Récits
L'éducatrice (partie 5/5)
il y a 1 an

Le piège se referme

[Le début de cette saga est ici](/recit/199526) — Très bien, Marc ! Je suis fier de toi ! me félicita Kassandra en caressant mes fesses endolories. Tes fesses sont bien chaudes ! Elles ont pris une belle couleur voilette ! Je prends une photo pour l’envoyer à ta belle-mère, qu’elle puisse constater que tu as bien été puni ! J’entendis le déclenchement de l’appareil photo du potable de Kassandra à trois reprises. Kassandra alla déposer la canne loop sur son bureau et revint vers moi. Je sentis sa douce main, me caresser les fesses. Mon postérieur était si brûlant, que sa main me sembla glacée. Quand elle me détacha du banc à fesser, j’eus la plus grande peine du monde à me relever. J’étais exténué. Mes jambes étaient flageolantes. — Mets tes mains sur la tête, Marc ! me réclama Kassandra. Ça serait dommage de ne pas monter à ta belle-mère que ton vilain petit oiseau est bien enfermé dans sa belle petite cage, maintenant ! s’enjoua Kassandra. Elle prit deux photos. La premièr...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 109 : Le piège se referme
il y a 1 an

Si un engrenage doit céder, les débris en parcelleront la pièce plus densément qu’un ciel étoilé.

Chapitre 109 : Le piège se referme - Oui, avouai-je enfin. Je me sens fatigué. - Penses-tu que cela pourrait être à cause des substances que j’ai mis dans le lait ? me demanda-t-elle cyniquement. - Qu’as-tu mis ? m’inquiétai-je. Le goût de fraise ! réalisai-je. - C’était de l’arôme fraise naturel, une petite attention de ma part, que n’aurait pas eu tes maîtresses. Même si je l’ai ajouter pour masquer le reste des produits : un petit cocktail de ma composition, un mélange de somnifère, d’anti-dépresseur ainsi qu’un produit que la loi impose à ceux comme toi qui ont exagéré sexuellement, un castrateur chimique. - Pourquoi ? - Connais-tu l’enjeu du pari entre Ladyscar et Basile ? - Non, répondis-je, alors que Myriam poursuivait son va-et-vient inutile, tenant surtout à me garder allongé, enfoncé dans mon cercueil. J’étais certain, qu’à mon rythme, dans une autre position, je pouvais surmonter ce mélange, dont je soupçonnais qu’il n’avait pas complétement fait effe...
L'éducatrice (partie 4/5)
il y a 1 an

Tawse, Martinet et cravache, que ces deux vilaines fesses, en rouge soit colorié de la taille aux cuisses.

[Le début de cette saga est ici](/recit/199526) Et ce fut une nouvelle surprise pour moi. Charlotte et Margaux n’étaient pas des femmes, mais de jeunes garçons habillés de robes de soubrette en satin. Charlotte portait une robe classique noire avec un tablier blanc alors que Margaux portait une robe rouge avec un tablier noir. C’était donc ça des sissys ? Des hommes travestis en femme ! Elles étaient honteuses, la tête basse. Et moi, j’espérais de ne pas devoir subir la même humiliation. — Déshabillez-vous et mettez-vous au coin les filles ! réclama Kassandra. Je m’occuperais de vous quand j’en aurais fini avec ce garnement ! — Oui, Maîtresse Kassandra ! répondirent en cœur les deux sissys. Kassandra me laissa les regarder se dévêtir. — El… Il… bafouillais-je. — Tu peux dire elle ! me coupa Kassandra. — Elles sont venues ici, habillées comme ça ? questionnais-je. — Non ! Elles sont venues en voiture ! Le chauffeur de leurs maîtresses les a accompagnés ! m’expliq...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 108 : Jour J
il y a 1 an

Il existe un point d’efficience maximum pour un engrenage, un panachage unique de couple et de vitesse.

Chapitre 108 : Jour J Je voulais profiter de l’occasion unique d’avoir une relation avec une maîtresse et j’avais déjà profité de Diane, mon choix se portera donc sur la dernière. En ce qui concernait la second personne, ou plutôt la première, je me faisais une joie de ne pas prendre Nathalie sachant que cela la rendrait plus sadique encore. Je connaissais déjà intimement Lydia et la vendeuse rousse et je préférais choisir quelqu’un de nouveau et que je ne reverrais probablement plus. En cas de maladresse ou d’échec, je n’aurai plus à croiser son regard. - Ce sera Myriam et Tata Marguerite. Myriam était une de deux autres jeunes vendeuses. Fine, petite, beaucoup plus que Sandrine la rousse, elle était brune aux cheveux sombres. Sa peau n’était pas juste bronzée. Elle avait assurément des parents d’origine et de couleurs différentes. Mais ce n’était pas sa couleur de peau que j’avais apprécié le plus dans le magasin. Sa poitrine ferme, petite, tendue à l’auréole discrète mais...
L'éducatrice (partie 3/5)
il y a 1 an

Le vilain oiseau entre en cage, et les fesses rougissent.

