Le bus n'était pas particulièrement bondé à cette heure avancée de la soirée. C'était la première fois qu'elle prenait une de ces lignes de nuit, et tout avait un aspect très différent. En plein jour, ce bus emportait son lot de couleurs vives, de gens suintants de sueur aux tenues disparates, et l'air embaumait de parfums floraux et de fast food à emporter. A présent, dans le calme de la nuit, seuls quelques sièges étaient occupés, et le bus sentait la fatigue et le plastique usé. Les occupants avaient aussi l'air un peu plus patibulaires, à moitié endormis ou vaguement hagards. Certains la reluquaient avec insistance alors qu'elle parcourait le bus dans toute sa longueur pour aller s'asseoir au fond, seule et tranquille. Sa tenue n'était pourtant pas affriolante à proprement parler - une jupe assez courte mais banale, un chemisier ajusté mais peu décolleté, de petits talons, peu de maquillage. Pas de quoi exciter leurs pensées lubriques! Mais ceux-là... Elle les remarqua bien avan...

Un texte plus ancien, mais qui a son charme. A la lueur ténue des éclairages nocturnes de la rue, il contemplait sa proie, insouciante dans son sommeil. Dormant nue et en toute confiance, elle ne se doutait pas qu'il était éveillé, penché sur elle, la dominant de toute la hauteur de son torse. Ses seins argentés par le clair de lune bougeaient doucement au rythme de sa respiration, et sa peau douce irradiait d'une douce chaleur dont se gorgeaient les pensées lubriques du jeune homme. Sa bouche entrouverte était comme une invitation à la pénétrer... A la seule pensée de ce qu'il s'apprêtait à faire à la jeune femme, une érection le saisissait déjà, qu'il plaqua contre la fermeté du matelas. Très doucement, il entreprit de passer une longue bande de tissu sous le dos de la belle. Soulevant ses reins, il avait juste sous les yeux la colline sacrée et ses doux vallons. Il languissait de pouvoir s'occuper plus en profondeur de tous ces détails. Mais d'abord, il fallait la rendre to...

Rencontre avec un fou AUTEUR : Thor Dogtrainer Texte issu des groupes contes-cruels détruits par yahoo L'homme qui vient de s’introduire chez elle surprend Zaza au moment où, sortant de la douche en peignoir de bain, elle s'apprêtait à se mettre au lit. A se trouver à l'improviste face à face avec un inconnu dans son propre maison, la jeune femme sent son coeur se glacer d'effroi et pousse un cri de panique. Il est apparu soudainement, dans l'embrasure de la porte de sa chambre et la fixe avec un regard halluciné, un regard de drogué, qui lui fait comprendre qu’elle est en danger. Comment s’est-il introduit chez elle? Elle l’ignore, mais une fois la première frayeur passée, elle regarde autour d’elle, cherchant instinctivement une sortie. Mais il n’y a aucune échappatoire possible car il remplit toute la chambre de sa massive silhouette et il n'aurait qu'un geste à faire pour l'arrêter si elle tentait de se sauver. L’inconnu qui la détaille ne silence est jeune, la trentain...

Trish Landers excellait dans sa carrière, 5 ans après avoir débuté son dans boulot elle était déjà à la tête du ministère public de son canton. Agée de 28 ans, elle était heureusement mariée avec son mari James qu'elle adorait et qui l'adorait, ils avaient une ravissante petite fille de 3 ans. James avait deux ans de plus qu'elle et réussissait professionnellement dans une banque d'investissement, leurs salaires élevés leur avaient permis d'acquérir une luxueuse demeure dans un quartier très aisé de la ville. Tout semblait leur réussir, leurs carrières respectives, leur petite file... Elle ignorait tous des tâches domestiques. A l'insu de la ravissante madame Landers un jeune gars âgé de 19 ans qui venait de passer un an en taule l'épiait attentivement. Une année d'effectuée sur les cinq de sa condamnation, il devait sa libération à l'encombrement des prisons, et à la nécessité d'y faire de la place. Cependant il ne pouvait détourner son esprit de cette ravissante salope d'avo...

