Récits
Soumise sexuelle à 18 ans
il y a 7 ans

Histoire érotique hard

Soumise sexuelle à 18 ans Je venais juste d’avoir dix-huit ans, et j’étais folle amoureuse d’un homme qui en avait quinze de plus que moi. Ce jour là je suis chez lui et on doit passer prendre l’apero chez son père et son oncle dans une petite ville à dix kilomètres. Je ne les aime pas trop, je les trouve vicieux. Pour l’occasion, il m’offre une tenue qu’il m’oblige à porter sinon il n’a plus rien à faire avec moi alors je m’exécute et la mets. C’est une petite robe d’été ultra moulante en damier noir et blanc à bretelle et dans mes pieds je porte des escarpins noirs brillant à talon d’haut moins dix centimètres. Dans cette tenue, je m’attends aux pires réactions de sa famille. _ Ca y est t’es habillée, on peut y aller. Hum t’es sexy comme ça ma petite poule ! _ Ce n’est pas un peu trop sexy d’ailleurs ? _ Non au contraire on ne voit jamais assez tes belles jambes et tes petits seins. Nous partons de l’appartement. Il me dit : _ On n’est garé rue des Halles, vas-y,...
Quand le selfbondage conduit une femme à devenir un objet de test
il y a 7 ans

Quand le selfbondage conduit une femme à devenir un objet de test

Sarah regardait par la fenêtre de sa chambre au deuxième étage de sa grande maison. Elle vivait seule dans une belle maison victorienne dans le nord d'Oxford. Elle était âgée de 26 ans à la recherche étonnante d'Abu Dhabi et a déménagé en Angleterre il y a 10 ans. Ses longs cheveux v i o l ets étaient bien soignés et coulaient sur ses épaules et dans son dos. Ses yeux bruns avaient couche après couche de mascara sur eux et une tonne d'eye-liner. Son nez avait un piercing de taureau à travers elle et son visage était claire et fraîche. Son corps était mince et bien tonique et son cul était solide comme un roc. Elle avait des seins fermes et une chatte rasée. Elle regardait par la fenêtre une nouvelle boutique fétiche qui ouvrira dans quelques jours. Elle a l'intention d'aller faire une grande virée de shopping demain matin et tous les trucs serait crépus. Elle ne pouvait pas dormir et regardait avec envie la fenêtre noirci de la boutique. Elle ne pouvait presque sentir le latex de sa...
CLAIRE ET MARC
il y a 7 ans

Avec des cambrioleur

On sonne à la porte. Je suis en chemise de nuit, je m’apprêtais à passer à la salle de bains. Jean, qui lit son journal, se trouve au salon. Il est dix neuf heures et je me demande qui çà peut être. Comme je passe devant la porte, je demande: - Oui ? C’est pourquoi ? Une voix masculine répond derrière: - C’est votre nouveau voisin. Je viens d’emménager et … je venais voir si vous ne pourriez pas me prêter une rallonge électrique!? - Oui … une seconde, mon mari arrive. J’appelle mon mari en lui expliquant la situation. Je ne savais pas que nous avions un nouveau voisin! Il est tard et il commence à faire nuit. Je pense qu’il doit avoir un problème d’électricité. On ne va quand même pas l’envoyer sur les roses, ce ne serait vraiment pas la meilleure façon de lui souhaiter la bienvenue. Mon mari me regarde, interrogateur: - Tu sais qui c’est? Tu l’as déjà vu? - Non! Je ne savais même pas qu’il y avait un nouveau dans le quartier. Ne le laisse pas attendre écoute, il d...
Guardia Rural l’enfer de Cobá
il y a 7 ans

Désireuse de faire sa thèse archéologique elle va se faire arrêter et ....

En débarquant à l’aéroport international de Monterrey, Laura désireuse de faire sa thèse archéologique sur les mayas ne se doutait pas qu’elle allait s’éclater autant. - Cobá signifie en français « eau agitée par le vent ». Entre 400 et 1100 ap. J-C., ce fut une des cités les plus importantes de la période classique maya, abritant jusqu’à 50 000 habitants. Son emplacement est principalement dû à la présence à la proximité de deux petits lacs qui approvisionnaient la population en eau. En voiture, ce site n’est qu’à une demi-heure de route de la cité de Tulum. Je peux vous emmener demain si vous le désirez, je dois m’y rendre pour affaire. Lui explique José, un homme d’affaire installé au bar de l’hôtel avec lequel elle discute sans prendre garde. La nuit de Laura est agitée de par le décalage horaire et ses rêves de touriste. Le lendemain, après un solide petit déjeuner, les voilà partis dans un vieux 4x4 loué pour la circonstance José la dépose à l’entrée de Tulum et lui donner...
Le pensionnat
il y a 7 ans

