Prénom: Alicia Nom: Duca Age: 23 ans Taille: 1m60 Poids: 55 kg Couleur des yeux: brun foncé Couleur de cheveux: chevelure noire Peau blanche, cheveux long, sans époux Profession: Stripteaseuse/prostituée Sport: Pole dance, dance divers, effeuillage; initiée au krav maga Jour 1: chantage Mmmmhh...je me réveille tranquillement. Il est lundi, 14h30, je suis pas encore sortie du lit. Le boulot hier soir a duré jusqu'à 03h00 du matin, les clients étaient vraiment chauds. Je ne regrette pas pourtant, mes danses sensuelles ont beaucoup rapporté. Depuis 11h00 je me suis gardé le même pigeon, il a dû me débourser plus de 1000.- durant la soirée. J'adore en prendre à leur argent, ces imbéciles sont tellement faciles à dépouiller, un peu de maquillage, une tenue bien excitante, une petite danse qui va avec et tu fais ce que tu veux d'eux. Aujourd'hui je ne bosse pas à la boite, mais j'ai un autre coup intéressant. Il s'agit d'un homme d'affaire millionnaire, je...

Le couple m'emmène me tenant chacun par les bras. Nous descendant les escaliers allant au sous-sol. Je tente vainement de me dégager des cordes… ça ne donne rien, elle m'a bien attachée. Une fois au sous-sol, nous passons par un garage, puis prenons la porte qui donne sur la mer, là où les voiliers sont accostés. Nous montons à bord d'un bateau à moteur, Vlad prend une autre corde, me fait asseoir par terre et se met à attacher mes chevilles. Mes pieds sont maintenant ligotés également. "Surveille-là, je vais faire démarrer le bateau" réplique Vlad. Il entre dans la cabine, alors que Crina reste avec moi. Mais nous entendons les hommes de Yvan arriver au loin. Crina sort alors un foulard blanc. Elle le fait entrer dans ma bouche, le passe sous mes cheveux et serre le noeud. Me voilà maintenant bâillonnée. Elle sort son pistolet et le braque sur moi. Alors qu'un des hommes de Yvan arrive dans notre champs de vision, elle crie: "Regarder nous avons Alicia Duca en otage!!! N'approche...

Un texte BDSM très particulier et original qui n’est pas le reflet du BDSM « conventionnel » Ils m'ont engagé, il y a de ça, plusieurs mois. Ils m'ont donné une formation complète incluant la sécurité et la défense rapprochée, comme cuisinier, comme maître d'hôtel et comme chauffeur dans le seul but de me camoufler dans le "personnel". Ils m'ont aussi instruit à propos d'une philosophie appelée BDSM. Non, je ne suis pas un adepte, car cela m'empêcherait de faire mon travail. Mais avant de continuer, laissez-moi vous parler de mes employeurs. C'est un couple très spécial. J'ai eu besoin de plusieurs mois pour assembler le peu d'informations que j'ai à propos d'eux car ils sont spéciaux à ce point. Les meilleurs informations que j'ai eus proviennent du personnel qui les servent depuis plusieurs années. Lui, on l'appelle Monsieur "M". Il est connu sous plusieurs alias mais ils sont tous faux. Elle, on l'appelle Madame "F". Naturellement, comme son conjoint, elle est connue sous plusie...

##### Les mésaventures d'un journaliste dans la cité des femmes gynarchiques La ville de PARIS 19EME est l'arrondissement le plus chaud de la capitale mais aussi un des arrondissement de Paris le plus chaud de France ! Une grande partie de la population vie sous le seuil de pauvreté, on y trouve 25% d'immigrées (sans compter les sans papiers), beaucoup de familles monoparentales et familles nombreuses sans père ! Le taux de criminalité est très haut. Dans cet arrondissement, on y trouve la cité des femmes gynarchiques. Les femmes s’y sont organisées, puisque plus de 80 % des hommes sont soit décédés lors d’un règlement de compte soit en prison. Des Dojos clandestins ont été ouverts. Les femmes y pratiquent des sports d'auto défense, comme le krav maga, le systhéma, la boxe de rue ou bien des systèmes de combat plus anciens comme le tai jitsu. Elles se sont entraînées pour des situations où il n'y a aucune règle à part « survivre ». Autant dire que les 20 % d’hommes restant...

