Récits
Cherche serviteur pour salon de détente
il y a 7 ans

Un homme capable de s'occuper des pieds d'une femme..

Tout a commencé par un message intitulé "Réponse à votre annonce" signé Messalina... C'est ainsi que cherchant une amie, j'ai trouvé un emploi. La réponse de Messalina était à la fois claire et efficace, demandant plus de précisions sur la nature de mon fétichisme, sur mes goûts et mes envies et l'idée que je me faisais de la servitude aux pieds d'une femme. Nous échangeâmes ainsi quelques messages sur un ton courtois, presqu'amical avant que "Messalina", qui s'appelait en réalité Laetitia ne m'invite à la rencontrer. Elle s'était présentée comme "chef d'entreprise" et se disait intéressée par un entretien "professionnel" approfondi afin de pouvoir apprécier concrètement ce que j'étais susceptible de lui apporter. Laetitia était esthéticienne. Elle m'accueillit très aimablement dans son institut le jour du rendez-vous qu'elle m'avait fixé. C'était une jeune femme plutôt jolie, franche et dynamique. Elle me plut au premier regard et me mit immédiatement à l'aise par son affabilité et...
Une réelle dominante
il y a 7 ans

Elle avait le contrôle du combat

##### Il se dit souvent que la fin justifie les moyens. Mais l'expérience m'aura appris à ne plus provoquer Elodie inutilement. Tout avait commencé de façon banale lors d'un cours de karaté. Quelques petites remarques taquines sur cette obsession qu'ont certaines femmes de vouloir imiter les hommes dans tous les domaines et sur leurs inévitables limites physiques. Enfin bref, j'avais suggéré à Elodie qu'elle aurait bien du mal à vaincre un adversaire masculin, même s'il était néophyte en matière d'arts martiaux, comme moi. Je n'aurais pas dû insister, mais j'ignorais alors qu'elle prenait son sport tellement à coeur. Je ne fréquentais ces cours que pour l'occasion qu'ils m'offraient de regarder de jolis pieds nus féminins et, de temps à autre de savourer le spectacle excitant d'une femme terrassant un homme. J'avoue aussi qu'Elodie me plaisait. Ce qui avait commencé comme une simple taquinerie se transforma bientôt en défi et c'est ainsi qu'à mon corps (presque) défendant, je me...
Je me servirai de ta figure comme d'un paillasson
il y a 7 ans

Mis KO par ses pieds

Enfin, je retrouvais cette garce de Kellie Bruner. Cette chienne m'avait largué au bout de seulement quatre mois, juste parce que j'avais embrassé une autre fille. Nous n'étions encore même pas véritablement ensemble ! Cela me fit mal au-delà de tout ce qu'il est possible d'expliquer, et rien de ce que je lui dis ne la fit changer d'avis. J'avais été plutôt dominateur durant cette relation. Je faisais l'amour quand j'en avais envie. Et là, tout avait changé. C'est elle qui avait pris le contrôle, et je ne pouvais pas le supporter. Après avoir pleuré tout au long des deux derniers mois, je pris la décision de la mettre dans l'embarras, de lui faire payer tout le mal qu'elle m'avait fait. Elle ne m'intéressait plus. Elle ne suscitait plus aucune réaction en moi. Mais ce soir là, elle se montra à la soirée à laquelle j'étais moi-même invité. Elle était accompagnée d'un garçon et de sa meilleure amie, Monica White. Je souris intérieurement en pensant à ce que j'allais lui faire subir....
Il ne fallait pas lui faire connaître la cage de chasteté
il y a 7 ans

L'idée d'avoir ce pouvoir sur son « homme » la troublait énormément

Comment tout avait commencé : Entre Fabienne et Jean-François, ça n'avait pas été un coup de foudre dès le départ. Mais peu à peu, ils avaient fini par s'apprécier et avaient entamé une relation basée avant tout sur la tendresse et l'affection. Coté sexe, leur relation était convenable sans être exceptionnelle : JF était moyennement performant. Sa bite était honorablement dans la moyenne mais il avait parfois du mal à bander vraiment dur, Fabienne n'avait jamais d'orgasme ainsi. Par contre, Elle ne se lassait pas de se faire lécher et JF manifestement adorait ça. Un jour, JF vit sur un forum Internet un dialogue sur le thème des cages de chasteté pour hommes. Il ne savait pas que cela existait et entreprit des recherches. Ce qu'il lut l'excita à un tel point qu'il décida d'en parler à Fabienne. Au départ peu enthousiaste, Elle se dit « pourquoi pas ». Le jour ou la cb3000 arriva, Fabienne changea d'avis complètement : L'idée d'avoir ce pouvoir sur son « homme » la troublait...
Tu trouves que mes pieds sont jolis, n'est-ce pas ?
il y a 7 ans

