Si vous avez loué notre gite pour vos vacances, c'est parce qu'il est isolé à la campagne et naturiste. Vous vous imaginez déjà en train de bronzer nue après un plongeon dans la piscine. À votre arrivée, tout se passe bien. Vous recevez un accueil chaleureux et visitez la propriété, y compris l'espace fétichiste avec son donjon et sa chambre d'amour. Ces endroits sont propices à tous les fantasmes, mais comme vous êtes seule, à part rêver d'un bel homme dominant, ils ne vous servent à rien. Certes, un jeu dont vous ne connaissez pas réellement les tenants et aboutissants aura lieu cette semaine mais vous n’en savez pas plus. Après avoir piqué une tête dans la piscine, vous vous allongez nue sur un transat pour bronzer au son du chant des oiseaux. Au bout d'un moment, vous vous retournez pour faire bronzer votre dos et vos fesses légèrement pâles. Soudain, quelqu'un s'allonge sur vous par surprise, vous attrape les bras, les met derrière votre dos et vous menotte. Vous vous...

Durant le trajet, nos discussions restent banales. Elle doit simplement veiller à la manière dont elle s’adresse à moi, en m’appelant toujours « Monsieur » et en me vouvoyant. En arrivant au donjon, elle sait qu’elle doit me présenter son collier. Elle le fait dès notre arrivée, ce geste la plongeant encore plus dans son rôle de soumise.
 Elle débarrasse les affaires, les range, tandis que je me détends dans le fauteuil en cuir du bar. Une fois terminée, elle me rejoint et se place en position d’attente à côté du bar : debout, les jambes légèrement écartées, les mains dans le dos. C’est ainsi qu’elle doit attendre dès qu’elle n’a pas d’ordre contraire. — « Sers-nous un verre de vin. »
 Elle prépare les verres, les pose sur un plateau, s’approche et s’agenouille devant moi :
 — « Tenez, Monsieur. Souhaitez-vous autre chose ? »
 — « Oui… une pipe. Sans utiliser tes mains. » Je retire ma ceinture pour lui faciliter la tâche. Elle s’exécute et tente d’ouvrir ma braguette avec...

Histoire de sexe sans consentement, vous êtes prévenus. ........................... Nous sortions de boite complètement allumés sans être ivres, mais avec de la musique plein la tête et des envies de rires et partager notre joie de vivre. Et là cet abruti de Fred n'a rien trouvé de mieux que de nous faire passer dans une rue chaude où les commerces, bars et clubs gays foisonnent. Il avait comme distraction avec un de ses amis de prendre cette rue et d'insulter les gays, de leur jeter des oeufs, de vieux pots de peinture de l'atelier où il travaille. Passé le moment de découverte, je n'ai pu me contenir et de lui dire ma façon de penser sur son attitude irrespectueuse. Histoire de faire le « mariole » et de m'épater, il s'est arrêté prés des motos puis en a poussé une avant de redémarrer sur les chapeaux de roue. J'étais folle de rage et voulais descendre de sa voiture mais à cet endroit là, cela aurait été suicidaire. Notre enfer venait de débuter avant même que son rire...

Je suis face à une assemblée de personnes en spectateurs et spectatrices, toutes et tous averties au domaine BDSM, j'y distingue des dominantes et des dominants, avec leurs soumis, peut-être qui sont leur esclaves, qui me regardent, et attendent visiblement que l'action, un spectacle vienne où je me situe dans la pièce. Je constate que je ne suis pas seul à être présent déshabillé dans cet endroit de la pièce. D'autres personnes hommes et femmes sont également ainsi, et visiblement attendaient qu'on m'emmène. Je ne cache pas que la mise en situation yeux bandés, déshabillé, mis en collier et laisse m'excitant, une érection puisse arriver, mais ainsi en situation, celle-ci disparaîtrait, à la découverte de la situation, par la peur m'envahissant. Je vois des chevalets, croix de st André, des liens, chaines, anneaux suspendus au plafond, des fouets, cravaches, cannes, et pleins d'autres ustensiles que je ne reconnais pas vu le nombre, mon sang se refroidit, avec cette dualité d'...

