Jeudi comme prévu j'ai vu Monsieur Ducat, mon Monsieur. Et comme prévu j'ai été punie pour ne pas avoir écrit dans les temps le premier récit. J'ai aussi été punie pour d'autres raisons, mais ça ce sera pour une autre histoire. Trois jours après j'ai des bleus énormes et encore mal si je passe ma main dessus. Bien sur j'étais très excitée à l'idée de cette rencontre car cela faisait plusieurs semaines que nous ne nous étions pas vu. Mais je savais aussi comment la séance allait commencer, par la ceinture. J'adore recevoir la ceinture, même si elle fait très mal, car elle est le symbole de la punition, de la faute corrigée. Monsieur dose les coups, certains sont forts, d'autres plus supportables. Il arrive même à la faire claquer et ce son est terrifiant ! Bien sur j'avais mis mon collier et les pinces sur les seins. Donc chaque mouvement trop brusque était douloureux. Penchée sur le lit, la robe relevée, les fesses nues, j'ai crié. Les pleurs sont venus ensuite.

Voilà une pratique qui ne m’attirait pas du tout du TOUT et pour plusieurs raisons. J’aime le sol ferme (sauf dans le cas de suspension en shibari ^^), l’eau n’est vraiment pas un élément dans lequel je me sens à l’aise (sauf pour un bon bain chaud ^^). Il peut même m’arriver d’être oppressée dans l’eau. Sans compter que je suis un peu clostro sur les bords, je ne supporte pas qu’on m’empêche de respirer, enfin tout dépend de la méthode. Et dans le cas présent c’était l’eau qui allait m’en empêcher. Alors ne pas pouvoir bouger, ni respirer en étant dans un élément que je n’apprécie pas vraiment, je ne voyais pas comment j’aurai pu apprécier… Après quelques mails, je comprends qu’il prévoit de me faire essayer cette pratique à notre prochaine rencontre. Je lui fais part de mes réticences, voire inquiétudes. De là, nous trouvons un compromis : Soit j’essaye une fois de plonger quelques secondes la tête dans l’eau, soit j’essaye plusieurs fois si ça va, soit on ne le fait pas et ce...

Résumé : Sandra, jeune étudiante, mène une petite vie tranquille où routine rime avec sérénité. Son plus grand défi ? Partir seule en vacances. Elle était alors loin d’imaginer que cet été tout allait changer…

Après m’avoir lavée, vous m’avez séchée, puis remis mon collier, sans me faire sortir de la baignoire. Vous êtes sorti puis revenu avec un petit cadeau. Une paire de pinces à sein avec des clochettes. Vous me souriez en me disant qu’elles ne font pas mal. Et c’est le cas. Je sens le picotement quand vous les posez mais c’est tout. Vous jouez un peu avec, afin de faire tinter les clochettes. Vous ressortez encore une fois, toujours en me laissant dans la baignoire. Vous revenez avec une laisse que vous accrochez à l’anneau de mon collier. Puis, vous m’entraînez derrière vous à la cuisine. Vous accrochez la laisse à la clenche de la porte et me demander d’attendre sagement comme une bonne petite. Ce que je fais. Vous revenez avec différents martinets. Finalement, je ne suis pas certaine de vouloir savoir la suite. Un coup sec atterrit sur mes fesses. Je sursaute sans comprendre pourquoi, j’ai reçu ce coup. Puis d’un ton sec, vous me dîtes « tes jambes ». J’écarte aussitôt mes jambes, mê...

