirée coquine qui dérape

Il était près de minuit, et la soirée battait son plein dans le petit appartement. L'alcool qui coulait à flots depuis le repas avait fait tourner la tête à bon nombre des amis, et encore plus aux inconnus qui s'étaient joints à la fête, comme si ces derniers avaient quelque chose de plus à prouver. A présent tous discutaient tranquillement avec plus ou moins de cohérence, certains roulaient des pétards pendant que d'autres tentaient sans grand succès de jouer à la console. Les deux amoureux, quant à eux, étaient pour le moment en train de s'embrasser goulûment dans l'entrée. Échauffée par la chartreuse, elle était dans cet état semi conscient et à moitié incontrôlable qu'il avait appris à apprécier. Acculé au mur, il "résistait" faiblement aux assauts de la langue aventureuse de sa compagne, tout en passant les mains sous sa jupe et son t shirt. Dans la pénombre, le passage des invités vaquant à leurs occupations vacillantes ne les dérangeait même plus. Elle semblait vouloir l'esc...
La patronne gloutonne
il y a 8 ans

Besoin de sexe rude et de pluralité

Me voici dans ce bouge. Néon de couleur, sono assourdissante, odeurs de frites grasses et de mauvaises grillades, la clientèle qui va avec… Un samedi soir ordinaire dans cet abominable bar-tabac de banlieue qui fait office de brasserie et où circule toutes sortes de m e r d e s. Les chiottes ou le parking servent de lieux d’échange. Mais ce n’est pas la d r o g u e qui m’attire ! Je n’en prends que rarement et je l’achète plus chère, mais de meilleure qualité, à mon dealer patenté. Le tenancier d’une boîte de nuit chic des beaux quartiers. Non, je suis ici pour satisfaire un autre vice. Mon vice, la queue ! J’ai besoin de mâles. Tant et plus ! Pas du raffiné, mais du vrai, du brut de décoffrage. Bien macho, un tantinet arsouille. Celui qui vous tronche sans façon ni tendresse. Juste attentif à son plaisir mais capable de vous exploser la rondelle. Je n’en peux plus. Voici des mois que je me contente des étreintes ordinaires de mes amants ordinaires. Mon équilibre mental exige qu...
Son premier Gang bang
il y a 8 ans

Voici un nouveau récit,

Voici un nouveau récit, dans un style un peu différent de ce que j'écris d'habitude, il faut dire que le thème si prête: Milles excuses pour les fautes d'orthographe et bonne lecture. Son premier Gang Bang Ils sont six, six hommes en pleine forme et vigoureux formant une haie d’honneur qui n’attend plus que son invitée, moi… Mon Maître me passe mon collier autour du cou et y accroche une laisse : « Voilà comme ça tu seras une vraie petite chienne. » Il tire sur mes cheveux pour faire basculer ma tête et m’embrasse. « Je vais t’offrir à tous ces mecs qui t’attendent en bandant. Ils n’ont qu’une envie, enfoncer leurs queues bien profondément dans tous les orifices que je vais leur accorder. Et toi tu vas jouir de te faire prendre ainsi. » dit-il un sourire sur le visage. Je gémis à ces mots : «-Merci Maître. » Il lâche mes cheveux pour tirer sur la laisse, m’amenant à quatre pattes, droit sur ces jeunes hommes en manque de sexe. Je suis terriblement excitée… Il s’arrête...
Le fantasme de la contrainte réalisé
il y a 8 ans

Le fantasme de la contrainte réalisé

Le fantasme de la contrainte réalisé Par Dede des alpes. Avec ma compagne Véronique , Véro pour nos ami(e)s et les nombreux mâles à qui elle a permis de pénétrer son corps , nous parlons assez librement de notre sexualité . Elle m’a avoué qu’un de ses fantasmes est , comme beaucoup de fantasme féminin parait-il , d’être prise de f o r c e et contrainte de pratiquer des actes sexuels considérés comme anormaux par les bien-pensants . En fin d’après-midi ayant fini mon travail plus tôt qu’habituellement je rentre chez nous sans la prévenir pensant lui faire la surprise . Entrant sans bruit dans le salon je reste médusé devant un cul que je ne connais pas. Une femme penchée en avant entièrement nue me tourne le dos, genoux écartés à demi-pliés, agite son postérieur ! Sa position me permet d’apprécier ses grosses fesses plutôt pâles suffisamment ouvertes pour montrer au fond d’une raie d’un rose plus soutenu un sphincter anal sombre qui s’ouvre et se contracte en fonction de ses efforts...
Offerte sexuellement une fois pour voir
il y a 8 ans

