Récits
La leçon de lecture
il y a 4 ans

La leçon de lecture

Je sors de la salle de bain et vous trouve au téléphone. Une lueur appréciatrice traverse votre regard quand il se pose sur moi. Mais une autre, que je ne sus comment interpréter, la suivie. Vous terminez votre discussion et vous approchez de moi. Votre main passe sur ma poitrine afin de vous assurer que je suis bien sans soutien-gorge. Puis, votre voix se fait grondante. Vous m'expliquez que vous avez été lire mon récit et que vous y avez découvert des mots interdits. Oups! Je deviens blanche comme un frigo sous vos paroles. Je me mets à vos genoux en vous demandant pardon. Vous m'expliquez que, vous vouliez vous inspirer du récit. Vous passez votre main dans mes cheveux et me faites me relever, en expliquant que j'allais devoir vous lire le récit avec les intonations. Je me suis relevée, en me disant que c'était juste un mauvais rêve. Mais non, vous m'avez demandé de retirer votre fauteuil du bureau, d'y mettre une chaise avec le dossier contre le bureau. Puis, vous me demandez d...
Martine la soumise
il y a 4 ans

Martine la soumise

Ses règles de soumission sont fort simples. Je donne mes ordres par écrit afin que son époux puisse les lire et la faire obéir strictement. Les comptes rendus sont aux aussi rédigés par écrit par la soumise et sous la surveillance de son époux. Je suis autorisé à tout lui faire et lui faire faire à l’exception de lui administrer des raclées trop sévères. Je ne perdis donc pas de temps, ce même jour en matinée elle dut donc aller faire ses achats de la semaine en jupe, bas résille noirs et talons hauts, sans culotte, dans le supermarché où elle travaille. Elle se fit terriblement chambrer d’être ainsi habillée comme une pute par ses collègues femmes et hommes, ce qui l’excita énormément. Ce couple dont les enfants ont quitté le foyer conjugal dispose derrière sa maison de ville d’une petite cour et d’un petit jardin cachés à la vue de tous. Elle fut donc obligée de séjourner une heure en talons hauts et en bas résille, une paire de boules de geisha enfoncée au fond du vagin, sans ri...
Découverte du BDSM et acceptation de soi
il y a 4 ans

J’ai trempé mon premier orteil dans la sexualité BDSM il y a pas mal d’années maintenant, mais ça faisait un moment que je n’avais pas eu l’occasion de le pratiquer

J’ai trempé mon premier orteil dans la sexualité BDSM il y a pas mal d’années maintenant, mais ça faisait un moment que je n’avais pas eu l’occasion de le pratiquer. Mes derniers partenaires ne mangeaient pas de ce pain-là et ça n’a aucun intérêt de recevoir une bonne fessée si ça ne fait pas kiffer la personne qui l’administre. Il se trouve qu’au gré de mes rencontres et de ma technique de drague extrêmement subtile (qui consiste à demander à un mec que j’aime bien : « Au fait, on se pécho ? »), je me suis retrouvée un samedi matin, en petite robe et nerveuse comme pas deux, à attendre un jeune homme pour le week-end. En me renseignant à son sujet, j’avais appris qu’il était plutôt très dominant, et je lui avais fait comprendre que c’était LOIN de me déplaire. C’était parti pour deux jours de luxure avec des coups de ceinture dedans, et j’étais une boule d’impatience. Nervosité & fierté à l’approche d’un moment de BDSM Mais au fond de moi, j’avais les mêmes craintes...
Bretelles
il y a 4 ans

Ou la cravate du notaire

Il la regarde poser son sac, accrocher son manteau sur la patère de l’entrée et retirer ses talons. Elle semble fatiguée. – Dure journée ? – Atroce. La réunion du comité de direction s’est éternisée. Je déteste ces vieux machos qui pensent avoir la science infuse et passent des heures à couper des cheveux en quatre. La jolie brunette qui partage sa vie continue de râler, en passant de la cuisine, pour se servir un verre d’eau qu’elle avale cul sec, à la chambre. Elle baisse les bretelles de son pantalon taille haute noir à rayures et s’attaque aux boutons de sa chemise blanche. – Non mais tu te rends compte, ils coupent le budget en deux et se plaignent ensuite que le prestataire ne tienne plus ses délais ! Adossé à l’embrasure de la porte, il la regarde faire. Ses mots flottent dans l’air, mais il n’écoute que d’une oreille. Il faut dire que Pauline, après avoir laissé choir sa chemise, vient de dégrafer son soutien-gorge. Ses seins retombent légèrement, heureux de retr...
J’avais envie de sexe intense, brutal, animal, sauvage.
il y a 4 ans

Une histoire érotique de femme soumise qui a de folles envies.

