J’étais un redoutable et invétéré joueur de poker, et cela faisait plus de trente ans que cela durait. Mais je ne jouais ni en ligne dans des cercles de jeux. J’étais connu dans le milieu du poker et depuis des années je ne jouais plus que dans un cercle d’initiés, des amis fortunés comme moi. C’était un cercle privé d’une dizaine de membres où l’on ne rentrait que par cooptation – et rarement. Il fallait montrer patte blanche pour venir jour avec nous, être accepté par les membres (qui en décidaient par vote à bulletin secret et à la majorité.) ; et encore, quand un nouveau intégrait notre groupe c’était tout d’abord pour une seule soirée, après laquelle les personnes qui avaient joué avec cette personne donnaient leur avis à tous les membres et il y avait à nouveau vote. Bien entendu, la personne devait être connue non seulement de celui qui le cooptait, mais on devait disposer de renseignements fiables sur elle. Et ce devait être une personne hautement solvable mais égaleme...

Quand tu seras petit… Tududu Tududu Tududu Tududu… Tududu Tududu Tududu Tududu… • Mmmm ? Tududu Tududu Tududu Tududu… Tududu Tududu Tududu Tududu… J’ouvris péniblement un œil, cherchant la lueur rouge de mon radio réveil. 3 heures du mat’ !? Quel était donc l’imbécile qui pouvait me téléphoner à une heure pareille ? La sonnerie insistait, on aurait dit qu’elle me suppliait de me dépêcher. Mais, moi, à 3 heures du mat’, me dépêcher… Tududu Tududu Tududu Tududu… Tududu Tududu Tududu Tududu… J’enfilai mes chaussons et descendis au radar l’escalier de bois de la mezzanine. Je décrochai le combiné à la nième sonnerie. - Loïc ? - Moouuais. – grognai-je. - C’est moi, Romain… - Punaise Romain ! Mais ça va pas d’appeler à une heure pareille ? - J’ai un problème…Virginie… - Quoi Virginie ? - Elle me… - Raccroche ce téléphone ! – hurla la voix de ma sœur apparemment assez loin de l’appareil. - Loïc… Elle me… - Je n’entendis pas le reste, les mots furent étouffés p...

Ce jour là, c'était la Saint Valentin, alors en partant au travail je lui ai laissé un petit mot avec quelques instructions : "Ce soir j'ai envie d'un dîner aux chandelles. Je compte sur toi pour préparer le repas, la table, et acheter un joli bouquet de fleurs. Bonne Saint Valentin ma petite chienne

Des jeunes filles postulent pour un casting, elles bénéficieront d’une formation avec des cours de danse, de chant, de technique scénique et de langue mais pas dans le sens que vous imaginez. Si vous pouvez regarder un film catastrophe ou de guerre sans pleurer devant l’écran de votre télévision, vous pouvez lire ce roman. ................... L’affiche à la caisse de l’épicerie de mon quartier annonce un casting pour une version internationale de la célèbre Stars académie. Les organisateurs de cette émission recherchent des chanteuses âgées de 18 à 22 ans. Elle précise que les chanteuses sélectionnées bénéficieront d’une formation avec des cours de danse, de chant, de technique scénique et de langue puisque la tournée aura lieu sur les plus grandes scènes mondiales. J’ai vingt ans, je mesure un mètre soixante-dix pour un poids de 58 kilos, j’ai gagné deux concours de chant, je m’accorde droit de rêver…. Et puis, après tout, qu’est-ce que je risque ? *****************...

