Voilà je passe ma nuit un peu tranquille, seule emblousée et attachée a mon sommier bercée par le cliquetis de mes entraves et le bruissement du nylon de ma blouse complètement boutonnée qui frotte sur le plastique souple de ma culotte. Je n'ai aucune idée de l'heure qu'il puisse être ,quand soudain j'entends sourdement le verrou du sous-sol s'ouvrir, je sais que Marine la Gouvernante est arrivée et qu'elle ne tardera pas à me libérer de ma cellule et de mon couchage... la lumière s'éclaire progressivement et les portes de ma cellule se déverrouillent électriquement....Marine me secoue vigoureusement en m'hurlant énergiquement ; il est 6h00 ,ma gourdasse, finis les rêves.... elle me décadenasse les poignets du sommier sur lequel elle me demande de m'asseoir et les menotte a nouveau dans le dos . Elle détache ensuite les chevilles et ajoute une laisse a mon collier qu'elle tire assez fort pour me descendre du lit. Je suis tirée avec énergie de la cellule et me retrouve dans la sal...

Je me suis réveillé tôt, étrangement moins en colère que les jours précédents. J'avais beaucoup réfléchi à la discussion de Monica et Claudio et peut-être avaient-ils raison. Je me suis regardé dans le miroir, nu, et je n'ai vu aucune matière susceptible de faire jouir une femme. Pourquoi n'avais-je pas ouvert mon esprit plus tôt ? Et maintenant ? Je n'aurais certainement pas accepté les cornes, mais je voulais quand même une relation satisfaisante. Peut-être que la clé était de me rendre utile à une femme et peut-être qu'elle m'aimerait et me respecterait même si je n'étais pas très doué. Je me sentais à l'aise, mais je savais que je devais commencer à expérimenter et à repousser mes limites. Je suis allé à la cuisine et j'ai préparé le petit déjeuner pour nous trois, en faisant attention à ce que Monica et Claudio aimaient le plus. Tout était prêt lorsqu'ils sont entrés dans la cuisine. Monica : « Oh, quelle belle surprise ». Claudio : « Ah, je te vois enfin rétabli ». Moi :...

Les jours passaient, mais pas la colère pour ce qui s'était passé, et chaque jour j'évacuais ma colère à la maison avec Monica et Claudio, qui me supportaient trop patiemment. Mais la patience, comme vous le savez, a des limites. Un jour, Monica a décidé de me parler et m'a interrompu dans ma colère. Monica : « Alby, je dois te dire qu'il y a quelque chose qui ne me convient pas. Ne te mets pas en colère, mais Stefania n'est pas comme tu la décris, c'est une fille très bien et il a dû se passer quelque chose. J'ai aussi parlé avec elle ces jours-ci et elle dit qu'elle est toujours amoureuse de toi. Ce n'est pas l'attitude d'une fille qui, lassée, cherche quelque chose de différent. Vous étiez très bien ensemble, du moins vu de l'extérieur ». Moi : « Alors maintenant tu la défends aussi ? Merci » Claudio : « Essaie de la comprendre, c'est une amie à nous et nous savons comment elle est. Elle est douce, parfois timide. Pour moi, elle n'a pas l'air d'être un type comme les autres....

Les vacances de G au gynécée L'été dernier, comme quelques fois auparavant, G avait été invité à passer une semaine dans la maison de vacances de Maîtresse M . Comme à l'habitude, Maîtresse l’avait appelé à la mi juillet pour l’inviter et lui avait demandé de venir la prendre, en lui donnant comme instruction de ne prendre avec lui qu'une chemisette, un short, des chaussures légères, et une brosse à dents . G avait compris qu’il allait passer un séjour entièrement nu, comme à chaque fois qu’il prenait des vacances avec M . Cela le réjouissait et l'excitait au plus haut point, ayant le souvenir de randonnées très spéciales ou de semaines de soumission avec une de ses amies néerlandaise. M avait décidé de partir le 14 pour avoir un trajet tranquille, ce qui fut le cas jusqu’à JONCOUS, cette ancienne et belle fermette, perdue au milieu des bois, dans la haute vallée de l'Agout . Il faisait très beau mais encore un peu frais tenant compte de l'altitude. L'herbe était haute dans la...