#### Expérience réelle de pets-play pour une soumise Nous sommes vendredi, ils vont enfin pouvoir passer un week-end tous les deux. Un week-end en amoureux fait de tendresse et de BDSM parfois hard. La belle se présente à 18 heures après sa journée de travail, elle est venue directement pour gagner du temps, pour être le plus tôt possible avec lui. A peine arrivée, elle sent qu’il se passe quelque chose, se demande si son Maître va bien ou s’il a quelque chose à lui reprocher, reproche signifierait déception et punition. Elle redoute bien plus la déception que les punitions même si celles de son Maître peuvent être très sévères quand il ne joue pas. - Reste dehors et mets-toi nue ! L’ordre est sec, presque dur, elle est surprise, se demande vraiment ce qu’il se passe, ce qu’elle a pu faire pour être accueillie ainsi. En d’autres temps, ils s’enlacent, se font un baiser tendre, là, il n’a pas bougé de sa chaise et la regarde avec un regard froid. Charmelia hésite et ne sait qu...

Ce soir-là, nous n’avions rien prévu de spécial. Nous étions simplement en train de discuter autour d’un verre. Sujets de discussions divers et variés, mais je ne pouvais m’empêcher de vous taquiner. Envie de jouer refoulée ? Oui, certainement. Seulement, vous n’êtes pas d’humeur. Vous ne dîtes rien au départ, mais votre regard commence à lancer des éclairs. Mais, je suis réellement d’humeur joueuse. Je continue à vous taquiner malgré tout. Vous finissez par hausser le ton et par me gronder. Je tape du pied en ronchonnant, ce qui vous fait vous retourner. Vous me déconseillez de me comporter comme une gamine capricieuse. Ma réaction est immédiate. Par esprit de contradiction, je frappe à nouveau du pied et vous tire la langue. Très mauvaise idée. Votre réaction est tout aussi immédiate. Votre main atterrie sur mes fesses et l’ordre sort de votre bouche, sur un ton proche du froid polaire « En position 6, tout de suite ! » J’obéis de suite. Je me rends compte que j’ai dépassé les lim...

"Je souhaiterais que ma fille soit dressée pour devenir une soumise digne de ce nom." Ce furent les premiers mots de ma mère à notre arrivée dans le bureau de Madame. Madame tenait un pensionnat de jeunes filles, spécialisé dans l’éducation de soumise. Ma mère souhaitait que j’y entre, pour mes trois années de lycée (j’avais cependant déjà passé un diplôme, pour être majeure à mon entrée ici). Je n’étais pas contre, mais je ne savais pas vraiment dans quoi je me lançais... j’allais vite comprendre. — Très bien, cette jeune fille est consentante ? Demanda Madame, en me regardant. — Oui, répondis-je. — Oui qui ? Me lançant un regard sadique, son bras se dirigea vers un tiroir proche. — oui Madame. (?) — Bien. Vous êtes consciente, madame, que ce choix la suivra toute sa vie ? Je tiens à vous rappeler qu’à sa sortie de l’établissement, un maître continuera à lui rendre visite chaque semaine. Et cela jusqu’à ce qu’elle trouve un maître qui lui plaira. — Oui, je trou...

A son arrivée devant la maison, son cœur ne put s’empêcher de manquer un battement alors que sa gorge se serrait. Elle avait toute confiance en son maitre, mais elle savait aussi qu’elle avait fait preuve de beaucoup d’impertinences récemment, et que cela devrait se payer… Ce soir, elle souffrirait. La peur et l’appréhension se disputaient à la sensation de fourmillement qui prenait naissance dans son bas ventre. Alors même quelle craignait les punitions qui ne manqueraient pas de l’attendre, l’excitation gagnait son corps. Son maitre ouvrit la portière et lui tendit sa main pour l’aider à quitter le siège avant du véhicule. Il ne manqua pas de détailler son corps du regard, souriant de la savoir à sa disposition pour la nuit. Comme on le lui avait indiqué, elle s’était habillée dans le plus pur style d’une écolière modèle ; bas noir, escarpins vernis, petite jupe plissée bleu marine et chemisier blanc. Ce dernier laissait transparaître un soutien-gorge noir dont on percevait la dente...

