Récits
Corde et BDSM
il y a 9 ans

Confidences érotiques d'une soumise après un bondage

Mon Maitre m'avait envoyée un colis pas la poste. J'étais impatiente d'ouvrir l'emballage pour découvrir ce qui ce cachait dans la boite. Vous pouvez imaginer ma surprise quand j'ai ouvert le colis et que j'y ai trouvé une longue corde enroulée au fond de la boite. Je l'ai prise dans mes mains pour mieux l'examiner. Elle était blanche immaculée et très douce au toucher. Il y avait un message écrit sur un bout de papier juste au fond de la boite. J'ai reconnu l'écriture de mon Maitre. Le message disait : « Ce soir, tu dormiras avec cette corde et tu devras la caresser comme si c'était Moi, Je te verrai demain. » Au moment d'aller dormir, j ai emporté la corde avec moi dans mon lit. Je l',ai placée tout près de moi sur mon oreiller. En la caressant doucement et en la frottant contre mon corps, je pouvais sentir le doux parfum de mon Maitre dans chaque plis et dans chaque courbes de la corde. J'ai fermé les yeux et je me suis endormie. A mon réveil, je me suis préparée en attenda...
L'Alibi d'Ô martyrisée
il y a 9 ans

Une cave, une soumise et ....

L'Alibi d'Ô est le pseudo d’une soumise qui s’est lancée dans le BDSM il y a quelques années après une vie vanille décevante. Son parcours dans le BDSM a commencé avec un Maître « adorable » très fourbe qui lui a fait miroiter une vie de couple alors qu’il était marié. Excellent charmeur il a su l’emmener où il voulait comme il le désirait et s’amuser avec elle en l’emmenant à la limite de l’esclavage. L’amour étant aveugle L'Alibi d'Ô s’est donnée corps et âme même dans les moments les plus durs, que n’aurait-elle pas fait pour son Maître ? Aussi fourbe soit-il, son Maître lui a fait connaître des jouissances extrêmes en la poussant souvent au bord du vertige que ce soit en SM pur sous ses fouets ou en s’occupant de son sexe. Entre les promesses, les jouissances extrêmes et la manipulation mentale elle a tout accepté, même d’être confiée pour une soi-disant formation longue durée chez deux dominatrices lesbiennes et sadiques n’ayant qu’un seul but : « se faire du pognon en s’amu...
La conquête de Jasin
il y a 9 ans

Le livre BDSM dans le TER

Dans ce train de banlieue cahotant et aux arrêts multiples, il y avait peu de passagers. Il était près de 20 heures et le gros des banlieusards était passé. J'avais choisi ma place sur une banquette, en raison de la personne qui me faisait face, décalée sur ma droite, appuyée contre la fenêtre. Elle lisait un magasine mais j'avais englobé d'un seul coup d'œil sa silhouette générale : mince et fine, jeune mais pas gamine, cheveux longs. Je la regardai à la dérobée. Elle était plongée dans sa lecture et ne sortait pas de son journal. Je m'amusais à déterminer de quelle taille était sa poitrine. Elle était peu apparente, mais faisait faire un pli à sa veste et ne devait pas être de ce fait trop menue. Une bien jolie silhouette tous comptes faits. Et brune qui plus est, moi qui adore les brunes. Une chose m'intriguait. Elle ne semblait pas lire le magazine car je ne voyais pas les pages tourner. Elle semblait lire un livre à l'intérieur du magazine et fermait à chaque fois le j...
Punition par un Maître plein d'imagination
il y a 9 ans

Du BDSM de campagne de haut niveau ! ! !

En juin, j’avais décidé d’aller à l’enterrement de la vie de jeune fille d’une de mes copines, contre l’avis de mon mari qui ne l’aimait pas. Je lui avais promis de ne pas rentrer trop tard, mais la soirée était tellement sympa, qu’a la sortie du resto je me suis rendu compte qu’il était déjà 1 heure du mat. Pire ? Je n’ai pas pu résister à la proposition d’aller tous en boite. Je suis donc rentrée au petit matin, alors que mon mari n’avait pas dormi, inquiet, et, dans une colère noire, il avait dit que je lui paierais ça. Le lendemain et les jours suivants, tout semblait être oublié, jusqu’à cette soirée du mois d’août. Nous avons une maison à la campagne, avec un grand jardin, un petit potager, et une petite rivière qui délimite le terrain. Ce soir-là, il faisait très chaud, orageux. Nous avons mangé dehors un très bon repas et un peu bu ; j’étais bien. Noël me demanda de me déshabiller et commença à me caresser. Bientôt, il me proposa de m’attacher, pour me prendre sur...
Fouettée par le vent
il y a 9 ans