Je connaissais Stefania depuis les cours d'été de l'université. Avec Stefania, le feeling a été immédiat et nous avons commencé à sortir ensemble dès les premiers jours. Une fille très gentille, simple et très affectueuse avec moi. Sans même le dire, nous avons fini par former un couple. Claudio, quant à lui, était la première personne que j'avais rencontrée dans mon cours de statistiques. Nous nous sommes assis ensemble et avons appris à nous connaître. Nous sortions ensemble le soir, parfois seuls ou avec des amis, parfois avec les petites amies de l'un ou l'autre. Monica, la petite amie de Claudio, était elle aussi très gentille. Difficile à définir, gentille, douce avec Claudio et en même temps très sûre d'elle et dévergondée. Elle était très douée à l'université et extrêmement intelligente. Après seulement quelques mois, il était presque naturel de se demander si nous ne devrions pas essayer de louer une maison ensemble. Je sais que beaucoup d'entre vous pensent qu'aller d...

Après avoir choisi la position ou l'endroit où me faire passer la nuit dans la cellule, j'aurai différentes difficultés à trouver le sommeil. La plus fréquente et reposante étant dos sur la couche , chevilles verrouillées de chaque côté du sommier, ceinture de taille étirée de droite et gauche par des mousquetons équipés de ridoirs pour tendre et me coller au matelas. Même principe pour le coller et me plaquer la tête . Impossible de la relever. Les poignets subiront le même sort que les chevilles et seronts cadenassés de chaque côté sur le haut du sommier. Maîtresse réajustera énergiquement ma blouse nylon sous les entraves , ainsi que le col sous le colier en tirant sur les pans . Vérification des boutons et de l'étanchéité des élastiques de la culotte plastique. Puis, d'un sourire moqueur, me souhaitera une bonne nuit. Je sais pertinemment qu'elle se sentira rassurée de me savoir ainsi sécurisée pour la nuit.... là, il n'y aura pas de possibilités de ne pas respecter l...

Après avoir passé la soirée, ainsi exposée et inexistante, Ma Maîtresse décidera, suivant ses humeurs de prolonger tard dans le nuit, mon statut de mobilier de son plaisir ,sans oublier de resserrer vigoureusement la position en l'agrémentant de sangles nécessaires pour contraindre, coudes et genoux ,en resserrant énergiquement la sangle du baillon et du cache-yeux . Elle vérifiera l'état trempée de ma blouse au niveau de la poitrine provoqué par la bave abondante goûtant en filets gluants de mon bâillon. Elle ajoutera :Voilà, tu es bien comme ça, !!!!! Silencieuse, emblousée et attentionnée, J'aimerai tant n'avoir jamais à te libérer. Quand elle décide d'aller se reposer elle même pour la nuit, elle me détache du mur et me libère des menottes et des chevilles ..j'avoue mettre un certain moment pour me redresser. Je reste parfois de très longs moments ainsi recroquevillée. Je lui demande alors, si elle attend encore quelques services de ma part avant qu'elle ne dispose d...

Comme il m'est devenu habituel, les soirées après avoir passé mes journées à servir ma maîtresse, je les passe dans l'ange du salon TV, a genoux, attachée au coin, mains menottées derrière le dos, cadenassées a la ceinture de taille et reliée courtement par un petite chaîne aux chevilles. Ma Maîtresse réuni l'une a l'autre et les cadenasse ,après avoir vérifié que j'ai correctement verrouillé le mousqueton qui scelle mon collier de cuir au piton du mur et que la position restera suffisamment inconfortable . Je resterai là 5 a 6 heures, pendant qu'elle se prélasse confortablement devant son programme, silencieux, baillonné et muet, bateau sur les yeux. Dans ma jolie blouse de nylon a manches longues complètement boutonnée jusqu'au col Claudine ( seules tenues qui me soient imposées en permanence) culotte plastique et couches à méditer sur ce qu'est denenue ma condition et le plaisir que cela lui apporte....