Je l’avais fait. Je l’avais mis ce collier... Le pire c’est que j’avais moi même scellé mon destin. La vis allen s’était cassée comme la tête du collier de serrage du tuyau de la bouteille de gaz... Ce qui veut dire que même si je le voulais, je ne pouvais pas le retirer. Une vague de frisson s’empara de mon corps. Pourtant, j’avais jusqu’à demain 18 heures pour le mettre ce collier !? Qu’est ce qui m’a prit de le mettre maintenant !? Une lumière dans ma tête clignota comme une alerte rouge... on était lundi... j’avais un rendez vous pro à midi... - Putain mais c’est pas possible d’être aussi con ! - m’emportais je en essayant de tirer sur le métal comme le damné que j’étais. Je regardais sur ma table de chevet ce contrat de plus de cent pages que je n’avais pas lu. CONTRAT DE SOUMISSION Entre Maîtresse Ds et soumis Laurent Je n’avais lu que la lettre de Ds. Je la repris et la relus encore... « Ma Petite Salope ! Je suis vraiment fière de toi et j’ai très e...

Une journée en vacances Voici une de mes journées de salope en vacances dans sa famille ou bien sur personne ne sait ma situation de soumise. D’abord au réveil le rapport d’activité de la journée à mon Maître. Celui-ci me demande de porter le collier en chaîne dès que je suis seule pour me rappeler que je suis sa chienne. Donc toute les nuits je porte le collier et à mon réveil je fais mon rapport. C’est souvent la notification de l’application qui me réveille et je discute avec mon Maître. Il m’arrive d’être réveillé dans la nuit ou tôt le matin par la cage que je porte h24 depuis maintenant 2 ans. L’erection est impossible mais ça gonfle et pour ma part c’est l’anneau qui fait mal dans ce cas et qui me réveille. Mon maître a les clés depuis mon départ en vacances. Je suis du sud et mes vacances se déroulent dans le nord. (Trajet en moto en cage sur une journée) Mon maître sait que j’aime les défis alors ce matin il m’a demandé mes activités prévues dans la journée. Je...

Fantasme Du fantasme au réel Mon parcours de trav soumise a bien sur commencé par des fantasmes. Un jour j’ai décidé dans réaliser quelques un. L’un des premiers et de sortir dans la rue et dans une supérette à côté de chez moi en tenue apparemment normale mais pour moi spéciale à savoir un pantalon sans fond… Je sais c’est peut être ridicule mais c’est très excitant pour un novice. Je vivais dans un quartier assez vivant et me promener ainsi avec un blouson long me paraissait faisable facilement. J’ai donc découpé un vieux pantalon et go dans la rue. Au début une rue pas trop fréquentée, je suis agréablement surprise par l’air direct sur mes fesses. Je traverse la rue pour rejoindre la rue où il y a la supérette et bien sûr il y du monde… un coup d’adrénaline je passe devant un groupe de personnes qui discutent, normalement en me tenant bien droite on ne voit pas mes fesses. C’est passé, pas de réflexion maintenant la supérette, je fais exprès de prendre une marc...

Dans la soirée douce et apaisante d’un été perpignanais, je me trouvais tranquillement installé en terrasse d'un café, à savourer ma pinte de bière. Les rayons du soleil couchant illuminaient la scène d’une lumière dorée, et j’admirais les passantes qui flânaient le long du trottoir. Chaque table entourée de rires et de discussions animées semblait raconter une histoire. Parmi les clients du café, une femme d’une cinquantaine d’années attirait mon attention. Elle cherchait désespérément une place, visiblement embarrassée par la situation. Sa robe élégante épousait délicatement ses formes, et je ne pouvais m’empêcher de remarquer la manière dont elle était mise en valeur. Dans un élan de générosité, je lui proposai de partager ma table. À ma grande surprise, elle accepta avec un sourire chaleureux. "Je m'appelle Clara," dit-elle en s’installant." "Enchanté, moi c’est Jacques," répondis-je, curieux de découvrir ce que cette rencontre fortuite pouvait nous réserver. Nous avons...