##### J’ai un Maître attentionné, gentil, respectueux mais aussi entier. Entier dans le sens où, lorsqu’il s’engage, il va jusqu’au bout des promesses et quand il punit, c’est de la vraie punition. Pas du petit pan pan cul cul. J’avais une folle envie de sexe intense, brutal, animal, sauvage. Du sexe où je ne serai plus qu’un pantin de chair obligé de subir, de vivre des choses intenses. Comme je suis quand même un peu trop timide, je lui ai écrit ma folle envie. J’ai noté sur une feuille ce qui passait dans ma tête de détraquée mentale. Sur cette feuille j’ai osé écrire : Maître, Vous dites qu’une soumise doit tout dire à son Maître. Alors voilà, j’ai envie de vivre au moins une fois du sexe intense, brutal, animal, sauvage. Que vous me bâtiez un peu, me gifliez et m’insultiez. Je rêve d’être votre chose encore plus qu’aujourd’hui. Mon corps serait à vous pour tout, gorge profonde, sodomie si vous le voulez et surtout, si je pleure ou supplie, que vous ne m’écoutiez pas...
La première règle
il y a 4 ans

Nous ne parlons pas de menstrue mais de BDSM voyons !

Ça fait quatre nuits qu’elle dort seule, qu’elle s’occupe l’esprit, qu’il lui manque. Quatre nuits pour cinq jours de formation à plusieurs centaines de kilomètres. En glissant sa clef dans la serrure de l’appartement qu’ils partagent, il entend le martèlement discret, les pieds nus de sa compagne se précipitant vers la porte d’entrée. Il n’est pas surpris de la trouver dans sa robe favorite, celle qui épouse parfaitement la rondeur des fesses, invite à y poser la paume. Elle a faim de lui. Il est d’humeur joueuse. Un mordillage de lobe d’oreille par-ci, une main s’attardant sur ses hanches par là. Il la taquine, mais rien de plus, jusqu’à ce qu’il soit trop tard de toute façon, puisqu’il est temps de sortir dîner. Interminable parenthèse faite de conversations creuses. Elle lit son message, discrètement envoyé entre deux gorgées de vin : « Cette nuit ». Tant de promesses en deux mots. Elle peste, grande actrice, contre ce Sauternes qui lui fait monter le rouge aux jo...
On passe à table
il y a 4 ans

Une histoire érotique de soumission féminine qui peut vous donner une idée de soirée coquine.

Une histoire érotique de soumission féminine qui peut vous donner une idée de soirée coquine. 11 h 45, elle allait bientôt arriver. Tout était prêt. Un petit repas sympathique, une bonne bouteille. Un peu de musique enclenchée. Il avait le trac. Depuis des semaines, ils échangeaient au quotidien des messages de plus en plus chauds, de plus en plus crus. Il avait découvert avec elle un univers qu’il ignorait. Celui de la soumission. Pour la première fois, à travers ses mots, elle lui demandait qu’il lui impose sa volonté, qu’il fasse d’elle sa chose. Dans quelques minutes elle allait entrer dans cette pièce. Passer du virtuel au réel ! Allait-il être capable de rentrer dans son jeu ? Et elle ? Était-elle dans un simple fantasme ou était-elle désireuse de vivre ce qu’ils avaient si souvent joué depuis des semaines ? 12 h 05… Une voiture ralentit, se gare. Il respire un grand coup. Ouvre sa porte et sort à sa rencontre. Il l’aperçoit. Elle ne l’a pas encore vu. Elle ferme sa voiture....
Fluo attend son heure
il y a 4 ans

Les confidences érotique d’une soumise qui aime être bousculée en amour

Les confidences érotique d’une soumise qui aime être bousculée en amour J'avais un peu froid, ne serait ce qu'a l'idée d'être ainsi presque nue dans cette grande pièce. Mes boots, mes bas seulement avait-il précisé. Il me regardait silencieusement en tirant sur sa clope. Son visage ne trahissait aucune émotion particulière, mais il me paraissait plus dur et fermé qu'à l'accoutumée. -"Allonges-toi là." Il désignait la table basse devant lui. Je m'exécutais en souriant, un peu gênée tout de même. Se levant du fauteuil où il était assis, il contourna la table, m'examinant de haut en bas. Ses traits impassibles me faisaient douter de moi et baisser les yeux quand je manquais de croiser les siens. D'un ordre et d'une claque sur la cuisse il me fit ouvrir davantage les jambes et bien m'arquer. Docilement je m'exécutais. Il prit son sexe entre ses doigts et commença à se caresser en me regardant, et en murmurant des mots très tendres et très osés. J'étais mal à l'aise de le voir s'exhiber...
Vengeance d’une soumise qui switche parfois
il y a 5 ans

Une histoire érotique BDSM soft avec une soumise qui donne une leçon à son Maître d’Amour.

