Récits
La féminisation de Nicolas: un samedi riche en événements
il y a 9 mois

Nicolas fait connaissance d'une voisine mystérieuse et revoit Catherine.

Samedi matin Nicolas se réveilla plus tôt que d’habitude. Il aimait faire la grasse matinée pourtant il ne pouvait plus dormir. Les rayons de soleil qui pénétraient joyeusement son appartement le mirent de bonne humeur. Après la toilette et le petit-déjeuner il avait toute la journée pour lui. Il regardait se vêtements de femme, ses maquillages, sa perruque, il voulait s’habiller en fille et continuer sa recherche sur internet mais l’idée de passer tout le weekend devant son ordi le fit changer d’avis, d’autant plus qu’il le faisait trente cinq heures par semaine. Un coup d‘œil rapide par la fenêtre et il prit la décision de faire une promenade. Juste avant de sortir il mit un collant sous son pantalon. Il se promenait sans but dans les rues de la capitale, en passant devant un salon de beauté il eut un frisson et enviait les clientes qui se faisaient maquiller. Un peu plus loin sur la vitrine d’un bazar il aperçut un écriteau ,,Tout à 1 euro’‘. Il entra dans le magasin, la jolie vende...
La féminisation de Nicolas: Les brunes comptent pas pour des prunes
il y a 9 mois

Maîtresse Elvira découvre le plus grand secret de Nicolas quant à Marie...

Après son retour à Paris Nicolas éprouvait du chagrin. Rien ne lui faisait plaisir. De plus ses main et ses pieds étaient constamment froids. Il prit un rendez-vous chez son médecin qui était une dame de cinquante-cinq ans environ. - Vous avez un problème de circulation, constata-t-elle. - C’est grave docteur? s’inquiéta le travesti. - Il suffit de faire un peu de sport. - Et vous pouvez pas me prescrire des cachets? - Des cachets! Mais ils abîment le foie, l’estomac, les reins. Si vous n’aimez pas le sport il existe un moyen médiéval. - Lequel? s’intéressa le fétichiste. - La flagellation, dit la femme lentement en regardant son patient dans les yeux en espérant qu‘il préférera faire du sport. - La flagellation?! s’étonna-t-il. - Oh, ne vous faites pas d‘espoir, je la pratique plus, ajouta-t-elle. - Vous ... vous... étiez une..., Nicolas la prit au sérieux mais ne trouva pas le mot exact. - Faites du sport, jeune homme, au moins une demi-heure par jour, c’est un conseil d’...
La féminisation de Nicolas: L'aventure québécoise.
il y a 10 mois

Nicolas trouve son bonheur outre-océan.

Les sanglots longs des violons de l’automne blessent mon cœur d’un langueur monotonne, Nicolas se souvint de ce poème, or on n’était pas en automne. Le mois de janvier touchait à sa fin et pourtant la grisaille et la pluie n’avaient aucune envie de quitter les Parisiens. Nicolas devenait dépressif et voulait changer d’air. Il se maquillait avec des couleurs vives et intenses pour égayer l’ambiance qui régnait dans la capitale, mais quelques heures par soir, ne faisaient qu’augmenter sa frustration. Un jour en rentrant du travail il s’arrêta devant une agence de voyage, une affiche attira son attention. Le paysage blanc de Québec lui rappella son rêve d‘enfance de visiter le Canada. Il entra pour se renseigner, le circuit proposé était intéressant et le prix abordable. Il ne lui restait plus qu‘à demander deux semaines de congé. Son supérieur hiérarchique était une femme attirante de quarante ans qui, sans que Nicolas le sache, avait le béguin pour lui. - Vous partez au ski? demanda...
Au lycée ce sont les filles qui font la loi.
il y a 10 mois

Un poème anodin déclenche une avalanche d'événements.

Valérie, la sœur de Nicolas, arriva au lycée de bonne humeur. Le nouveau rouge à lèvres qu’elle venait de s’acheter, en outre sa belle et séduisante couleur de carmin était très hydratant et avait un goût vraiment agréable. Vêtue de robe rouge qui s’arrêtait juste au dessus de ses genoux, elle portait des escarpins talon aiguille de la même couleur que la robe, le rouge et le vernis à ongles. Aux yeux elle ne mit que du mascara pour que tout le monde ne remarque que son nouveau rouge et lui fasse des compliments, car elle aimait les entendre. Lorsqu’elle entra en salle des profs tous les yeux se fixèrent sur elle. - Et toi qui disait que les anges n’existaient pas, Marc le prof de sport s’adressa au mathématicien. - Pour les anges, je n’sais pas, par contre j’ai la preuve que les déesses sont parmi nous, répliqua le dernier. - T’es sublime, lui dit Aurélie la prof d’anglais, c’est un nouveau rouge à lèvres? - Et oui, il te plaît?, Valérie était ravie. - Et comment, fais attention...
Ma première fois en fille.
il y a 10 mois

Comment j'ai connu le travestissement grâce à un jeu innocent.

