Chapitre 2 Le réveil est pénible et mon visage me fait atrocement mal. J'ouvre les yeux, mais je ne vois rien. Je touche mon visage et la douleur devient insupportable. Prudemment, j'effleure ma peau et je sens les boursouflures qui couvrent mon visage. En tentant de m'asseoir sur la couchette, une nouvelle brûlure entre les fesses me rappelle le cauchemar de la nuit. Péniblement, je me lève et regarde autour de moi. Mon œil droit demeure fermé et mon œil gauche ne m'offre qu'une image embrouillée. Un bruit de robinet. - Tient, lave ton œil avec ça. On vient de placer une serviette humide dans ma main. Cette voix, c'est celle de Steven. - Ne traîne pas, ma p'tite pouliche. J'aime pas arriver le dernier aux douches. Ma pouliche ? C'est à moi qu'il parle ? Ça ne doit pas recommencer ! Je vais me plaindre aux autorités. Il faut qu'on m'éloigne de ce pervers. Il faut qu'on me protège. Je laisse tomber la serviette et je m'habille. J'ai à peine terminé de me boutonner que Steven...

L'hélicoptère se posa au milieu de la cour du pénitencier de la petite île de Sah Lass. Deux policiers en sortirent, encadrant une jeune femme aux poignets menottés dans son dos. Rapidement, ils la conduisirent au petit bâtiment administratif. On était sous les tropiques et la chaleur était lourde et moite malgré le fait que le soleil était déjà bas sur l'horizon. Ils accueillirent avec joie l'air plus frais qui régnait à l'intérieur. Une policière en short et chemisier kaki, le pistolet au côté, se trouvait à l'intérieur. Ils lui remirent la prisonnière et lui firent signer un papier, avant de repartir en hâte vers leur appareil qui s'éleva aussitôt dans un nuage de poussière. La policière alla s'asseoir derrière son bureau, tandis que la nouvelle arrivante restait debout au milieu de la pièce. Elle compulsa quelques notes, puis releva la tête. Elle observa la jeune femme d'un œil perçant : de taille moyenne, svelte, dotée d'une longue chevelure foncée aux reflets roux elle était...

Laurie est entrée à la fac de droit cette année, ses fréquentations l’ont toujours conduite vers des personnes plus âgées qu’elle. De fait, ses amies et copains sont principalement en dernière année. Les soirées pyjamas leur permettent de se décontracter et d’échanger entre filles sans finir trop tard ni dépenser trop d’argent, un des éternels problèmes des étudiants. Lors de ces soirées entre filles, on y parle souvent des mecs et de cul, ce qui a conduit Laurie à avouer ses fantasmes de baise avec des inconnus. Sandra, une des plus vicieuses de la bande s’est empressée de la faire parler avant de lui proposer une soirée baise surprise qu’elles pourraient lui organiser. Agée de 18 ans, Laurie ne se méfie pas et se confie volontiers sans le savoir à celle qui ne l’aime pas et la traite souvent de merdeuse pot de colle. Une fois seule, quand Sandra lui propose de devenir sa Maîtresse et de lui monter un plan de rêve, Laurie baisse les yeux et la tête en guise de réponse. Si bien...

Auteur : Murielle Cela c’est passé un soir après une soirée entre amis. Je retournais à ma voiture garée dans un garage souterrain, il devait être dans les 22 heures et il faisait nuit noir. Je n’ai rien vu venir, alors que je m’apprêtais à ouvrir ma voiture située dans le fond du garage, on m’a poussée sur le capot de ma voiture et j’ai sentis un couteau se poser sur ma gorge. J’ai sentis la peur montée en flèche en moi. J’ai pu distinguer 5 jeunes hommes autours de moi. Je leurs ai demandée ce qu’ils me voulaient, question bête, mais dans ce genre de situation, on espère toujours. Ils m’ont simplement répondus qu’ils voulaient prendre du bon temps avec moi. Je leur ai répondue que c’était hors de question, que j’étais vierge et que je voulais me préserver pour mon mari. Ca les a fait rire, et ils m’ont lancé qu’a mon âge, c’était une honte d’être encore vierge, j’avais 21 ans à cette époque. Ils m’ont alors annoncé que c’était dommage car j’allais me faire dépuceler par des...

