Je m'arrêtai à mi-chemin dans l'escalier et me demandai ce que je faisais. J'étais peut-être saoule, je profitais peut-être de l'ambiance perverse de l'Halloween - c'était pourtant la première fois que j'invitais un gars dans la maison, lui préparais un café et, surtout, le conduisais dans ma chambre. C’est peut-être mon costume - une paire de gants jusqu’à la longueur du coude, un corps en lycra noir (avec un string à l’arrière), des collants en résille et des bottes en cuir - qui m’a faite sentir si sexy. Ou peut-être que c'était le gars lui-même - je ne connaissais même pas son nom mais il était si mignon! Quoi qu'il en soit, je m'y suis engagée maintenant. Je continuai à monter les escaliers, consciente que ses yeux étaient fixés sur mes fesses. Je posai la main sur la porte de ma chambre et frissonnai - c'était si bizarre, mais ça me semblait tellement juste. Et je le voulais tellement. Je me tournai pour lui faire face avec un large sourire. Il était magnifique - grand mais...

Je me suis inspiré d’astuces prises ici de selfbondage pour vivre une expérience. J’avais lu comment s’obliger à garder une couche et faire dedans avec un système de chaîne autour du cou et d’une simple paire de menottes. Si on pouvait s’obliger à garder une couche, on pouvait sur le même principe s’obliger à être nu. Nu et offert. A 15 heures, heure de la sieste ou de la plage, je suis allé cacher mon sac en tissu avec les clés de mes menottes, celles de ma cage de chasteté et d’un cadenas. A l’intérieur j’ai ajouté une robe très provocatrice acheté sur le net il y a bien longtemps. La cachette était un buissons épais contre le mur de derrière des sanitaires. Il fallait savoir qu’il y avait un sac pour le trouver. Je suis revenu à ma tente où je me suis mis nu. Heureusement que j’avais mis ma cage de chasteté avant d’aller cacher le sac de mes trésors où je n’aurais pas pu la mettre tellement j’étais excité. J’ai passé la chaîne autour de mon cou sans la serrer et j’ai fermé...

Je me suis précipitée à la maison vendredi soir avec l’impatience de passer le week-end comme une chienne esclave enchaînée et châtiée. J’avais prévu cela pendant plus d'une semaine et devais attendre encore quand je suis rentrée. D'abord, je me suis dépouillée de mes vêtements et pris ma ceinture de chasteté. Je voulais utiliser la télécommande de l’oeuf vibrant avec ma ceinture de chasteté pour la première fois. L'œuf vibrant a été initialement acheté par mon CB Phile, il essayait de faire, mais il n'a jamais pu comprendre comment le construire. Si mon Maître ex Jason a terminé en arrière quand je vivais encore avec lui. Jason a également fixé de sorte qu'il pourrait être transformé de façon aléatoire sur-et-off à l'aide d'une minuterie qu'il a obtenu de Radio Shack. Je ne l'ai jamais utilisé avant, donc j’étais excitée de voir comment cela fonctionnerait. Quoi qu'il en soit, j’enfilais le câble de l'œuf à travers la fente dans l'entrejambe de ma ceinture de chasteté alors mis sur...

Mariée depuis plus de dix ans avec Franck, le maire d’une grande ville portuaire, Marianne s’ennuie dans sa vie de bourgeoise. Depuis qu’il est entré en politique, son mari la délaisse totalement. Après l’avoir séduite et épousée, son mari l’a vite délaissée, pour lui, elle n’est plus que la façade d’une vie de couple épanouie, ou, la très jolie femme potiche que l’on expose lors des évènements où elle doit l’accompagner. Marianne s’était laissée griser par le pouvoir de cette homme et, on va le dire, sa richesse, ses belles voitures, sa magnifique maison de rêve avec une piscine aussi grande que celle de la ville. Aujourd’hui, cantonnée chez elle, cette femme âgée de 30 ans n’a plus que le plaisir solitaire et ses fantasmes pour réaliser sa vie intime de femme. Son mari lui interdit de prendre un emploi, il la veut disponible pour l’accompagner quand cela l’arrange pour son image, sa pu... de politique. Certes, elle ne manque pas de belles toilettes, sa voiture ne pouvait qu’êtr...