J'étais nue, habillée simplement de ma cage et du collier relié à sa cheville par la laisse. Le nez dans ma gamelle, je finissais les restes qu'Elle avait bien voulu me donner. Je ne la connaissais que depuis quelques heures et j'étais déjà sa chienne, à ses pieds, à ma place. Après avoir vérifié que j'avais correctement fini mon repas, Madame a décidé de me punir pour une faute de langage commise dans nos échanges par mails. Cette erreur allait me valoir ma toute première punition. Elle a tiré sur ma laisse et j'ai marché, à quatre pattes, jusque dans la chambre. Elle s’est assise au bord du lit, a mis ma tête sur ses cuisses et, tout en me caressant le visage, Elle m’a calmement dit « Ne m’appelle plus jamais "Maîtresse". Pour toi, et jusqu’à nouvel ordre, je suis "Madame", juste "Madame". Et si tu me satisfais assez, si tu deviens une bonne chienne, alors peut-être qu’un jour, tu pourras m’appeler Maîtresse, mais ça sera quand Moi je l’aurai décidé. Pour faire rentrer cette le...

Quel que soit son degré de pratique BDSM il existe des moments où la libido prend le dessus, où la masturbation et l'auto punition ne suffisent plus. Il devient impérieux de passer à l'acte et de s'en remettre à un dominant, quitte à prendre des risques. C'est mon cas. Surf sur un site spécialisé, contact avec une Maîtresse dont l'annonce et les photos me séduisent. Après m'être présenté, homme soixantaine adepte d'éducation anglaise, et l'avoir convaincu de ma motivation et de ma pratique réelle je suis tombé en son pouvoir de persuasion. Nous convenons d'un rdv pour lequel je dois arriver rasé et porteur d'une cage de chasteté depuis trois jours. Jamais je n'avais été au-delà de quelques heures, jamais je ne l'avais portée au boulot...quelles sensations toute la journée ! Pour être franc j'ai peur. Cette Maîtresse me rend fou tout autant qu'elle m'inquiète par sa posture et ses pratiques qui vont bien sûr bien au-delà de mon goût pour l'éducation anglaise, aux hu...

Il y a quelques temps j'ai changé mon annonce sur ce site, car Madame est arrivée dans ma Vie... 13 septembre ~ 13 octobre 2024, au moment où j'écris ces lignes, cela fait exactement un mois que j'appartiens à Madame. Même si nous avions déjà beaucoup échangé via ce site, puis via de nombreux emails où Elle avait pris le dessus sur moi et commencé à me cerner, ce vendredi 13 septembre 2024 a été la date de notre première rencontre. Celle-ci a eu lieu dans un hôtel "dans le sud" où j'étais en déplacement et Madame avait accepter de faire le trajet pour m'y rencontrer. Avant mon départ, en TGV, j'avais reçu l'ordre de m'encager dans une CB 6000 et j'avais fourni, à Madame, "la preuve" avec une photo. Tout le long de mon voyage je ne pensais donc qu'à Elle. J'arrivais dans l'après-midi pour tout "préparer" suivant ses directives. Cette vaste suite allait devenir une chambre de salope pour plusieurs heures... Et toute une nuit. j'y disposais en évidence, à portée de main, plug, b...

Théo, Jean et moi, on fait ménage à trois. Enfin, ménage, façon de parler. Parce qu’on vit le quotidien ensemble, oui, mais c’est pratiquement tout. Théo s’occupe de l’entretien de la maison : intérieur et extérieur. Jean, lui, gère tout ce qui relève de l’administratif : courrier, impôts, banque, etc. Quant à moi, je supervise. On s’entend à merveille tous les trois. Jamais un heurt. Jamais un mot plus haut que l’autre. Peut-être est-ce dû, au moins en partie, à ce que je leur ai mis leurs petits oiseaux en cage. Si bien qu’elles me fichent une paix royale, leurs bébêtes ! Eux, ça les rend plus paisibles. Plus sereins. Oh, je ne leur interdis pas de s’occuper de moi, bien au contraire. Mais c’est uniquement quand moi, je l’ai décidé. Et seulement avec leurs mains et leurs bouches. Dont ils se servent pour me donner du plaisir. À tour de rôle ou ensemble. C’est comme je veux. Ils adorent. Ils sont ravis. Pas question, par contre, qu’ils me pénètrent. C’est totalement exclu. Pour ça, j’...