CHAPITRE TROIS En Daddy attentionné, Patrick acheta des vêtements d’étudiante, jupe plissée, collants en laine, des sous-vêtements puis de vraies menottes pour de « petits jeux » avec sa petite « soumise » et de petits souliers roses avec de petits talons. Connaissant l’impact des cages de chasteté, il lui en prit une en guise de surprise. Avec le solde de la somme versée, il s’offrit un resto chez un de ses amis gay à qui il raconta ses aventures. - Tu me le prêteras ? Demanda son ami. - Oui mais pas tout de suite, il faut que je le dresse un peu ! Lui répondit Patrick. Pour préparer le terrain, ou plutôt la formation de Lucas, il lui adressa des emails croustillants en lui demandant des selfies coquins. Sur les photos qu’il conserva par précaution mais aussi avec quelques idées autres que coquines, on pouvait voir Lucas en bébé adulte, entièrement nu ou en couche à quatre pattes fesses offertes ou faisant l’allumeuse avec les sous-vêtements empruntés à sa mère. Ce qui...

Lucas est un jeune homme qui, de par sa petite taille n’a pas eu grand succès auprès des filles qu’il n’appréciait pas plus que ça. Mesurant un mètre soixante et pesant 54 kilos tout mouillé à seize ans, taille qui n’a pas évolué depuis, il n’entrait pas vraiment dans la recherche des filles préférant les beaux pectoraux. Essuyant échec sur échec avec la gente féminine, le gringalet de l’école avait fini par se faire une vie imaginaire, une vie de solitaire. Un évènement scolaire aux douches de la piscine a perturbé sa vie de jeune homme. Repéré par un vieux pervers, il ne s’est pas enfui et n’a pas hurlé quand le vieux lui a porté une attention particulière. Certes, si se faire laver le dos par un « copain » ne lui a pas déplu, il n’a été que gêné lorsque la douche est devenu plus « tactile » sur d’autres parties de son corps. Pour une fois, quelqu’un s’intéressait à lui, un peu comme si il était une fille et ce n’était pas désagréable du tout. Ce premier contact charnel fut le dé...

Une canule me pénètre, une fois en place je sens celle ci gonfler en moi. Le maître tire un peu dessus pour s’assurer qu’elle est bien en place . Ensuite je sens le liquide remplir mes entrailles. Lentement mais sûrement, j’ai l’ impression qu’il y met des litres. La sensation du liquide me parcourant m’excite, mon sexe n’en peut plus dans cette ceinture. J’ai les entrailles pleines je commence à avoir des crampes, mon corps souhaite évacuer tout mais il n’y parvient pas ! J’ai des sueurs froides, et les crampes sont de plus en plus fortes. Je gémis, lorsque que cela s’arrête enfin. Le maître me libère de mes liens. « Descend » c’est avec une infinie lenteur que je descends je suis obligé de gérer les contractions de mes entrailles. Le maître tire sur la laisse , les quelques mètres qui nous séparent des toilettes me paraissent incroyablement loin. C’est à quatre pattes les jambes serrées autant de je puisse que finalement j’arrive au toilettes » « Assied toi ! » je suis à...

La soumission est la régression imposée titille de plus en plus Manu dans ses fantasmes. Il a déjà une chance inouïe d’avoir rencontre Lydia, une femme adorable, douce, câline et comme l’on dit, qui a le coeur sur la main. Sa générosité d’âme et sa gentillesse font qu’elle a accepté sans trop de peine que son mari s’amuse avec des couches. Après tout, « ce ne sont que de grosses culottes » comme elle se plait à dire. La problématique de ce couple, est que Manu devient très égoïste, il ne pense qu’à ses petits jeux et délaisse sa femme âgée de dix ans de moins que lui. A trente cinq ans, elle a des envies de sexe et de câlins fusionnels, de ces rapports sexuels où les corps ne font plus qu’un. Hélas, Manu trop centré sur ses couches ne l’honore plus, il a « des pannes », d’après lui liées à des soucis professionnels qui le minent. Elle découvre un jour sur leur ordinateur que Manu surfent sur un site nommé Fessestivites et qu’il a même pris un abonnement. Curieuse et en même tem...