Roman fessée et BDSM avec un prof pervers

Le pensionnat Par Donatien 15 octobre 1964. Fin de la première journée et début d’un exil dont je ne sais combien de temps il durera. Le temps que les choses s’apaisent là-haut. La fille était bien jeune et son notaire de père n’avait pas trop intérêt à ce que des prétendants apprennent qu’elle a vu le loup de près. Il la mariera sans doute en vitesse après ça. J’ai répondu à la première annonce et me voilà. Accepté du premier coup, sans enquête. Il faut dire que les candidats au poste ne doivent pas être légion. L’internat est situé dans une espèce de manoir un peu déglingué, plein de courants d’air. Au bout d’une route où personne ne passe. Air pur et discipline, disent les prospectus. Seconde à terminale, une petite centaine de filles. Pour le moment, je n’en n’ai vu qu’une, un joli minois d’ailleurs, qui attendait sur un banc devant le bureau de la supérieure. Des yeux verts un peu cernés. L’air effrayé et un peu farouche. Elle ne portait pas l’uniforme et avait à ses pied...
La racaille s'invite au château
il y a 7 ans

Et la bourgeoise se fait démonter en gang bang

La racaille s'invite au château A peine quelques jours après sa mésaventure en boîte l'ayant conduite à être la pièce centrale d'une tournante en banlieue en compagnie de son amie la baronne v i o laine de la Trellière, la comtesse Blanche du Breuil eut la surprise d'entendre son téléphone portable sonner. Une voix au fort accent de racaille se fit entendre : - Alors comtesse de la Pute, tu te souviens de moi ? Cette voix produit un effet fulgurant sur la jeune et belle noble. Elle venait en effet de reconnaître le timbre de Mohammed, l'Arabe qui l'avait si copieusement baisé dans les toilettes de la boite : il avait du récupérer son numéro dans les dépouilles de son sac à main qu'elle avait laissé aux lascars. D'une voix tremblante d'émotion, la comtesse s'entendit répondre dans un râle : - Oh oui ! Si bien ! - Alors, la petite bourge pleine de fric a encore envie de se faire défoncer par de vrais mecs ? Pour la comtesse qui commençait à sérieusement se languir...
Laura avec un inconnu
il y a 7 ans

Soumise malgré elle mais cela ne lu_i déplait pas.

J’aime danser, onduler mes hanches larges, que les mecs matent mon cul … les faire bander humm… Je me présente Laura 25 ans brune 1m60 60kg 90b et un gros cul qui attire l’œil. Ce soir-là, avec ma pote Daisy, comme souvent nous sommes parties danser. La soirée se passait très bien, les mecs nous mataient, nous offraient des verres, nous invitaient à danser bien collez serrés… je sentais de belle queues contre ma jambe ou mon cul … j’adore faire ça, les faire bander, puis les repousser quand ils sont bien dur. C’est tellement bon de les voir dégouttés avec la queue dur qui déforme leur entre jambes. Mais ce soir-là, ça a un peu dérapé. A f o r c e de boire, un petit tour aux toilettes s’impose. Daisy étant en très bonne compagnie je décide d’y allez seule. Les toilettes des femmes était pleines comme souvent, un petit regard au niveau des hommes, personne ; je me faufile ouvre la porte d’une cabine. C’est là où tout a basculé… une présence derrière moi, une main ferme me pouss...
Piégée par mon gynéco
il y a 7 ans

Confidences érotiques d'une femme qui n'aurait pas du céder à un gynéco pervers

On était dimanche mon rendez-vous pervers avec mes toubibs était le mardi à 18h30. Mon mari m'avait téléphonée le matin pour me confirmer que son retour de mission aurait bien lieu dans 3 semaines seulement. Cela fera 9 semaines sans le voir. J'étais de nouveau dans le doute entre assouvir mes sens et aller à ce rendez-vous ou bien rester sagement à la maison et oublier cette aventure. Je ne comprenais pas ce qui m'arrivait, j'avais du mal à me contrôler. Je m'étais caressée plusieurs fois depuis cette histoire, chose que je n'avais jamais fait auparavant. Je crois que j'avais envie encore d'être soumise et prise par ces deux hommes. Rien que de penser à eux me faisait mouiller ma culotte. J'étais honteuse mais terriblement excitée. Je décidais d'être raisonnable et d'annuler le rendez-vous. Dommage. Lundi matin, je pris mon courage à deux mains et téléphonai au secrétariat du gynéco. Une infirmière me demanda la raison de mon appel. - C'est Madame Sylvie X, c'est pour annuler...
Histoire d'A
il y a 7 ans

Avec un corset de folie elle voulait manifestement faire de moi une fille.

