Schopenhauer, Marx et moi Nous étions à une semaine des examens de mi-trimestre et j'avais désespérément besoin d'un coin tranquille pour étudier. L'appart était exclu d'office, depuis que Nadine ma colocataire s'adonnait à des marathons de baise incroyablement bruyants avec son crétin de petit ami. Ma mère ne pouvait, elle non plus, m'offrir le silence tant souhaité, puisqu'elle recevait ses anciennes amies de collège.Par bonheur, je rencontrai Pablo Marx, un copain étudiant à la maîtrise, à qui je confiai mon problème. Fils de militants socialistes ayant fui la dictature de Pinochet, Pablo me semblait incarner l'archétype du sud-américain, grand, frondeur, viril, athlétique et basané, d'une galanterie sans faille et d'une finesse d'esprit qu'on retrouve rarement chez nos congénères nordiques. Il m'offrit immédiatement de passer le week-end au chalet de ses parents : " Ils seront absents jusqu'au mardi matin, me dit-il avec son accent enjôleur, et je comptais de toute façon trav...

##### Une histoire courte juste pour faire travailler l'imagination du lecteur..... C’est de la prostitution en série cautionnée par l’état d’après les défenseurs des droits de l’homme. C’est un moyen de renflouer les caisses et de créer la bonne moralité que de punir ceux et celles qui essaient de ne pas payer leurs amandes répond le gouvernement passé en f o r c e aux élections de 2016. Julie a essayé comme bien d’autres de ne pas payer ses amandes pour stationnement, il est vrai qu’elle les cumule et comme il n’y a plus d’argent sur son compte bancaire et qu’elle travaille au noir, les huissiers n’ont rien à saisir, la voiture étant un véhicule d’auto-partage. Interpellée à 6 heures à la sortie de son immeuble, Julie s’est retrouvée sur ordre du parquet au centre de détention et de préparation au service public. La visite médicale imposée par le règlement est souvent musclée, les filles refusant de passer sur la table d’obstétrique et de se mettre nues pour leur incarcérat...

##### Je veux bien reconnaître que j’avais été assez con cette journée là mais quand même ! J’étais de mauvaise humeur à cause du boulot qui m’ennuie de plus en plus. Mon Maître m’a rappelé à l’ordre plusieurs fois, un peu trop peut-être ….. Quand il m’a annoncé une punition pour quand nous rentrerions, cela m’a calmé de suite car pas bon du tout. Si cela m’a calmé, en fait, au lieu de m’énerver pour un oui pour un non, je lui ai fait la tête ce qui n’était pas une bonne idée du tout. Bon ok, j’ai a b u s é mais quand même (bis) ! ! ! Lorsque nous sommes rentrés de chez nos amis, il m’a ordonné de mettre ma [cage de chasteté](https://abcplaisir.com/22-chastete) et de revenir pour qu’il pose un cadenas. A poil devant lui, je me sentais un peu bête quand il m’a encagé en m’indiquant que j’étais pire qu’un gamin et qu’il allait me recadrer. Emmené par l’oreille à la chambre, j’ai bien essayé de m’excuser mais il n’en avait que faire, et, quand j’ai vu les menottes et des chaînes su...

L'exhibition sexuelle imposée à la vue d'autrui dans un lieu accessible aux regards du public est punie d'un an d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende. [VOIR ICI ce que dit la loi](https://www.google.com/search?q=exhibition+loi&sxsrf=AOaemvJmmnPd4EwGipWvt46iBNLxnMGOJw%3A1630992319837&ei=v_c2YdrcMoaWaPGssOAP&oq=exhibition+loi&gs_lcp=Cgdnd3Mtd2l6EAM6BwgAEEcQsANKBAhBGABQikZYyUxg-FxoAXACeACAAUeIAZECkgEBNJgBAKABAcgBAsABAQ&sclient=gws-wiz&ved=0ahUKEwiauOvuj-zyAhUGCxoKHXEWDPwQ4dUDCA4&uact=5) ##### Là, ce n'est pas des gendarmes qu'il va croiser, mais des filles très motivées Voyeur et exhibitionniste Patrick rode depuis quelque temps autour du club de gym où il se complaît à mater les filles dans leur jolies tenues très colorées moulant leurs formes. Régulièrement il sort son sexe et se masturbe derrière les vitres du club où se rend régulièrement Maîtresse Sarah qui l’a repéré malgré la pénombre des nuits de ce mois d’octobre. Elle s’amuse à le narguer en espérant bien un jour...