Nous nous connaissions depuis toujours, Nathalie et moi, nous habitions le même village, pas loin l’un de l’autre. Devant elle je me sentais fort et courageux comme un chevalier. Le mâle alpha, bien que je ne connusse pas cette expression à l’époque. J’essayais de l’impressionner depuis le plus jeune âge, au début à vélo ensuite en mobylette. Chaque occasion était bonne pour lui prouver ma virilité. C’était la plus belle période de ma vie qui me laisse plein de bons souvenirs auxquels je reviens souvent, surtout quand la réalité me rappelle dans quel monde on vit actuellement. Nathalie était une belle et souriante brune aux yeux marrons qui ne me laissaient pas indifférent, sa puberté commença tôt, ses formes devenaient féminines rapidement. Sa transformation en femme me rendait perplexe, heureusement notre amitié n’en souffrait pas. Nous avions 14 ans quand tout ceci se passa. Comme tous les jours après les cours je lui rendis visite. En général je venais avec un objet pour me va...
Le fétichiste des pieds aime les odeurs fortes
il y a 1 an

Ma femme sait que j’ai un fétichisme des pieds et que je m’amuse souvent avec ses pieds et j'ai aussi aimé ceux de sa mère.

Je me rends régulièrement chez sa mère avec elle pour dîner et autres choses. Sa mère a une quarantaine d’années et ses pieds sont incroyablement beaux et je les regarde toujours quand elle est là. Une fois, nous étions là, ma femme et sa mère sont allées à l’étage pour regarder la télévision. Sa mère n’était pas rentrée depuis longtemps du travail et ses chaussures avaient été laissées dans l’escalier. Je ne pouvais pas m’empêcher de me demander quelle était l’odeur de ses chaussures, alors je suis entré et j’ai rapidement reniflé les chaussures. Je n’ai jamais senti de chaussures qui sentaient aussi mauvais jusqu’à ce jour. J’ai durci instantanément, mais je n’ai rien fait d’autre. Quelques semaines ont passé et j’ai eu le temps de tuer pendant que ma femme était au travail, alors elle m’a suggéré d’utiliser sa clé et d’attendre dans la maison de sa mère, ce que j’ai fait. Je suis entré et j’ai fait une tasse de thé. En montant, j’ai vu les chaussures que j’avais senties avan...
Rencontre aveugle
il y a 1 an

Comment une Maitresse aveugle m'a fait devenir sa chienne

J’étais invité un vendredi soir à une soirée chez des amis. J’arrivais vers 20 h 30 avec des fleurs pour la maitresse de maison et une bouteille de champagne pour le maitre de maison. Il y avait déjà du monde et la maitresse de maison me présenta à tous. Puis vint le tour de Gaëlle. Jolie femme, très belle poitrine, beau cul et des yeux magnifiques. Une très belle femme à mon gout avec de belles formes qu’elle mettait bien en valeur. Le seul problème était sa façon de te regarder ou du moins de ne pas te regarder. C’était troublant. Tellement troublant que pendant l’apéro, la maitresse de maison se rendit compte de mon trouble et vint me chuchoter à l’oreille : « Je vois que tu es perturbé. Mais ne t’inquiète pas, Gaelle est aveugle. Elle a eu un accident adolescente et depuis elle a perdu la vue. Mais elle ne veut pas qu’on s’apitoie sur elle ». Je comprenais maintenant son regard. Quelle tristesse d’avoir de si beaux yeux et de ne pas pouvoir les utiliser. Nous a...
Female foot fetish
il y a 1 an

Quand une copine compréhensive vous prête ses pieds, il faut en profiter

L’été… la saison où le corps se dévoile pour se libérer de la chaleur des couches de tissu qui l’ont recouvert tout au long de l’hiver. C’est la saison idéale pour admirer les pieds des filles, entourés de petites sandales ou même nus comme sur la plage ou à la piscine. C’est un spectacle qui ne laisse pas indifférent le fétichiste que je suis. Mais cet été a un goût particulier. Après les célébrations des diplômes de chacun, c’est le temps des « au revoir », des « bonne continuation » ou des « à bientôt », parfois en sachant pertinemment que ce bientôt n’existera sûrement pas. Heureusement, les meilleurs amis restent. C’est le cas de Caroline. On se connaît depuis plusieurs années scolaires déjà mais c’est surtout cette année que l’on est devenus très proches. Mais très proches en étant très clair sur nos sentiments : de l’amitié mais pas plus. C’est pourtant une très jolie fille. Elle est grande, presque autant que moi, et brune. Ses yeux sont noirs, très noirs, tellement noir...
La maison des soupirs partie 5
il y a 1 an

Il était une fin.