CHAPITRE DEUX Au lieu de la délivrer et de lui en dire plus, la bonne l’abandonne malgré ses appels à l’aide. Elle se rend à la cave de monsieur le maire pour prendre une bouteille de champagne, et au passage dans la réserve, quelques petits fours. A son retour au salon, elle pose son plateau sur la table basse puis prend place dans le canapé avec son téléphone portable. Au lieu de travailler, Marie fait simplement des textos. Elle répond également à ses e-mails, sans dire quoi que ce soit à sa patronne mortifiée s’imaginant qu’elle envoie les photos compromettantes à des gens. Au son des pleurs de Marianne, après un long et horrible moment d’une durée ressemblant à des heures, la bonne lui demande si elle en a encore pour longtemps. - Cela dépend du glaçon ! Répond Marianne, il faut attendre qu’il fonde. - Lèche-le, cela ira plus vite ! - Mais tu es conne ou quoi de me parler comme ça ! Hurle Marianne. - Pardon, c’est à moi que tu parles là ? - Oui salope, libère-...

La femme se regardant vers le bas au lit. Le lit était en grande partie recouvert d'une feuille de contre-plaqué. Monté sur le contreplaqué étaient quatre pitons et trois sangles. A côté de l'un des pitons était la télécommande pour son magnétoscope. La clé des cadenas étaient dans un cube de glace dans le verre sur la table de nuit. Il y avait beaucoup de glace, ce serait un bon moment avant que la clé soit libérée. Tout semblait prêt. Elle a mis son bâillon dans sa bouche puis l’a fermé avant de mettre une paire de gants en latex. Elle était sur le point de satisfaire un fantasme qu’elle avait depuis des années. Ses jambes étaient faibles juste à y penser. Elle était couchée sur le contre-plaqué et avait cadenassé ses poignets de la cheville aux pitons près du pied du lit. Elle a ensuite placé son cul sur la sangle supérieure. Elle a dû travailler son corps sur le contreplaqué, étirant ses jambes pour le faire. Elle boucla la sangle sur ses hanches, à travers son ventre juste au-d...

Je n'ai pas apporté ces objets avec moi pendant que je voyageais. Imagine que je n'ai pas joué au selfbondage depuis près de deux semaines. Je me sentais très pervers vendredi et je me concentrais à peine sur le travail en pensant au selfbondage que je planifiais jeudi soir. Quand je suis rentré tard vendredi soir, j'ai immédiatement enlevé mes vêtements, mes bas, mes sous-vêtements et mes talons hauts. Je suis allé dans ma chambre et j'ai mis un harnais de chasteté avec un gode, l'un à l'anal, l'autre au vaginal. Je mets mon "soutien-gorge" en cuir. Ce soutien-gorge est en fait similaire au bondage de poitrine, mes tétons pointent. Je mets mes bas noirs et une paire de cuissardes à talons. Vient ensuite une paire de gants en latex aux épaules. Maintenant sont venus les pinces à tétons. Ces pinces à mamelon s'attachent aux ressorts avec de petits poids d'aimant. Je suis allé dans la chambre à coucher, bien sûr, je dois marcher avec précaution à cause de ces pinces à tétons, imagi...

« Clac » ! La porte se ferma dans le dos d’Hélène. Deux jours, enfin deux jours de liberté. Sa colloc était en vacance à l'autre bout du monde et ses parents occupés pour le week-end ne viendrait pas la déranger. Elle ôta sa veste, posa son sac dans l'entrée et alla se servir un verre de vin. Elle y avait pensé toute la journée et en tremblait d'excitation. Son verre à la main elle fila dans la chambre et sortit le carton sous son lit. La se trouvait toute une collection de cordes, baillons et toute sorte d'attaches, des menottes en passant par les ziptied ainsi que le simple rouleau de gros scotch. Elle ferma les volet de la chambre et après avoir posé son verre sur la table de nuit alluma quelques bougies qu'elle disposa dans la pièce. Puis, sa jupe glissa à terre, son chemisier la rejoignit ainsi que ses talons, sa culotte et son soutient gorge. D'un coup de télécommande et alluma la chaîne hifi qui débuta une playlist de musique langoureuse qui lui faisait un certains e...