Nous sortions de boite complètement allumés sans être ivres, mais avec de la musique plein la tête et des envies de rires et partager notre joie de vivre. Et là cet abruti de Fred n’a rien trouvé de mieux que de nous faire passer dans une rue chaude où les commerces, bars et clubs gays foisonnent. Il avait comme distraction avec un de ses amis de prendre cette rue et d’insulter les gays, de leur jeter des œufs, de vieux pots de peinture de l’atelier où il travaille. Passé le moment de découverte, je n’ai pu me contenir et de lui dire ma façon de penser sur son attitude irrespectueuse. Histoire de faire le « mariole » et de m’épater, il s’est arrêté prés des motos puis en a poussé une avant de redémarrer sur les chapeaux de roue. J’étais folle de rage et voulais descendre de sa voiture mais à cet endroit là, cela aurait été suicidaire. ##### Notre enfer venait de débuter avant même que son rire débile ne prenne fin. Trois motos démarrèrent en trombe derrière nous, sur ch...

"Laissez-moi! cria t-elle, laissez-moi! merde! " Mais ses cris restèrent sans réponse à part un léger écho qui semblait l'envelopper alors que ses kidnappeurs, qui qu’ils soient continuaient à l'entraîner sans vergogne vers son cruel destin. Elle portait une épaisse cagoule sur la tête aussi la jeune femme ne pouvait distinguer l’endroit où elle se trouvait ou même s’il y avait de la lumière voire un soupçon de fraîcheur. Sans cette escorte dont elle sentait les mains écraser ses bras, elle se serait rapidement retrouvée à plat ventre tant elle trébuchait à chaque pas. Tout s’était passé si vite que la jeune personne ne comprenait rien, dans sa mémoire toutes les scènes y étaient fragmentées tel un puzzle dont on aurait éparpillé les pièces aux quatre coins d’une chambre. Voilà quelques minutes... ou peut être quelques heures... elle se trouvait encore dans son bureau à rédiger les grandes lignes de la défense dans l’affaire Larbinis. Sur l’instant cela lui avait semblé inc...

AUTEUR : Croisset Cette histoire a été diffusée sur des groupes d’écriture qui ont tous été détruits par yahoo. Hé hé ! Bande de petits malins ! Je sais bien ce que vous attendez de moi ! Vous voudriez gagner aux Courses, à chaque fois…. Savoir déchiffrer la mine des attelages, savoir apprécier les capacités de l'aurige, la qualité du Maître de l'élevage…. Je ne vais pas vous décevoir. Je vais tout vous expliquer d'une course parfaite. Et pourtant, à la fin vous ne saurez rien de l'essentiel. Car des années de travail et d'ascèse il vous faudrait pour l'acquérir. Donc ce jour du printemps 25--, j'ai présenté un attelage aux Grandes Courses Impériales. Comme vous le savez, je suis le Maître d'un des élevages les plus renommés. Et cette Course fut un de mes plus beaux triomphes. Pour quelques instants de vénération de la foule, il a fallu moins d'une heure de suspense, une journée de préparatifs, une vie de travail. Pour chaque Course, tout commence à l'aube....

Alain, trente ans, travaille au centre de tri, son job n’a rien de gratifiant mais il le savait lorsqu’il a répondu à l’offre d’emploi de la poste. Il recherchait un job peinard qui lui laisse du temps pour faire du black en bricolages informatiques. Ses passions sont l’informatique et jouer de l’intimité des gens qui lui confient leur ordinateur en espérant qu’il sauvera leur travail, souvenirs et petits secrets. Rachid, vingt-huit ans, est un fourbe de la pire espèce, il aurait bien pris le poste de délégué syndical pour exister socialement, mais il inspire si peu la confiance, que lors des élections il n’a eu qu’une voix, la sienne. Les deux acolytes se sont rapidement accordés pour jouer un jeu abject avec le courrier. Dans un premier temps, de gros box bleus en plastique sont « tombés » dans le camion, des paquets de courriers se sont « égarés » au domicile d’Alain où le dépouillement les a follement amusés. Des lettres d’amour longuement rédigée avec le cœur ne s...