Orléans, cinq minutes d’arrêt. Un rayon de soleil entre dans la cabine en même temps qu’une jeune fille, une étudiante selon toute vraisemblance vestimentaire. Elle s’installe entre les deux hommes qui me font face, un sourire timide en guise de salut. Mes vis-à-vis entre deux âges semblent à peine la remarquer, l’un plongé dans son journal de la veille, l’autre perdu dans la contemplation du paysage par la fenêtre. Elle a pourtant de quoi retenir l’attention, avec sa salopette courte qui bâille au niveau de sa taille fine, sa casquette vissée sur la tête, on dirait une artiste. L’air inquiet, elle garde les yeux baissés et son cartable serré sur ses genoux. Lentement, le train repart. Je l’observe furtivement alors qu’elle commence à manifester des signes de nervosité. Le bruit métallique du train répond au grincement de la banquette en vieux cuir sur laquelle elle n’a de cesse de se trémousser. Elle manque à un moment de se lever, mais se ravise et se rassied bien vite, rougiss...

Un majordome en livrée attend les invités sur le seuil de la monumentale porte d’entrée. En regardant le ballet des voitures devant le vieux manoir, circonvolutions d’apparence chaotique et pourtant parfaitement contrôlées, on sent déjà cette atmosphère particulière, à la fois légère et chargée, qu’affectionnent les habitués du Bal des supplices. Rebecca n’est encore jamais venue, mais on lui a tant parlé de cette fête. La grande époque ! Les costumes princiers ! Et la demeure magistrale du célèbre Von Brandt ! Son coup de heurtoir sur la grande porte en bois donne un son grave, qui résonne jusque dans son cœur. Le battant s’ouvre, en grinçant, lentement. Franchissant le seuil, elle offre un sourire aimable au serviteur pendant que ses yeux s’acclimatent au changement de luminosité, avant d’écarquiller les yeux, la respiration coupée. L’ancienne salle de bal est incroyable, illuminée d’un millier de diamants de lumière, tendue de pourpre et de marqueteries coûteuses. Au sol un parqu...

##### Malgré mon jeune âge, cela fait des années que je surfe sur des sites BDSM. Mes fantasmes portent sur le bondage avec du sexe hardcore, être la femme soumise sexuelle, le jouet que l’on humilie et saute à sa guise devant du monde ou non. Avoir ces fantasmes ne signifie pas les réaliser ! Mon colocataire est un vicieux, un gros porc qui a bien essayé de me draguer, il est devenu l’objet des pires humiliations de mes délires fantasmagoriques. Par chance, l’appartement d’étudiant que nous avons en location est une vieille battisse. Je peux donc à ma guise m’enfermer à clé dans ma chambre le soir et m’adonner à mes passions sur le bondage sans qu’il ne le sache. Les murs en pierre étant très épais, les portes en vieux chêne robustes et lourde, les bruits ne filtrent pas. Combien de fois lors de mes délires, j’ai imaginé Karim me surprenant attachée et offerte ? Des dizaines, que dis-je, des centaines depuis deux ans. S’il savait ...... Si Karim est un vicieux et un gros porc...

Ca faisait longtemps que l’idée avait été lancée. Sa simple évocation les plongeait dans un autre univers, un monde sensuel très attirant. Comme à son habitude, il avait fait du repérage et s’était organisé pour que tout se passe bien. Aussi quand cette soirée grise et pluvieuse s’était libérée dans leurs agendas, il savait précisément où il voulait l’emmener. Quelques messages d’organisation plus loin, le rendez-vous était confirmé. Une belle pluie d’été indien les avait surpris à la sortie du métro. Elle avait enfilé sa veste en souriant par-dessus sa robe pas très couvrante, et ils s’étaient perdus dans le dédale des rues, zigzagant entre les flaques d’eau, passant d’un porche à l’autre pour ne pas finir trempés jusqu’aux os. Ils se poussaient de temps en temps sous les chutes d’eau tombant des gouttières pour ne pas perdre la main, et pouffaient de rire devant le spectacle des femmes d’affaire prêtes à tout pour sauver leur brushing, jusqu’à se servir d’un caniche comme paraplui...

