Récits
L’étudiante voilée est une Maîtresse qui aime avoir les hommes à ses pieds
il y a 1 an

L’étudiant, fétichiste des pieds féminins va découvrir rapidement le vrai profil de cette jeune femme.

Mounia est étudiante en seconde année d’économie à l’université, elle porte le voile, hijab par choix depuis qu’elle a quitter le lycée. Elle avait ce jours là à préparer un exposé pour un TD à faire avec un partenaire, Romain, étudiant comme elle. Nos deux étudiants s’étaient donnés rendez vous à la bibliothèque universitaire pour travailler, ils sont tous les deux sérieux et ils ont bouclé leur exposé après une bonne après midi de travail. Mounia et Romain, habitent très loin de l’autre, mais ils se rendent à la même station de bus pour partir, alors après avoir travailler ensemble, ils prennent le temps de faire un peu connaissance. Manque de chance, Romain n’a plus aucun transport à cause d’un incident de circulation qui paralyse. Il se demande comment il va rentrer. Mounia étant plutôt gentille cherche d’abord à l’aider, en lui trouvant quelqu’un, mais elle ne réussie pas. Mounia est en colocation avec une autre étudiante dans un petit appartement près de la fac. Et sa c...
Fétichiste des pieds féminins la chance lui sourit
il y a 1 an

Les pieds de deux maîtresses sublimes pour le prix d’une

Je m’appelle John, je suis américain de base, mais je vis en France, à Bordeaux plus précisément. J’ai 18 ans. Je suis né et j’ai grandi en France. Je suis en ce moment un cours de self-defense, un sport de combat né de la volonté de se défendre contre les agressions mais qui est devenu une vraie discipline. Mon idée à moi n’est pas de savoir me défendre mais bien de pouvoir me rapprocher des pieds de filles, une envie que j’ai toujours eu en moi. Mais passons, il est déjà l’heure de mon deuxième vrai cours, après un empêchement la semaine précédente. Le professeur s’apprête à prendre la parole. « Salut à tous, on va reprendre les techniques de la semaine dernière. John, vu que t’étais absent, tu vas avec Clara, elle va te montrer les nouvelles techniques » Clara, 17 ans, je la trouve un peu dominatrice parfois, mais elle est surtout magnifique. Blanche de peau, avec les cheveux bruns et des yeux magnifiques. J’ai entendu dire que sa grand-mère était arménienne, d’où sa beauté...
Pour le plaisir de ma Maîtresse (9)
il y a 1 an

Où cela finit par se corser...

Les règles établies par Maîtresse pour la troisième ne m’étaient pas très claires. Et pour cause… Maîtresse avait finalement décidé de donner libre cours aux désirs de ses invitées. Alors que je les servais de la même façon que les fois précédentes, l’accueil de chacune était sensiblement différente. Dans un groupe de trois femmes réunies, l’une exécutait ce que les autres pensaient intéressant. Elles me firent donc mettre à quatre pattes. La première me caressait de sa chaussure, la passe entre mes jambes et écrasa ainsi mes testicules. Une deuxième m’attrapa par le collier et me versa l’alcool sur le visage en déclarant qu’elle me donnait l’autorisation de participer à la fêter et de boire avec ses Supérieures. Dans un autre groupe, une invitée me fit coucher sur le ventre et but son verre tandis qu’elle me marchait dessus. Je reçus bien sûr fessées, coups de cravaches et divers humiliations. Il n’était pas rare qu’elles serrent ma queue, tirent sur les anneaux – du tétons aux testic...
Pour le plaisir de ma Maîtrise (8)
il y a 1 an

Où l'on apprend comment servir un apéritif...

A l’heure dite, ponctuelles, chacune des invitées est arrivée chez Maîtresse. Elles portaient toutes de longues robes sous une veste légère. Maîtresse m’a ordonné de rester à l’entrée, de recevoir leur carton d’invitation, d’indiquer leur nom fort et intelligiblement et de les débarrasser de leur veste. Toutes, absolument toute, ont une robe dégagée sur le devant, laissant leur poitrine nue, à l’image des anciennes prêtresses crétoises. Les amies de Madame se sont ensuite égaillées dans la jardin. Elles ont alors félicité Maîtresse de ses goûts en matières d’ornementation, décoration et de choix de ses objets. Elles s’extasiaient devant les charmes du jardin. On sentait à les entendre et à les voir qu’elles avaient plaisir à être présentes, entre-elles, au cœur du domaine de Maîtresse. Ce n’est que plusieurs minutes après les avoir introduites dans le jardin, charmées de leurs discussions communes, que Maîtresse fit un claquement de doigt à mon adresse. Le moment de servir l’apéritif m...
Pour le plaisir de ma Maîtresse (7)
il y a 1 an

De l'autorité de Maîtresse sur son petit monde...

