Récits
Nuit infernale en selfbondage au gîte fétichistes
il y a 1 an

J’avais lu cette idée de selfbondage et comme le matériel segufix est horriblement cher, j’ai voulu tester l’idée proposée par le gîte fétichistes lors de mes vacances.

##### J’étais en vacances en Espagne où j’ai choisi comme hébergement de louer le gîte Fétichistes. Comme Marc est très complice avec ses clients, je lui ai demandé de venir m’aider à faire les réglages en lui précisant que je voulais réaliser un fantasme et essayer une nuit entière. Sa réponse a été avec un grand sourire coquin « avec plaisir ». Nous sommes allés dans la pièce des secrets où il m’a immédiatement donné le jeu des clés avec la cordelette reliant X clés de cadenas dont celle d’une paire de menottes acier. Après quoi, il m’a prêté une culotte en plastique et une grenouillère pour que je n’ai pas froid. Ensuite, il m’a conseillé d’acheter un lot de 3 couches ou d’aller en acheter un paquet à la pharmacie afin d’éviter une catastrophe dans le lit de la chambre LOVE. N’étant pas ABDL, j’ai donc accédé à sa demande car je n’en n’avais pas. Arrivés au donjon, il m’a indiqué qu’il déposerait les couches au coin bar avant de me proposer de m’allonger sur le lit d...
Un demandeur d’emploi chez des lesbiennes sadiques et gynarchiques
il y a 1 an

Il accepte un emploi chez deux lesbiennes gynarchiques AIE AIE AIE

Henri s'énerve à l'ANPE où il s'est rendu en bus en leur expliquant que pour ne pas se retrouver à la rue il est prêt à prendre n'importe quel travail dans son village. Le seul poste disponible est celui de femme de maison, il l’accepte et se retrouve chez deux lesbiennes gynarchiques. ............................................. Avec sa voiture hors service, six mois de factures et loyers en retard à deux doigts d'être expulsé, Henri s'énerve à l'ANPE où il s'est rendu en bus en leur expliquant que pour ne pas se retrouver à la rue il est prêt à prendre n'importe quel travail dans son village. - La seule offre d'emploi sur votre commune est un poste de femme de maison et comme vous n'êtes pas une femme, je n'ai rien d'autre à vous proposer. Lui répond l'agent agacé. Avec force et rage il parvient à convaincre la personne de l'ANPE de le laisser prendre contact avec cet employeur. Lors du rendez-vous, ce n'est pas une femme mais deux qui le reçoivent. Elles ne sont pas ten...
Un demandeur d’emploi chez des lesbiennes sadiques et gynarchiques 2
il y a 1 an

Cela va se corser pour Henri....

Le champagne a un goût amer pour Henri en totale perdition et ne sachant plus que penser. Il est congédié par les filles souriantes qui le félicitent pour son courage. Carole lui donne un petit sac noir avec une inscription « CB 3000 » et 20 euros avec pour mission d'acheter des croissants et du pain frais pour le lendemain en lui indiquant qu'il pourra garder la monnaie. - Demain tu reviens avec ça sur ta bite et tu me donneras les clés. Je te libérerai tous les jours pour ta toilette. File d'ici et ne soit pas en retard ou il t'en coûterait ! Lui dit-elle en lui donnant une petite claque sur les fesses. La nuit d'Henri est difficile et à la fois très érotique. Accepter de se soumettre ainsi à deux lesbiennes en échange d'argent le révolte et le hante mais en même temps, si excité par l'aventure avec ces filles si envoûtantes il en arrive à se masturber deux fois entre ses tests avec la cage de chasteté. Il s’imagine les deux lesbiennes l'obligeant à leur faire des choses très c...
Du BDSM à la régression, l’enfer pour un soumis
il y a 1 an

La vie d’un couple en parfaite harmonie avec des jeux BDSM qui évoluaient vers l’ABDL.

A Karine, Brigitte et Michel Bien décidé à vivre pleinement leur vie, après de multiples échecs de vie commune, Brigitte et Michel, se sont parlés clairement de leurs attentes tant pour en vie de couple que de leur sexualité après avoir fait connaissance sur www.fessestivites.com De multiples points s’accordaient, la seule chose qui inquiétait un peu Brigitte, c’est la sexualité débridé de Michel. Bien que peu farouche et relativement gourmande des plaisirs de la vie, elle s’était interrogée sur le BDSM dont il lui avait parlé longuement, sans vulgarité et avec des explications si excitantes, quelles avaient généré en elle une certaine curiosité. Lors de la découverte de sa malle secrète, remplie avec des tonnes de sextoys d’ABCplaisir elle était comme un e n f a n t dans un magasin de jouets. Elle voulait tout essayer, les godes, les vibros, le harnais, les petites tenues en latex que mais aussi le gode ceinture en avouant que c’était un de ses fantasmes. La première soirée,...
Ses jeux ABDL passent du plaisir à la contrainte
il y a 1 an