Il lâche mon sein et me claque les fesses en me poussant vers la porte du bus. Je suis accueillie par le gros débile qui me saisit par le bras et me pousse vers le groupe. Encadrées d’hommes en armes, nous sommes alignées épaules contre épaule et tentons de réajuster nos vêtements en piteux état. Ma voisine, ruisselante de larmes traçant des sillons noirs sur ses joues roses, presque juvéniles, me lance un regard atterré. L’ex chauffeur aimable est dans le camp des b o u r r e a u x ! Accompagné des noirs maintenant armés de fusils, nous fait avancer puis entrer dans l’usine sinistre. Nous attendons un instant pendant que la porte se ferme en grinçant sur une salle immense et sombre. J’ai l’horrible impression d’être dans le couloir de la m o r t . Le chauffeur passe en revue ses passagères et les fouille des pieds à la tête. La brune crie et le repousse ses mains. Elle prend une gifle retentissante puis se laisse fouiller en s a n g lotant. Ma voisine se laisse faire et tripot...

Du bout de la cravache je désigne l’ignoble Bil et les supplie des yeux de faire ce qu’elles doivent faire. Sophie et Stéphanie m’affrontent d’un regard qui semble dire « jamais ». Je fais siffler le cuir en les suppliant de ne pas m’obliger à les fouetter. - Va te faire foutre salope ! me lance Stéphanie - Et m e r d e vous l’aurez voulu ! La colère m’emporte. Je lève le bras et frappe en fermant les yeux dès le coup lancé. Stéphanie pousse un cri strident quand ma main m’indique que je viens de la toucher. Une tête percute mon ventre et me fait tomber durement sur le sol rugueux. C’est Sophie qui vient de me foncer dessus, mais elle est tombée, elle aussi. Privée de ses mains, elle ne peut se relever aussi rapidement que moi. Je me suis fait mal, ma fesse s’est toute râpée sur le ciment ; Folle de rage, je la frappe à nouveau. - m e r d e , m e r d e , vous ne comprenez pas que je n’ai pas le choix ! Lève-toi à va embrasser le débile ! Je réalise soudain que dans...

Il y a des années qu’un fantasme érotique récurant de prostitution hante mes nuits. Dans mes rêves, pour transgresser cet interdit, la contrainte est ma complice, peut-être pour sauver ma conscience à moins que je ne sois réellement maso ou folle. Je m'imagine attachée sur un lit par un beau mac autoritaire et prise sauvagement par des clients virils puis je me réveille, dans tous mes états, le minou poisseux à l’aube d’une nouvelle journée qui ne peut commencer sans que j’apaise le feu qui gronde en moi. Comment concrétiser ce fantasme ne serait-ce qu’une fois, pour voir ? Si j'allais voir ? Juste voir les filles au bois ! Et si je suçais un inconnu ? Il m'arrive aussi de rêver d’une verge inconnue qui enfle dans ma bouche, elle se tend lentement, mes lèvres coulissent et se serrent convulsivement sur son sexe gonflé de sève et le masse doucement. L’homme me force à l’absorber profondément puis à le boire. Et puis une idée folle m’est venue comme ça un soir ! Je me...

Une fois Il a bien longtemps, je ne mettais pas très bien conduit avec ma compagne Sophie, qui avait décide de me virer de sa maison, j’avais 34 ans et elle 44 et nous étions perdu en Auvergne dans une ferme desservi par les corbeaux, elle tresse de l’osier et du jonc paniers, bijoux, batteur a tapis dont mes fesses feront plus tard une brûlante rencontre ! Mon sac devant la porte, j’essaie une dernière manœuvre, alors à genoux, je l’avais supplier de faire de moi, son esclave ! Soph me dit « tu es sur de toi là? car je suis assez furax et j’ai très envie de te mettre une branlée!!! … et, rien ne m’empêche de te renvoyer a Montparnasse après! Même pas, c’est toi qui va me demander de te renvoyer à Montparnasse pour que j’arrête de battre ton cul!!! » je lui dit un « oui!?! » pas très assuré en serrant les fesses et ayant un début d’érection « A poil, si tu es sur de toi, mais tu vas déguster, parce je vais vraiment te punir, tu pourras plus t’asseoir, au...