Un arôme de cuir légèrement salé submergea mes sens

Donna Donna n'était pas à proprement parler une beauté. Un visage quelconque, des petits seins, et pas un corps de rêve. Un peu enveloppée, sans être grosse. "Bien charpentée" pourrait être l'expression politiquement correcte. Elle ne portait pas de bijoux, ne mettait ni maquillage, ni vernis, ni parfum. Elle était toujours en jeans, avec un simple pull, mais elle semblait porter une grande variété de chaussures, et elle avait de tout petits pieds. C'était une petite dure et elle se battait régulièrement avec d'autres filles, combats dont elle sortait généralement victorieuse. Je pensais qu'elle était lesbienne, mais elle avait plutôt la réputation d'être une vraie salope. D'ailleurs, elle ne pouvait pas être lesbienne puisqu'elle était sortie pendant un mois avec mon meilleur ami. Je ne sus pas grand' chose de sa relation avec Bill, mais j'appris que c'est elle qui avait rompu et que Bill en avait été très affecté. Etant un ami loyal, je vouais donc une haine cordiale à Donna. Une...
Bloqué dans un ascenseur avec une dominatrice
il y a 7 ans

Il devient l'objet d'une Déesse

La première fois où je la vis c'était devant la porte de l'ascenseur de l'immeuble où elle habitait, bien sur je ne venais pas pour elle mais pour un ami qui m'avait donné rendez-vous, alors que j'attendais que l'ascenseur arrive à notre étage, je ne pu m'empêcher de la regarder, elle était très belle, très féminine, elle était blonde mesurait 1m70 environ, vêtue d'une jupe grise et d'un chemisier qui lui allaient à merveille. Je la regardais avec insistance, elle le remarqua, mais me fit une moue dédaigneuse, vexé je détournais le regard. L'ascenseur arriva, les portes s'ouvrirent, nous fumes les deux seuls à monter elle appuya sur le 5ième, l'ascenseur commença à grimper, je ne pus m'empêcher de la regarder à nouveau, sa posture était fière, je ne pu m'empêcher d'admirer ses longs cheveux blonds bouclés et son visage plein de douceur, ses yeux étaient marrons, son visage ovale, ses lèvres pulpeuses et sa poitrine saillait joliment à travers son chemisier. Alors que nous étion...
L'homme devient leur jouet
il y a 7 ans

Une super histoire de domination féminine

##### Il m'est arrivé une chouette histoire cet été pendant les vacances et j'ai envie de la raconter. Je m'appelle Chloé, je suis une parisienne plutôt mignonne et j'étais descendue dans le Var avec une copine. Copine, en fait Béatrice est plus que ça. Béa est lesbienne. C'est une fille assez grande, sportive, un peu timide. Pour tout dire un peu soumise. C'est ce qui me plait en elle. Moi, je suis bisexuelle et de tendance dominatrice. Je suis mince, un peu plus petite que Béa, ce qui ne m'a pas empêché de la dresser à ma convenance comme une vraie petite chienne. Nous revenions de la plage en voiture et nous roulions en direction de St Raphaël. Béa était au volant et je me prélassais à côté d'elle. J'avais ouvert ma vitre en grand, calé un pied contre le rétroviseur et je regardais mollement le paysage défiler en jouant avec une paire de menottes. Je crois que je manquais de distraction, j'avais envie de quelque chose qui nous sortirait un peu du train-train des vacances....
Un esclave bien domestiqué
il y a 7 ans

De la domination de haut niveau

Il était bientôt dix heures du matin et dans l'une des chambres à coucher de cette coquette villa avec piscine bâtie dans la campagne provençale, Marine, 31 ans, experte en commerce international, cheveux châtains mi-longs et de superbes yeux bleus, se réveillait doucement. Elle porta son pied nu de sous le drap et l'abaissant nonchalamment, elle ne rencontra que le sol de tomettes ; ce contact lui fit froncer les sourcils ; où était Pieps? Revenant peu à peu de son profond sommeil, ses idées se remirent en place ; elle était en vacances, dans une location accueillante qu'elle partageait avec ses trois amies, Rose, Elise et Jeanne. Et c'était au tour de Pieps d'être l'esclave de pieds "public" aujourd'hui. Cela signifiait qu'elle l'aurait fort peu à sa disposition durant la journée et bien que la perspective de la venue en fin d'après-midi d'un sympathique jeune homme la veille sur un court de tennis lui fasse entrevoir une soirée fort agréable, l'indisponibilité immédiate de son es...
Humiliation publique et animalisation
il y a 8 ans

Elle en fait un bon toutou soumis !