J'ai bientôt 50 ans, encore jeune d'esprit, si je ne le suis plus tout à fait de corps ! Je ne cherche donc pas particulièrement à vous faire rêver à une nymphette imaginaire et je ne vous enverrai pas non plus de photos car je n'en ai pas, du moins dans des poses et avec des tenues que vous semblez tous apprécier. J'ai cru comprendre que les femmes qui écrivaient sur votre forum étaient très rares et en fait bien souvent des hommes qui se faisaient passer pour des filles. J'ai vécu de nombreuses années avec un homme qui, comme nombre d'entre vous, aimait (et aime sans doute toujours, nous sommes maintenant séparés), mettre des couches et des culottes en plastique ou en caoutchouc. Déjà avant notre mariage, il y a de cela plus de 20 ans, j'avais bien remarqué son attirance pour mes culottes périodiques doublées de plastique, culottes qu'il lui arrivait même de mettre, pour, comme il disait, être en intimité avec moi dans ces moments là. J'avais à l'époque du mal à comprendre ce...

Voila, je suis sans emploi et cela me convient bien. Ma femme est docteur et son salaire est amplement suffisant pour notre ménage. Surfant régulièrement sur Internet, j'ai découvert le site ABKingdom qui relate d'adultes aimant porter des couches. (Je ne suis donc plus seul ?). Après avoir lu maints récits et chatté plusieurs fois, je me suis décidé à acheter des couches pour voir quel effet ça fait. J'en ai porté de nombreuses fois en l'absence de ma femme. Un jour, ce qui devait arriver arriva. Elle était censée partir passer le week-end chez sa mère, aussi dés que j'ai vu la voiture s'éloigner, je me suis empressé d'aller chercher une couche cachée dans mon atelier et quelle ne fut pas la surprise de trouver un billet scotché sur le sac contenant mes couches. -« mon petit bébé, j'ai découvert ton petit secret et veux bien le partager avec toi. En bas de ton étagère, dans l'autre sac que tu as essayé de me cacher, tu trouveras ce que je veux que tu mettes. Je ne suis en fait pas...

J’avais tout planifié et écrit pour ce scénario de selfbondage de façon à ne rien oublier et surtout, placer les clés aux bons endroits. Il ne fallait pas que je perde de temps entre le moment du début du scénario et le moment où je serai entravé. Vous allez vite comprendre pourquoi dans mon récit. Précision, je suis pas adepte de la couche, je m’en sers juste quand elle est obligatoire pour un scénario de selfbondage. J’ai commencé par mettre le tube du bocal à lavement dans mes fesses, ensuite j’ai mis une grosse couche et mon pantalon que j’ai fermé fermement avec une chaîne en guise de ceinture. Le tuyau du lavement dépassait derrière comme une queue. La clé de la ceinture en chaîne de mon pantalon était dans le garage, cela augmenterait la gêne et le dérangement..... J’ai mis mon bâillon ouvert et je l’ai cadenassé. La clé était dans la boite à lettre de la maison. A partir de là, pour finir de me préparer je ne pouvais plus parler. J’aime bien cette contrainte. A...

De retour à la maison . C’est la tête pleine de sensations que je me couche. La première nuit fut, compliqué, aussitôt les yeux fermés je refaisait la journée. Le moindre début d’érection était immédiatement calmé par la cage. La première nuit fut extrêmement courte, j’ai très peu dormis ! Combien de temps allais je devoir garder cette cage ? Après tout je vais bien finir par m’y faire et surtout faire des nuits normales. Au bout du troisième jour, sans avoir passé une seul nuit correct je prend la décision d’enfreindre le choix du maître. Je coupe le cadenas de plastique et me libère , j’ai honte de mon geste mais je n’en pouvais plus. Après tout je n’ai jamais réussi à porter une cage plus de 24h c’est déjà pas mal 72h . Je me cherche des raisons valables pour ce que je viens de faire , j’ai honte mais la nuit suivante sera d’une douceur sublime. Je me demandais comment mon maître allait réagir face à mon acte, je suis novice il vas comprendre ,et être compatissant j’espère......