A l’attention des lecteurs : Cette histoire extrêmement n’est en aucun cas le reflet d’une relation BDSM dans la vraie vie. Cette histoire n’a qu’un but : faire fantasmer et courir l’imagination Cette histoire n’est qu’une PURE FICTION NE LISEZ PAS CETTE HISTOIRE si vous n’aimez l’extrême .............................................. Peter et John s'emparent de Whore et la traînent par les épaules jusque dans la cour. Là, John déverrouille la trappe métallique d'accès au puits et attache aux chevilles de Whore, toujours enfermée dans son épaisse combinaison qu'elle n'a pas quitté depuis 6 jours, de lourds poids en fonte, puis lui ligote les bras dans le dos et connecte à son masque un long tuyau. Elle fait face, immobile, à ses trois b o u r r e a u x. John prend la parole : - Whore, nous n'avons pas besoin de longue délibération pour nous entendre, comme l'acquiescent Magdalena et Peter. Notre sentence est la suivante. Pour avoir enfreint ton contrat, pour rem...

................... Margot est une jeune étudiante un peu coquine, un peu fofolle. Avec sa petite taille, son visage d’ange et un corps très bien proportionné, elle fait tourner la tête des hommes. Elle n’est pas pour autant une fille facile. Allumeuse oui elle l’est avec ses photos coquines, qu’elle partage avec ses amis. Il n’y a rien de pornographique dans ce qu’elle aime faire, cela se limite à quelques poses en sous-vêtements de profil ou de dos. La mode du selfie bas son plein, les défis aussi. Les garçons prennent des risques inconsidérés pour faire voir qu’ils ont du courage, les filles se montrent de plus en plus dévêtues. Margot se prend au jeu des défis, puis un soir elle ose faire un selfie avec les seins nus. Cela devait rester un défi entre copines, hélas pour elle, la photo est partagée dans le lycée. Ne le sachant pas, fière d’avoir été la première à montrer ses seins, elle relève un autre défi, celui de faire la chienne en string sur un lit. Elle comprend son...

Une histoire érotique écrite par le mari de Carole qui aime jouer avec la peur Un après midi du mois de mai, il fait un temps splendide, nous partons avec ma femme dans les vignes toutes près de chez nous, avec notre fourgon, pour ramasser des sarments. Nous entrons dans une propriété pour demander l'autorisation de ramasser les sarments qui sont regroupés au bout de chaque rangée de vigne. Le château paraît inoccupé, après avoir frappé à la porte personne ne se manifeste. Nous allions rebrousser chemin lorsque l'on aperçoit dans un chai avoisinant, trois hommes en train de travailler. On s'approche d'eux et leur demandons si l'on peut ramasser les sarments. Ils nous répondent que les propriétaires sont absents mais qu'il n'y a aucun problème pour ramasser des sarments. L'un d'eux s'est rapproché de la vitre de notre véhicule et a plongé les yeux sur les cuisses de ma femme qui est vêtue d'une petite robe en jean. Je le vois faire discrètement un clin d 'oeil à ses potes, et il n...

Quelle guigne ! Je reviens du lac qui se trouve à 5 kilomètres de la maison et un orage vient d'éclater. Je suis trempée jusqu'aux os ! Et pas le moindre endroit où m'abriter. Je presse le pas mais il me faudra au moins trois quarts d'heure avant de rentrer. Papa va encore me disputer pour être sortie sans mon K-way. Je l'entends d'ici : " à 18 ans tu devrais avoir un peu plus de plomb dans la cervelle ! Tu vas encore attr a p e r la crève !" J'entends une voiture me dépasser. J'espère qu'elle va s'arrêter. Ils ne vont quand même pas me laisser sous ce déluge. Tiens ! Compte là dessus ! Les vaches, ils n'ont même pas ralenti. En plus, il ne passe pas grand monde sur cette petite route. Je continue à avancer sous la pluie battante. Mon tee-shirt est trempé et je sens l'eau froide ruisseler dans mon dos et sur mon ventre. Des gouttes coulent sur mes cheveux et tombent sur mes cuisses à peine couvertes par ma petite jupette bleue qui colle à ma peau. Pourtant quand je suis partie, il f...

