Blandine employée de maison, depuis peu, dans ce manoir de l'Indre par une riche famille, était montée se coucher après son service du soir. Comme tous les soirs elle avait porté le cognac à Monsieur dans un grand verre de cristal ; à Madame, sa tisane, mélange de sauge et de verveine et au cousin de Madame, le Père Georges, prêtre dans la paroisse voisine de Bellâbre, un petit verre de cette liqueur douceâtre qu'il affectionnait, à base de brou de noix. Après s'être déshabillée, elle avait soigneusement suspendu sa jupe noire et son chemisier blanc dans la petite armoire. Elle avait posé sur le dossier de la chaise, son tablier blanc et sa coiffe empesée et par-dessus, précautionneusement ses bas noirs (ils coûtaient si cher chez la mercière du village). Puis comme tous les soirs, elle se prépara à sa prière. Pour les petits de cette maison (si gentils, surtout la petite Elodie si mignonne avec ses longues boucles brunes), pour la dame de la poste atteinte d'une grave maladie et q...

Mylène , selon son désir, est attachée au milieu de la crypte, les poignets vaguement attachés derrière la colonne , au moyen d’une corde rugueuse, irritante, urticante, mais lâche, afin qu’elle puisse éprouver sa quasi- immobilité, mais frotter son dos, ses fesses, ses cuisses, contre la pierre froide de laquelle son corps n’est séparé que par une étoffe fine quoique opaque, une tunique de soie qui l’enveloppe des épaules jusqu’aux mollets, décente, légèrement décolletée, recouvrant ses bras jusqu’aux coudes avec une importante échancrure. Une ceinture de laine rouge sombre serre la tunique verte à la taille, laissant l’imagination vagabonder vers l’intuition d’un corps mince, vif et nerveux. Verte, la tunique, avec une cape qui tombe dans le dos comme celles des moines, d’un vert smaragdin aux moires d’un Véronèse pâle, sublimant la chevelure d’un roux qu’on ne pourrait qualifier de félin ni de flamboyant sans tomber dans l’image éculée, et certainement faussement applicable en c...

Auteur: Anak Drakken Ma blessure au genou me fait souffrir, la plante déchirée de mes pieds continue à me brûler, mais la peur, l'angoisse atroce m'empêchent d'y faire attention. m o r t e de fatigue, je me laisse à moitié pendre aux cordes qui relient mes poignets au sommet du poteau de guerre. Sur la pointe des pieds, je n'ose reposer mes talons lacérés. Ma respiration haletante soulève rythmiquement le devant de ma robe, recousu grossièrement avec des épines de cactus. Une tache brunâtre - mon sa ng - la macule au niveau du genou, là où ma peau s'est ouverte lorsque le chariot s'est renversé; l'ourlet en est tout déchiré par la longue course qui m'a conduite à ce campement. Autour de moi, ces sauvages continuent à palabrer dans leur baragouin inintelligible. Celui qui m'a capturée me montre fréquemment du doigt en vociférant je ne sais quelles calomnies. J'aimerais suivre plus attentivement ce débat - ce procès -, essayer de comprendre, mais les larmes de douleur et de fatigue...

Traduction : Thor Dogtrainer Dans une clairière au cœur même de la grande forêt un bûcher a été dressé. La lumière du soleil, filtrée par les branches des arbres, joue dans les fagots empilés autour du poteau de bois. Un silence lourd et sinistre pèse sur le lieu. Tout au loin on peut entendre le grincement d'une charrette tirée par un vieux cheval gris qui avance sur le chemin étroit qui mène à la clairière. Assis derrière le cheval se trouve une silhouette encapuchonnée, portant la robe de bure d'un moine. Derrière lui, perchée sur un banc, tournée vers l'arrière de la charrette, se trouve une très belle jeune fille, le corps engoncé dans un ample manteau de laine brun. Seul ses poignets liés par-devant sont visibles. Elle fixe l’infini comme si elle était déjà partie dans un autre monde. Le tombereau s'arrête enfin et le moine descend de son perchoir, passe l'arrière et fait signe à la jeune femme descendre. Docilement elle se lève lentement du banc et avec l'aide du moine se...

