Récits
Ma femme aime mon cul
il y a 2 ans

Collants et strapon sont les passions d’une femme phallique

Christelle et moi sommes mariés depuis six ans, en juillet. Durant ce temps, notre relation s’est épanouie et a grandi, en particulier notre vie sexuelle. Nous avons exploré nos fantasmes les plus profonds et en avons fait une réalité. Mon cul l’a toujours excitée. J’ai toujours trouvé cela surprenant, car je n’y voyais rien de spécial. Quand nous avons commencé à sortir, elle attendait que je sorte du bain et me penche pour pouvoir embrasser mes fesses. Plus tard, elle est devenue plus sûre d’elle et a pris mes fesses à part et a permis à sa langue de sonder plus profondément jusqu’à ce qu’elle lèche littéralement mon trou du cul. La première fois que c’est arrivé, j’ai failli éjaculer tout de suite. C’est la combinaison de la sensation physique de sa langue qui me mouille le cul avec de la salive et l’image mentale d’un acte aussi audacieux qui m’a conduit à un orgasme intense. Dans l’esprit de Christelle, il était loin d’être dégradant pour elle de me lécher, au contraire, je...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 44 : Laissons la pâte agir
il y a 2 ans

Attention à l’échauffement de l’engrenage, la graisse peut se liquéfier, les roues peuvent fondre et se gripper

Chapitre 44 : Laissons la pâte agir Sa main se déplaça légèrement et ses doigts fins et rachitiques, adaptés à passer entre les barreaux de la cage, s’y glissèrent, massant sexe et gland avec la même dextérité. Elle avait mis de la pâte. Plus elle frottait, plus cela chauffait. Le gland en semblait tout particulièrement sensible. Elle arrivait à me masturber à travers la cage. La chaleur qui envahissait cette zone restait appréciable pour un temps en la comparant avec la brulure anale. Mais mon sexe gonflait dans la cage, empêchant qu’elle poursuive. - Dommage que tu ne sois pas encore équipé, dit Lady Christine, sans que je ne sache de quoi elle parlait. Ses coups de boutoir s’estompèrent en fréquence et en intensité tandis que ses mains continuaient à me masser les couilles et la bite. Elle se pencha vers moi, du plus qu’elle pouvait malgré sa petite taille, sans peur de salir son tailleur dont elle n’avait même pas ôté la veste et tandis qu’elle s’activait à nouveau main...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 43 : Strap-on
il y a 2 ans

Il suffit qu’un peu de sable entre dans l’engrenage et l’usure destructrice de l’ensemble des roues est assurée.

Chapitre 43 : Strap-on Mon instinct me commandait de lui faire confiance. Je pris le papier de gauche, qu’il m’indiquait, et le dépliai. Les maîtresses ne réagissaient pas. Elles ne devaient pas savoir. C’était le petit ! Je soufflai après l’avoir lu. Je regardai Nathan mais ce dernier faisait semblant de m’ignorer. Il avait dû leur trouver une différence en les préparant. Ne les tirant probablement jamais, cela ne lui était jamais utile. Il voulait juste me remercier. Si je pouvais lui décrire la force du bien qu’il me fît. En fait je pouvais lui décrire la taille de ce bonheur, c’était juste là, en face de moi, attrapé par Maîtresse Diane et bientôt à l’intérieur de son corps. Il ne dit rien en ouvrant le dernier papier, confirmant qu’il n’y avait pas de tricherie. Ladyscar était soulagé et Lady Christine, déçue, enfilait le petit gode. - Il reste le lubrifiant, dit-elle en s’adressant à Ben. Ben prit un des trois papiers restants de la dernière corbeille. - Hui...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 42 : Alea jacta est
il y a 2 ans

La mécanique est une science, le hasard ne fait pas partie de ses paramètres, même pas antinomique, elle l’ignore.

Chapitre 42 : Alea jacta est Plus d’une dizaine d’endroits, de zones, de poste de travail, oserai-je dire, occupait pleinement un espace qui recouvrait l’ensemble salon et salle à du rez-de-chaussée. Quatre-vingts mètres carrés, plus grand que mon appartement, beaucoup plus grand ! Je reconnus vers le centre de la pièce le système à poulie de suspension avec de chaque côté le chevalet et la chaise gynécologique qui nous attendaient. Il y avait aussi un lit sans matelas avec un sommier grillagé qui n’inspirait aucun repos, une cage de taille humaine, une vierge de fer ouverte, dont les pointes avaient été remplacées par des sortes d’électrodes reliées à une batterie de bonne taille et une console, une croix très célèbre dans ces séances. Je me rappelais qu’elle avait le nom d’un saint. A croire que seule la religion pouvait pousser la torture vers un plan astral. J’essayai de comprendre l’utilisation de toutes ces machines, mais mon imagination perverse, à cet âge, était encore...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 41 : Le pouvoir
il y a 2 ans

Si du jeu apparait dans l’engrenage, la seule liberté que peuvent espérer les roues sera celle de se briser les dents.

