Récits
Premières expériences et engrenages : Chapitre 80 : Première domination
il y a 1 an

Agir au niveau du tableau de contrôle d’un engrenage est un acte de pouvoir et, à part Dieu, qui ne se laisserait pas entrainer

Chapitre 80 : Première domination Des spasmes la secouèrent et quelques secondes plus tard, du liquide fut projeté de son sexe. - Répète ! insistai-je, en me rendant compte de la marge qu’il me restait sur le plaisir ou la douleur que je pouvais lui infliger. - Libérez-moi, Maîtresse, demanda-t-elle cette fois en pleurant. - C’est mieux dis-je en rediminuant d’un cran cette même mollette. - Merci, bafouilla-t-elle. Oserai-je ? - Merci, Maître, la récriminai-je, la remontant de deux supplémentaires. - Merci, Maître, hurla-t-elle cette fois. Je la redescendis d’un, la laissant ainsi à quatre. - Plus bas maître, encore plus bas, s’il vous plait. - Que me donneras-tu en échange ? - Que voulez-vous ? Maître ? ajouta-t-elle à temps. Je ne m’étais pas posé la question. Elle avait apprécié, quand bloqué aux fenêtres, les valets profitaient de moi. Les impulsions électriques qu’elle subissait me rappelaient celle que m’infligeaient mes maîtresses. Tous ces...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 79 : La servante est au courant
il y a 1 an

Dans un engrenage, le couple est proportionnel à l’intensité, si l’on tient compte des frictions.

Chapitre 79 : La servante est au courant Je ne l’avais pas vu entrer. Elle s’était rangée de côté et avait parlé doucement pour ne pas se faire surprendre par Nathalie et sa copine dans la pièce d’en face. - Oui, Maîtresse, répondis-je sur le même ton. Lisa remua quand elle entendit ma voix et prononça un non distinctif malgré son gode. - Sais-tu pourquoi elle est là ? Je le savais, mais je cherchais à tourner la réponse à mon avantage. - Parce que je tiens plus à vous qu’à mon dépucelage ? Elle ne me répondit pas mais elle me sourit. Je l’avais touchée, j’en étais certain. - Charmeur, finit-elle par dire. Tu viens avec moi à la cuisine, manger un morceau ? me proposa-t-elle. - Je me demandai, s’il ne serait pas formateur de l’échauffer un peu avant la séance, me laissai-je tenter. - Tiens, tiens, à quoi penses-tu ? - Vous lui avez mis des plugs vibrants et ils ne sont même pas allumés, m’avançai-je, jouant pour la première fois au dominateur. N’est-ce...
Lucie découvre la vie, l’ABDL et le BDSM 2 sur 3
il y a 1 an

De l'ABDL à la fessée en passant par de délicieuses fellations appelées biberon des grandes, l'apprentissage de la vie continue

[Le début de cette histoire est ici](https://fessestivites.com/recit/198217) CHAPITRE QUATRE La journée au travail se déroule normalement, hormis les employés râlant de plus en plus et s’estimant sous-payés. Il faut dire que le gouvernement Macron accentue bien la crise engendrée par ses prédécesseurs ayant bien commencé à vendre la France. Les fins de mois commencent à devenir difficiles pour les salariés ayant 1500 euros net par mois et un crédit immobilier à payer. La grogne commence à se faire sentir dans l’entreprise de Jean qui pourtant est un bon patron. Le soir même, Jean souhaite s’occuper de son nouveau bébé d’amour, et, après qu’elle ait préparé le dîner, lui refait le même scénario que la veille. Sous la douche, cette fois moins timide que la veille, Lucie s’amuse à mouiller son Daddy, à jouer sa vilaine fille avec de grands éclats de rire. Cela amuse Jean, il a l’impression de rajeunir aux côtés de sa perle d’amour qu’il compte bien initier à d’autres jeux...
Lucie découvre la vie, l’ABDL et le BDSM 1 sur 3
il y a 1 an

La chance sourit à une jeune fille vivant dans une famille d’accueil particulière. Embauchée chez un homme aussi charmant que pervers, elle va vivre des aventures fétichistes multiples. De la régression à la fessée puis au BDSM soft avec Amour.