Je suis tranquillement en train de lire un livre quand je vous vois apparaître dans mon champ de vision. Je relève la tête et vous demande, si il y a un problème. Vous me répondez « oui ! Toi ! ». Pour le coup, je suis abasourdie. J’ai fait en sorte que tous se passe pour le mieux. Je ne vous ai pas contrariez et je suis restée sage. J’allais vous demander pourquoi quand, vous m’avez interrompue. Votre regard reflète l’envie et le désir. « J’en ai assez de la petite fille sage » et vous repartez. Vous revenez avec un collier. Du coup, je comprends où, vous voulez en venir. Vous passez le collier autour de mon cou. Vous me faîtes poser mon livre et m’attrapez par l’anneau pour me faire me relever. Vous m’entraînez dans le salon. Vous m’ordonnez de me déshabiller. J’obéis et je fais voler mes affaires par terre. Je suis d’humeur joueuse. Et à l’éclat dans vos yeux, vous aussi. Vous partez puis revenez avec une laisse. Vous l’accrochez au collier et me faîtes mettre à genoux. Vous me ser...

Tout a commencé après 7 ans de mariage deux de mes copines m’avait mis en garde sur cette année fatidique, où les couples se font et se défont. J’étais allongée nue sur notre canapé la tête reposant sur des coussins, car je sortais de ma douche, Vivian avait posé mes jambes sur lui et je sentais que le fait de bouger commençait à le faire bander. Je l’ai taquiné et sa seule réponse a été une tape sur le côté de mes fesses qui m’a fait mal. J’ai crié, cela a semblé lui faire plaisir, il a recommencé avec le même résultat. J’ai continué à le contrarier et comme réponse cela a été de redoubler de faire rougir mes fesses. Il m’a retournée et elles ont vu, j’en avais les larmes aux yeux à deux doigts de partir en s a n g lots. Je me tortillais comme un ver de terre que l’on tient par un de ses bouts et qui cherche à se libérer. Plus je me tortillais et plus cela semblait lui faire plaisir. De mon côté sauf les larmes, ma haine montait de plus en plus envers cet homme que je côtoyai...

Je me réveillais vers 06h30. Avais-je bien dormi ? Non. Mais ce n’était pas bien grave. J’allais terminer la préparation du petit déjeuner de la meute (que Fitg avait déjà commencé à mon avis) et après, j’irais me terrer dans mon appartement pour les prochaines 48h. Mais bon, avant cela, retour salle de préparation et un bon café avant toute chose. Je rentre dans la salle attenante de l’enclos quand, comme je l’avais prédit, Fitg étale les fruits du petit déjeuner. - Nom de dieu, Cassy tu as une tête de …. - Déterrée ? - Non, une déterrée aurait meilleure mine me répond t-il avec un grand sourire Pour toute réponse, je lui tire la langue en faisant couler une dose de café fumant dans une tasse. Je l’aide à terminer le repas et à nourrir la meute. Celle-ci est encore un peu tendue mais rien de bien méchant. Nous attendons l’équipe de relève puis je rentre à mon appartement et m’enfouis dans ma couette. J’étais gentiment en train de me promener dans un champ de fleurs s...

J’aime la fessée et vous le savez. Quand vous m’avez pris sous votre aile, vous saviez que dans ce domaine, je n’étais plus vraiment une débutante. Cela faisait un moment que, vous aviez envie de venir titiller mes limites en ce domaine. Puis, nous nous sommes décidés à faire cette séance. Vu que cela sera une fessée hard, elle se fera attachée. Il ne faudrait pas que je me blesse en mettant les mains là où il ne faut pas. Et puis attachée, je ne pouvais plus vous échapper (non pas que j’en avais envie). Je vous ai vu vous affairer autour de la table, pour mettre en place les cordes et les menottes. En plaisantant, je vous ai demandé si vous aviez peur que je fuis. Vous m’avez regardé avec le regard qui dit « vas-y joue ma belle ! ». D’accord, quand vous avez ce type de regard, il faut que je me méfie. C’est que vous avez une idée derrière la tête. Cependant, je sais que je ne risque pas grand-chose. Je vous demande la permission d’aller aux toilettes. Ce serait dommage que nous...