La fessée d'un autre monde

Quand nous avons acheté notre maison en Normandie, mon mari faisait souvent des régates de planche à voile le week-end. Un jour il était revenu l’air maussade. Alors qu’il était en tête de la course, le vent déjà très fort le matin, s’était amplifié et l’épreuve avait été annulée. Après s’être changé, il avait attaché le milieu du mat au poteau de l’étendoir à linge dans le jardin, il avait arrosé la voile au jet pour enlever le sel, et l’avait laissée claquer au vent pour la sécher. Le bout d’écoute était resté attaché et volait comme la traîne d’un cerf volant. Quand des rafales plus fortes secouaient la voile dans tous les sens, la corde frappait le pommier en face avec le bruit sec d’un fouet claquant sur le sol. Il alla la dénouer de peur d’abîmer le tronc de l’arbre. Pendant que nous mangions sous la véranda, je vis que son attitude changeait et une lueur lubrique que je connaissais bien s’alluma dans son regard : Je crois qu’il avait envie d’un autre sport. Après le...
Mains en l'air
il y a 9 ans

Menottée les songes s’envolent

Tout s'est arrangé très vite, un enchaînement de relations et de circonstances et me voilà, en une semaine, logée dans ce beau loft soudain libéré par sa propriétaire Betty repartie à l'étranger, prête à affronter ma nouvelle affectation, enfin à Paris, un monde pour moi en regard de ma province natale. Tout le monde a été si gentil, et mêmes ces inconnus et inconnues que sont mes voisins dans cet immeuble, en tous cas tous ceux que Betty a eu l'occasion de me présenter m'ont semblé sympathiques, décontractés, abordables. Et surtout, je l'avoue, ce voisin de palier, "mon" voisin. Pas mal craquant avec son regard lumineux, son sourire à fossettes et sa nonchalance étudiée façon "f o r c e tranquille". Il est flic, si je me souviens bien ce que m'a raconté Betty à toute vitesse sur les uns et les autres. Flic, quelle drôle d'idée... Mais flic comme on les fait maintenant : qui n'en a pas l'air et qui peut sans doute facilement se fondre dans la faune de cette jungle sauvage......
Les soumises dominatrices
il y a 9 ans

Les soumises dominatrices histoire vraie

##### Lorsque les soumis voient sur des vidéos avec mes soumises s’occuper d’un soumis, ils s’imaginent qu’elles sont dominatrices ce qui est une erreur. Cette erreur est même vexatoire pour une soumise ! Alors pourquoi dominent-elles ? Parce que cela me plait de déléguer, qu’une soumise soit ma main est fort plaisant. A titre d’exemple, nous avons reçu récemment un soumis gay, mon plaisir dans le cadre de l’humiliation était de lui faire faire des choses par une femme. Ce soumis a exécuté tous mes ordres, il s’est même menotté tout seul à une chaîne pendue dans un arbre. J’étais confortablement installé sur ma terrasse avec un café et une cigarette, ma soumise (sur mon ordre) est allée lui claquer les couilles puis les fesses en lui indiquant « bienvenue chez TSM ». Est-ce que Ginou était dominatrice ? NON elle n’a qu’exécuté mes ordres. A la suite de quoi, je lui ai demandé de « chauffer » ce soumis avec mes martinets le temps que je termine ma cigarette. A la...
Blandine employée de maison
il y a 9 ans

Une historie érotique de curé TRES pervers

Blandine employée de maison, depuis peu, dans ce manoir de l'Indre par une riche famille, était montée se coucher après son service du soir. Comme tous les soirs elle avait porté le cognac à Monsieur dans un grand verre de cristal ; à Madame, sa tisane, mélange de sauge et de verveine et au cousin de Madame, le Père Georges, prêtre dans la paroisse voisine de Bellâbre, un petit verre de cette liqueur douceâtre qu'il affectionnait, à base de brou de noix. Après s'être déshabillée, elle avait soigneusement suspendu sa jupe noire et son chemisier blanc dans la petite armoire. Elle avait posé sur le dossier de la chaise, son tablier blanc et sa coiffe empesée et par-dessus, précautionneusement ses bas noirs (ils coûtaient si cher chez la mercière du village). Puis comme tous les soirs, elle se prépara à sa prière. Pour les petits de cette maison (si gentils, surtout la petite Elodie si mignonne avec ses longues boucles brunes), pour la dame de la poste atteinte d'une grave maladie et q...
Mylène attachée au milieu de la crypte
il y a 9 ans

Une littérature BDSM de grande qualité sans vulgarité !

