Récits
Rencontres BDSM
il y a 10 ans

Les confidences érotiques d'une femme sur ses rencontres BDSM

#### Le jour où j’ai cliqué sur un lien intitulé Rencontres BDSM en bas d’une histoire érotique un peu corsée que je lisais sur un blog, ce n’était que pour vibrer un peu intérieurement en allant voir ce qu’il se passe réellement dans le monde des rencontres BDSM. En arrivant sur Fessestivites, je ne pouvais pas savoir que ma vie allait changer. Les discussions dans le forum BDSM m’ont permis de comprendre que ce n’est pas de la violence, bien au contraire, les posts portaient sur les limites, le don se soi et ce qu’une soumise peut faire par amour du Maître. Les témoignages m’ont alors motivé à sauter le pas, oser rencontrer un Maître pour voir ce qu’il se passe réellement. Au pire, il me baiserait après m’avoir attachée, j’en rêve parfois en me touchant timidement en secret sous ma couette. Après quelques échanges, Maître Master ayant su me rassurer de par le respect et la politesse se dégageant de ses écrits, j’ai donc osé lui téléphoner. Déjà parler de ces choses si intime...
Dilatée
il y a 10 ans

Jeu de dilatation surprise

Elle ne pouvait encore s'avouer que les élans qu'elle réprimait se libéraient par elle. Elle préférait se laisser croire que c'était mon rôle, par les obligations que je lui ferai, de transgresser les règles. Sans doute aurait-elle été honteuse de s'avouer qu'elle en était la seule responsable et moi, le jouet. Je décidais de l'impliquer plus qu'à l'habitude dans son avilissement. Elle avait donc confectionné, la veille, accroupie prés de notre bivouac, quatre dizaines de bâtonnets faits de branches de noisetier de la taille de crayons. Les bouts en étaient arrondis et le fagot encerclé ne tenait pas dans sa main formant un cercle. N'étant pas pourvue d'une grande sagacité, elle ne devinait pas l'usage que je pouvais faire de ces baguettes. Je lui fis choisir, sur un noisetier non loin, une branche rigide d'un bout et très flexible de l'autre. Là, elle n'eut pas longtemps de réflexion à fournir pour imaginer que la badine allait sous peu amuser ses fesses. Je l'installais à quatre p...
3 La cascade
il y a 10 ans

L'eau un symbole d'érotisme

Freud, Yung ou un autre, j'avais souvent lu que l'eau était un symbole d'érotisme. Pour ce qui concerne cet été, nous continuions plutôt nos vacances sous l'égide du divin marquis. Je ne disserterai pas sur les analyses des deux premiers ni sur la philosophie d'Alphonse Donatien, je me sentirai si petit... Mais je peux en décrire les traductions matérielles que cette rivière nous révéla. Le souvenir m'est encore vif et si le temps, au fil de bientôt vingt-cinq ans, a embellit souvent les choses, cette fois, je ne saurai m'en plaindre. Nous venions donc de prendre ce premier bain où l'épisode de fin avait brûlé les fesses et sans doute, l'âme de mon amie. (En ces temps, je ne mettais pas encore de mots sur nos pratiques et ne connaissais pas le mot "soumise"). La retenue, les apparences et obligations dans lesquelles son éducation l'avait jusqu'alors maintenue avait laissé passé la lumière quelques semaines auparavant. Et comme un souffle trop longtemps retenu provoque une plus forte...
2 La rivière
il y a 10 ans

Aventure BDSM au bord de l'eau

Plusieurs semaines sans s'être vus et l'été nous avait permis de nous retrouver enfin. Quelques jours de soleil sans les contraintes usantes du gris quotidien. Elle avait souhaité que nous fassions du camping en pleine nature, pour nous éloigner des grondements de la ville. Un épisode de vacances passées me revint à l'esprit : j'avais découvert, l'année passée, lors d'une randonnée de quelques jours, un lieu étonnant, perdu dans un val échancré des contreforts du massif central. Rien d'extraordinaire, rien de grandiloquent, une rivière gracieuse et agile jouant pendant plusieurs kilomètres avec les mousses, les pierres quelle avait arrondies, bondissant parfois en cascades lorsque le terrain s'y prêtait. A certains endroits, des clairières permettaient un frais repos dans les traits lumineux de l'après midi chaude. Une journée entière avait été nécessaire pour longer cet Eden et nous n'avions pu nous arrêter que pour un déjeuner rapide avant rejoindre l'étape du soir. Je m'étais pro...
1 Commencement
il y a 11 ans

Frappe-moi !