Merci Judeline car tu me connais si bien ☺️. Petit compte rendu. Tout d'abord j'étais excité comme une puce. Depuis ce matin je me retiens d'aller aux toilettes, après 3 cafés normalement cela fait un moment que j'aurai dû y aller. Pour commencer je mets la cage de chasteté. L'anneau d'acier est un peu petit alors je mets du lubrifiant pour passer les testicules non sans quelques douleurs. Pour le pénis un peu plus compliqué il est gonflé et plus grand que la cage. Mais après quelques contorsions je réussis à l'enfermer. Ensuite vient le tour du plug. Avec du lubrifiant je passe la première puis la deuxième boule jusqu'à la petite barre que je colle le long de mes fesses. Je ne savais pas qu'en sensations ça donnait l'impression d'aller assez loin. Ensuite viens ma couche, taille L de nuit plutôt épaisse. La sensation je la connaissais déjà. Impossible de fixer les jambes au lits, alors avec le velcro je me momifié le mollet à la cuisse de chaque côté. Quand je me positionne...

Il enfile une paire de gants et commence par me poser l’anneau , malgré l’aspect totalement flasque de mon sexe l’insertion dans tube ne se fait sans lubrifiant. Il finit par me montrer le cadenas en plastique numéroté. « Je te contacterai pour une nouvelle session quand je l’aurais décidé . Tu as le choix, tu as possibilité de le coupé, mais il faudra en assumer les conséquences. » « Compris ! » Moi: « oui maître » roh bon sang! Je me surprend par ma rapidité de réponse, peut être le god qui est toujours au plus profond de moi y est pour quelque chose !? Mr X : Passe à l’arrière de la chaise de je sent enfin ce maudit god bouger, il sors ouf enfin! Je crois que c’est bon c’est finit, je suis épuisé, il libère mes membres un à un, m’invite à faire de petits mouvements, mes bras et jambes semblent gripper. Retrait des mitaines. Mr X: « lève toi doucement ! » Je ne me fais pas prier pour me mettre sur mes jambes. La sueur dégouline le long de mes bras et jambes. Mr X...

C'est un petit plaisir que je ne m'accorde pas très souvent, à vrai dire de moins en moins souvent avec le temps mais quand il me prend je ne résiste en général pas longtemps.. Vous savez cette envie parfois de se mettre au lit pour quelques temps avec des habits "spéciaux" ? Cela m'a pris récemment. J'ai ressenti cette envie de me reposer tout en ressentant ces sensations si particulières, mais qui n'en restent pas moins hautement agréables ! Après avoir passé une bonne partie de la journée à boire du thé et d'autres liquides, l'envie me vient de me laisser aller à ce petit plaisir particulier... Je n'en utilise presque plus mais j'ai encore quelques couches dans mon armoire. Je les garde plus dans l'idée d'initier quelques curieuses que pour mon plaisir personnelle, mais étant là, à côté de mon lit, je n'ai pu résister. J'en enfile une, et malgré le temps, je ne peux m'empêcher de constater que le plaisir est toujours là, mystérieux mais intense. Cette sensation de confort en...

Ma femme est une petite domina salope d’amour, le mot salope signifie pour moi, une gourmande de sexe et n’a rien de péjoratif. C’est vraiment une perle sauf que cette fois, elle m’a poussé dans mes retranchements et à l’extrême dans mon cocufiage. Je vous raconte après quelques mots de présentation. Lorsque nous nous sommes rencontrés et mariés elle avait vingt ans et moi presque 40. Nous avons exploré tout le kamasoutra, aussi bien à la maison qu’en extérieur puis un peu le BDSM avec des jeux de rôles que nous nous amusions à inverser. J’ai remarqué qu’elle aimait bien prendre la main et diriger, moments de délire entre nous pendant lesquels Marie, est capable d’être une sacrée garce. Sans être vraiment cruelle, on peut dire qu’elle ne m’épargne pas, quand elle revêt sa tenue de domina, tenue pouvant parfois se limiter à un string. Avec elle, j’ai eu la confirmation que la tenue ne fait pas le moine ! Les soucis ont commencés suite à deux choses. Le premier est qu’avec l’âge...