Chapitre 41 : Le pouvoir Ben revint une minute plus tard, emmenant avec lui trois godemichets gigantesques montés sur des ceintures. Des strap-on ! Je comprenais mieux l’histoire des tailles. Si l’un d’eux était comparable à celui d’un être humain, les deux autres auraient mieux convenu à un cheval ou à un gorille. - Bonne chance pour le tirage au sort, me dit Maitresse Diane en me montrant le plus gros. A vue d’œil, près de quarante centimètres de long pour près de dix centimètres de diamètre, pensaient-elles honnêtement pouvoir me le rentrer dans le cul. - Je voudrais la version hard, demanda Lady Christine. - Non ! répondit immédiatement ma maitresse, cette fois plus convaincante. - Mettons cela au vote, s’imposa notre hôtesse. - Hard, réassura Lady Christine de sa voix aiguë. - Normal, redit Lady Christine après une hésitation, dont je compris la raison plus tard : Il existait même une version soft, pour les débutants. - J’aurai bien dit normal, poursuiv...
Centre de réalisation des fantasmes
il y a 2 ans

Les clients et clientes vont vivre des choses horribles !

Le centre a mis au point une technologie innovante permettant à chacun de vivre ses fantasmes les plus fous sans intervention extérieure. La discrétion est totale, ce n’est en aucun cas de la prostitution. Eclatez-vous, envolez-vous dans une totale discrétion. Cette publicité lancée sur le net il y a quelques temps a généré un gigantesque raz-de-marée sur le site internet du centre. Les curieux bien sur, les fétichistes de tous bords ainsi que la police suspectant une activité illégale. Les explications données par le CRF (Centre de réalisation des fantasmes) sont d’une clarté totale bien que surprenante. A partir de 200 euros (moyen de paiement à votre convenance) nous mettons à votre disposition une cabine privée avec un ordinateur vous permettant grâce à nos logiciels de programmer vos envies et désirs les plus fou. A la suite de quoi, vous êtes invités à vous mettre intégralement nu et à entrer dans une sorte de scaphandre qui se refermera sur vous et grâce à not...
La catastrophe informatique du Centre de réalisation des fantasmes
il y a 2 ans

Tout se mélange pour rire ou pour pleurer mais attention, c’est chaud ! ! !

Tout allait bien sauf que....... mais écoutons encore quelques témoignages avant la catastrophe Témoignage d’une femme de 31 ans mère de famille Le fantasme du v i o l me suit depuis mon a d o l e s c e n c e . A cette époque, l’inconsciente que j’étais lisait le journal à la recherche de ces faits divers horribles, ma libido exacerbée faisait le reste la nuit sous ma couette. Comme mon mari est coincé du cul, j’ai abandonné l’idée de lui demander de m’attacher pour me prendre sauvagement, le jour où j’ai essayé de lui parler de mes fantasmes, il m’a traitée de folle. Pour moi, le Centre de réalisation des fantasmes pouvait me permettre de vivre secrètement et sans danger ce fantasme qui me suit depuis plus de 16 ans. Le Centre de réalisation des fantasmes devenu une obsession, je me suis souvent garée à côté pour observer les allers et venues. Les gens sortant de là affichant tous un visage radieux, j’ai fini par me décider mais j’ai payé en espèce grâce à de petites écon...
Sous cage de chasteté, il s’auto cocufie
il y a 2 ans

Les confessions érotiques d’un soumis

##### Deux semaines ! Deux semaines qu’elle avait fermé la clef du cadenas de ma ceinture de chasteté. Sans doute les deux semaines les plus longues de ma vie. Certes, je l’avais bien cherché. J’avais choisi et acheté une cage de chasteté. Je l’avais essayé, porté chaque jour un peu plus longtemps pour m’habituer. Elle regardait tout cela d’un air amusé, un peu indifférent à cette lubie toute masculine, à ce fantasme qu’elle ne comprenait pas. Puis un jour, je me suis senti prêt. J’avais acheté un collier, un joli collier en or, au bout duquel j’avais mis la clef en pendentif. Dans la boite, il y avait également le cadenas, celui qui fermerait la cage et qui allait avec la clef. Je lui avais offert le tout un soir, à la fin d’un dîner aux chandelles dans un de ces restaurants sur la rive gauche. Une heure plus tard, nous faisions l’amour, un peu comme d’habitude finalement. Un petit peu comme si c’était une soirée normale. Excepté à l’instant ou finalement, elle m’annonça : «...
40 jours d’enfer avec une nurse dominatrice
il y a 2 ans

Un alpiniste coureur de jupons se brise les mains. La personne en charge de l’aider au quotidien n’est ni plus ni moins que la soeur d’une fille qu’il a jetée comme une malpropre.