#### Commet être transformé(e) en poupée Jeune chercheur de 28 ans, célibataire, travaillant dans un laboratoire pharmaceutique à la recherche de produits h y p n o t i q u e s pour faciliter les interventions chirurgicales. J'ai trouvé un produit qui empêche tout mouvement de la personne mais augmente ses sensations. Le laboratoire a suspendu ces recherches pensant ce produit inutile. Après avoir gagné une forte somme au loto, j'ai racheté le brevet au laboratoire. Ce dernier ne voyant pas quelles applications en faire me l'a cédé facilement pour une somme raisonnable. J'ai pu continuer mes recherches chez moi dans mon laboratoire privé et ai développé le produit de façon à ce qu'il ne soit pas dangereux et que ses effets durent 24h chez un humain adulte. Je l'ai appelé le Poupéifiant. Pour la suite de l'histoire, je vais un peu mieux me présenter : Comme déjà dit, j'ai 28 ans au début de cette histoire, je suis physiquement normal, un peu plus de 1,8m avec un léger embonp...

La taverne du goulot étranglé est un de ces établissements pas très bien famés près du port. La milice y vient parfois, mais juste pour se rincer la gorge, pas pour chercher des noises aux autres plus ou moins honnêtes clients. Ce soir, la serveuse est toute jeune, sobrement mais joliment vêtue. C’est assez inhabituel dans le quartier pour attirer l’œil… Un des mercenaires attablés dans le fond s’approche du tenancier, en train d’essuyer des chopes au bar. « Elle est bien mignonne ta serveuse ce soir Gaspard. Y’a moyen de faire plus ample connaissance avec elle ? - Ca dépend ce que vous voulez lui faire… Ca ne sera pas donné en tout cas. Et elle ne veut pas monter dans les chambres comme une pute, ce sont ses mots. - Et bien va pour la table de la salle commune alors… - Tant que vous ne la souillez pas, ça sera 10 pièces. - Non, pour la pénétrer. - Ca n’arrivera pas. Elle est encore jeune et innocente, voyons ! (Une lueur prédatrice s’allume dans les yeux du guerrier,...

"C'est elle, la petite qui a envoyé un mail perso à tous les directeurs? Elle est bien attachée? Bien, vous pouvez nous laisser…" Elle a les mains liées dans le dos, et un anneau accroché à sa ceinture la maintient le ventre plaqué sur le bureau, face à la porte. Le bâillon qui étouffe ses cris indignés semble bien faire son office. Dès que la porte du bureau se referme, il voit son regard passer de la colère à une sourde inquiétude, alors qu'il s'approche en chantonnant tout bas. Ses yeux agrandis par l'émoi ne le quittent pas, comme si elle essayait de le repousser du regard, ce qui ne marche pas. Il tend la main et caresse ses cheveux, et se met à sourire, l'air amusé. Elle s'agite, et commence à donner des coups de genou et de pied dans le meuble alors qu'il passe les doigts sur ses joues, ses oreilles, détaillant ses traits jusqu'à la naissance de son cou, à la peau tendre et veloutée. Ses grognements et ses insultes ne passent pas la barrière du bâillon, et elle a beau ruer...

Marylou, ma colocataire, fait des heures de ménage pour arrondir ses fins des mois. Un soir, elle m’a annoncée qu’elle avait trouvée une cliente très « space » qui la payait généreusement et qui avait un appartement avec un donjon de folie. Connaissant mes inspirations et fantasmes, elle attisa ma curiosité. Plutôt que me le décrire, la proprio étant absente pendant un mois cette garce me proposa avec des mots choisis d’aller le visiter. Les fonctions de Marylou étaient de nourrir le chat et d’entretenir la maison puis de relever le courrier. Elle avait eu sans aucune crainte le temps d’explorer les moindres recoins d’une magnifique demeure du début di siècle. Elle avait trouvé les clés de la pièce interdite par hasard sous le pot d’une plante verte. Nous voilà donc parties un soir toutes les deux dans la maison de chez cette proprio très particulière attisant ma curiosité. L’alarme débranchée, elle me fit visiter les lieux y compris les chambres dont chacune représentait la surface...