Récits
Désir de soumission forte et d’entraves sévères
il y a 1 semaine

Rencontre BDSM avec une soumise brat et un grand Maître

Léa est une maso qui n’hésite pas à provoquer pour avoir ce qu’elle désire. Le souci est que lors de cette rencontre BDSM, elle tombe sur un Maître qui ne se laisse pas manipuler. Il va la mâter à sa façon. Attention, c’est très pervers mais réaliste, j’ai personnellement fait ce type de « « dressage » » sauf que je n’avais pas le lieu et tout ce matériel. Aujourd’hui, avec le donjon de notre gîte fétichistes, je dois pouvoir faire mieux. .............................. Dans ses grands moments d’excitations virtuelles, Léa lui avait dit qu’elle aime les véritables contraintes, les bondages sévères. Lorsqu’il lui avait demandé si c’était pour mieux se libérer, sa réponse fut directe, sans ambages « oui » en précisant qu’elle ne jouit que mieux quand elle ne peut pas échapper au plaisir qu’on lui impose. Il avait également abordé son masochisme avéré, ses besoins de plaisirs dans la douleur. Taquine et rebelle, Léa l’avait prévenu que si elle aime jouer et faire des bêtise...
Bob
il y a 2 semaines

Une femme travestie en homme devient soumise malgré elle

J'ai travaillé avec Bob pendant près d'un an. Nous utilisions des équipements lourds, des excavations pour de nouvelles constructions, des routes, tout ce qui impliquait de déplacer beaucoup de terre. Bob était petit, peut-être 1,70 mètre et plutôt menu. Bob était néanmoins l'un des gars les plus appréciés : bruyant, sexiste, grossier et toujours à l'heure pour faire une blague ou une observation grossière. Bob aimait les filles et pouvait repérer quelque chose qui gigotait dans un pantalon de yoga à un kilomètre. Les petits travaux nécessitaient une équipe de deux hommes. Bob et moi étions souvent envoyés pour les gérer, et nous avons fini par travailler beaucoup ensemble. Cela signifiait passer la nuit dans différentes parties de l'État, jusqu'à ce que le travail soit approuvé par un inspecteur et le chef de projet. Bob et moi avons eu l'occasion de boire beaucoup de bière chaque soir lors de ces voyages, et c'est ce qui a finalement attiré des ennuis à Bob. Nous avions des cha...
Elle a été une bonne chienne dans l'ensemble
il y a 1 mois

Deuxième rencontre BDSM avec une femme mariée en l’absence de son mari

J'avais donné rendez-vous à ma soumise au Mans, charmante ville de province, peu éloignée de Paris, et proche de Laval. Dans l'après midi, lors d'un de mes déplacements sur Paris, j'avais profité d'un instant de calme pour stationner et appeler ma salope sur son portable, je la savais au boulot. Après quelques essais infructueux, je comprenais fort bien que son travail est prioritaire sur nos appels, mais tout de même, je commençais à bouillir de ne pouvoir la joindre. Donc, la liaison avait fini par s'établir : - Claudette ? - Oui, je suis désolée, je ne suis pas seule à mon poste... - Tu n'as pas de toilettes dans ton entreprise? - Si, mais... - Eh bien, tu t'y rends, une fois assise sur le chiotte, tu me rappelles, c'est compris? - Oui Maître, répondit elle d'une voix très faible. Je n'avais pas eu beaucoup à attendre pour entendre mon portable sonner. J'entendis la voix de Claudette, toujours très faible, dire : - Voilà Maître, je suis aux toilettes. - Tu as la culot...
Entrée 5 : Le lac des larmes
il y a 2 mois

La vraie entrée 5 parce que l’autre d’avant c’était l’entrée 4 mais en soit on s’en fiche personne ne lis les description non ?

« À genoux » Mon regard de feu se perdait dans ses iris de glace. Sa voix aussi posée que directive m’ôtait tout désir de rébellion ou de jeu insolent. Ainsi, je laissais mon corps descendre petit à petit le long de ses jambes, une fois à genoux, la flamme vacillante de mon regard était meurtrie par le vent glacial de son expression. « En seiza… Paume vers le haut. » Je laissais mes fesses s’appuyer contre mes talons avant d’exécuter son dernier ordre aussi mordant qu’un courant d’air. Mon regard suivait ses déplacements avec attention vers le buffet où toutes ses armes étaient posées. « Regarde devant toi, le mur. » La clarté de son déplacement fut assombrie. Mes yeux captaient le mouvement, mes oreilles accrochaient le son de ses pas, de sa façon méticuleuse de récupérer une chaîne claquante. Pour autant, tout cela restait flou. Flou de ne pouvoir suivre avec attention ce qu’elle préparait. Pour la première fois, je n’avais absolument aucune idée de ce qu’elle avait...
Entrée 4 : Les démons du temps et du contrôle
il y a 2 mois

Cinquième entrée de mon journal. Revenant rapidement sur une semaine ou le temps se distord, où mon esprit s'accroche au contrôle.