Barbara Gordon a franchi la porte d'entrée de son grand appartement au rez-de-chaussée du centre-ville. C'était un appartement haut de gamme dans un quartier particulièrement calme de la ville. Elle se dirigea vers la glacière et en sortit du thé glacé; Après une longue journée à la bibliothèque de Gotham City, elle avait besoin de quelque chose de cool et de rafraîchissant. Alors qu'elle se penchait contre le comptoir et sirotait son thé, ses pensées retournèrent à son rendez-vous avec Bruce Wayne la nuit précédente. Elle avait porté sa robe et ses escarpins les plus sexy, et il ne l'avait même pas embrassée. Il était certainement étrange. Ou peut-être juste timide. Bon sang, qui appelait-elle étrange ? Au moins, Bruce ne s'est pas habillé dans une tenue scandaleuse et ouvertement sexuelle et n'a pas combattu des maîtres criminels pendant son temps libre. Elle finit son thé glacé et se dirigea vers le salon. Comme d'habitude, Charlie a crié son joyeux salut; Heureux de la voir...

Nous sommes à Versailles, en 1946. Versailles, la ville, pas le château. Du moins, pas celui du Roi-Soleil, Louis XIV, mais celui de ma reine, la belle et douce Marie Victorianne. J'étais son prince, le jeune Valentin. Dans le grand salon du château, la grande horloge sonne les douze coups de minuit. Je suis dans un grand bain, remplit d'eau et de mousse. Mes mains se promènent sur le corps de la reine, un corps ambré qui est encore plus magnifique, tout trempé. Une main la savonne, passant sur son ventre, ses seins, son entre jambes, ses cuisses, ses fesses. Mon autre main d'étendre le savon, de rincer, de caresser, d'exciter, de pétrir et ultimement, de la faire jouir. Elle se retourne face à moi et lave ma verge de ses mains. Elle achève le travail par de grands coups de langues. Alors qu'elle se relève, je la prends par la taille et ramène ses seins à hauteur de ma bouche. Ma langue se promène sur son sein droit. J'en gobe le mamelon brun dans ma bouche. Son sein gonfle, enfle, l...

##### Une délicieuse histoire érotique BDSM d'une autre époque - Votre Bain est prêt, Maître. Archeron leva les yeux du rapport qu'il lisait alors, lequel présentait différents mages suspectés par le Magisteriam de mener diverses activités subversives dans les Marches, ou encore de faire partie de groupuscules indépendantistes, soit de réseaux criminels. On avait demandé à Archeron si il voulait bien s'occuper discrètement d'un ou deux de ces personnages jugés dangereux pour l'Empire. Mais ce soir, cette lecture lui semblait bien inintéressante et la tâche proposée peu digne de son intérêt. Maëlle, l'une de ses esclaves, était à genoux devant lui, cuisses écartées, dos bien droit, mains sur les genoux, tête baissée. Elle était une des trois esclaves achetées il y a quelques semaines par Archeron à la Duchesse Ethanie de Lermian. Dès le début, elle avait montré une certaine tendance à l'indiscipline, affectant un peu d'impertinence, ce qui avait conduit Archeron à la punir dure...

Changer de sexe et régresser une fois pour voir n’était vraiment pas une bonne idée pour ce jeune homme. Attention, cette histoire érotique est aussi belle que perfide. «David, je vais au centre commercial, garde un œil sur Susie? maman a appelé les escaliers. «OK maman,» ai-je rappelé, mon rythme cardiaque s'accélérant. Dès qu'elle était sortie, j'ai cherché dans sa chambre les bagues que je l'avais vu utiliser avec papa. Papa était archéologue, il avait obtenu ces bagues d'un associé arabe, elles étaient très, très spéciales. "Où sont-elles?" J'ai fouillé frénétiquement jusqu'à ce que je tombe sur la petite boîte en bois ornée dans le tiroir de chevet de papa. Je me sentais ravi. Maintenant pour vivre mon fantasme. Depuis que je me souviens, j'ai fantasmé d'être elle, enfin pas EXACTEMENT elle, car elle était gravement handicapée, elle est née avec une maladie rare qui lui avait laissé l'esprit d'un bébé de 18 mois, et un trouble de croissance, elle, comme moi, avait d...