- Le seul souvenir que j’ai de quand j’étais petite, ce sont les camions rouges et les lumières bleues puis les pompiers qui courraient partout. Après plus rien. Ensuite, j‘ai été placée dans une famille d’accueil. Là des souvenirs j’en ai plein. C’était horrible. Ils étaient tous méchants avec moi, j’étais surtout une source de revenus et l’esclave de la maison. Il faut dire qu’à cette époque, je ne parlais quasiment pas, cela les énervait. - Mais, il n’y avait pas des contrôles, des assistantes sociales qui venaient ? - Si, mais ce jour là, ils étaient gentils, même les deux frères pour qui j’étais le souffre douleur. Bien souvent, lors de ces visites, ils avaient le droit de sortir ou des maquettes à monter. - Pourquoi tu ne lui en parlais pas ? - Parce que la fois où je lui en ai parlé, après son départ j’ai été battue et enfermée dans l’armoire comme quand les frères faisaient des bêtises et disaient que c’était moi. - Enfermée dans l’armoire ? - Dans ma ch...
Elle voulait jouer pets-play et se fait piéger
il y a 1 an

Les soumises qui veulent faire des surprises.... à leur Maître n'ont pas toujours de bonnes idées

Pour fêter les deux ans de leur rencontre, une soumise en manque allume son Maître en mettant un plug de pets-play et en s’attachant devant lui. Ce qu’elle n’a pas prévu, c’est qu’il transforme sa surprise en piège. ................................. Il est arrivé tard et de mauvaise humeur, une de leurs machines était tombée en panne. Ne sachant pas s’il rentrerait pour 20 heures ou même 22 heures, par respect pour le restaurateur, il avait annulé la réservation au restaurant. Pour fêter les deux ans de notre rencontre via le site fessestivites, autant dire que la soirée était mal partie. Max est un homme adorable, attentif à mon bien-être mais il est aussi un Maître assez sévère. Je ne m’amuse jamais à le provoquer pour avoir « une punition », cela fait trop mal aux fesses ou ailleurs. La dernière fois que j’ai essayé de le motiver en faisant volontairement de petites bêtises, je me suis retrouvée attachée nue avec des pinces à sein lestées sur les tétons. Elles y sont resté...
Prisonnier des Cythriennes (10)
il y a 1 an

Récompenses

[Le début de cette saga est ici](https://fessestivites.com/recit/196758) Alrich rassemble ses affaires. Toutes ses affaires. - Tu vas où ? Il se passe quoi ? - Si seulement je le savais… Les gardiennes l’emmènent. - Allez ! Et reviennent, presque aussitôt, en compagnie de Germie. - Bon, ben voilà. Apparemment que je suis ton nouveau colocataire. Il jette un coup d’œil par la fenêtre, fait la grimace. - Question paysage, je gagne pas trop au change, dis donc ! - Et Alrich ? Elles en ont fait quoi ? - Elles l’ont mis avec Bardolle. C’est le grand chambardement. Rapport aux deux autres qui se sont barrés. Paraît que ça nous donne des idées de rester trop longtemps ensemble dans la même cellule. Alors elles rebattent les cartes. Et sont, paraît-il, maintenant décidées à les rebattre souvent. - C’est qui, ces types qui se sont enfuis ? On sait ? - Un perchiste et un lanceur de poids. Groupe B. Je crois vaguement voir de qui il s’agit. Ils étaient à la générale....
Prisonnier des Cythriennes (8)
il y a 1 an

Logés, elles et eux, à la même enseigne

[Le début de cette saga est ici](https://fessestivites.com/recit/196758) Du plus loin qu’elles m’aperçoivent, Varine et Marla se précipitent à ma rencontre. - Ah, te v’là ! On commençait à se dire que tu viendrais pas. Les gardiennes font claquer leurs fouets. - Oh, on se calme, sinon… Nous repoussent, à petits coups de lanière sur les mollets, jusqu’à l’entrée de la salle de classe. Les yeux de Marla plongent dans les miens. - Comment on y a pensé à toi ! Si tu savais… Glissent le long de mon torse, descendent. Varine confirme. - C’est tout le temps qu’on parle de toi. Sans arrêt. Dès qu’on peut. Leurs regards vont et viennent sur moi. Partout. S’accrochent ici. S’attardent là. Me dévorent à qui mieux mieux. Je me repais d’elles, moi aussi, tout mon saoul. De la brune. De la blonde. Ouvertement. Avec délectation. Marla soupire. - C’est de la torture ! Parce qu’attends, ça fait des mois et des mois qu’on n’a pas vu un mec. Même de loin. C’est tout ju...
Week-end BDSM de rêve pour une soumise
il y a 1 an

Une rencontre BDSM originale grâce à un accident.

17 heures, la nuit tombe ce sombre vendredi d’hivers. Je suis encore à 300 kilomètres de chez-moi. A la sortie d’un village, un pneu de la voiture me précédant éclate, la voiture fait une embardée, freine et termine sa course doucement contre une glissière de sécurité. Je m’arrête, les passagers n’ont rien, mais la voiture est inutilisable. Je vais chercher un dépanneur. Pendant le dépannage, au cours de la discussion, le couple d’accidenté m’informe qu’il va à un rendez-vous à 50 kilomètres de chez-moi, sur ma route. Je leur propose de les y accompagner et ils acceptent. Après m’avoir remercié, nous reprenons la route. La conversation s’engage, et mes interlocuteurs me font part de l’importance de leur rendez-vous ; ils se rendent à une réunion sado-maso. Lui est un maître, moustache, la quarantaine. Elle, sa soumise, est une belle femme, cheveux blond mi-court, la trentaine, habillée BCBG. Nous échangeons nos points de vue sur le SM, et leur ayant fait par de mes goûts da...
Mon gynécologue est un sadique
il y a 1 an