Elle était brune sa chevelure tombant sur les épaules. Au matin, la nuit l’ayant décoiffée, une sorte de crinière environnait son visage qui donnait aux gestes lents de l’engourdissement du réveil une touche animale. Lorsque elle avait quitté le lit, ses yeux noirs s’éveillaient à leur tour. Ils étaient capables, j’en avais fait l’expérience, de se révéler les alliés puissants de sa détermination et dans les extrêmes, de brûler à distance l’objet de sa colère. Rien dans les traits de son caractère entier ne laissaient supposer une nature soumise. Une part de S a n g  espagnol affirmait souvent sa présence, passionnée en amour, combative dans l’adversité. Nous étions amoureux et nous nous essayions, dans les jeux de l’amour sans chercher à restreindre les possibles que d’ailleurs nous n’imaginions pas. Je me souviens d’un après-midi d’automne chaud et lumineux comme le sud-ouest parfois en offre quand l’été semble vouloir rester encore un peu. Le petit animal sauvage que j’avais...
Pauvre Slave BDSM chez TSM
il y a 11 ans

Une soirée BDSM chez TSM

Un jeune coupe dialoguait avec nous sur le chat, beaucoup de questions très pertinentes nous étaient posées sur le BDSM. Un certain nombre portaient sur la douleur et peut-on réellement prendre du plaisir dans la douleur. Ma soumise très malheureuse….. (insatiable) me dit en rigolant « nous pourrions leur faire une démo » avec un sourire allumeur posé sur les lèvres. Nous leur avons proposé une cam, pour faire plus ample connaissance, ils ont décliné très poliment en nous expliquant que la profession de monsieur lui impose une interdiction totale d’être vu sur un site de rencontres comme Fessestivites. Ils étaient super sympas et ultra courtois en tenant par exemple à indiquer « Madame au clavier » ou « Monsieur au clavier » quand nous changions d’interlocuteur. Nous leur avons indiqué qu’ils pourraient laisser leur cam fermée, que nous ne leur en voudrions pas, ils étaient ravis. Le temps que l’on prépare le matériel, ils ont fait venir une fille qui se cache derrière un p...
Des valises pleines de fessestivités !
il y a 11 ans

Confidences d'une fille adepte du spanking venue à une rencontre Fessestivites

##### Voici un texte que j'ai publié sur mon blog mais que j'avais également très envie de partager avec vous. Je vous fait donc cadeau d'une aventure qui m'est arrivée cet été de façon très récente, et que je suis impatiente de réitérer à la prochaine occasion. A déguster sans modération... ******* J'aimerais vous raconter une incroyable expérience que j'ai envie de vous faire partager. Une de celle dont je ne me sentais pas capable, une que je n'aurais pu soupçonner mais qui m'a fait grandir. Alors pour ceux qui auront la patience de me lire, je vous souhaite de finir cette lecture titillé par l'envie de tenter à votre tour une telle expérience, quand vous vous sentirez prêt. J'ai commencé cet été 2014 un peu fracassé d'âme et d'esprit. Monsieur est parti, je pensais qu'il reviendrais, il ne l'a pas fait, sans un mot, il s'est enfui, et je me suis retrouvée sans explications, vide, à vide. Quant aux autres j'ai beau les apprécier de toute mon honnêteté, c'était trop. Alor...
Bondage sadique au soleil
il y a 11 ans

La marque des cordes de shibari

#### Quand on a un Maître aussi sadique que TSM on doit s’attendre à tout ! Il aurait suffit de deux doigts, Il aurait suffit d’un doigt ou même une phalange pour tirer sur ce petit bout de corde que je voyais à mes pieds mais que je ne pouvais atteindre pour me libérer. Pendant le repas mon Maître avait un regard et un sourire aux coins des lèvres qui en disaient long sur ses pensées. Loin d’imaginer ce qu’il m’attendait, tout en sachant que j’allais avoir une surprise, après le repas. Il me demanda d’aller préparer le transat au soleil pour sa sieste, je pris soins d’y mettre un petit matelas et la tête à l’ombre, pensant que j’allais faire une sieste à ses pieds sur le gazon bien installée à l’ombre. Il en était rien, juste le temps de finir mon café je le suivis près du transat, sur le gazon, une valise ouverte avec des cordes à l’intérieur je compris de suite. Le transat n’était pas pour Lui, non non !! Il était bien pour moi !!! Il commença un shibari en me faisant un ha...
Le goût des femmes
il y a 11 ans

Une formation BDSM pour soumise particulière ! Une histoire trop géniale......