Histoire d'A Par Fred Pody. La veille du dernier resserrage de ma taille, Sophie me rendit visite, seule. - Bonjour Bijou, tu te sens un peu mieux ? - Non, le corset me fait souffrir et je n'arrive pas à respirer normalement. - C'est évident, personne ne respire de la même façon avec un corset. Il est évident qu'un corset très serré à quelques inconvénients, qu'il t'empêche certaine action, ou certain mouvement, qu'il est pénible à supporter. Mais il y a une différence entre un corset pénible, même très éprouvant et un corset qui mettrait ta santé en péril. Je la regardais en réfléchissant à son petit discourt. C'était fou ! Les problèmes induits par les corsets trop serrés, lui paraissaient normaux. Comme s'il était normal de ne pas pouvoir respirer librement, de ne pas pouvoir bouger, d'étouffer en avalant un minuscule repas. Tous cela lui paraissait normal, sans importance. - C'est vraiment horrible, mais j'imagine que toi et Delphine, savez ce que vous faite. S...
Elle roulait à deux cent et se fait démonter
il y a 7 ans

Texte hard

Marion roulait sur l'autoroute. Elle roulait plutôt vite et dépassait toutes les voitures qui se pointaient devant elle. Marion était une petite bonne femme, aux cheveux mi-longs bruns. Elle avait un joli minois qui aimait sourire, de petits yeux en amande, un petit nez et une petite bouche qui s'harmonisait au trait de son visage. Le reste de son corps était tout aussi attrayant. Une belle poitrine ferme d'un 90 B, un ventre plat et un minou épilé. Elle se sentait bien. Tout bascula pour elle quand des gyrophares bleus se mirent à clignoter derrière sa voiture. - Ho merde! S'exclamât-elle en regardant sa vitesse. Elle roulait à 200km/h. Elle pesta contre sa mauvaise fortune et ralentie graduellement en se rangeant sur l'air d'autoroute. Elle regarda la voiture qui se garait derrière elle. Ce n'était pas une voiture de patrouille normale. Le gendarme se gara et descendit de la voiture. Marion l'observât alors qu'il s'approchait. C'était une armoire à glace, non une montagne...
L'avocate devient dominatrice
il y a 7 ans

Féminisation chasteté et soumission au programme

#### J’en ai assez de toi et de tes conneries de BDSM. - Je t’ai toujours dit que de te dominer ne m’intéressait pas. Cela me gonfle grave mais grave de chez grave. Putain..... mais qu’est-ce que tu racontes comme conneries sur le net, c’est de la folie. Qui c’est cette Marine34 à qui tu fais des avances ? Tu veux me quitter ? C’est ça ? Mais que crois-tu, que cette pouffe de 20 ans va vouloir de toi ? En plus tu n’arrêtes pas de mentir ! Sur ton âge, sur ce que je te fais, sur ton boulot, sur tout en fait ! Et tu me fais passer pour quoi dans tes posts débiles sur les forums ? Devant l’avalanche de reproches de Lisa, Paul ne sait pas quoi dire, la colère de sa femme est telle qu’il a peut qu’elle en vienne au mains. Ce n’est pas qu’il ait peur d’elle, mais de lui et des conséquences s’ils se battent car il ne compte pas se laisser faire. - Je t’obligerai à me baiser, à me lécher, je te donnerai des fessées monumentales, je t’obligerai à faire la vaisselle habillé en femme, à...
Les femmes sont toutes des vicieuses !
il y a 7 ans

Texte hard et chantage

Les femmes sont toutes des vicieuses ! La voix stridente de Mr. Riendeau suivie de son vulgaire rire gras, familier à tous les employés, avait résonné dans la salle à manger... D'autres hommes avaient émis un petit ricanement d'approbation mais la plupart des pensionnaires du Centre pour personnes agées L'Escale étaient restés cois. Émilie, manifestement visée par les propos du gros homme, s'était vivement retournée, foudroyant le vieux résident d'un regard réprobateur. Elle aurait certainement voulu réagir davantage: le giffler ou même l'expulser du centre mais Riendeau était un des pensionnaires les mieux nantis de l'établissement... et un ami de ses parents. Occupant le penthouse situé au dernier étage de l'immeuble, il versait chaque mois des milliers de dollars en frais de loyer. Et ces dollars étaient les bienvenus car, depuis le décès de son père et la maladie de sa mère, Émilie était seule avec son frère aîné Paul à s'occuper du centre. En fait, Paul ne lui était pas d...
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