Une histoire érotique de fétichisme médical

##### Comme beaucoup de membres, j’ai des fantasmes. Comme beaucoup je pense aussi, je surfe sur le site pour lire des histoires érotiques, voir des photos ou des vidéos, le vice est entré dans mes surfs amen. Je discutais avec Monsieur Gyné sur le tchat, sur son profil en guise d’avatar, il avait mis une photo de table de gynécologie avec cette phrase : elle vous attend. Pour satisfaire ma curiosité, je lui ai demandé s’il en avait une chez lui. - Non, je n’emmène pas du travail la maison, j’en ai une à mon cabinet, cela me suffit ! M’a répondu Monsieur Gyné. Au fil des discussions, pour le provoquer, je lui ai dit que c’était un veinard d’avoir tous les jours plein de femmes obligées d’écarter les jambes. - Oui et non, tout n’est pas toujours roses, croyez-moi. - Vous en profitez ? - Jamais, je n’ai pas envie d’être radié de l’ordre des médecins et je tiens à ma réputation. De vous à moi, ce genre de chose avec mes clientes ne me tente pas. - Alors pourquoi avoir...
Centre de réalisation des fantasmes
il y a 1 an

Les clients et clientes vont vivre des choses horribles !

Le centre a mis au point une technologie innovante permettant à chacun de vivre ses fantasmes les plus fous sans intervention extérieure. La discrétion est totale, ce n’est en aucun cas de la prostitution. Eclatez-vous, envolez-vous dans une totale discrétion. Cette publicité lancée sur le net il y a quelques temps a généré un gigantesque raz-de-marée sur le site internet du centre. Les curieux bien sur, les fétichistes de tous bords ainsi que la police suspectant une activité illégale. Les explications données par le CRF (Centre de réalisation des fantasmes) sont d’une clarté totale bien que surprenante. A partir de 200 euros (moyen de paiement à votre convenance) nous mettons à votre disposition une cabine privée avec un ordinateur vous permettant grâce à nos logiciels de programmer vos envies et désirs les plus fou. A la suite de quoi, vous êtes invités à vous mettre intégralement nu et à entrer dans une sorte de scaphandre qui se refermera sur vous et grâce à not...
La catastrophe informatique du Centre de réalisation des fantasmes
il y a 1 an

Tout se mélange pour rire ou pour pleurer mais attention, c’est chaud ! ! !

Tout allait bien sauf que....... mais écoutons encore quelques témoignages avant la catastrophe Témoignage d’une femme de 31 ans mère de famille Le fantasme du v i o l me suit depuis mon a d o l e s c e n c e . A cette époque, l’inconsciente que j’étais lisait le journal à la recherche de ces faits divers horribles, ma libido exacerbée faisait le reste la nuit sous ma couette. Comme mon mari est coincé du cul, j’ai abandonné l’idée de lui demander de m’attacher pour me prendre sauvagement, le jour où j’ai essayé de lui parler de mes fantasmes, il m’a traitée de folle. Pour moi, le Centre de réalisation des fantasmes pouvait me permettre de vivre secrètement et sans danger ce fantasme qui me suit depuis plus de 16 ans. Le Centre de réalisation des fantasmes devenu une obsession, je me suis souvent garée à côté pour observer les allers et venues. Les gens sortant de là affichant tous un visage radieux, j’ai fini par me décider mais j’ai payé en espèce grâce à de petites écon...
L’hôtel de la gare
il y a 1 an

Le confessionnal peut être un moment de partage et de luxure

- « Mon père, punissez moi car j’ai pêché ! » Cette supplique venait du confessionnal, ou Sophie, bien sur, n’avait pas ses habitudes. - Cela ne doit pas être bien grave, racontez ma fille », lui dit une voix douce, semblant venir du plus lointain des cieux. La honte ! La honte ! La honte ! Celle qui monte aux joues, qui fait pleurer. Tout avait commencé, par de la frustration, du manque d’attention, de caresses, d’imagination. Bref, la lassitude d’une vie maritale banale. L’envie d’autres choses, l’envie de vivre quoi ! Un dialogue sur Internet, un ordre : - Hôtel de la Gare, Dijon, vendredi 10 heures, prends ta journée ! Une nuit d’insomnie, d’hésitation et une réponse positive. L’homme avait formulé des exigences vestimentaires. Des chaussures noires à hauts-talons, des bas assortis, une jupe très courte, serrée, rouge, une chemisier blanc, un manteau noir, pas de slip, pas de soutien-gorge. Rouge et enfiévrée, honteuse et peureuse, tremblante de désir… Voilà tout...
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