A quelques heures de la soirée, Maîtresse indique que je dois m’apprêter. Je sens trop le chien couché dans sa niche, estime-t-elle. S. m’amène dans une grande salle carrelée. Elle m’ordonne d’écarter les jambes et de poser les mains sur le mur. A grands coups de jet, elle me douche, tandis qu’une troisième femme, G., que je n’ai encore jamais vu me récure armée une brosse. A la suite, G. me maquille les yeux de khôl. Je me fais l’effet d’un hindou, mais ce n’est bien sûr pas de ça qu’il s’agit. Elle me peint, après cela, entièrement d’une couleur dorée. Aux anneaux de mes tétons, elle accrochent des pendentifs aux armes de Maitresse. Ma queue est ornée d’un bijou et de l’anneau du prépuce, une chaine dorée passe entre mes jambes, revient dans mon dos pour être accroché au collier. Mes cheveux sont enduits d’un enduit blanc. Mes lèvres sont peintes. Je sais alors que j’ai la ressemblance d’un esclave des temps passés. C’est d’ailleurs ainsi que je reçois les employées du traiteur. Ra...
Pour le plaisir de ma Maîtresse (5)
il y a 1 an

Où l'on apprend comment exercer un bon régime...

Pendant tout la semaine qui précède la soirée, Maîtresse me tient au régime. Je reste nu à son domicile, collier au cou. Elle veille à ce que son chien soit en bonne forme et pour cela elle me fait dormir sur une paillasse. A côté, elle dispose un gobelet pour l’eau, un autre pour des croquettes. Elle aime le spectacle de son chien lapant et mangeant devant elle. De temps à autre, elle me fait lécher ses talons en signe de satisfaction. Deux jours avant, elle me donne la liste de ses invitées, puis m’ordonne de nettoyer le jardin, nu, toujours en portant le collier. Chaque heure passant, elle vient surveiller l’avancée des travaux. Je sais tout de suite quand cela ne lui convient pas : elle m’indique de sa tête un arbre. Je me mets dans la position qu’elle m’a appris lors des premières rencontres : face à l’arbre, contre lui bras et jambes étirés comme si je l’embrassais. Elle m’attache à une chaîne qui fait le tour de l’arbre et s’amuse de mon corps. Elle le griffe, serre ma que...
Pour le plaisir de ma Maîtresse
il y a 1 an

Où l'on apprend qu'un corps peut être travaillé...

S. me faire asseoir dans un fauteuil qui s’apparente à celui d’un dentiste. Elle m’y attache les poignets et les chevilles. Je ne comprends pas pourquoi, comme je ne comprends pas en quoi consiste le travail sur mon corps, mais je me tais. S. prend un rasoir et me tond, pubis, queue et testicules. Elle le fait assez sèchement si bien que plusieurs éraflures me font saigner. J’ai l’impression que ça lui plait. Elle vient à chaque fois lécher le sang. S. m’explique ensuite que c’est la première phase du travail de transformation souhaitée par Maîtresse. Elle revient avec des aiguilles et sans prévenance me perce un, puis deux tétons. Je hurle : rien n’y fait. S. continue consciencieusement son travail. A mes cris, Maîtresse vient assister au spectacle. Mais elle reste dans l’ombre… A chaque téton, S. fixe un anneau. Puis, elle s’attache aux testicules et au prépuce dont elle transperce la peau… Aux testicules, elle attache des anneaux auxquels pendent des poids en forme de boule… Un troi...
Pour le plaisir de ma Maîtresse (3)
il y a 1 an

Où il est dit que les chaussures se nettoient d'une certaine façon...

Maîtresse m’indique que la soirée qu’elle envisage doit lui rendre honneur. Pour cela, je dois être digne de présentation. Elle ne voit qu’une solution : que mon corps soit travaillé selon ses souhaits. Ainsi, elle trouve que je me suis trop laissé aller. Elle estime que j’ai pris de l’embonpoint. La cravache claque à nouveau. Cette fois sur mon dos. Je gémis. J’entends par un murmure à peine audible, mais qui a quelque chose de carnassier, la satisfaction de ma voisine. Jusqu’à la soirée, je devrais demeurer ici en pension et suivre mon régime. Maîtresse sent aussitôt ma satisfaction : « détrompe-toi tout de suite : ton régime sera sévère et n’aura rien d’agréable. Mais pour l’heure, je te laisse entre les douces mains de S. Elle saura travailler ton corps à ma convenance. Maîtresse se lève et vient présenter ses souliers. Je sais qu’il me faut les essuyer de la langue. Une fois lassée, elle s’écarte : la conversation est close. Alors que je tente de me lever, S. m’ordonne de rester c...
Pour le plaisir de ma Maîtresse (2)
il y a 1 an

Où l'on rencontre un trône et une porteuse de cravache...