Traduction : Thor Dogtrainer A l'arrière du véhicule qui cahote sur le mauvais chemin, la chaleur est accablante. Des rigoles de sueur coulent entre les seins opulents de Catherine, imbibant le devant de son uniforme. Epuisée par la chaleur, la jeune femme se sent étourdie et faible. Nous sommes en 2625 et la terre est engagée dans une guerre sans merci contre la planète Zark. Des millions de vies ont été sacrifiées des deux côtés. Le but unique des Zarconiens est d'asservir tous les habitants de la terre en écrasant toute résistance avec la cruauté la plus sauvage. Catherine, guerrière du Front Uni, a été capturée durant le siège de New L A. A la pensée de l'agonie longue et horrible qui l'attend, elle frisonne. Elle sait que les Zarconiens ne s'encombrent des prisonnières féminines que pour servir de victimes aux spectacles spéciaux qu’ils organisent pour relever le moral de leurs troupes. Le cœur de Catherine commence s'emballer lorsque le véhicule s'immobilise et que la trap...

##### Adepte des rencontres libertines ou fessée, je surfais depuis près de deux ans sur le site de rencontres Fessestivites ce qui m’a permis de rencontrer des gens géniaux et de passer de superbes soirées. Comme ce site est ouvert à tous les profils, j’ai sympathisé avec un couple ABDL qui fait parfois un peu de la fessée. Passant dans leur région avec mon camion, je leur ai proposé de les rencontrer en tout bien tout honneur histoire de faire connaissance puis de parler un peu de nos passions. Lors de nos échanges autour d’une bouteille de champagne, ils m’ont demandé si j’avais déjà essayé la couche dans mes jeux. Du tac au tac, je leur ai demandé s’ils avaient déjà été fessés par un étranger. La complicité s’installant entre nous, l’idée est venue de nous défier amicalement ce qui nous emmena à faire un parie sur ce qu’il se passerait après le repas. Allez t’ils prendre une fessée ou allais-je devoir mettre une couche ? Franck est un gros joueur, les défis l’amusen...

Cette histoire est un « miroir », un double : un homme et une femme subissent parallèlement le supplice. On peut lire soit seulement l’histoire de l’un, ou celle de l’autre, ou lire les histoires entrelacées. Seul le prologue reste « linéaire ». Prologue La présente histoire est malheureusement historique. Les événements dont vous allez prendre connaissance ont eu lieu au douzième siècle, dans un village montagnard, et au sein même de l’abbaye qui le dominait alors, fièrement perchée sur la crête. En ce temps, l’abbaye employait de nombreux laïcs, et notamment en ses cuisines. Seul le chef cuisinier était un moine, tout le personnel provenait du village. Par tradition, tous les jeunes orphelins étaient confiés à l’abbaye, employés contre bons soins aux cuisines ou ailleurs. Ce récit va vous narrer le sort terrible de Pierre et Marie, tous deux bébés coupables d’avoir causé la mort de leur mère lors de leur naissance, d’hémorragie ou de fièvre, comme il était tristement banal à cette...

##### Petit extrait d'une série inspirée de notre maître à tous pour la situation, et d'un dessin de Joseph Farrel pour le procédé. ... Sophie a dix-huit ans et une poitrine exceptionnelle. Deux gros melons drus et fermes de cinq livres pièce, lourds, volumineux, qui l'entraînent en avant et l'obligent à se tenir très cambrée. Cette posture met en valeur son postérieur rebondi, l'ensemble excite les passions de tous les mâles. Choisie pour ses tétons avantageux sommés d’une vaste aréole et de gros mamelons, Sophie a, dès son dépucelage du cul été soumise plusieurs jours consécutifs à un traitement particulier. L'évêque lui a transpercé chaque sein de part en part d'une aiguille rougie au feu pour cautériser à mesure. Il a ainsi pratiqué trois percements dans chaque mamelle, non sans jouir de l'anus de sa victime à chaque fois : un latéral, un vertical et un horizontal. Ce dernier pénétrant depuis le mamelon tout droit dans le sein jusqu'aux côtes. Il a ensuite inséré dans...