C’est l’esprit embrumé que j’écris ces lignes que je n’arrête pas de supprimer. Alors que tout était clair quelques secondes plus tôt, je me perds dans un flot. Flot de pensée parasite et, j’hésite, ou je peine à me souvenir. Mon esprit s’emballe, et me replonge dans mes démons. Ceux que je fuis quand nous dormons et qui réapparaissent le matin et me font front. Alors que je retombais sur ma première annonce, j’observe celle, qui, malgré elle en est devenue l’actrice principale. L’ironique ces premières lignes écrites, j’en souris. Cette reine, cette impératrice de mes peurs qui sommeil dans son cœur. Je relis alors la fin de mon annonce, pas par nostalgie, mais en réponse. Réponse à cet esprit parfois trop perfectionniste, refusant de s’abandonner, de profiter, cet esprit rationaliste qui analyse sans cesse. Il cherche. Quoi ? Me direz-vous, et je vous répondrais que c’est tout l’intérêt de ces entrées. Je crois qu’il est temps, temps de hausser le niveau de jeu. De perdre réellement...
Entrée 3 : Un tournant majeur
il y a 3 mois

Troisième entrée de mon journal. Celui d’une évolution de relation vers le couple lors d’un soir de 11 juillet.

Les lumières changeantes défilaient comme des étoiles filantes. La froideur des tons grisâtre et bleutés venait rappeler le froid mordant du parquet. Les mains liées, je regardais. Regardais les images défiler, défiler comme les courtes caresses de ses pieds. Ces douces caresses, effleurant ma peau comme l’eau pouvait s’écouler sur des pierres lisses. Lisses d’un passage répété, poli par le temps défilant, s’écoulant. Allongée, j’étais spectatrice du temps. Du temps symbolisé par un film que j’avais déjà vu, piégée dans la toile exigu de ma maîtresse jubilante. Jubilante de m’observer, chercher, gigoter et finalement abandonner. Abandonner l’idée de trouver une position plus confortable, à cause des liens remarquable. Les bras totalement restreints, je subissais le destin. Destin de mes fautes nullement expiées, de ces provocations incessantes, de cette insolence perçante. Perdue dans le temps, je me raccrochais à ce film que je connaissais. Il me donnait une idée du temps passé attach...
Le jour où moi aussi, j’ai voulu jouer la Domina…
il y a 3 mois

Jude m'avait réservé une petite journée bien sympa... Je me devais d'offrir un beau cadeau de remerciement à mon Amie...

Le jour où moi aussi, j’ai voulu jouer la Domina… Karine. Je connais Judeline depuis longtemps. Mon père et mon oncle travaillaient avec sa mère, on s’est donc rencontrées régulièrement quand on était enfant, mais sans pour autant nouer de liens particuliers. C’est en 97, oui en 1997, au siècle dernier, quand je suis sortie avec Cyril, son Meilleur Ami, son frère de cœur qu’on est devenues véritablement amies. J’ai épousé Cyril en 2003 et Jude était son témoin. Elle est aussi la marraine de notre Fils, né trois ans plus tard. Quand Jude s’est séparée de Lilian et qu’elle s’est retrouvée toute seule du jour au lendemain, on était là pour la soutenir et l’aider à passer la violence des premiers jours. On l’a vue dépérir et sombrer dans une tristesse insondable. C’était devenue une ombre, quelqu’un que personne ne remarquerait au milieu d’une estrade. Mais on était là, du mieux qu’on pouvait on l’a aidée. Mais elle semblait renoncer à la vie. Mon Grand-Père me disait souve...
4 Saisons.
il y a 3 mois

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4 Saisons. - L’hiver déjà, étreint ma maison - Je vois encore le premier bourgeon. -Ce jour, où dans ma vie tu es entré - Pour toujours, je te voyais rester. - On a vécu comme deux ados - Guitare, sport, ciné, moto. - Nous nous conjuguions au pluriel - L’amour s’écrit Il plus Elle. - De toi j’ai tout aimé - Mon âme t’appartenait. - Le printemps invite au bonheur, - Ta peau, ta bouche, je les connais par cœur. - De tes yeux bleus tu m’as mangée, - De tout mon corps tu t’es enivré. - Le soleil brille, c’est plein été - On a tout le temps pour profiter. - Le ciel est beau, le ciel est pur, - Pourtant l’automne est là, j’suis presque sûre. - Des coups de vents et des tempêtes - Ont éclaté au dessus de nos têtes. - Trop fort trop haut - Ont chanté les oiseaux - Que le froid de l’hiver séparera bientôt. - Plus qu’une page, un chapitre de ma vie - Putain de vent, j’ai pas compris, l’année est finie !? - Ce calendrier je vais le ranger - Mais je ne veux pas l’abîme...
Entrée 02 : Dualité des sens
il y a 4 mois

Deuxième entrée de mon journal de soumission et ma première séance avec ma maîtresse R. Tout est réel bien qu'un peu résumé.