C'était une belle journée de juin, nous étions allés moi et des amis faire une partie de foot dans le parc à proximité de chez moi. Cela faisait un moment qu'on avait pas eu autant de soleil, d'ailleurs on pouvait constater que beaucoup de personnes avaient eu envie de profiter des premiers rayons. Arrivés dans le parc, nous posons nos affaires dans un coin et débutons notre partie. Après quelque échange, la partie commence à dégénérer et le ballon fuse un peu partout et chacun notre tour nous sommes de corvée pour aller le rechercher. C'est alors que l'un d'entre nous se met à frapper la balle, qui dépasse le terre plein central et vient heurter une jeune fille allongée sur l'herbe. Me voilà donc parti chercher le ballon, alors que j'entends derrière moi les rires de mes amis. Mais moi je ne suis pas aussi fier : il va encore falloir que je m'excuse, c'est le plus chiant au foot. Arrivé à hauteur de la jeune fille, quelle ne fut pas ma surprise de voir celle qui me fait chavirer...
Le club des princesses
il y a 8 ans

Une magnifique histoire érotique gynarchique

Vendredi matin, 8h 30. Une grosse Porsche arrive en vrombissant devant le portail discret d'un hôtel particulier parisien et s'arrête un instant. Le moteur monte dans les tours à trois reprises, comme pour traduire de l'impatience et le portail s'ouvre enfin. L'impressionnante voiture pénètre alors dans une vaste cour et s'y immobilise. Un homme en livrée vient en ouvrir la portière et salue respectueusement la conductrice. Celle-ci, fine, élégante, chaussée de sandales à talons particulièrement sexy ne répond pas, se contentant de montrer sa voiture d'un geste vague de la main « Je la veux nickel, du toit aux jantes, intérieur et extérieur ». Puis d'un pas pressé, elle se dirige vers les marches de pierre menant au bâtiment. Diane de Noblecour avait toujours été habituée à vivre dans le luxe au milieu de nuées de serviteurs. Très jeune, elle avait pris goût au pouvoir et à l'autorité, suivant en cela l'exemple d'une mère autoritaire traitant sans ménagement aussi bien son personnel...
L'esclave des femmes de ménage
il y a 8 ans

Une bouche pour les pieds des femmes

#### Piégé à sentir les chaussures dans le vestiaire des femmes Contexte : Un immeuble de bureaux parisien tard le soir : un retardataire à son poste de travail. Paul, jeune informaticien débutant, contraint d'effectuer des heures supplémentaires, afin d'atteindre les objectifs draconiens fixés par son chef de projet (ou plutôt ' sa' chef de projet), sait qu'il ne pourra y parvenir. Il est seul, stressé, désespéré par la perspective de perdre son job, en cas d'échec. Son cerveau, saturé d'endomorphine, finit par divaguer sérieusement, lui dictant d'échapper, coûte que coûte, à cette désagréable situation apparemment sans issue : le genre de sensations qu'il éprouvait lors d'examens scolaires particulièrement ardus. D'un stress extrême, à l'excitation sexuelle, il n'y a qu'un pas. Le côté obscur de son esprit finit par prendre le dessus. Hagard, fébrile, une irrépressible envie masturbatoire l'envahit. Il ressent le besoin d'être puni, humilié, pour son incapacité à honorer son c...
L’homme-chien dog trainning elle va jouer avec lui
il y a 8 ans

Animalisation, flair et belles perversions autour du pied féminin

Elle avait savouré la situation dès les premiers instants, lorsqu'elle lui avait demandé de se déshabiller devant elle. Il était si gêné... Elle, très calme, était assise sur le canapé, jambes croisées, jouant distraitement avec sa cravache tout en lui donnant ses directives. Elle ne s'était levée qu'après qu'il eût adopté la position qu'elle souhaitait lui voir prendre, à genoux, mains derrière le dos, tête baissée, soumis à elle. Elle s'était alors approchée de lui, avait caressé sa peau nue du bout de la cravache, comme pour lui faire sentir l'étendue du pouvoir qu'elle entendait exercer sur lui. Et comme si en réponse il avait voulu l'assurer de sa soumission, il avait baisé avec délicatesse la main qu'elle avait présenté à ses lèvres, puis le bout de ses doigts. C'était le seul contact physique qu'elle lui avait accordé. Tandis qu'elle lui attachait le collier avec une application tranquille, il ne pouvait s'empêcher de repenser à la manière dont les choses s'étaient déroulées...
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