Laurie est une superbe fille âgée de 18 ans. Anorexique elle a fait une tentative de suicide en prenant des médicaments. Trouvée par sa sœur, elle est transportée aux urgences pour y être soignée. Comme ce n’est pas sa première tentative et que les thérapies ont échoué, elle est cette fois conduite en ambulance vers un hôpital psychiatrique. Dès son arrivée, elle est conduite à l’infirmerie de l’étage réservée aux cas nécessitant une prise en charge lourde. - Ici on met des couches à tous les patients qui vont au niveau 3 pour des raisons élémentaires d’hygiène. Que vous en ayez besoin ou pas, c’est ainsi, lui explique calmement l’infirmière. Laurie râle, peste et refuse, mais ici on sait gérer les personnes qui résistent. L’infirmière sonne discrètement pour obtenir de l’aide. Moins d’une minute plus tard, deux infirmiers d’une forte corpulence entre dans l’infirmerie. - De grès ou de f o r c e ? demande l’infirmière en faisant voir la couche. - Allez-vous faire voir,...

Paul est un véritable coureur de jupons particulièrement irrespectueux de ses proies qu’il malmène autant moralement que physiquement. Lors de la préparation de son divorce, ce brillant avocat s’est défoulé dans la perversité au point de vouloir laisser son ex-femme sur la paille, couverte de dettes et dans un état psychologique nécessitant une psychothérapie. Plusieurs de ses conquêtes furent à deux doigts de porter plainte pour agression mais s’attaquer à un avocat brillant et aussi prévoyant est aussi aisé que de vouloir s’attaquer à une falaise avec une cuillère à gâteau. Du haut des cieux, la Déesse mère décide d’intervenir pour qu’il cesse de broyer des femmes et parfois même des couples. En l’observant pour préparer sa stratégie, l’Elfe Jeanne a été particulièrement horrifiée lorsque comme une bête il s’acharna sexuellement sur une fille-mère désirant faire une « pause » pour aller allaiter son bébé. Il criait dans la chambre à côté de celle de leurs ébats. Cet être abjec...

Paul n’a pas d’autre choix que de s’habituer à sa nouvelle vie, à cette adultolance involontaire. Il arrive à présent à jouer avec son petit robinet quand sa mamam / ex femme ne le voit pas. Le résultat de ces jeux ne donne pas les effets espérés, s’il a des érections, il ne parvient jamais à l’heureuse conclusion. Il n’y a pas que lui que la sexualité travaille. Laura commence à manquer de masculinité le soir dans son lit. Elle en a pris conscience quand une nuit, Paul, qui dormait avec elle, a réussi à aller la toucher entre ses jambes. Ne s’étant pas réellement réveillée, elle s’était laissée caresser et ce n’est que quand elle avait voulu guider la main masculine, qu’elle s’était réveillée. Soudainement gênée, elle avait repoussé cette main enfantine puis, pour vérifier qu’elle ne rêvait pas, Laura avait glissé ses doigts dans la couche de Paul. Son bébé, ex mari, avait une érection ! Il était bien conscient de ce qu’il faisait ! Depuis cette nuit là, il est enfermé dans so...

Avec son diplôme de psychiatre en poche, Sonia, 24 ans, profite de cette période estivale pour décompresser un peu et rendre visite à ses amis du sud de la France. Sur l’autoroute, quelques kilomètres avant Bourg en Bresse, elle s’aperçoit que le voyant rouge de la température du moteur de sa Clio vient de s’allumer. Par Chance, la sortie est à deux cent mètres. Sonia quitte donc l’autoroute et demande à l’agent du péage, l’adresse du garage Renault le plus proche. Elle fait une pause sur le parking situé immédiatement après la « tirelires » pour prévenir son frère du retard probable en lui racontant ses problèmes mécaniques. Fortement agacée par ce manque de chance, elle a écouté sans réellement entendre l’itinéraire que l’agent lui a indiqué. De la fumée sort du capot, affolée, elle se gare sur le bord de la départementale mais l’endroit est particulièrement dangereux. Elle ouvre le capot, se désole devant la fumée blanche qui sort des tuyaux et d’un bouchon. Un paysan, bedonn...