Récits
Nouvelle Soumission
il y a 2 ans

Poème personnel. Ma vision sensuelle de la soumission.

- Debout devant mon désir, - Bien campée sur vos talons hauts, - Vous m’attendez, prête à me servir, - Des frissons dans la cambrure de votre dos. ........ - Un à un je dégage les boutons, - Qui bâillonnent votre corsage, - Enfin, j’écarte la toile, glouton, - Et m’offre un bien joli paysage. ........ - Les bretelles de vos dentelles, - De vos épaules prestement descendues, - En un frou-frou de bagatelle, - Dévoilent vos seins, savoureux fruits défendus. ........ - En un geste froid, je vous volte-face, - Et vous invite à vous courber, - De ma part, quel comble d’audace, - Pour admirer votre sublime fessier. ........ - De votre jupe je tire la fermeture, - Et peu à peu découvre, habile, - Les prémices d’une coquette parure, - Émoustillant follement mes sens virils ........ - Bas noirs et porte-jarretelles, - Enchâssant un string affriolant, - Me laissant percevoir que vos cuisses ruissellent - Sous mes mains encore bien sages pourtant .....
La journée d'une riche bourgeoise
il y a 2 ans

Madame rêve. Rêve beaucoup.

C’est le moment qu’elle préfère. L’avant. Quand elle sait que ça viendra. Inéluctablement. Que le temps, jusque-là, s’étire tout à loisir. On passe tranquillement sur la route, devant le portail. Il y a des cris d’enfants au loin. Des oiseaux s’interpellent dans les arbres. Les cloches de l’église scandent les heures. Félicien, son homme à tout faire, scie du bois, pour l’hiver, derrière la grange. Elle l’entend. Des bouffées d’air tiède lui apportent, de temps à autre, l’odeur entêtante de la sciure. Tout à l’heure, elle ira voir. Où ça en est. Où il en est. Elle fera la moue. - Vous n’avez pas beaucoup avancé, Félicien… Il relèvera la tête, offusqué. - Mais, Madame… Elle ne le laissera pas terminer. - Votre travail laisse de plus en plus à désirer, Félicien. Vous devriez songer à vous reprendre. Dans votre intérêt. Il ne protestera pas. Au contraire… - Certainement, Madame… À sept heures, tandis qu’il dînera, à l’office, en compagnie de Sidonie, la cuisi...
Le lycée infernal
il y a 2 ans

Une très mignonne jeune fille de 18 ans va vivre l’enfer dans un lycée particulier

Julie Jouannot est une jeune fille de 18 ans, elle est très brune, la peau halée et a une poitrine déjà généreuse. Elle est très mignonne. Elle est en seconde et elle prend le bus tous les matins pour se rendre au lycée. Elle prend la ligne 8 et se met souvent au fond, elle y est tranquille pour y faire les 40 minutes de trajet. Un matin comme les autres, elle s'est habillée en jupe et en tee-shirt et elle prend normalement son bus. Pendant le trajet, elle est tranquillement dans ses songes, quand elle sent une main lui toucher les fesses. Elle n'ose rien faire et espère de tout cœur que c'est juste un geste malencontreux. Elle sent alors quelqu'un, visiblement un homme vu la carrure se coller à elle, elle n'ose pas broncher. La main du pervers lui agrippe alors fermement un sein et commence à le malaxer. Elle se retourne et se prépare à crier lorsqu'elle reconnaît le CPE du lycée, son s a n g se glace et aucun son ne sort de sa bouche. Le CPE, monsieur Bertrand est un homme d'une...
Le lycée infernal 2
il y a 2 ans

Un collier plus que BDSM très particulier

A la fin du cours de français, Julie rangea ses affaires rapidement et sortit du lycée au plus vite. Elle voulait rentrer chez elle et oublier cette nouvelle journée de soumission. Arrivée à son arrêt de bus, juste en face du lycée, son téléphone vibra. En le sortant de son sac, elle vit "un mms reçu". Elle valida pour le consulter, c’était une photo, une photo d'elle, ou plutôt de son anus bariolé de rouge à lèvres. Un SMS arriva: "n'as tu pas oublié la règle N*9? tu as 5min avant que tes parents reçoivent la vidéo complète". Julie prit peur. Le bus marqua l’arrêt, de nombreux élèves montèrent mais elle, le regard absent et le visage pale, resta sans bouger avant que le bus ne redémarre. "il faut que j'y retourne absolument" se dit-elle. Elle traversa la rue en courant, sans prêter attention aux voitures qui durent piler juste devant elle. Elle ne pensait qu'a rejoindre le lycée et éviter l’irréparable. Essoufflée par les 3 étages qu'elle venait de gravir en trombe, elle entre d...
Le lycée infernal 3
il y a 2 ans