Alice est une fille très sympathique, hélas pour elle, sa santé ne va pas bien. A 28 ans, elle est atteinte d’une maladie psy difficile à définir et donc à soigner. Elle se complait et s’épanouie dans le monde de l’ABDL avec d’autres filles Little, une havre de paix pour cette jeune femme. Sa force de caractère est telle, que quand elle va bien, elle s’assume et en parle librement sur internet tout comme de ses passions, sa façon d’être Little. Elle se sent aussi « utile » en aidant les personnes dans la détresse. Elle s'est fait un petit cercle d'amis virtuel sur un réseau social, des gens dont elle prend régulièrement des nouvelles. Se sentant plutôt exclue par la société, elle trouve dans cette vie virtuelle, une place qu'elle n'a pas dans la vie courante. Dans le monde ABDL et Little, dès qu’une fille se connecte sur un forum ou le chat de Fessestivites, elle ne manque pas de prétendants et de demandes. Alice sait bien les gérer, elle les envoie « balader » lorsqu’ils son...

Le costume En regardant la table, elle vérifia que tout était bien disposé. Elle avait en tête un arrangement spécifique et les objets destinés à son aventure de ce soir devaient être soigneusement alignés dans l'ordre dans lequel ils seraient utilisés. Il était important pour elle que tout soit organisé dans le bon ordre. C'est peut-être ce qui la fascinait tant dans l'époque édouardienne britannique, du début du XXe siècle jusqu'à la Première Guerre mondiale. La structure sociale rigide et le rôle précis et bien défini de chacun, en fonction de sa classe sociale, correspondaient à sa propre croyance sur la façon dont le monde devait fonctionner. Le thème du costume de ce soir serait inspiré de cette époque. Heureusement, il existait de nombreux sites Web proposant des vêtements pour femmes authentiques (ou presque) d'époque. Son choix pour la soirée commença par une coiffure tirée en arrière, qui plaçait ses cheveux sur le dessus et derrière sa tête. Le chemisier à manches l...

Il fait chaud en ce mois de juin 2025. je rentre tranquillement du travaille a travers un chemin boisée peu emprunter en périphérie de Rennes, Cela fais peu de temps que je me suis installée dans cette ville très agréable ! Sortie du métro, je traverse un joli parc, ce qui me prend une vingtaine de minute de marche ! j'ai un petit pull blanc qui laisse mes épaules découvertes, ma jupe rose plutôt courte, de petites chaussettes blanches dans des talons roses pale ma couleur préférée, je suis apprêtée et maquillée. Un petit sac à main rempli de mes affaires personnelles ainsi que quelques documents pour le boulot. Après quelques minutes de marche, je me pose sur un banc voulant profiter du soleil et du chant des oiseaux puis lire un peu un super roman fantastique, je pose mon téléphone pour pas me faire déranger. Plongée dans ma lecture je remarque qu’un homme s’assoie a l’autre bout du banc, j’échange un timide bonjour sans le regarder, il me répond par un bonjour amical. Sans...

Sandra passa une bonne nuit, épuisée par ses émotions de la journée. Jonathan, lui, dormit légèrement, en chien de fusil, sur le sol. Il faisait froid et il avait « la chair de poule ». Il avait envie d’uriner mais il n’osa pas déranger sa Maîtresse qui dormait encore. Vers huit heures, c’est Anne qui pénétra dans la chambre sans faire de bruit. Elle regarda Jonathan et mit son doigt sur la bouche pour lui intimer de se taire. Elle s’approcha du lit et se pencha vers la tête de la dormeuse. Elle posa délicatement ses lèvres sur la bouche endormie et glissa sa langue chaude à l’intérieur. Sandra ouvrit un œil et engloutit la langue. Au bout de quelques minutes, Anne se retira et, avec un beau sourire, lui chuchota quelque chose à l’oreille. Jonathan les regardait. La jeune fille se retourna légèrement déplaça les draps pour faire apparaitre le bas du corps de Sandra. Elle posa ses mains sur les genoux pour écarter les jambes à l’équerre. La vulve, encore chaude et endormie, s’ouvrit...