Récits
Julie s’offre bondagée hélas.....
il y a 3 ans

Un selfbondage en cadeau

Julie était une de ces filles qui fait tourner les têtes, où qu'elle soit, quoi qu'elle porte. En premier lieu, une blonde naturelle. Oui, c'était le mot, "naturelle." Aucune aide chimique, même si quelques heures au soleil la faisait passer de " blonde " à " or brillant ". Plus ce super sourire. Ce sourire toujours présent. Et, comme un ami le lui avait dit une fois, un corps " à mourir ". Encore une fois, entièrement naturel, quoique les heures sur l'appareil de musculation, quand elle ne courait pas dans le parc, aidait toujours. Vous ne pouviez pas dire qu'elle avait maintenant 30 ans et avait déjà mis au jour son premier e n f a n t un peu moins d'un an avant. Aucune marque de cette période sur cette fille. Pas de signes de vieillissements, du moins pas encore dans ce qui, elle le savait, deviendrait tôt ou tard une bataille perdue avec la nature et le temps. Et leste, agile, capable de se plier dans presque toutes les positions. Son époux aimait cela, l'aptitude à mettre...
Cherche dominant désespérément
il y a 3 ans

Les confidences érotiques de Chloé

Bonjour, depuis quelque temps, je vis une aventure avec un homme merveilleux. Moi si prude, je ne me serais jamais cru capable d’oser. Il m’a demandé de vous faire le récit de nos premières rencontres et, aujourd’hui, nous vous l’envoyons ensemble. Merci. Mon cher amant, Voilà quelques jours vous m’avez demandé de vous relater notre prise de contact et les ressentis jusqu’à notre rencontre à l’hôtel. Comment vous exprimer tout cela ? C’est une question bien personnelle pour une histoire qui se vit à deux et ne s’écrit pas. Mon côté rebelle vous répondrait en quelques mots : « La prise de contact était sympa avec des échanges courtois jusqu’à notre premier rendez-vous. Rendez-vous test, mais rassurant. Le reste, tout pareil que vous dans les ressentis. ». Mais bien sûr ce n’est pas cela que vous souhaitez lire. Votre demande est claire. Je dois vous livrer le récit de chaque étape et sans discussion. Pas sûre que vous apprécierez mon style… Le monde réel de la domination et de la...
Le professeur, sa Maîtresse et l'élève
il y a 3 ans

L’histoire érotique d’une lycéenne qui découvre la soumission et bien plus encore.

Qu’une étudiante tombe amoureuse de son prof, rien de plus normal. Que ce dernier fasse découvrir des domaines inconnus, des territoires en friches, fait partie de l’expérience. Mais que derrière l’homme, le prof brillant, se profile une nouvelle silhouette, voilà qui est moins banale. Surtout si cette silhouette est féminine… Je venais d’entrer en terminale et le professeur de littérature était gouailleur, Caustique, volontiers railleur et cynique, une mèche de cheveux qui retombait perpétuellement sur ses yeux, de petites lunettes rondes et un air malicieux pour regarder par-dessus, des mains longues aux doigts fins et nerveux : il n’en fallait pas plus que je tombe amoureuse. Il me troublait avec ses paradoxes. « La liberté, c’est l’acceptation de la nécessité » ou « la valeur morale réside dans l’épanouissement du groupe ». Contradictions apparentes qu’il détaillait avec rigueur, tel un professeur de philosophie. C’était la première fois que quelqu’un bousculait mes idées toute...
Une jeune fille timide et bloquée découvre le plaisir de la jouissance
il y a 3 ans

Une histoire érotique réelle, juste un peu romancée sur une jeune fille découvrant la jouissance féminine.

##### Elle cherchait à faire des rencontres autour de la fessée Il avait dit pas de sexe et que je ne verrai pas le sien. Il n’a pas menti, mais ce fut pire question intimité. Je n’étais jamais arrivée à jouir. J’avais pris du plaisir avec mes rares amants, mais je n’avais jamais joui. Comment suis-je arrivée à lui parler de ça ? Comment suis-je arrivée à lui parler de mon intimité alors que je suis timide ? C’est de sa faute, car lors d’une discussion téléphonique pour la certification, nos discussions ont dérapé sur plein de sujets. Nous parlions de musique, ce cinéma, j’étais en totale confiance. Avec lui, on pouvait parler de tout, la fessée n’était pas le centre de sa vie. Si je parle de « fessée » c’est parce que je cherchais un fesseur sur Fessestivites. Nos discussions ont migré ensuite sur le BDSM que je ne connais pas vraiment, hormis ce que l’on voit sur le net. Il m’a expliquée que cela n’a rien de barbare ou brutal, qu’en fait c’est de l’Amour abordé autreme...
Un steak pour le dîner BDSM
il y a 4 ans