De pire en pire

Chapitre 7 : Soumission de groupe Dix-sept jours. Le proviseur et ses complices avaient débauché une élève modèle en dix-sept jours. Une élève qui les satisfaisait de manière très docile, répondant à chacune de leur attente. Mais le pire était à venir… Le garçon qui l’avait prise dans les toilettes des filles s’était empressé de répandre la nouvelle. Et c’est la raison pour laquelle elle se trouvait au même endroit, vingt-quatre heures plus tard. Mais ils étaient trois, contrairement à la dernière fois. Trois lycéens assez costauds. Un black. Un blond. Et un type à lunettes. Elle ne se faisait pas beaucoup d’illusion quant à la raison de leur présence. Il y avait aussi cette fille - Camille - adossée au mur, les jambes croisées. Julie évitait de croiser son regard, devinant le fort sentiment de haine à son égard. Et pour cause, elle était la fille du proviseur. - Vas-tu enfin te décider à les enlever, tes putains de vêtements ? répéta le black, d’une voix autoritaire. Nous all...
L’emprise totale
il y a 2 ans

Deux femmes se font piéger de la pire des façons

Ma mère et moi nous avions décidé d'aller faire les soldes entre filles. Les mecs, par définition, n'aimant pas trop faire les magasins, c'est bien connu, ma mère, Christiane, avait donc accepté de bon cœur. Mon père étant de toute façon à son travail. Moi, j'avais fait de même avec mon jeune époux, je suis mariée depuis à peine quelques mois. Je m'appelle Mélanie, j'ai 25 ans, je suis brune, pas très grande mais il parait que je suis canon d'après les critères masculins en vigueur. Je suis professeure de math dans un lycée de la région parisienne. Mon mari est flic. Ma mère, Christiane, 49 ans, est directrice de banque. Elle est encore une belle femme, elle prend soin de son corps, les revenues confortables de mon père, qui dirige une entreprise de BTP lui permette un train de vie confortable. Elle habite dans une ville bourgeoise de la région. Nous avons donc pris le métro pour nous rendre à Châtelet les Halles, quartier de Paris, pour ceux qui ne connaîtrait pas, ou l'on peut faire...
L’emprise totale 2
il y a 2 ans

De plus en plus perverties malgré elles

Humiliée en classe. En arrivant au lycée, une petite appréhension m'étreignait la poitrine. J'avais longuement hésité devant ma penderie le matin, me demandant comment je devais m'habiller. Je me souvenais des ordres de Mohamed qui m'avait demandé d'être sexy...Refusant d'abdiquer si facilement, je m'habillai d'une jupe à carreaux s'arrêtant juste au-dessus du genou, un haut blanc, des bas noirs et des escarpins à talons plats. Je traversais les couloirs me rendant dans ma salle de classe quand je tombais sur Mohamed et Rachid. Je blêmis en les voyant. Mohamed s'approcha de moi : - Comment t'es sapée!!! Tu te fous de ma gueule : on avait dis sexy! T'as mis une culotte, je parie? - Je vous préviens que je vais porter plainte si vous continuer à me harceler! Lançais-je d'une voix que je voulais autoritaire. Mais Mohamed et Rachid ricanèrent : - Vas y porte plainte et demain ton mari et ton père auront les vidéos de vos exploits à ta mère et à toi! Surtout quand tu jouis...
La voisine est une soumise sexuelle
il y a 2 ans

Il n’y a pas besoin de la pousser beaucoup pour qu’elle se donne totalement

Je n’arrive pas à croire en ma chance. Je suis sur un chemin dans les bois et à quelques mètres de là, je vois ma voisine contre un arbre, la jupe troussée à sa taille, son chemisier ouvert exposant ses deux gros seins tandis qu’un gars de je n’ai jamais vu auparavant pilonne sa chatte avec vigueur. Je m’empresse de sortir mon téléphone pour faire quelques bonnes photos avant que mon chien Rex ne les aperçoive et se dirige vers eux en aboyant comme un fou. Ils essaient de se rhabiller pendant que je récupère mon chien, mais je vois bien qu’elle m’a reconnu. Quelques jours plus tard, on sonne à ma porte : - Madame RAYNAUD, Que puis-je faire pour vous ? Il faut que je vous dise que elle et moi nous nous entendons pas. Depuis qu’elle a emménagé avec son abruti de mari, j’ai des problèmes. Il est chauffeur de camion longue distance et il boit beaucoup. Chaque fois qu’il ne travaille pas, il passe ses soirées en ville puis quand il rentre à la maison il frappe sa femme. A deux repr...
Pour le plaisir de ma Maîtresse (9)
il y a 2 ans

Où cela finit par se corser...