Carine est devenue la soumise de Maître Dark malgré sa réputation d'être dur et impitoyable, c'est d'ailleurs justement ce qu'elle cherche après avoir rencontré des mémaîtres avec lesquels elle s'est ennuyée. Maître Dark lui réapprend les règles du monde BDSM, tout en lui rappelant que chacun peut y apporter quelques variables, chacun ayant ses particularités et goûts. De rencontres BDSM en rencontres BDSM, elle s'épanouit, trouve là son équilibre, le bonheur dans cette nouvelle façon de vivre. En trois mois, elle a eu plus de jouissances "naturelles" ou SM que dans toute sa vie. Elle n'est que la deuxième soumise de Maître Dark, il est marié à une magnifique soumise qui fait baver bien des Maîtres. Au mois de juin 2014, lors d'une soirée organisée par Fessestivites, ils s'amusaient pleinement tous les trois lors de jeux BDSM de toutes sortes. La première soumise dans ces moments là étant mise à l'honneur, Maître Dark lui a demandé de s'allonger sur la terrasse pour que sa femm...
La douleur du Lotus
il y a 11 ans

Un petit roman BDSM croustillant

Chap.I : Maman est partie Vendredi 12 décembre 1984 Maman se plaint de douleurs au ventre, elle doit aller consulter un médecin et me confie à notre voisine Alice. Notre voisine est institutrice dans les classes des grandes à mon école. Tous les soirs, Papa rentre seul, il est pâle, je le sens soucieux. Il explique à Alice que maman a été retenue aux urgences. Samedi 13 décembre 1984 Nous allons voir maman à l’hôpital. Je lui apporte un bouquet de lys, ce sont ses fleurs préférées. Maman m’attire vers elle, elle m’embrasse les larmes aux yeux et me dit merci. Papa reste au bout du lit et pleure. Je ne comprends pas pourquoi papa pleure, Je n’ai jamais vu Papa pleurer, Maman aime pourtant les fleurs. Je sens qu’il y a quelque chose de grave, mais je ne comprends pas quoi. En sortant, je ne sais pas encore que je ne reverrai jamais plus maman. Chap. II : Notre voisine Papa a pris des arrangements avec Alice ; elle me prendra en charge quand il ne peut pas être pré...
La douleur du Lotus 2
il y a 11 ans

La douleur du Lotus

Chap. VI : les révisions... et le cachot Jamais révision n’a été plus pénible dans ma vie. Impossible de me concentrer. Trois fois par semaine, mon Maître me rejoint pour m’aider dans la démarche, mais je ne parvenais pas à me concentrer sur ses paroles. Seule dans mon studio, je me mettais nue et me menottais les poignets dans le dos. J’avais l’impression d’être plus proche de Maître Fabian. Même cela ne devait pas m’aider à étudier. Moi qui ai toujours été excellente élève. Ce qui devait arriver arriva. Une deuxième cession à repasser dans ce cours pourri. Je ne voyais pas comment l’annoncer à Maître Fabian. Je sentais qu’il allait être déçu. Sa déception était pour moi la voie la plus cruelle. Je souhaitais qu’il me mette une dérouillée, ce serait une preuve qu’il s’intéresse à moi, en plus, je l’avais bien méritée, celle là. Je me prépare à aller annoncer la mauvaise nouvelle, et me prépare pour la circonstance. Je me rafraîchis le pubis et choisis une petite jupe pli...
La douleur du Lotus 3
il y a 11 ans

Chap. IX : la nouvelle esclave

Une quinzaine de jours que Laetitia occupe nos appartements, elle se fait très discrète à la grande satisfaction de mon Maître et de moi-même. Nous venons de prendre tous trois le repas du soir délicieux que Laetitia a préparé, elle est un fin cordon bleu. Quand la conversation vient sur la vie de couple de mon amie, qui décrit par le menu, sans aucune gêne sa vie de soumise avec son Maître, mon Maître est très attentif et ne semble pas surpris. J’avais, pourtant, pris le soin de ne rien divulguer à mon Maître par respect pour mon amie. Les explications terminées, mon Maître se met à interroger Laetitia sur le détail de ses expériences, questions auxquelles elle répond avec précision, sans gène, comme s’il s’agissait de décrire la dernière robe qu’elle avait achetée. Lorsque le sujet est venu sur son marquage au fer rouge, elle demande à mon Maître : - Vous voulez voir ? - Bien sûr ! Sans honte, elle se met debout, relève sa jupe en se retournant et dévoile ses fesses t...
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