Jeune et belle comme un cœur, Fanny est la dernière embauchée dans l’équipe d’accompagnateur social d’une entreprise filiale de Pôle emploi. La jalousie féminine étant, la chef de service tient à l’éloigner, quitte à la pousser à démissionner ou à la faute car son petit ami la regarde de trop. Les échanges de regards sont des dialogues muets qu’elle sait interpréter. Lorsqu’elle établie son planning et ses affectations, elle l’envoie là où le métier est le plus dur, à la prison pour la réinsertion sociale des prisonniers. N’étant pas formée pour cette mission, Fanny porte ses vêtements habituels ce qui est une grossière erreur. On ne met pas une jupe courte et un string lorsque l’on va travailler en ces lieux, on y préfère un vieux jean et surtout absolument rien de sexy. Ensuite, on apprend à choisir ses mots, à gérer son affect, les postures et tout un tas de pièges à éviter car c’est un monde aussi particulier que dangereux. LE CUMUL DES ERREURS Assise jambes croisé...

Une vulgaire chaîne cadenassée en guise de collier BDSM maintient Lolotte à la paroi d’un glory-hole, sa tête est maintenue par une s a n g le lui interdisant tout recul, deux plaques de bois latérales lui interdisent de la tourner. Bloqué à genou avec les cuisses entravées contre le mur, Lolotte n’a aucune possibilité de fuite pour échapper à cet enfer. Les mains menottées et reliées à son cou par une chaîne ne lui permettent pas de taper contre la cloison ni de se rebeller lors des transferts. L’enfer dans lequel il s’est précipité tête baissée en rêvant d’une vie de soumission et de sexe. ..................... Lolotte était un travesti en manque de soumission mais aussi de sexe, il publiait des annonces de plus en plus folles, du type, j’aimerais être votre esclave, la pute gratuite que vous livrerez Maîtresse à qui bon vous semble même en abattage si vous le désirez. Maîtresse Tania, propriétaire d’un sex shop eut l’idée de contacter Lolotte pour en savoir plus sur lui. Pou...

Entravée nue, debout avec un bâillon bouche ouverte qui la fait horriblement baver, Karine ne peut bouger d’une pouce ni même des pieds. Ils sont fixés fermement dans le plancher de bois par des supports métalliques lui bloquant les chevilles jambes écartées. Sa magnifique poitrine est bloquée dans un carcan comprimant ses seins. Ses tétons n’ont pas été oubliés par le sadique, des pinces à sein dont les tampons ont été retirés les comprimant fermement mais sans excès. La variable perverse est tout autre, un patch d’électrostimulation est attaché à chaque une d’elle. Le sadique n’a pas oublié son intimité, bien loin de là. L’abominable plug cadenassable logé dans son fondement s’ouvre à l’intérieur de l’anus comme une fleur. Si l’ouverture interne de ce plug en interdit le rejet, elle a pour effet de générer l’impression que l’on va déféquer et pousse sur le sphincter. Là aussi, un patch d’électrostimulation est scotché à la partie extérieure. La machine à baiser Son sexe...

Karine est toujours entravée nue, debout avec un bâillon bouche ouverte qui la fait horriblement baver. Karine ne peut bouger d’un pouce ni même des pieds, ils sont fixés fermement dans le plancher de bois par des supports métalliques, lui bloquant pieds et chevilles jambes écartées. Sa magnifique poitrine est bloquée dans un carcan comprimant ses seins. Ses tétons n’ont pas été oubliés par le sadique, des pinces à sein dont les tampons ont été retirés les comprimant fermement mais sans excès. La variable perverse est tout autre, un patch d’électrostimulation est attaché à chaque une d’elle. Le plug anal ouvert en fleur à l’intérieur de son anus et lui aussi équipé en électro « pousse » comme s’il voulait sortir. Son clitoris lui aussi pincé et équipé en électro ressemble maintenant à une petite verge tant il a été sollicité, le gode de la machine à baiser est trempé de mouille, les deux minutes de jouissance non stop en sont la cause. La tête bloquée dans sa minerve lui interdit...

