Connaissez-vous ces e n f a n t s qui ne disent qu’au dernier moment à leurs parents qu’il y a une sortie de classe et qu’il faut préparer un casse-croûte, un imperméable ou peu d’argent de poche? Et ben, Vincent en faisait partie. Il lui arrivait souvent d’oublier quelque chose d’important à l’inverse de Mélanie, sa sœur aînée qui avait une mémoire d’éléphant. Cette fois-ci il ne se rappela qu‘à dix heures du soir que demain les élèves doivent être déguisés. - Et c’est maintenant que tu m‘ le dis, cria sa mère. - Tu m’écris un mot d’excuse et je reste à la maison, Vincent haussa les épaules. - Mais ça va pas, non? gronda-t-elle. Tu t‘comportes comme un gamin de quatre ans, et bientôt t‘en auras treize. - Et alors? demanda le garçon comme si de rien était. - Vas t’coucher et n’oublies pas que tu t’lèves tôt demain. - Et pour le déguisement? - T’en fais, je te trouverai quelque chose, elle sourit mystérieusement. Vincent alla se coucher dans sa chambre. - C’est aujourd’hui le g...

Les sanglots longs des violons de l’automne blessent mon cœur d’un langueur monotonne, Nicolas se souvint de ce poème, or on n’était pas en automne. Le mois de janvier touchait à sa fin et pourtant la grisaille et la pluie n’avaient aucune envie de quitter les Parisiens. Nicolas devenait dépressif et voulait changer d’air. Il se maquillait avec des couleurs vives et intenses pour égayer l’ambiance qui régnait dans la capitale, mais quelques heures par soir, ne faisaient qu’augmenter sa frustration. Un jour en rentrant du travail il s’arrêta devant une agence de voyage, une affiche attira son attention. Le paysage blanc de Québec lui rappella son rêve d‘enfance de visiter le Canada. Il entra pour se renseigner, le circuit proposé était intéressant et le prix abordable. Il ne lui restait plus qu‘à demander deux semaines de congé. Son supérieur hiérarchique était une femme attirante de quarante ans qui, sans que Nicolas le sache, avait le béguin pour lui. - Vous partez au ski? demanda...

Un arrivage d’esclaves. Des Thraces. De fiers guerriers que nos troupes ont vaincus. Qu’elles ont faits prisonniers. Qu’elles ont ramenés enchaînés à Rome. Où ils ont été mis en vente. Calpurnia, ma maîtresse, m’a chargée d’aller lui en acquérir un. Un de plus. Qu’elle fera castrer comme tous les autres. Et qu’elle utilisera à sa guise. Si toutefois sa verge peut encore, quand on l’aura débarrassé de ses génitoires, s’élancer et durcir. Il y en a, oui, ils peuvent bander. Il y en a d’autres, non. C’est selon. Et Calpurnia ne se sert, pour se satisfaire sexuellement, que d’esclaves qui ont été préalablement châtrés. Pour ne pas risquer une grossesse intempestive et parce que, dans le feu de l’action, ils tiennent souvent beaucoup mieux la distance, et beaucoup plus longtemps, que qui que ce soit d’autre. Je connais les goûts de ma maîtresse. Il les lui faut jeunes, virils, bien charpentés et disposant d’un appendice sexuel de bonnes dimensions. Et surtout bien épais. Je prend m...

Valérie, la sœur de Nicolas, arriva au lycée de bonne humeur. Le nouveau rouge à lèvres qu’elle venait de s’acheter, en outre sa belle et séduisante couleur de carmin était très hydratant et avait un goût vraiment agréable. Vêtue de robe rouge qui s’arrêtait juste au dessus de ses genoux, elle portait des escarpins talon aiguille de la même couleur que la robe, le rouge et le vernis à ongles. Aux yeux elle ne mit que du mascara pour que tout le monde ne remarque que son nouveau rouge et lui fasse des compliments, car elle aimait les entendre. Lorsqu’elle entra en salle des profs tous les yeux se fixèrent sur elle. - Et toi qui disait que les anges n’existaient pas, Marc le prof de sport s’adressa au mathématicien. - Pour les anges, je n’sais pas, par contre j’ai la preuve que les déesses sont parmi nous, répliqua le dernier. - T’es sublime, lui dit Aurélie la prof d’anglais, c’est un nouveau rouge à lèvres? - Et oui, il te plaît?, Valérie était ravie. - Et comment, fais attention...