L’histoire érotique d’un repas pris avec une soumise

Elle est là, debout, calme, les mains croisées dans le dos, la tête baissée, et elle regarde par en dessous son Maître qui rentre du travail. Lorsqu’il met la clé dans la serrure, elle se tient immobile, dans la position qu’il lui a ordonnée de prendre pour l’accueillir. Il ouvre lentement la porte et pousse un petit soupir en la voyant, toujours respectueuse de ses enseignements. Elle est là, elle l’attend sans bouger, nue à part une petite robe de soie crème qui cache à peine ses appas des regards curieux. Il s’approche d’elle, lui tapote doucement le derrière (comme toujours) et lui pose un léger baiser sur la joue. Lorsqu’il s’éloigne, elle lève légèrement la tête et la penche de côté, gênée par sa salutation froide, en tout cas sans enthousiasme. Elle se demande ce qui le trouble. Elle patiente quelques instants, sans bruit, en attendant qu’il lui dise de venir le rejoindre. Il ne le fait pas. Il s’éloigne, l’esprit absent, et à nouveau, elle se demande la raison de ce silence....
J’adore être attachée, complètement offerte
il y a 4 ans

Une article autour du bondage en couple que j’ai sauvé avant sa disparition comme toujours avec les sites.

Julia se fait attacher par Paul tous les jours. Elle a réussi à rester 12 heures d’affilées entravée, fessée, fouettée. Ce couple de bondage addicts, trouve son équilibre grâce aux cordes. Cette pratique décuple leur plaisir sexuel. Ils nous livrent secrets et anecdotes érotiques et drôles. Ça plus de 3 ans que vous êtes ensembles. Comment vous êtes-vous rencontrés ? Julia : Assez bizarrement (rires). Dans une soirée, Paul m’a courtisé avec une paire de menottes « Voulez-vous les essayer ? » Immédiatement, j’ai répondu « oui avec grand plaisir ». Et quand il m’a attaché les poignets et les chevilles, dans ma tête, je me suis dit « ah, j’ai trouvé mon maître. » J’avais eu d’autres attacheurs avant lui, mais ce n’était pas aussi serré. La pression était parfaite. Qu’est-ce qui vous attire autant vers le bondage ? Quel plaisir cela procure ? Julia : J’ai commencé à me ligoter dès l’âge de 11 ans. J’ai eu le déclic en jouant aux cow-boys et aux indiens avec mes cousins cousines. Je s...
La leçon de lecture
il y a 4 ans

La leçon de lecture

Je sors de la salle de bain et vous trouve au téléphone. Une lueur appréciatrice traverse votre regard quand il se pose sur moi. Mais une autre, que je ne sus comment interpréter, la suivie. Vous terminez votre discussion et vous approchez de moi. Votre main passe sur ma poitrine afin de vous assurer que je suis bien sans soutien-gorge. Puis, votre voix se fait grondante. Vous m'expliquez que vous avez été lire mon récit et que vous y avez découvert des mots interdits. Oups! Je deviens blanche comme un frigo sous vos paroles. Je me mets à vos genoux en vous demandant pardon. Vous m'expliquez que, vous vouliez vous inspirer du récit. Vous passez votre main dans mes cheveux et me faites me relever, en expliquant que j'allais devoir vous lire le récit avec les intonations. Je me suis relevée, en me disant que c'était juste un mauvais rêve. Mais non, vous m'avez demandé de retirer votre fauteuil du bureau, d'y mettre une chaise avec le dossier contre le bureau. Puis, vous me demandez d...
Martine la soumise
il y a 4 ans

Martine la soumise

Ses règles de soumission sont fort simples. Je donne mes ordres par écrit afin que son époux puisse les lire et la faire obéir strictement. Les comptes rendus sont aux aussi rédigés par écrit par la soumise et sous la surveillance de son époux. Je suis autorisé à tout lui faire et lui faire faire à l’exception de lui administrer des raclées trop sévères. Je ne perdis donc pas de temps, ce même jour en matinée elle dut donc aller faire ses achats de la semaine en jupe, bas résille noirs et talons hauts, sans culotte, dans le supermarché où elle travaille. Elle se fit terriblement chambrer d’être ainsi habillée comme une pute par ses collègues femmes et hommes, ce qui l’excita énormément. Ce couple dont les enfants ont quitté le foyer conjugal dispose derrière sa maison de ville d’une petite cour et d’un petit jardin cachés à la vue de tous. Elle fut donc obligée de séjourner une heure en talons hauts et en bas résille, une paire de boules de geisha enfoncée au fond du vagin, sans ri...
Découverte du BDSM et acceptation de soi
il y a 4 ans