Piégé et embarqué malgré lui dans de la régression imposée

Un ABDL se fait piégé et embarqué malgré lui dans de la régression imposée Cette histoire a commencé par un achat presque banal sur Internet. Je fis rapidement le récapitulatif de ma commande: une sucette de taille adulte, 2 culottes-plastiques ouvrantes à pressions, 2 culottes-plastiques fermées, 2 culottes "hublot" en éponge taille 48, 3 pointes à nouer et une grenouillère avec fermeture dans le dos: la parfaite panoplie pour le Bébé-Adulte que je suis. Le pointeur de ma souris volait d'un bouton à l'autre. J'essayais d'aller vite car il fallait que je termine avant le retour mon épouse et de mes e n f a n t s. Ma femme connaît mes penchants de grand bébé. Elle est ma complice et joue de temps en temps avec moi mais nous avons toujours laissé nos e n f a n t s en dehors de cela. C'est pour cette raison que j'avais mis au point un stratagème pour recevoir mes petites affaires discrètement. J'entrais mon numéro de carte pour payer. Je prêtais une attention particulière à l'ad...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 106 : Un gros biberon
il y a 1 an

Tout est question de convenance, comme le liquide et l’engrenage. Si l’eau est son ennemi, l’huile lui sied.

Chapitre 106 : Un gros biberon Ladyscar me sourit. Cette phrase n’était pas de moi. C’était une de celles qu’elle ressortait souvent en classe lorsqu’un de ses étudiants tombait dans le piège de ses exercices. Ce ne m’était jamais arrivé, je devais bien l’admettre, qu’importe ma modestie. J’avais d’autant plus apprécié sa philosophie que je n’y avais pas été personnellement affecté. Je ne m’étendrais pas sur mon nettoyage, même si certains détails appréciables seraient par d’autres appréciés. J’essayai même d’en occulter la vision comme l’odeur, me concentrant sur la conversation, trop heureux d’avoir retrouvé une bouche et une gorge dégagée, même si je l’eusse préférée entièrement rincée. Je ne trouvai au début rien d’érotique à cette activité, même si les huit mains recouvertes de leurs gants de caoutchouc, se promenant sur mon corps, mes fesses et mon sexe libéré. Ce n’est que lorsque la propreté revint, que je retrouvais certaines envies dont mon sexe s’en arbora fièrement...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 105 : Change et changement
il y a 1 an

Si un engrenage ne convient pas, il ne faut pas hésiter à le démonter : les roues resserviront bien un jour.

Chapitre 105 : Change et changement - C’était trop tôt, dit Tata Marguerite, avant que ne nous rejoignissions la voiture. - Non. Nous ne l’avons pas assez préparé, corrigea Lady Christine. Il ne savait pas que c’étaient de vrais bébés. Au moins pour les deux hommes. - De vrais bébés ? demandai-je, alors que dans la précipitation je sentais que ma crotte bougeait, libérant à nouveau le conduit du plug. - Oui. Leur dominatrice les ont fait régressés, m’expliqua Ladyscar. - Régressé ? - C’est fastidieux, compliqué à expliquer et à réaliser. Cela prend aussi beaucoup de temps. Lydia t’expliquera mieux que nous, dit Maîtresse Diane. - Ce n’est pas l’important. Nous avons été bannies, rappela Tata Marguerite en montant dans la voiture. - Je suis désolé de vous avoir mis dans l’embarras, dis-je en montant à mon tour dans la voiture. Dario était surpris de nous voir rentrer si tôt. Il rangea son livre dans la boite à gants, « le rouge et le noir ». Il lisait du class...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 104 : Départ imprévu
il y a 1 an

Une fois que l’engrenage s’arc-boute, forcer n’amène qu’à le briser.

Chapitre 104 : Départ imprévu Cette suite, elle ne se fit pas tarder. Tata Marguerite et Maîtresse Diane me firent sortir manu militari du parc, m’infligeant à tour de rôle de grosses fessées sans crainte que ma couche n’explose également. Chacune d’elle libéraient cependant du liquide de mon cul en actionnant le coulisseau du plug à chaque impact, mais je n’en étais plus à ce problème. Elles m’obligèrent à m’asseoir dans une chaise géante de bébé qui enclencha l’ouverture, libérant vers ma couche, cette fois sans discontinuité, le fluide que retenait mon corps. Aucun effort de mes muscles fessiers ne pouvait l’en arrêter puisqu’il s’écoulait dans le conduit interne de l’objet importé. Pourtant, malgré mon impotence, le fluide s’arrêta brutalement, coincé par un bouchon solide de déjection. Libéré par les produits laxatifs de la tétine et du lavement, et voulant emprunter le même chemin de liberté, il s’était coincé dans l’ingénieux mais fragile système du coulisseau. Les m...
Compte à rebours
il y a 1 an

Sous couvert de lui injecter des hormones féminines pour qu'il devienne la femme qu'il rêve d'être, une femme va faire vivre à un homme la plus improbable des mésaventures. Une véritable régression.