Cette histoire est une fiction basée sur des faits historiques. En effet, Henry VIII promulgua en 1531 une loi qui prévoyait que des condamnés seraient mis à mort en les faisant bouillir. En 1531, une servante coupable d’avoir empoisonné sa maîtresse fut exécutée de cette manière, ainsi que Margaret Davy, une autre servante en 1542 pour empoisonnement. Cette loi fut abrogée en 1547. Cependant, ce genre de supplice était assez répandu dans toute l’Europe ainsi qu’au moyen et extrême orient bien avant cette loi.(NdT) L’exécution de Catherine "S’il vous plait, My Lord , il doit y avoir une solution, une possibilité de sursis ? " "Je suis désolé, Miss Catherine, il n’y a rien que je puisse faire, vous avez été convaincue de tentative d’empoisonnement sur la personne de Lord Hemphill, votre seigneur et maître. La loi voulue par le roi est très claire en ce qui vous concerne " "J’admets que je doive mourir, mais que ce soit sur le bûcher, le gibet ou la potence, par n’importe quel autre m...

 La discussion traîne en longueur. Ça fait deux plombes que je suis dans le bureau du chef du personnel. On a parlé boulot, de mes compétences, je lui ai donné mon c.v, on n'a plus rien à se dire. Ou il me prend ou il ne me prend pas. Mais je sens bien autre chose chez lui. C'est un vieux vicelard. Je m'en aperçois à la manière qu'il a de jeter des regards furtifs sur mes jambes. C'est ma mini-jupe qui l'attire. Il essaie de mater entre mes cuisses. Je serre à mort. Il est bientôt 8 heures du soir. Presque à regret il se lève, me tend la main et me dit qu'il m'appelle très prochainement pour me fixer. Pour me faire plaisir, peut être, il me dit que j'ai toutes les chances d'être prise. Si j'entre dans cette boîte, il faudra que je me méfie de lui. Ça sent la promotion canapé dans cette turne. Il me raccompagne à l'ascenseur. Les bureaux sont déserts. J'appuie sur la touche du 3ème sous-sol, là où est garée ma voiture. Au 15ème étage, l'ascenseur s'arrête. Quatre types montent. D...

Avertissement : Le présent texte n'est pas destiné aux âmes sensibles. Dans les premiers chapitres, on y retrouve de la v i o l ence, des a b u s physiques et psychiques, des scènes de v i o l s et de soumission. Bref, tout ce que l'on retrouve dans ce genre de centre de vacances que l'on nomme un pénitencier. Je vous invite tout de même à tenir le coup pour les quatre premiers chapitres, avant de vous faire une opinion définitive. Kate ##### Chapitre 1 Il n'y a pas grand chose à voir à travers les deux petites fenêtres grillagées du fourgon cellulaire. Et avec mes chaînes aux pieds, pas question de faire de l'exercice. Cela me laisse bien du temps pour la réflexion. Il y a trois ans, je ne m'imaginais pas qu'un jour, je me retrouverais dans cette situation. Il faut dire qu'à dix-neuf, on se sent invincible, rien ne peut nous atteindre. On est jeune... Je m'en souviens encore de ce premier dépanneur. Je m'y étais présenté vers les onze heures, juste avant la fermeture...

##### Chaque année, à la mi-août, une pluie d’étoiles filantes -les Perséides- fait l’objet d’observations émerveillées de la part des vacanciers. Ce phénomène, loin d’être unique, se reproduit une quinzaine de fois par an. Une étoile filante, ou météore, est constituée de poussières libérées par des comètes qui tournent autour du soleil et croisent l’orbite de la terre. Lorsque la Terre arrive à proximité de ces poussières, celle-ci entre dans l’atmosphère terrestre à la vitesse de 10 à 70 hm/s. Au contact de l’air, ces poussières s’enflamment, provoquant une traînée plus ou moins lumineuse. Lorsque la Terre traverse un essaim marquant l’orbite d’une ancienne comète, la pluie d’étoiles est abondante. ……………………….. A lire impérativement avant le 15 août. Sandrine, Lucas, les loubards et les Perséides Nous sommes le 14 août 2004, Lucas et Sandrine, tous deux étudiants en troisième année de médecine, préparent leurs affaires pour une nuit exceptionnelle mais aussi un...