1er Chapitre: Le cauchemar commence • Julie était une jeune femme très belle, intelligente et dotée d'un sens de l'humour caustique. Malgré tout, elle vivait dans l'ombre de son frère, Fabien. Fabien était un homme sexiste et méprisant qui ne manquait pas une occasion de rabaisser les femmes, qu'elles soient ses amies, sa famille ou ses collègues de travail. Il n'était pas un modèle de conducteur, ni un chef de famille idéal, et Julie commençait à se lasser de son frère et de son manque d'égards envers les femmes. • Un jour, alors qu'elle regardait Fabien et ses amis discuter des femmes et des leurs qualités, Julie avait eu un éclair de génie. Elle savait qu'elle pouvait le faire payer pour toutes les injustices qu'il avait commises et toutes les femmes qu'il avait abaissées. • Au début, elle avait mis en place des stratégies de contrôle de ses sentiments pour éviter de laisser parler son cœur et de céder à la colère. Mais petit à petit, elle commença à voir que son frère étai...

Une fois installé à Paris, Nicolas avait enfin la possibilité de devenir Nicole tous les jours. Évidemment il n‘oublia pas d’emmener la perruque que lui offrit Caroline et quelques vêtements de femme achetés par Valérie. Il complétait sa collection au fur et à mesure, en premier lieu il se procurera un soutien-gorge en dentelle rouge et noir et une culotte assortie, bas et collants les suivirent. Finalement il acquit de quoi se maquiller, une palette de fards à paupières de couleurs vives, un mascara et bien sûr quelques rouges à lèvres de coloris différents, le fuchsia étant le premier. Malheureusement il n’était pas doué pour le maquillage et malgré sa persévérance et tous les tutos qu’il visionna les résultats étaient toujours décevants. Il rêvait de faire connaissance d‘une femme sympathique, tolérante et discrète qui le féminiserait, mais savait très bien qu’elles ne couraient pas les rues, de plus il était timide. La drague et le flirt n’étaient pas ses points forts. Il habit...

Nicolas se rongeait les ongles depuis le plus jeune âge. Pour l’en empêcher sa mère lui appliquait un vernis invisible au goût amer qu’elle achetait en pharmacie. Chaque matin avant d’aller à l‘école il avait droit à sa manucure ce qui faisait rire Valérie, sa sœur aînée de 3 ans. Un dimanche soir, juste avant les vacances d’hiver, lorsque Valérie était déjà au lycée et Nicolas au collège, ils regardaient la télé à trois, le père étant en déplacement. - Vous allez faire la grasse matinée demain?, demanda la mère. - Oui, maman, répondirent-ils en même temps. - Bien, dans ce cas-là, je n‘vous réveillerai pas, par contre tu devras lui mettre du vernis, elle s’adressa à sa fille. - Oh non, Nicolas sursauta. -T’as entendu?, Valérie sourit. - Mais maman!, protesta Nicolas. - Tu sais bien qu’il faut le faire tous les jours, alors c’est Valérie qui t’fait les ongles ou tu t’lèves avant six heures. - Ou bien on fait venir une esthéticienne, rigola la fille. Nicolas la regarda de tr...

Le Roi Goodheart était un roi apprécié de ses sujets. Ses lois étaient empreintes de justice. Le peuple appréciait d’avoir un monarque si populaire et compréhensif. Malheureusement, sa fille ne possédait aucun des traits de caractères positifs et humains de son père. Cette superbe jeune fille blonde était méchante et capricieuse. Elle adorait terroriser ses serviteurs et ne manquait aucune occasion de tourmenter les domestiques. Le jour de ses 19 ans, le Roi lui fit cadeau de son souhait le plus fort : un esclave personnel rien que pour elle. Le Roi était bien conscient des traits de caractère particuliers de sa fille et avait longtemps hésité avant d’exaucer son désir. Il était convaincu que cet esclave passerait de durs moments sous les services de sa fille. C’est grâce à la Reine (une superbe femme très autoritaire) qui donnait au vœu de sa fille une grande importance, que le Roi céda. De plus, il aimait beaucoup sa fille et il n’aurait pus résister longtemps à ses désirs....