Les jours, les mois, puis les années passèrent, faisant de moi une sissy toujours plus soumise et docile. J’avais perdu tout espoir de retrouver ma liberté. De retrouver ma vie d’avant. Mais en réalité, le voudrais-je vraiment ? Le pourrais-je ? Les clientes régulières ne me regardaient plus, ne me désiraient plus. Même nos Maîtresses semblaient s’être lassées de nous. S’être lassées de nos cris. Depuis quelque temps, les jumelles parlaient de renouveler leur cheptel. Bien évidemment, nous étions le cheptel. À leurs yeux, de simples animaux. Du bétail. Charlotte et Margaux furent les premières à partir. Remplacées par deux jeunes sissys qui avaient la fougue de résister à nos Maîtresses. Agnès, Inès et Abby avaient retrouvé le plaisir de soumettre à leur volonté ses jeunes sissys. Parmi les anciennes sissys, les rumeurs les plus folles tournaient. Étions-nous revendus à d’autres maîtresses, des réseaux de prostitution, ou était-ce bien pire encore ? Les plus pessimistes d’entre nous pe...
La maison des soupirs partie 4
il y a 1 an

Tiens toi droite

En fin de ma première semaine de service, deux nouvelles sissys arrivèrent à la maison des soupirs. Rose, une petite blonde aux yeux bleus et Jasmine, une jeune maghrébine. Pour ce qui était de Jasmine, elle luttait contre son sort de toute sa hargne. Lily qui avait commencé à se soumettre retrouva toute sa combativité. Combativité qu’Abby s’efforça de briser avec la plus extrême sévérité. En revanche, Rose semblait être déjà à sa place. Avec ses longs cheveux bouclés, elle me faisait penser à une héroïne de dessin animé de mon enfance. Candy pour ceux qui sont nés comme moi dans les années quatre-vingt. Rose avait été élevée par une vieille femme comme une petite fille. Si bien que pour elle, les robes, les culottes et les chaussures à talons n’avaient rien d’inconnu. Même sa voix semblait féminine. À présent, Lily et moi parvenons à marcher convenablement avec nos talons. Mais d’après les jumelles, notre démarche n’était pas encore suffisamment féline. Il nous fallait aussi parfaire...
La maison des soupirs partie 3
il y a 1 an

Mesdames est servie

Deux jours étaient passés après notre séance de torture. Et Lily et moi allons faire notre première apparition en salle dans nos tenues de soubrette. Charlotte m’avait aidé à me préparer. Elle avait commencé par me passer mon corset autour de mon corps et bien qu’elle ne l’avait pas resserré à son maximum, j’avais l’impression d’avoir ma taille comprimée dans un étau. — On resserrera ton corset de plus en plus, jusqu’à ce qu’il soit totalement resserré ! m’avait-elle indiqué. Ce à quoi je répondis par un regard inquiet. Ensuite, elle m’avait passé ma culotte, une rose avec des froufrous gris, mes bas noirs, ma robe, mon tablier, mes chaussures à talon et pour finir mon serre-tête de soubrette. Bien que je n’avais pas encore les cheveux longs, Charlotte parvint à y placer deux petites pinces avec des nœuds roses. Pour finir de m’apprêter, Charlotte appliqua un vernis rose sur mes ongles et me maquilla. En me regardant dans le miroir, j’eus un choc. J’étais véritablement devenu Mar...
La maison des soupirs partie 2
il y a 1 an

Quand les sissys cries, les femmes sont ravies.

Les punitions d’Abby s’étaient révélées bien plus sévères que celle de Kassandra. Et pourtant, Kassandra était déjà une redoutable fesseuse. Mieux valait obéir que de se retrouver attaché sur sa croix de Saint-André. Durant la semaine, j’avais eu le droit à des cours particuliers et intensifs. Coiffure, même si pour le moment mes cheveux étaient encore trop courts pour cela, maquillage, serrage de corset et habillement, maintien évidemment, mais surtout, marche en talons hauts. J’avais même eu les oreilles percées. Inutile de vous dire que Lilian, enfin Lily, puisque nous n’étions plus de jeunes garçons, mais bel et bien des sissy, avait reçu le même traitement. Le samedi arriva trop vite à mon goût. Et en cet instant, j’aurais préféré ne pas savoir ce qui m’attendait. Ce qui nous attendait à Lily et moi. Je pouvais entendre le bruit des discussions à travers le rideau. La salle devait être bondée. Bondé de femmes qui n’attendaient qu’une chose. Nous voir souffrir. J’étais à genoux, tê...
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