Louis est un de ces laveurs de vitre spécialisé dans le nettoyage des vitres d’accès difficile avec intervention d’alpiniste. Il fait parti d’une équipe de cordistes et s’amuse à dire qu’il fait de l’alpinisme en plein Paris. Le 15 janvier, alors qu’il est dix-huit mètre de hauteur, il s’amuse comme un petit fou à se balancer en se poussant de la façade pour faire le beau en défiant toutes les consignes de sécurité. S’il fait ça, c’est pour épater les filles qui le regardent à travers la vitre. Soudain, la partie basse de son baudrier mal fermée s’ouvre, il lâche ses instruments de travail et se rattrape comme il peut à la corde de rappel lui permettant de descendre. Au lieu de glisser lentement, il prend très rapidement de la vitesse, s’affole. Ses pieds heurtent une margelle, le choc l’envoie en arrière puis contre l’immeuble. Par réflexe il met ses mains en avant pour se protéger, la vitesse de descente cumulée à celle de l’impact est accentuée par la corde de sécurité. Le choc...
La maison qu’il ne fallait pas cambrioler
il y a 2 ans

Tomber entre les mains d’une dominatrice qui a envie de vous découper en morceau, ce n’est vraiment pas de chance.

Lucas est un très beau mec mais aussi un véritable flambeur vivant de menus larcins. Ses cambriolages sont toujours réalisés en loup solitaire, pas de partage, discrétion absolue, sont ses devises. Ses rapports avec les filles sont une catastrophe humanitaire, il les prend, les jette comme des serpillière, un b o u r r e a u des coeurs en puissance. Le BDSM, il connaît et pratique régulièrement. Il n’est pas ce que l’on appelle un grand Maître, non, Lucas est plutôt un manipulateur se servant du BDSM pour transformer en larve sexuelle les filles tombant dans ses filets. Exploitées sexuellement, elles sont également une source de revenus de par les escroqueries qu’aucune d’entre elles n’ira dénoncer. Lisa, 19 ans est une de ses victimes. Psychologiquement massacrée, elle a arrêté ses brillantes études pour sombrer dans une forme de délinquance. Comme les autres, elle n’a rien dit à ses parents, trop honteuse d’avoir été transformée en esclave sexuelle et prostituée sous prétex...
Grands moments de solitude (7)
il y a 2 ans

Tout a une fin, hélas! Il restera de beaux souvenirs. Et la perspective de nouvelles aventures.

##### [LE DEBUT DE CETTE HISTOIRE EROTIQUE EST ICI](/recit/193862) J’ai investi la plage tôt, très tôt, pour pouvoir profiter à plein de cette dernière journée de mer et de soleil. Julien est presque aussitôt venu m’y rejoindre. Il s’est allongé sur le sable, à mes côtés. - C’est aujourd’hui… - Qu’on repart, oui. - C’est pas à ça que je faisais allusion. - Ah ! Ce à quoi, il pensait, lui, c’était… Il s’est redressé sur un coude. - On pourrait peut-être déjà s’offrir un petit acompte, non, qu’est-ce t’en dis ? Ce que j’en disais, moi, c’est qu’un type comme Julien c’était impossible de pas avoir envie avec lui ? Mais je me suis tue. Je me suis contentée de le regarder. Il s’est penché, penché encore. Ses lèvres ont effleuré les miennes. S’en sont éloignées. Y sont revenues. S’y sont installées. Sa queue s’est élancée, sous le maillot, contre ma cuisse. Les pointes de mes seins se sont dressées contre son torse. On s’est embrassés. Encore et encore. On s’est un peu...
Le devoir conjugal
il y a 2 ans

Dans cette histoire érotique, une Maîtresse impose d’une drôle de façon le devoir conjugal à son mari soumis sous cage de chasteté.

Nous écoutions avec ma Maîtresse, qui est également mon épouse, un reportage à la télévision. Il était indiqué que la notion de devoir conjugal est mise à mal, lorsque la jurisprudence sanctionne. La jurisprudence ne s'arrête pas là : en 1992, les tribunaux précisent que la présomption de consentement des époux peut être combattue pour prouver qu’il y a eu v i o l. Le journaliste précisait que certains éléments de preuve sont néanmoins évidents : tout acte de v i o l e n c e commis en vue d'extorquer un coït, par exemple, permet de prouver l'absence de consentement. Le partenaire à l'origine de la v i o l e n c e tentera parfois de minimiser les faits ou de suggérer que ces pratiques font partie des pratiques sexuelles du couple. En rigolant, j’ai dit que si on ne peut pas baiser sa femme quand on veut, à quoi bon s’encombrer d’une épouse. Pour moi ce n’était évidement que de l’humour et surtout, une petite provocation visant à faire comprendre à ma Maîtresse que je n’aurai rien...
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