Ca n'est pas comme cela que j'avais prévu de passer mon Vendredi soir. C'était en partie pour aider Claire, ma soeur, qui avait deux baby-sitting dans la soirée mais surtout pour calmer ma mère qui était sur le point de me jeter à la rue, que je me trouvais à me rendre chez Geeta. Maman avait des problèmes pour me surveiller depuis le départ de Papa et elle sentait que je tournais mal. Voila pourquoi à dix-huit ans, une semaine de salaire en poche, j'allais faire du baby-sitting. Je me consolais en pensant que je pourrai dépenser plus Samedi soir et aussi que ça me faisait un prétexte pour revoir "Tati" Geeta. Elle n'était pas réellement ma tante. Elle avait travaillé pendant prés de dix ans avec Maman, puis avait arrêté pour s'occuper de son bébé. Cela avait causé une grande émotion à l'époque car elle n'était pas mariée et personne ne l'avait vue avec un homme. Depuis elle avait été le sujet de beaucoup de mes fantasmes et bien que personne n'ait vu le père, je savais qu'aucun...

##### Une rencontre ABDL originale Cela faisait quatre ans que je pratiquais le judo et j’étais déjà ceinture marron. Autant dire, que je n’avais loupé aucun entraînement. Ce sport dit de combat, me permet de compenser un peu ma petite taille, un complexe que je traîne depuis longtemps. « Si vous n’avez pas assez de muscle, utilisez ceux des autres à leur désavantage » est la phrase d’un professeur de judo qui m’avait convaincu. Entre mon travail et les entraînements trois fois par semaine, draguer les filles devenait un peu compliqué, surtout que je dois m’occuper de la maison de mon père certains week-ends. J’y fais des travaux qu’il ne peut financer et à 80 ans, il n’est plus en capacité de les faire. Mon seul loisir, hormis le sport, est l’ABDL. Dans le monde des DL, j’aime bien la douceur de la couche, et dans celui des AB, le côté régression pour son lâcher prise. Ce n’est pas obligatoirement « faire le bébé » qui peut paraître gagatisant, mais plus le côté douceur et le...

Enfin le mois d'août et les vacances. il y a 3 jours, une collègue de bureau, qui s'appelle Christelle, me demande de lui rendre service, en acceptant de l'emmener à Saint Malo où elle y possède un appartement. Ayant décidé moi aussi de partir en Bretagne dans la même région, j'acceptais de lui rendre ce service. Demeurant en banlieue parisienne, Christelle est venu chez moi la veille du départ, afin de pouvoir partir le plus tôt possible le lendemain matin. Etant plutôt du genre à prendre toujours beaucoup de bagages, j'acceptais d'aller la chercher chez elle, en voiture, afin de récupérer sa valise et un sac de voyage. La soirée se déroula dans une ambiance plutôt sympathique, restaurant puis fin de soirée à la maison, avant d'aller se coucher chacun dans notre chambre respective. Ayant une folle envie de me langer pour dormir, je m'assurais que Christelle était bien dans sa chambre et me dépêchais de mettre ma couche et un t-shirt avant de me jeter sous la couette. Au matin ve...

Cela avait semblé une situation idéale: loyer raisonnable, près du campus, bien meublé. Il n'avait que quelques inconvénients, y compris un manque relatif d'intimité, car c'était juste une pièce dans la maison d'une dame, et le fait que la dame semblait un peu étrange. Elle était dans la cinquantaine, pensa-t-il, et il n'y avait rien sur quoi il puisse mettre le doigt, mais toute son attitude semblait un peu décalée, comme si elle était préoccupée par des choses que la plupart des gens ignoraient tranquillement. Vers la fin de sa première visite, par exemple, elle avait demandé, à l'improviste et avec méfiance, s'il mouillait le lit. Choqué et un peu insulté, il balbutia un déni. Mais elle l'avait juste regardé, comme si elle ne le croyait pas vraiment. Et elle avait dit qu'elle ne louerait pas à un pipi au lit, et elle lui a montré une clause dans le bail pour le prouver. Il n'était pas inquiet, Cependant, tout le reste de la chambre, décida-t-il, était plutôt bon, et avec une t...