Mylène , selon son désir, est attachée au milieu de la crypte, les poignets vaguement attachés derrière la colonne , au moyen d’une corde rugueuse, irritante, urticante, mais lâche, afin qu’elle puisse éprouver sa quasi- immobilité, mais frotter son dos, ses fesses, ses cuisses, contre la pierre froide de laquelle son corps n’est séparé que par une étoffe fine quoique opaque, une tunique de soie qui l’enveloppe des épaules jusqu’aux mollets, décente, légèrement décolletée, recouvrant ses bras jusqu’aux coudes avec une importante échancrure. Une ceinture de laine rouge sombre serre la tunique verte à la taille, laissant l’imagination vagabonder vers l’intuition d’un corps mince, vif et nerveux. Verte, la tunique, avec une cape qui tombe dans le dos comme celles des moines, d’un vert smaragdin aux moires d’un Véronèse pâle, sublimant la chevelure d’un roux qu’on ne pourrait qualifier de félin ni de flamboyant sans tomber dans l’image éculée, et certainement faussement applicable en c...
Ma première visite dans un donjon
il y a 10 ans

Après mes débuts de soumise, mon maître me fit découvrir ce qu’était un donjon.

Au cours d’une grande soirée fétichiste à laquelle nous avions été invités, un homme vint nous voir et nous proposa de poursuivre la soirée dans un donjon non loin de là, en compagnie de quelques autres couples. Mon maître accepta immédiatement. Lorsque nous nous retrouvâmes seuls, lui et moi, je lui fis part de mes craintes. J’imaginais un donjon comme une salle de t o r t u r e, meublée d’étranges appareils ; un endroit terrible où seules les personnes les plus expérimentées étaient acceptées et devaient se plier au règles du lieu. Bref, je ne comprenais pas pourquoi cet homme nous faisait cette proposition à nous alors que j’étais une débutante, jolie, certes, mais totalement novice, ce qui ne faisait pas de doute dès que l’on me voyait. Mon maître me rassura en me disant que personne n’était obligé de participer et que si cela ne me plaisait pas nous pouvions juste regarder ou nous en aller si vraiment je n’étais pas à l’aise. Cependant, il souhaitait que je découvre cet endroi...
Sabrina ou la jouissance dans le soumission
il y a 10 ans

Elle ne trouve plus l'orgasme que dans la soumission absolue et sous le fouet.

Résumé : Sabrina, une jeune femme aux formes sculpturales a trop lu, dans son a d o l e s c e n c e, "Histoire d'O", le roman de Pauline Réage. Elle ne trouve plus l'orgasme que dans la soumission absolue et sous le fouet. L'auteur, qui en est épris, mais qui n'a aucune expérience dans le domaine du sado-masochisme, tente par tous les moyens de la satisfaire. Les semaines qui suivirent nous permirent de progresser à grands pas dans nos rapports sado-masochistes et de découvrir de nouveaux plaisirs. Chacun le sait, l'ennui naît de l'uniformité et l'habitude est sans doute l'assassin de bien des couples. Aussi étais-je constamment à l'affût de nouveautés afin que notre liaison s'enrichisse de sensations nouvelles et de plaisirs de plus en plus extrêmes. N'avions-nous pas mis le doigt dans une sorte d'engrenage ? L'idée m'obsédait, mais je la repoussais, bien décidé à profiter du temps présent. Carpe diem ! Sabrina me demanda d'installer un miroir dans notre "salle de t o r t...
Selfbondage sur ordre du Maître qui participe
il y a 10 ans

Une idée de jeu de bondage et de selfbondage pour couple

##### Mon Maître est très pervers, il me fait des tonnes de misères pour me rendre folle. Si nous sommes venus sur Fessestivites, c’est parce qu’un jour, nous sauterons le pas des rencontres et je ne doute pas qu’il m’arrivera des choses folles puis, semble t'il, pour les vraies / boonnes/  mauvaises idées que mon Maître y trouve. Quand je dis qu’il est très pervers, c’est parce qu’il s’amuse à m’obliger à m’attacher toute seule, donc à faire du selfbondage, puis à patienter parfois jusqu’à deux heures avant de venir me dominer ou me baiser comme un fou. Il m’adresse un texto pour me prévenir que j’ai reçu des ordres par email. Je dois à chaque fois préparer le matériel qu’il a demandé puis installer l’ordinateur portable en chat privé afin qu’il puisse me voir et me surveiller en webcam. Comme je dois couper le son de l’ordinateur et mettre ma webcam en plein écran, je ne sais donc pas ensuite s’il est seul ou pas à me regarder puisque je ne vois pas qui se connecte da...
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