Compte à rebours. A bientôt 38 ans, ma vie semblait couler paisiblement. J’étais marié, père de deux petites filles adorables, j’avais un boulot, qui, à défaut de m’épanouir, me permettait de nourrir ma famille. Ma femme travaillait également ; il y avait pire comme situation. Pourtant, au fond de moi, une sensation de solitude se développait. Lancinante. Abstraite et tellement réelle. Un jour mon patron m’annonça qu’il cessait le projet sur lequel je travaillais et que par conséquent, soit j’acceptais de retourner à des tâches plus ingrates, soit je prenais la porte. Depuis quelques temps déjà, je sentais que le lascar me préparait un sale coup ; mais celui-là, je ne l’avais pas vu venir ! Une vague de haine et de rancune, enfouies depuis des années à son service, remonta soudainement du fond de mes entrailles pour se concentrer dans mon poing qui, comme la foudre, vint le surprendre en pleine figure. Tel un volcan qui venait de se réveiller, je n’avais qu’une envie, déve...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 103 : Maitre Lucifer
il y a 1 an

Parfois, même quand les roues sont déjà en mouvement, il est difficile de comprendre le but de l’engrenage en action.

Chapitre 103 : Maitre Lucifer Alors que nous accédions à son logis, l’homme se glissa derrière moi et me frappa les fesses, ou plutôt la couche, tellement cette dernière était épaisse. Je sentis le liquide s’étaler sur ma peau, la laissant légèrement humide. Je trouvais la sensation désagréable. Je voulais parler, mais ma tétine gonflée, remplie de liquide féminin, attaché par des velcros, ne me laissait que le choix du silence. J’eusse voulu me dégager, mais j’évitai avant tout les mouvements brusques qui pourraient dégénérer un peu plus ma situation. Il guida mes maîtresses jusqu’à un grand salon, plus imposant en taille et en décoration que celui de Diane. Comme je m’y attendais, il n’était pas seul. Une demi-douzaine de personnes étaient présentes. Mon regard fut immédiatement attiré par un parc à bébé géant où deux hommes et une femme y étaient enfermés. Tous les trois portaient de grandes couches culottes comme celle que l’on m’avait enfilée et déambulaient au milieu de...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 102 : La présentation du nouveau
il y a 1 an

La présentation d’un nouvel engrenage est importante car comme dit le dicton, la première impression est souvent la bonne.

Chapitre 102 : La présentation du nouveau - La mauvaise nouvelle est, bien entendu, le contenu que tu devras absorber si tu décides de l’avaler, poursuivit Ladyscar. - Tu as deviné ce que c’est ? me demanda Tata Marguerite. Non, répondis-je à nouveau de la tête, sans trop forcer le mouvement, de peur que cela n’active involontairement son fonctionnement. - Nous l’avons remplie hier en boîte avec les filles, poursuivit Maîtresse Diane. Elles ont toutes mis un peu de leur jus, avec le plaisir de savoir que ce serait pour pourrir la bouche d’un gros bébé de dix-huit ans. Et comme c’était loin d’être plein, nous avons rajouté d’autres sécrétions. Quelles secrétions ? voulus-je demander. Non. Il était mieux que je ne le sache pas. Mais si, me souffla Lassie. Elle était encore bien là cette fois, surveillant et modifiant mes réactions naturelles, trouvant que j’avais été un peu trop cocooné depuis mon réveil. Elle en voulait plus. Elle voulait ressentir la marque du cuir et la...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 101 : En grenouillère
il y a 1 an

Le choix de la matière est une étape essentielle dans la conception d’un engrenage.

Chapitre 101 : En grenouillère Elle me le décrit. Nous continuâmes à parler un peu, jusqu’à ce que les maîtresses, une par une, descendissent. - Alors mon gros bébé, tu es prêt pour aller déjeuner ? dit Ladyscar, la première arrivée. - A-reu, lui répondis-je en mettant mon pouce dans la bouche, une bravade supplémentaire. - Tiens ! Mets plutôt ça ! me dit-elle en me tendant une tétine. Je mis l’objet dans la bouche puis je secouai la tête négativement devant son humour. J’étais vraiment ridicule. Je l’enlevai alors et la reposai sur la commode. Je n’allai pas sortir comme cela ? Je réagis comme si cela avait été la goutte qui fit déborder le vase ou, dans ce cas, la couche-culotte. Mais, en réalité, je sentis le choix réfléchi de Lassie qui recherchait la punition supplémentaire. - Non j’ne veux pas, Na, répliquai-je, jouant le bébé récalcitrant. - Mets-là ! Tu veux vraiment être un méchant petit garçon ? me demanda Lady Christine qui, descendant, rejoignait ma...
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