La lumière dansait sur les murs comme le ballet d’une flamme de bougie vacillante. Plongée dans la pseudo-obscurité rougeâtre imposé par le lustre, je faisais bouger les pièces de l’échiquier pour parfaire mon Gambit Dame. Les pièces prenaient leur emplacement de façon répétée comme pouvait le faire des acteurs de théâtre. Le temps se perdait dans un flot aussi grand que l’insolence qui grandissait en moi. Mes yeux se posèrent rapidement sur la porte fermée après que l’ordinateur m’ait fessé d’un échec et mat difficile à digérer. Soit… Cela faisait quarante minutes qu’elle attendait dehors… Elle était bien plus disciplinée que je ne l’étais. « Je viendrais te chercher quand je serais prête » lui avais-je dit plus tôt. Je l’avais plongé plusieurs fois dans l’obscurité pour la faire réagir, mais jamais elle n’avait franchi la porte de la chambre. J’avais même par moments laissé échappé quelques mécontentements quand je perdais bêtement des pièces, et j’avais même monté le son… Rien…...
La nouvelle vie d’élisa
il y a 5 mois

Résumé d’un de mes fantasmes qui revient sans cesse …

J’habite seule (divorcée depuis 7 ans) Ma vie, 53 ans, divorcée, Je travaille dans un bureau d'assurance, je suis chef de mon service. J'imagine que l'un de mes stagiaires que j'ai au bureau et que j'ai humilié plusieurs fois devant les collègues, (je le fais parfois !!) Veut se venger ! Ce jeune homme a un passe-temps, il fréquente le dark web la nuit, il est en contact avec un groupe de trafiquants de prostituées d'Europe de l'Est .. Il parle de son moi et trouve un arrangement financier pour que je sois punie, cruellement et pendant longtemps... J’habite dans un village à 30 kms de mon travail aux portes d.une grande ville du sud ouest. Je pars tôt , il fait souvent encore nuit, et un matin je suis arrêtée , bloquée aux bords de la route par 2 véhicules, Je suis mise sans ménagement et emmenée dans une camionnette. Entravée avec des fils en cuivre sur les poignets et chevilles, bâillonnée , les yeux bandés par du ruban adhésif, la tête dans un sac de jute. Une heure plus...
Entrée 1 : Les prémices de ma soumission.
il y a 5 mois

La première entrée du journal de ma soumission de petite brat. Ici que des choses qui se sont réellement passée en virtuel et en réel.

Vous vous êtes déjà demandé s’il y avait un sens à tout ça ? Certains diront que oui, d’autres, non. Moi, je préfère laisser la question en suspens, pour me concentrer sur ce qui est vraiment important : le plaisir. Le plaisir se liant à l’écriture comme l’écume peut se lier au sable, j’ose alors franchir ce cap de partager mon voyage impensable. Comme un témoignage du temps qui passe, qui efface les traces. Pourquoi ne pas laisser la mienne ? J’aime autant jouer avec les mots qu’avec les doms, faire fuser ma boite crânienne jusqu’à en avoir des maux que je pourrais sauvegarder dans un album. Alors, comme la plume qui griffonne, je m’abandonne aux mouvements de mes doigts qui frappent. Frappent sur un clavier de façon effrénée comme s’ils pouvaient faire écouler l'encre de mon exaltation, exaltation d’un jeu qui coule comme une ancre qui sombre. J’ai commencé à jouer dans l’ombre, avec ce dom que je nommerais E. E était sympathique, nous avions pris le temps de discuter et de tout p...
Mon premier Maître
il y a 6 mois

Il n’a jamais été clairement étiqueté entre nous l’idée d’éducation à proprement dit par le BDSM.

Il n’a jamais été clairement étiqueté entre nous l’idée d’éducation à proprement dit. Néanmoins, je l’ai bien compris par moi-même : je ressens ses paroles comme des conseils, et j’écoute attentivement tout ce qui peux sortir de sa bouche. C’est comme ça, au départ comme n’importe qui j’étais septique, je découvrais mon futur Maître, mais ses mots ont toujours eu du sens, beaucoup de sens et c’est grâce à cela que je l’ai pris au sérieux dès les premiers instants, c’était fondamental. ....................... Avant de rencontrer l’homme qui devint mon Maître, je n’avais aucune notion sérieuse du BDSM. L’idée du sadomasochisme était pour moi un concept très brouillon et flou de ce vers quoi j’étais attirée depuis de nombreuses année. J'ai pas eu conscience de tout avant de comprendre se que je pouvais atteindre à l’intérieur. Commençait là un long et merveilleux chemin de pensée vers des principes de soumission, de philosophie de vie bien différents de ceux du monde extérieur da...
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