LES VACANCES Vendredi soir 18h, je pars du travail avec le sourire car je suis en vacances pour une semaine, je rejoins Lionel mon maitre pour passer la semaine chez lui. Je m’appelle Enzo j’ai 30 ans, je suis grand 1,m93 châtain aux yeux bleu, une silhouette entretenue mais pas musclée pour autant. Lionel mon maitre est plus petit que moi, il a un corps d’athlète des pecs saillants, des abdos magnifiquement dessinés. Tout le long du chemin j’imagine ma semaine de vacances avec mon maître, il est en télétravail donc on sera tous les deux à la maison. Je me vois bien allongé à côté de lui pendant qu'il bosse avec sa main qui me fait des grattouilles tout en tapotant sur son clavier. Je rentre dans la maison il est au téléphone, je l’entends juste dire à son interlocuteur : « Très bien lundi main 6h c’est parfait » Il raccroche et je lui saute au coup pour l’embrasser et je lui demande : « tu dois partir en déplacement lundi ? » « non, pas moi » me réponds il....

Doug Easton fit une pause, comme il le faisait souvent, en entrant dans la pharmacie. Voulait-il vraiment faire ça? Il avait vingt-huit ans et avait beaucoup à perdre s'il était attrapé. Après plusieurs années de travail à Wall Street après l'université, il avait décidé qu'il voulait changer totalement de vitesse et entrer dans un programme d'études supérieures en sciences fondamentales, obtenir son doctorat. et enseigner ou faire de la recherche ou quelque chose d'intéressant et pas si stressant. Doug était venu dans cette ville de taille moyenne sur la côte est parce qu'elle avait un excellent programme. Il avait suivi les pré demandes et obtenu un emploi dans le laboratoire où il voulait travailler en tant qu'étudiant diplômé, afin de se mettre en réseau pour accéder à un poste dans le programme. Nous étions maintenant en octobre et il travaillait depuis plusieurs mois maintenant. Cela avait l'air très prometteur. Il a simplement dû passer les GRE le samedi, dans une semaine à...

Un petit roman ABDL ou un jeune homme se fait piéger dans une monstrueuse machination. cela devient de plus en plus dur et humiliant. [Le début de ce roman est ici](https://fessestivites.com/recit/170523) Chapitre 5 A peine Doug s'était-il effondré sur son lit qu'il s'est endormi, épuisé par son épreuve. Il s'est réveillé plusieurs heures plus tard, en début de soirée, et il faisait nuit. Doug était désorienté. Pour le moment, il avait oublié ce qui s'était passé plus tôt. Sa première sensation fut une forte envie de libérer ses intestins. Il se leva dans l'obscurité et fut surpris d'entendre le froissement d'une couche jetable. Il ne se serait pas attendu à cela, car il ne portait généralement pas sa couche au lit (cela l'excitait trop pour lui permettre de dormir), mais il était content, car il pouvait simplement utiliser la couche pour se soulager. Somnolent, il détendit son sphincter rectal et permit ce qui s'avéra être un jet de liquide dans sa couche. D'une manière...

Chapitre 8 Doug a emballé son sac à couches dimanche soir pour son retour au travail sans objection. Ses fesses et son ego lui faisaient encore mal à cause des événements de la journée, et il n'était pas d'humeur à faire des histoires. Pourtant, il était plus qu'un peu inquiet pour le lendemain, quand il se rendrait au travail en portant sa couche et son sac à couches rose. Il s'inquiétait de ce que les gens du laboratoire découvrent, car le travail et le programme d'études supérieures auxquels il s'attendait qu'il le conduise semblaient être tout ce qu'il vivait maintenant que le reste de sa vie normale lui avait été enlevé. Ainsi, alors qu'il plaçait docilement trois couches fraîches, de la poudre, des lingettes pour bébé et de la lotion dans son sac, son esprit cherchait des moyens de se rendre moins visible. Certaines idées étaient évidentes. Il avait décidé qu'à partir de demain, il entrerait plus tôt et partirait plus tard. De cette façon, il pouvait aller et revenir de...