J’ai trempé mon premier orteil dans la sexualité BDSM il y a pas mal d’années maintenant, mais ça faisait un moment que je n’avais pas eu l’occasion de le pratiquer

J’ai trempé mon premier orteil dans la sexualité BDSM il y a pas mal d’années maintenant, mais ça faisait un moment que je n’avais pas eu l’occasion de le pratiquer. Mes derniers partenaires ne mangeaient pas de ce pain-là et ça n’a aucun intérêt de recevoir une bonne fessée si ça ne fait pas kiffer la personne qui l’administre. Il se trouve qu’au gré de mes rencontres et de ma technique de drague extrêmement subtile (qui consiste à demander à un mec que j’aime bien : « Au fait, on se pécho ? »), je me suis retrouvée un samedi matin, en petite robe et nerveuse comme pas deux, à attendre un jeune homme pour le week-end. En me renseignant à son sujet, j’avais appris qu’il était plutôt très dominant, et je lui avais fait comprendre que c’était LOIN de me déplaire. C’était parti pour deux jours de luxure avec des coups de ceinture dedans, et j’étais une boule d’impatience. Nervosité & fierté à l’approche d’un moment de BDSM Mais au fond de moi, j’avais les mêmes craintes...
Bretelles
il y a 4 ans

Ou la cravate du notaire

Il la regarde poser son sac, accrocher son manteau sur la patère de l’entrée et retirer ses talons. Elle semble fatiguée. – Dure journée ? – Atroce. La réunion du comité de direction s’est éternisée. Je déteste ces vieux machos qui pensent avoir la science infuse et passent des heures à couper des cheveux en quatre. La jolie brunette qui partage sa vie continue de râler, en passant de la cuisine, pour se servir un verre d’eau qu’elle avale cul sec, à la chambre. Elle baisse les bretelles de son pantalon taille haute noir à rayures et s’attaque aux boutons de sa chemise blanche. – Non mais tu te rends compte, ils coupent le budget en deux et se plaignent ensuite que le prestataire ne tienne plus ses délais ! Adossé à l’embrasure de la porte, il la regarde faire. Ses mots flottent dans l’air, mais il n’écoute que d’une oreille. Il faut dire que Pauline, après avoir laissé choir sa chemise, vient de dégrafer son soutien-gorge. Ses seins retombent légèrement, heureux de retr...
J’avais envie de sexe intense, brutal, animal, sauvage.
il y a 4 ans

Une histoire érotique de femme soumise qui a de folles envies.

##### J’ai un Maître attentionné, gentil, respectueux mais aussi entier. Entier dans le sens où, lorsqu’il s’engage, il va jusqu’au bout des promesses et quand il punit, c’est de la vraie punition. Pas du petit pan pan cul cul. J’avais une folle envie de sexe intense, brutal, animal, sauvage. Du sexe où je ne serai plus qu’un pantin de chair obligé de subir, de vivre des choses intenses. Comme je suis quand même un peu trop timide, je lui ai écrit ma folle envie. J’ai noté sur une feuille ce qui passait dans ma tête de détraquée mentale. Sur cette feuille j’ai osé écrire : Maître, Vous dites qu’une soumise doit tout dire à son Maître. Alors voilà, j’ai envie de vivre au moins une fois du sexe intense, brutal, animal, sauvage. Que vous me bâtiez un peu, me gifliez et m’insultiez. Je rêve d’être votre chose encore plus qu’aujourd’hui. Mon corps serait à vous pour tout, gorge profonde, sodomie si vous le voulez et surtout, si je pleure ou supplie, que vous ne m’écoutiez pas...
La première règle
il y a 4 ans

Nous ne parlons pas de menstrue mais de BDSM voyons !

Ça fait quatre nuits qu’elle dort seule, qu’elle s’occupe l’esprit, qu’il lui manque. Quatre nuits pour cinq jours de formation à plusieurs centaines de kilomètres. En glissant sa clef dans la serrure de l’appartement qu’ils partagent, il entend le martèlement discret, les pieds nus de sa compagne se précipitant vers la porte d’entrée. Il n’est pas surpris de la trouver dans sa robe favorite, celle qui épouse parfaitement la rondeur des fesses, invite à y poser la paume. Elle a faim de lui. Il est d’humeur joueuse. Un mordillage de lobe d’oreille par-ci, une main s’attardant sur ses hanches par là. Il la taquine, mais rien de plus, jusqu’à ce qu’il soit trop tard de toute façon, puisqu’il est temps de sortir dîner. Interminable parenthèse faite de conversations creuses. Elle lit son message, discrètement envoyé entre deux gorgées de vin : « Cette nuit ». Tant de promesses en deux mots. Elle peste, grande actrice, contre ce Sauternes qui lui fait monter le rouge aux jo...
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