#### Les punitions d'une autre époque - Vous avez toutes bien travaillé. Sauf une…" Elle se tut un instant. On aurait pu entendre voler une mouche. "Sandra… 48%… La tension se relâcha dans la classe. Sandra était devenue toute rouge. "Zut," pensa-t-elle, "c'est bien ma veine que les autres ont fait du zèle…" - Levez-vous!" lui intima le prof. "Venez devant la classe." D'un pas hésitant l'a d o l e s c e n t e  grimpa les marches vers l'estrade. - J'avais promis une récompense à toutes celles qui auraient moins de 60%… Nous allons régler nos affaires entre nous, je ne crois pas opportun d'y mêler la Directrice, n'est-ce pas?" Sandra acquiesça. Entre deux maux, toujours choisir le moindre mal. Et la Directrice était vraiment féroce. Si l'a d o l e s c e n t e avait su ce qui l'attendait, elle aurait peut-être hésité… - Enroulez votre jupe jusqu'aux hanches. Bien que les jeunes filles de l'Institut Ospif étaient habituées à beaucoup de choses, le p...

##### Maguy sévèrement corsetée - Pitié, Monsieur! Pardon! - Il n'y a plus de Monsieur coupe sèchement le Docteur. Appelle-moi Maître et ces dames Maîtresses puisque d'ailleurs tu es dorénavant une vulgaire esclave, une chienne... D'ailleurs tu n'es pas encore dressée et je vais te faire appliquer un petit traitement dont je sais tout le bien. Pierre va me chercher le corset - Oh! non Maître ne me t o r t u r e z plus clame la malheureuse. - Assez, répond d'Arban avec un sourire de satisfaction. Je vais te faire pétrir le corps, le comprimer, le modeler et le façonner à mon goût Quand le résultat sera obtenu ton esprit aussi sera soumis à mes volontés. Agir sur le corps pour obliger le cerveau à obéir a dit Sacher Masoch. La porte s'ouvre et Pierre revient apportant un grand mannequin tout moulé de soie blanche. L'esclave pelotonnée dans un coin ne distingue pas encore de quoi il s'agit, mais dès que le mannequin est posé elle devine qu'il porte le corset qui lui est...

Auteur Aliamet [Le début de ce roman est ICI](https://fessestivites.com/recit/157815) Un procès bâclé et truqué Poussée par les deux gardes, ses chevilles blessées par les fers qui entravaient ses pas, Lucile entra dans la salle qui lui parut, éclairée par les flambeaux disposés sur les murs, plus sinistre que lorsque Colas l'y avait emmenée pour un simulacre d'interrogatoire.. Elle voyait sur sa gauche, assis sur des sièges en bois dans des sortes de stalles les membres du tribunal, le Président en robe rouge bordée d'hermine, les assesseurs en noir. Le greffier était un peu de côté, penché sur ses grimoires... Au fond, un brasero rougeoyant projetait parfois ses braises, allongeant de sinistres ombres jusqu'au plafond d'où pendaient chaînes et cordes. Lucile baissait les yeux, n'osant jeter son regard sur les instruments de bois et de fer qu'elle avait eu le loisir de contempler dans la pénombre. Seule, la croix qui lui rappelait de troubles plaisirs attirait malgré elle...

##### Des retrouvailles ambiguës [Le début de cette superbe histoire est ICI](https://fessestivites.com/recit/157815) Jetée sans ménagement dans le cachot, Lucile, en tentant de faire un pas trop grand pour la longueur des chaînes qui entravaient ses chevilles, s'affala dans la paille humide qui sentait le moisi et les excréments de rats. Elle trouva son infecte paillasse, faiblement éclairée par la lueur d'un soupirail qui donnait au niveau de la place, et elle pouvait entendre les bruits assourdis de la ville, qui lui apportaient le seul lien avec l'extérieur. L'angélus sonna; Le cliquetis des clefs dans la lourde serrure. Un homme dont elle ne distingua pas le visage lui apporta sa maigre pitance. - Prenez, belle dame, ne négligez pas ces aliments, même s'ils sont insipides, si la soupe est clairette et si le pain est noir. Vous avez besoin de garder votre énergie. Ne vous révoltez pas inutilement, permettez-moi de vous donner ce conseil. - Merci, répondit la pau...