Elle fantasme sur du sexe hard

A regarder toutes ces photos et vidéos sur Fessestivites, cela donne des envies perverses. Mon mari et Maître y passe des heures, j’avoue qu’il m’arrive d’y aller aussi et parfois même de finir sous le bureau entre ses jambes si vous voyez ce que je veux dire. Voir ces femmes attachées et offertes à des hommes en rut titille mes neurones coquines et forcément me fait mouiller. C’est ainsi qu’un soir il a découvert en glissant sa main entre mes jambes que ces vidéos m’excitaient terriblement. Cette nuit là, je me suis retrouvée entravée bras et jambes écartées comme dans une des vidéos de soumises sexuelles. Il m’a prise comme un sauvage sans aucun préliminaire, dans l’état où j’étais quand il a fini de m’entraver cela ne m’a pas posé de problème, j’étais prête à la sailli. Après m’avoir faite décoller deux fois, il s’est mis à me parler, me dire des mots vulgaires. Il me traitait de pute, de bonne chienne puis d’autres mots tout aussi courtois, chose qu’il ne fait pas en temps norma...
Clara sur parkings d'autoroute
il y a 8 ans

sexe parking autoroute

Clara sur parkings d'autoroute Il faisait 20° dehors malgré la nuit tombée. Je décidais que c’était un soir dédié à l’esclavage sexuel de ma femme adorée Clara. Elle s’habilla avec une robe légère serrante bleu foncé. Cette robe lui arrivait au ras des fesses et le haut était composé de deux bretelles sur un décolleté. Elle ne fut pas autorisée à mettre de sous-vêtements. Je lui fis mettre ses souliers noirs à talons haut. Elle fit un chignon de ses cheveux blonds et mit ses lunettes. Elle était un peu nerveuse car je ne lui expliquais rien à part le fait qu’elle devait s’habiller en petite tenue. Nous sommes montés dans la voiture, et j’ai roulé jusqu’à une aire de repos sur l’autoroute. Je me suis garé juste à l’entrée de cette aire. Il y avait des voitures et des camions garés tout le long. La pénombre régnait. J’ai donné mes instructions à ma femme : - tu devras sortir et marcher jusqu’au bout de l’aire de repos puis revenir vers le milieu à hauteur des bancs à pic-nic et enfin...
Du candaulisme au gang bang 2
il y a 9 ans

Du candaulisme à la pluralité

Le lundi au bureau, le téléphone sonna tôt comme je l'attendais. C'était Bernard qui me salua chaleureusement, me demandant si j'avais passé une bonne nuit. Je le rassurais et lui demandais à mon tour s'il n'était pas trop fatigué. « A propos de fatigue, me répondit il, comment va Michelle se matin? » Je l'assurais qu'elle allait bien, que je l'avais trouvée plus gaie que d'habitude et plus heureuse de vivre. « Tu sais que j'ai pensé à elle, enfin je veux dire, ce que je pourrais faire avec elle, bien sur, si tu l'acceptes. » « Dis toujours. » « Tu sais que je suis sorti plusieurs fois avec ma femme dans cette boite échangiste à Paris, j'ai pensé que je pourrais y aller avec ta femme. » Je restais un peu sans voix. Je savais que Bernard et sa femme fréquentaient cette boite assez assidument les samedis soirs, il m'en avait raconté les détails, les hommes qui prenaient les femmes les uns après les autres, les femmes qui repartaient soutenues par leur partenaires tant e...
Aventure dans un club exclusif d'échangiste
il y a 9 ans

Aventure dans un club exclusif d'échangiste

Aventure dans un club exclusif d'échangiste Mon mari et moi faisons partie depuis un an d'un club exclusif d'échangistes. Pour faire partie de notre club il faut payer un abonnement cher à tous les ans et présenter un certificat de santé en bonne et due forme tous les trois mois. Le club est situé dans un quartier huppé. C'est une magnifique maison ancienne aux volets de quatre étages qui abrite nos moments de débauches totales. Dans cette maison, il y a même un passage secret connu seulement de certains initiés spéciaux et des propriétaires, un couple de retraités assez ouvert. Au premier étage, on retrouve un restaurant italien de haute gastronomie et aux trois étages supérieurs notre club privé. Un vendredi soir, nous sommes allés prendre un verre comme à notre habitude. Assis près de la porte du fond qui mène à l'escalier on regarde qui seras là. Une femme habillée de rouge vif, aux cheveux noirs, accompagnée de deux jeunes hommes blonds musclés, fait son apparition et s'engouffre...
Partouze bi très cochonne
il y a 9 ans

Partouze bi très cochonne

Bonjour. Je m’appelle Mathilda j’ai 26 ans, je mesure 1,65 m, je pèse 60 kg, je suis brune à la peau claire, mes mensurations sont 95-70-85 et je porte des lunettes à monture épaisse. Lors d’une sortie en boîte avec des amies nous avons fait la connaissance de deux garçons. Nous avons dansé, discuté et échangé adresses et téléphones. Un soir l’un d’eux, Fernand, m’a appelée et demandé si je voulais boire un coup en fin d’après-midi avec lui. Je lui ai répondu que oui. Il m’a donné rendez-vous dans un café du quartier Latin. Nous avons parlé de tout et de rien puis au bout d’une demi-heure il m’a proposé de faire un tour chez lui. La stratégie du dernier verre, je connais bien, mais Fernand, malgré la différence d’âge (il en avouait 39 mais devait en avoir plus) était fort attirant et j’acceptai l’offre sans problème. Son appartement est décoré avec goût, il me dit travailler dans le show-biz, il y en a qui ont de la chance ! Il met de la musique classique, tamise les lumières, on boi...
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