[Le début de ce roman est ici](https://fessestivites.com/recit/170523) Chapitre 10 Le rétablissement de Doug de ses «encouragements intestinaux» a pris le reste de la fin de semaine. Il était épuisé. Il n'était définitivement pas prêt à affronter Emily le lendemain à l'épicerie, et était très soulagé quand il est arrivé de la voir (encore), cette fois parce que c'était son jour de congé. Un autre voyage sans incident dans le magasin avec la fille calme et chaleureuse, qui, tout en ne procurant pas le frisson sexuel qu'Emily a fait, ne l'a pas non plus rempli d'anxiété. Il était heureux de rentrer à la maison et de se détendre pour le reste de la journée. La semaine de travail, elle aussi, n’était pas remarquable. Doug s'est retrouvé à remplir son régime de fibres, essayant d'éviter une répétition de la semaine dernière quand il a apparemment retourné trop peu de couches en désordre. Cela a eu pour effet désagréable d'augmenter considérablement le désordre dans chaque couche...

[Le début de ce roman est ici](https://fessestivites.com/recit/170523) Chapitre 12 Après avoir porté des couches pendant deux mois, Doug les remarqua à peine et, en fait, ignorait presque tout de les utiliser également. Ils étaient si épais et absorbants qu'il ne pouvait pas sentir quand il était mouillé; à la place, il a dû regarder la bande indicatrice. Parce que cela aurait été gênant au travail, il avait commencé à se changer avec une telle régularité pour éviter la possibilité de fuite. Cette méthode avait également pour effet de rendre la quantité et le moment où il mouillait réellement sa couche presque sans importance. Et cela a finalement conduit Doug à accorder de moins en moins d'attention à l'événement, de sorte que bientôt il n'a même pas remarqué quand il l'a fait. Pour la selle, en revanche, étaient différents. Il les sentait généralement venir, se levait parfois ou s'accroupissait pour faciliter le passage. Et même s'il avait à peine remarqué que ni mouil...

Chapitre 14 Doug est entré dans la salle d'examen indiquée par l'infirmière. Il se dandina nerveusement jusqu'à la table d'examen et posa avec incertitude le sac à langer rose que Mme Warren l'avait obligé à apporter aujourd'hui. Il l'emportait normalement partout, bien sûr, mais il avait demandé s'il pouvait être autorisé à le laisser à la maison une seule fois. La journée d'aujourd'hui était différente parce qu'il voulait faire bonne impression sur le médecin. Cependant, depuis qu'il a été obligé d'apporter le sac, il espérait simplement qu'il aurait cinq minutes environ avant que le médecin n'arrive pour pouvoir enlever sa couche et cacher son sac, car ces deux indices pourraient faire que le médecin pense qu'il était vraiment incontinent. La pire chose qui puisse arriver aujourd'hui, maintenant qu'il avait enduré les six mois entiers, serait que le médecin le prenait vraiment pour quelqu'un d'incontinent. Il devait faire de son mieux et se présenter tel qu'il était, que...

Pour cette session de selfbondage, j’avais prévu - Un gode et non pas un plug. Le gode bouge et s’enfonce quand vous vous asseyez dessus puis semble vouloir sortir après. Il ne peut pas mais ça fait des allers retours.... - Ma cage de chasteté longue pour être compressé quand je serai excité. Je l’avais mise en tout premier une heure avant. - Une couche pour personne incontinente pour pouvoir me laisser aller et sentir la chaleur de l’urine envahir mes parties sensibles pendant le selfbondage. - Une culotte en plastique pour y coincer tous mes vibros contre la couche. - 2 Paires de collants l’un sur l’autre pour que cela glisse bien par terre et la sensation d’être serré. - Un body de danse en spandex - Un petit gode dans la bouche en guise de bâillon. On ne peut pas le recracher et cela donne l’impression d’être obligé de sucer un homme. - Une cagoule BDSM isolation qui garde le gode bâillon + des bouchons d’oreille pour me priver d’entendre. La cagoule + les b...