Je travaille depuis le début de la semaine, je suis donc seul et frustré. Je me suis senti tellement excité. Je dois vous en parler - vous ne vous ennuierez pas j'espère ?? ;-)) Eh bien voici ...... Il était 3 heures du vendredi après-midi et mon cœur battait à la hâte avec impatience. J'ai même sauté le dîner pour pouvoir commencer tout de suite. en m'assurant que tout était bien enfermé ... je n'ai pas fait venir un appel inattendu. J'ai fait un strip-tease lent devant le miroir, et j'ai caressé mes seins jusqu'à ce que les mamelons restent debout en dehors. Je commençais vraiment à avoir chaud et je savais que je devais arrêter ça et continuer avec mon plan initial pour vivre une expérience vraiment impuissante. Après la douche et un peu de maquillage, j'ai enfilé une petite culotte en soie rouge - et c'est tout. Tout d'abord, j'ai attaché mon torse. J'utilise toujours une corde blanche douce tressée de 8mm coupée en 8 mètres de long. Après avoir plié la corde en deux pour...

C'était beaucoup de travail, mais ça en valait la peine. J'étais dans un parc public, mais à trente mètres du sentier le plus proche et invisible à quiconque sur n'importe quel sentier. Il n'y avait aucun signe de l'homme. Il m'a fallu des semaines pour trouver un endroit qui corresponde à mes exigences et quelques semaines de plus pour m'assurer que personne d'autre n'y aille. J'étais nu. J'étais assis contre un petit arbre avec ma taille attachée à celui-ci. Mes chevilles ont été attachées à deux autres arbres, en maintenant mes jambes ouvertes à environ 90 degrés. Ma bouche était scotchée et il y avait deux morceaux de ruban adhésif de gaffer tenant mes yeux fermés. Mes mains menottées étaient au-dessus de ma tête et derrière l'arbre avec le brassard juste au-dessus d'un membre bas. J'ai aussi eu un plug anal de bonne taille en moi. Ce serait une heure ou deux jusqu'à ce que la glace ait fondu et que la clé soit tombée dans mes mains. J'étais mal à l'aise, excitée et heureuse....

Kara travaillait sans relâche depuis plus de trois mois, les seules fois où elle avait dû se livrer à sa passion pour la servitude. Elle était trop fatiguée pour faire plus que verrouiller ses poignets et ses chevilles. Elle avait continué à lacer ses corsets, mais au fil des jours, elle devenait de moins en moins motivée jusqu'à les dernières semaines, elle ne portait que ceux qu'elle pouvait fermer à l'aide d'une boucle ou d'une fermeture à glissière. Elles étaient bien ajustées mais jamais aussi serrées qu’elle le préférait et ses chaussures à talons hauts avaient commencé à s’abaisser. Le projet était terminé et la semaine suivante, elle avait pris congé et elle prévoyait de l'utiliser à bon escient. Le matériel qu'elle avait commandé l'attendait à la maison du lac qu'elle espérait avoir déjà emballé un petit sac de jouets de bondage et de vibrateurs qu'elle avait prévu d'utiliser lorsqu'elle serait arrivée à la petite maison. Kara était si somnolente qu'elle pouvait à peine...

J’avais vu cette barre de bondage contrainte BDSM à 19.95 alors j’ai décidé de m’en fabriquer une pour me faire un selbondage en couche. Mon idée était de m’obliger à faire la totale au moins une fois pour voir ce que cela fait. J’ai pris un manche à balai que j’ai coupé et j’y ai vissé des crochets. Pour attacher mes pieds j’avais mis des chaînettes et des cadenas aux chevilles, pour les mains, mes deux paires de menottes. Avec trois suppositoires à la glycérine dans les fesses, je m’étais dit qu’une fois entravé, il serait difficile de ne pas faire dans ma couche. En plus, j’avais déposé les clés à l’opposé de l’appartement, mon plan était de m’obliger à me déplacer assis ou couché pour aller les chercher et me libérer. Une fois assis et les mains bloquées prés de mes chevilles, soit je pliais les jambes et donc ouvrais bien mes fesses soit je restais penché en avant plié en deux. N’étant pas très souple, je n’arrivais pas à garder cette position longtemps. Comme chacun sai...