Les règles établies par Maîtresse pour la troisième ne m’étaient pas très claires. Et pour cause… Maîtresse avait finalement décidé de donner libre cours aux désirs de ses invitées. Alors que je les servais de la même façon que les fois précédentes, l’accueil de chacune était sensiblement différente. Dans un groupe de trois femmes réunies, l’une exécutait ce que les autres pensaient intéressant. Elles me firent donc mettre à quatre pattes. La première me caressait de sa chaussure, la passe entre mes jambes et écrasa ainsi mes testicules. Une deuxième m’attrapa par le collier et me versa l’alcool sur le visage en déclarant qu’elle me donnait l’autorisation de participer à la fêter et de boire avec ses Supérieures. Dans un autre groupe, une invitée me fit coucher sur le ventre et but son verre tandis qu’elle me marchait dessus. Je reçus bien sûr fessées, coups de cravaches et divers humiliations. Il n’était pas rare qu’elles serrent ma queue, tirent sur les anneaux – du tétons aux testic...
Pour le plaisir de ma Maîtrise (8)
il y a 2 ans

Où l'on apprend comment servir un apéritif...

A l’heure dite, ponctuelles, chacune des invitées est arrivée chez Maîtresse. Elles portaient toutes de longues robes sous une veste légère. Maîtresse m’a ordonné de rester à l’entrée, de recevoir leur carton d’invitation, d’indiquer leur nom fort et intelligiblement et de les débarrasser de leur veste. Toutes, absolument toute, ont une robe dégagée sur le devant, laissant leur poitrine nue, à l’image des anciennes prêtresses crétoises. Les amies de Madame se sont ensuite égaillées dans la jardin. Elles ont alors félicité Maîtresse de ses goûts en matières d’ornementation, décoration et de choix de ses objets. Elles s’extasiaient devant les charmes du jardin. On sentait à les entendre et à les voir qu’elles avaient plaisir à être présentes, entre-elles, au cœur du domaine de Maîtresse. Ce n’est que plusieurs minutes après les avoir introduites dans le jardin, charmées de leurs discussions communes, que Maîtresse fit un claquement de doigt à mon adresse. Le moment de servir l’apéritif m...
Le psychopathe de la nuit
il y a 2 ans

Lorsque deux femmes rencontrent un monstre cruel assoiffé de sexe, elles savent, l’une après l’autre, que cela va être l’enfer.

Une histoire particulièrement hard .................... Carole regagne son appartement après une journée harassante. Cadre commercial d’une chaîne de distribution de matériel informatique, elle vient de préparer le lancement d’une nouvelle ligne d’imprimante. Les ordres sont passés, la campagne publicitaire prête. Elle repasse encore dans sa tête les quelques décisions qu’elle a prises tout au long de la journée. Elle est satisfaite. A vingt huit ans, elle est la plus jeune mais la mieux payée des cadres de son entreprise. Une réussite reconnue de tous dans un monde pourtant machiste. Célibataire, elle vit à deux pas de son travail et profite de ces quelques mètres à pieds pour aérer son esprit et relâcher la tension nerveuse accumulée par onze heures de course contre la montre. Il fait nuit. Ses pas rapides résonnent sur les murs gris de la capitale, les talons hauts de ses chaussures martelant en rythme le pavé humide et glissant. Au détour d’une ruelle, elle croise...
Pour le plaisir de ma Maîtresse (7)
il y a 2 ans

De l'autorité de Maîtresse sur son petit monde...

A quelques heures de la soirée, Maîtresse indique que je dois m’apprêter. Je sens trop le chien couché dans sa niche, estime-t-elle. S. m’amène dans une grande salle carrelée. Elle m’ordonne d’écarter les jambes et de poser les mains sur le mur. A grands coups de jet, elle me douche, tandis qu’une troisième femme, G., que je n’ai encore jamais vu me récure armée une brosse. A la suite, G. me maquille les yeux de khôl. Je me fais l’effet d’un hindou, mais ce n’est bien sûr pas de ça qu’il s’agit. Elle me peint, après cela, entièrement d’une couleur dorée. Aux anneaux de mes tétons, elle accrochent des pendentifs aux armes de Maitresse. Ma queue est ornée d’un bijou et de l’anneau du prépuce, une chaine dorée passe entre mes jambes, revient dans mon dos pour être accroché au collier. Mes cheveux sont enduits d’un enduit blanc. Mes lèvres sont peintes. Je sais alors que j’ai la ressemblance d’un esclave des temps passés. C’est d’ailleurs ainsi que je reçois les employées du traiteur. Ra...
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