Quelques jours plus tard, Maîtresse m’appelle et me demande, toute affaire cessante, de venir la rejoindre chez elle. Quand j’arrive à son domicile, je trouve la porte entrouverte. J’ose entrer. Aucune lumière. Je cherche l’interrupteur. Sa voix m’arrête rapidement. « T’ai-je demander d’allumer ? Dénude-toi ». Je m’exécute et je prends la position, la seule qui me soit autorisée en sa présence : à genoux, les mains sur les cuisses, paumes ouvertes vers le ciel. « Rampe à présent »… Je la devine devant moi. Je m’avance ainsi, en rampant. Je sens subitement la morsure d’une cravache sur mes fesses. « Plus bas ! Rampe, je t’ai dit ». Comment est-ce possible : j’entends sa voix devant moi. La cravache vient du côté gauche. Après deux ou trois autres coups, je ne réfléchis plus. Je rampe. Quand j’arrive enfin devant elle, une lumière venant du sol l’illumine par en bas. Elle se tient assise, princière, sacrée, sur un siège en forme de trône. Je perçois, à mes côtés deux talons aiguilles : l...
Pour le plaisir de ma Maîtresse (1)
il y a 1 an

Où il est question d'une invitation insolite...

Maîtresse m’a donné rendez-vous dans un café. La chose est rare. Il était prévu que je vienne encagé et plugé. Je m’y suis bien sûr tenu. Elle est là à l’avance. Je n’ose m’asseoir sans son ordre. Je reste donc debout. Elle me laisse attendre ainsi un moment, au milieu de la terrasse. Je sens les regards tournés vers moi. Je la salue plusieurs fois, avant qu’elle daigne me regarder. Un bref « assis-toi » suivi d’un regard sévère m’autorise enfin à quitter la pause. Alors que je cherche à appeler le garçon pour commander, elle me rappelle à l’ordre « Tu ne prendras rien. Nous ne sommes pas là pour ça. Depuis quand devrais-je boire en ta compagnie ? ». Elle me fait part alors de son souhait d’organiser un apéritif dans son jardin, en compagnie de ses amies. Je serai chargé de l’organisation, du service et des prestations en tout genre. Ma tenue, la façon d’agencer mon corps seront choisis en temps voulu, selon les caprices de Maîtresse. Je lui demande combien de personnes ell...
Les mésaventures d’un fétichiste des pieds féminins
il y a 1 an

Piégé par son fétichisme il oublie la honte et les conséquences …

Une journée de cours tout à fait banale commençait. Au programme, des maths, un peu d’histoire et d’anglais puis le repas avant de retourner en cours jusqu’à 17h. Arrivé à 8h au lycée j’ai rejoint mes amis qui étaient déjà tous présents, comme souvent en raison de mon manque de ponctualité. Nous formions une bande d’une dizaine de personnes assez mixte six garçons et quatre filles. Dans cette bande, il y avait surtout cette fille en particulier, Lilou. Depuis le premier jour où je l’ai croisée, elle m’a tapé dans l’œil. Les cheveux châtain-clair toujours joliment coiffés, de beaux yeux bleus, des joues de bébé, bien maquillée et avec de jolis petits pieds qui me faisaient rêver en tant que fétichiste. Bref je trouvais cette fille très attirante et j’essayais chaque jour de sympathiser un peu plus avec elle, en essayant de ne pas rentrer dans la fameuse « friendzone », c’est à dire le point de quasi-non retour à partir duquel on devient trop amis pour qu’une histoire d’amour puisse...
Soumis aux pieds de sa colocataire
il y a 1 an

Intéressée par son fétichisme des pieds, elle en fait son soumis

On n’entendait parler que de ça dans les médias, le coronavirus, le confinement, les hôpitaux surchargés… Une actualité particulièrement anxiogène qui rendait la vie de tout le monde plus difficile, enfermé à la maison, loin des amis et des activités habituelles. De mon côté, je n’étais pas le plus mal loti. La vingtaine, en bonne santé, vivant en colocation dans un grand appartement avec balcon. J’allais profiter pleinement d’Internet pour rester en contact avec famille et amis, tout en appréciant la compagnie de mes colocataires. Enfin, devrais-je plutôt dire, de mon colocataire Antoine, puisque le second, Vincent, avait décidé d’aller vivre la période de confinement chez ses parents à la campagne. Pourtant, peu avant le début effectif des règles de confinement, un élément allait venir mettre un peu de piquant dans ce calme constat. En effet, la cousine d’Antoine s’apprêtait à venir vivre avec nous, fuyant les vingt petits mètres carré de son studio pour venir profiter du balcon e...
Publicité en cours de chargement