Avec ma femme, pourtant de nature soumise sexuelle, nous switchons parfois. Elle aime s’abandonner et n’être plus qu’un jouet sexuel. Dans ces moments là, pour la satisfaire, je dois jouer les égoïstes, ne penser qu’à mon plaisir. C’est son truc et je le respecte même si j’aime partager et lui donner du plaisir. Donc, quand nous jouons, je joue le rustre. Que l’on se rassure, nous faisons aussi des câlins conventionnels, sensuels et avec beaucoup de tendresse. Elle m’a demandé de ne jamais me masturber en me disant que, quand j’ai des envies, je n’ai qu’à me servir d’elle. J’ai pris cette habitude assez facilement je l’avoue.... surtout que je peux très bien lui imposer de passer sous le bureau, pendant que je regarde une vidéo sur Fessestivites ou, quand je lis une histoire érotique qui m’émoustille. Pour son anniversaire, nous avions fait des folies sur ABCplaisir. Je lui avais donné carte blanche sur la boutique. Autant dire que la carte bleue a chauffée..... Le jour où le colis...
Le TGV sous ceinture de chasteté
il y a 5 ans

L'histoire d'une femme sous ceinture de chasteté

##### Lorsque mon Maître a appris qu’il fallait, que je fasse, la semaine suivante, un aller-retour à Paris pour remettre un document en main propre, il m’a dit être désolé. Mais en même temps, j’ai vu un sourire s’afficher sur son visage, un sourire que je lui connais trop bien, celui du sadique..... Le vendredi soir, il était d’humeur joueuse. Pour un prétexte de pâtes trop cuites, je me suis retrouvée sur ses genoux une bonne déculottée fessée. A la suite de quoi, il a organisé une soirée type inquisition. Attachée nue sur une chaise en fer, il m’a posée des tonnes de questions sur ma sexualité, en me traitant de sorcière. Je devais avouer mais avouer quoi ? Il sait déjà tout de moi. J’ai eu droit au travail de mes pauvres tétons, des simulations d’étranglement, de la cire de bougie, des .... Il a décidé ensuite de coincer un magic wand massager entre mes cuisses, qui a ensuite attachées très serrées pour tenir son sextoy. Il n’était pas très bien placé, je ne suis pas arrivée à...
Avec mes randonneuses , suite 3
il y a 5 ans

Après avoir autorisé Caroline à retirer son oeuf qu'elle a posé sur la petite table , je lui ai dit de se masturber devant nous . Evidemment elle a commencé par refuser disant qu'elle n'avait jamais fait ça devant témoins . Tu devras te conformer à nos pratiques. Si tu n'exécutes pas , tu auras une nouvelle fessée pour t'y contraindre . Non je ne veux pas d'une nouvelle fessée , celle de ce matin je la ressens encore . Elle a gentiment écarté les jambes et a posé sa main sur sa vulve : ce n'est pas ce que je veux , tu mets tes doigts et masses ton clito . Une a dit : ne t'inquiète pas je vais en faire autant , une autre a confirmé . Elle ont fini par se masturber comme des folles et elles ont joui très rapidement . En fin d'après midi , je les ai invitées à venir dans la piscine . J'aime bien y être sur le dos pour ce qu'on appel la planche . J'avais bien sûr la bite hors de l'eau et après quelques minutes , Annie est venue près de moi , ses mains sous mes fesses , m'a pris dan...
Le Harem
il y a 5 ans

Le Harem

Les ombres dansaient au gré des flammes brûlant dans le foyer, l’odeur du bois sec en feu répandant sa plaisante odeur dans la librairie personnelle de l’homme, assis à son bureau d’acajou massif. La lumière offerte par un soleil mourant n’était pas suffisante pour écrire, et la lueur du feu n’était pas assez forte. Un humain normal aurait requis la lumière d’une chandelle ou d’une lampe, mais Arkann pouvait aisément s’en passer. Il écrivait dans son manuscrit, comme il le faisait tous les soirs depuis son plus jeune age, décrivant une journée sans histoire, sans lustre, sans succès ou désastre. Il en était à sa septième page, n’omettant aucun détail, car son expérience lui dictait qu’un rien en apparence pouvait parfois devenir la clef lui permettant de résoudre des mystères. Il prenait grand soin de sa calligraphie, écrivant en un code que lui seul pouvait décrypter, dans une langue depuis longtemps disparue. Le code changeait chaque année, et il n’utilisait jamais la même langue...
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