Sonia surfait peinarde sur Fessestivites à la recherche d’un homme qui pourrait devenir son Maître mais sa timidité maladive l’empêche pour l’instant d’aller jusqu’à la rencontre. A défaut de BDSM réel, elle s’érotise les sens en visionnant les vidéos postées par les membres. Dans les histoires érotiques, Sonia a découvert que des gens comme elle pratiquent seuls en faisant du selfbondage. N’ayant que peu de moyen, le seul matériel dont elle dispose c’est d’une paire de menottes achetées sur ABCplaisir puis de rouleaux de scotch qu’elle chipe à son travail. Etendue sur son lit, après avoir vu une superbe vidéo de selfbondage, elle décide de s’offrir un moment de rêve. Sans même se dévêtir, elle entreprend de lier ses chevilles avec le scotch puis de se faire un bâillon avant de menotter ses mains dans son dos. Les clés de ses menottes sont sur la moquette, elle n’aura qu’à descendre du lit et ramper un peu pour aller les attraper et se libérer après quelques contorsions....

Elzéard vous présente sa traduction libre et préférée d'une histoire basée sur une nouvelle concoctée par A.G.Thomas Stupide! C'est exactement ce que je suis, en train de trébucher, à demi m o r t de soif, à travers cette terre désolée et aride vers la petite ville où nous avons passé la nuit il y a deux jours pour y chercher de l’aide. C'est de ma faute si ma femme est dans les filets d’une bande de sales types qui lui ont dévoré l’esprit et même son âme, la soumettant à leur volonté pour apaiser et satisfaire leur dépravation sexuelle. Mon Dieu qui aurait pu croire qu’il y seulement sept jours (ou huit ... ?) Sharon et moi échangions nos vœux devant un ministre du culte. Tout s’était pourtant parfaitement bien déroulé, la cérémonie, sobre et recueillie, la réception joyeuse et animée, notre départ discret de la fête qui battait son plein. Notre arrivée dans un hôtel de grand standing, notre hâte fébrile pour nous jeter dans les bras l’un de l’autre. La délicatesse de no...

##### Laurie est une ravissante blonde aux formes épanouies mais sans une once de graisse. Je l’ai rencontrée dans la cour du lycée quand nous avions quinze ans et depuis, nous ne nous sommes plus quittés. Pour être honnête, je dirai qu’elle ne m’a plus quitté et que j’ai papillonné un peu pour découvrir d’autres horizons, mais je l’aime comme un fou. Je ne l’ai pas trompé, je me suis simplement un peu trompé en cédant aux filles qui aiment bien les garçons aux cheveux blonds. Ma douce s’est vêtue d'une robe noire qui moule son corps de rêve et enflamme mes sens. Lorsque je la prends dans mes bras, je suis un peu gêné de la différence de taille. Elle mesure un mètre soixante et dix comme moi, mais me dépasse un peu à cause des hauts talons qu’elle a décidés de porter pour la circonstance. Nous fêtons ses dix-huit ans aujourd’hui et je lui ai préparé une soirée chargée en surprises malgré mes revenus d’étudiant. 21 heures Devant la porte, sa reine mère bloque le passage....

Cette histoire est tirée d'un texte américain qui m'avait beaucoup troublé lorsque je l'avais lu sur un forum il y a quelques mois, alors que d'habitude je ne suis pas très friand de textes extrêmes. Comme je ne l'ai pas retrouvé pour le traduire, je l'ai adapté de mémoire, en y ajoutant ma touche personnelle. Attention, la fin est vraiment...étonnante ! Thor ................... Je réfléchissais en me demandant si c'était possible; difficile probablement, coûteux certainement, mais possible. Etonnant néanmoins comme demande, surtout de la part d'une jeune femme comme elle. Vingt-quatre, vingt-cinq ans, blonde aux cheveux longs, un visage agréable un peu marqué par les excès, petite (1m65 environ), vêtue style "grunge", de sorte qu'on ne pouvait se rendre compte des formes de son corps. Je ne lui ai pas demandé pourquoi elle voulait faire cela, après tout c'était son fantasme, mais j'ai exigé qu'elle me confirme sa demande par écrit et qu'elle la signe, de sorte qu'ell...