Sur mon PC portable en début d’après-midi, affairée aussi bien à de l’administratif qu’au boulot, cette journée va bientôt procéder à quelque chose de plus excitant. Je reçois un de mes soumis. Je l’ai mis à l’épreuve celui-là jusqu’aux étrangetés de la relation D/s, mais çà date... Médard, ou Tino, ou Gary, régulier et constant dans sa soumission sauf dans le choix de ses pseudos ! L’on pratiquait régulièrement, ici ou chez lui malgré qu’il vive avec une petite amie. Après des mois de tergiversations et annulations, la capacité de phaser nos agenda va me donner l’occasion d’interroger sa dévotion dés 17h00. J’ai donc le loisir d’y songer. Que vais-je lui faire ? D’abord laisser attendre Gary face à moi, déjà ses vêtements ôtés, c’est un de mes plaisirs. Il est vite balourd dans l’immobilité imposée une de ses faiblesses. Tout en y songeant j’aperçois deux martinets en cuir sur le comptoir que je dois astiquer au baume. L’un d’eux aux lanières fines et raides, juste au nombre de sep...

Il y avait près de quatre ans que cette situation perdurait quand il s’est ouvert, pas très loin de chez nous, un SPA naturiste. - On l’essaie ? Il a docilement accepté.  - Si tu veux… Il y a bien évidemment suscité une certaine curiosité. Et l’avoir là, encagé, au beau milieu de tout un panel de jeunes (ou de moins jeunes) mâles vigoureux dont certains avaient été particulièrement bien pourvus par la nature, et de femmes dont les regards inquisiteurs, et parfois amusés, s’attardaient complaisamment sur sa queue harnachée, ça avait, pour moi, quelque chose de profondément jubilatoire. On n’a pas tardé à s’intéresser de beaucoup plus près à nous. Trois femmes surtout qui sont venues s’installer systématiquement à nos côtés. Et m’ont assaillie de questions. Comment ça se passait? À quelle fréquence je le libérais? Comment ça avait commencé? Comment je l’avais convaincu d’accepter? Ça n’en finissait pas. - C’est trop tentant, votre truc. Je lui en mettrais bien une, moi...

Il arrêtait pas de jérémier. - C'est plus comme avant, nous deux, côté cul… Plus du tout. Hein? Tu trouves pas? - Peut-être, oui. Je n’allais pas lui avouer que je n’avais jamais trouvé ça vraiment folichon. Que j’avais le plus souvent eu avec lui, et ce, même à nos tout débuts, plutôt des plaisirs de complaisance. - Faut qu'on fasse quelque chose. Faut vraiment qu'on fasse quelque chose! Qu’on pimente… S’il voulait, oui, mais je ne voyais pas trop comment… Lui, si! Et, le lendemain, il m’a brandi sous le nez, avec des mines de conspirateur, une cage de chasteté dont il m’a aussitôt expliqué en long, en large et en travers le fonctionnement. Une cage qu’il a absolument tenu à essayer le soir même. Qui est devenue très vite envahissante. Il fallait que je la lui mette et que je la lui enlève. Quand bon lui semblait. Comme bon lui semblait. Que j’en cache la clef. Que je fasse mine de l’avoir perdue. Qu’il fasse mine de s’en affoler. Que je la retrouve opportunément, au...

"Déshabille-toi." Comme à chaque fois, nos moments intimes commencent par ces mots. Ma déesse sort de son sac une petite culotte rose, une paire de collants noirs, une robe d'été blanche, des hauts-talons noirs, un collier de perles multicolore et une trousse de maquillage. Elle étale le tout sur le lit. "Ce soir, tu seras Chloé. J'ai remarqué que tu avais un corps très féminin et des manières très féminines. Parfois, j'ai presque l'impression que tu préférerais être une femme qu'en avoir une. Allez, habille-toi Chloé." Mon sexe se dresse et atteint son plein volume en quelques secondes. J'ai honte d'être excité par ces paroles. Je mets d'abord la culotte rose. Du coin de l'œil, je sens que Maîtresse m'observe. Je baisse la tête, le visage rouge, le cœur prêt à péter dans la seconde. Et je passe aux collants, que j'enfile délicatement. J'adore la sensation de chaleur et le maintien rassurant qu'ils procurent. C'est au tour de la robe, bien ajustée à ma taille. Je jette un rapide...