[Le début de cette saga est ici](/recit/199526) — Je sais, Marc ! Mais je te la mettrais que tu le veuilles ou non ! balaya Kassandra. Puis, elle m’expliqua en desserrant les dix vis fixées sur la cage avec sa clé en forme de cœur et les plaçant une à une dans le creux de sa jupe. Les pointes sont faites pour prévenir toute érection ou tentative de tricherie de ta part, Marc ! Mais si tu restes sage, tu n’auras pas à les porter ! Quand elles sont en place, elles rendront tes érections très douloureuses pour te rappeler que tu ne dois plus te comporter comme un petit pervers ! Mais ne t’inquiète pas ! Les pointes sont émoussées pour qu’elles ne soient pas blessantes ! Tu les porteras pour ta première journée en cage ! Je pense qu’il est très important que tu comprennes rapidement qu’elle est ta nouvelle place ! Avec ta belle-mère, nous te surveillerons ! Et si nous constatons que malgré la cage tu tentes de te toucher, nous remettrons les pointes en place pour vingt-quatre ou quarant...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 107 : Le cadeau
il y a 1 an

La conception d'un engrenage ne consiste pas uniquement en une création issue du néant, il faut souvent se guider dans des choix circonscrits.

Chapitre 107 : Le cadeau - Nous avons rattrapé le programme ? lançai-je, toujours troublé par ce que je venais de faire. Après m’avoir nettoyé une seconde fois, j’eus le droit de profiter de la salle de bain de l’étage où Ladyscar remplissait un nouveau bain. - Tu sais que je ne pourrais pas participer, me rappela-t-elle, alors que nous n’étions plus que deux. - J’avais oublié, avouai-je. Vous ne pouvez pas vraiment vous dévoiler ? - Non. Tu sais que rien n’a changé depuis hier. Cela t’a probablement paru long, mais pour moi, et encore plus pour elles, la situation est identique. Je comprenais. Je comprenais très bien. Je savais que cela l’ennuyait. Je voulais lui dire quelques mots, mais au lieu de cela, incapable de trouver quelque chose de gentil, je me glissai dans le bain chaud. - Que va-t-il se passer ? - Tu verras. C’est ta récompense, ton cadeau pour ce weekend. - Mon dépucelage. Mon dépucelage avec une femme. - Oui. Cela ne te tente pas ? Tu m’as...
L'éducatrice (partie 2/5)
il y a 1 an

Après avoir été recadré, Marc découvre enfin sa cage de chasteté.

La réaction de Kassandra fut immédiate. Elle reposa le sac en velours sur son bureau et le visage rouge de colère, elle s’avança vers moi d’un pas pressé et me flanqua une gifle. — C’est quoi ce langage de charretier ? Les mots de ce genre sont interdits chez moi ! pesta-t-elle. Passé la surprise de la gifle, je criai à mon tour. — Dans ce cas, laissez-moi partir ! — Oh, non ! Certainement pas ! Tu m’as été envoyé pour que je fasse de toi un parfait homme soumis, alors je vais te mater et faire de toi un parfait homme soumis, Marc ! rejeta Kassandra. Quand elle voulut me mettre une nouvelle gifle, j’attrapai son bras avec un sourire. Moi qui pensais l’avoir prise aux dépourvues et pris le dessus sur elle. C’était une grave erreur. Sans la moindre difficulté, elle retourna la situation à son avantage. Sa main se referma sur mon poignet, puis elle me tordit mon bras dans le dos, m’attrapa l’oreille de sa main libre, me força à allonger mon corps sur son bureau et avant mêm...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 106 : Un gros biberon
il y a 1 an

Tout est question de convenance, comme le liquide et l’engrenage. Si l’eau est son ennemi, l’huile lui sied.

Chapitre 106 : Un gros biberon Ladyscar me sourit. Cette phrase n’était pas de moi. C’était une de celles qu’elle ressortait souvent en classe lorsqu’un de ses étudiants tombait dans le piège de ses exercices. Ce ne m’était jamais arrivé, je devais bien l’admettre, qu’importe ma modestie. J’avais d’autant plus apprécié sa philosophie que je n’y avais pas été personnellement affecté. Je ne m’étendrais pas sur mon nettoyage, même si certains détails appréciables seraient par d’autres appréciés. J’essayai même d’en occulter la vision comme l’odeur, me concentrant sur la conversation, trop heureux d’avoir retrouvé une bouche et une gorge dégagée, même si je l’eusse préférée entièrement rincée. Je ne trouvai au début rien d’érotique à cette activité, même si les huit mains recouvertes de leurs gants de caoutchouc, se promenant sur mon corps, mes fesses et mon sexe libéré. Ce n’est que lorsque la propreté revint, que je retrouvais certaines envies dont mon sexe s’en arbora fièrement...
L'éducatrice (partie1/5)
il y a 1 an

Après s'être fait surprendre à se masturber dans l'une des culottes de sa belle-mère, Marc est envoyé chez Kassandra, une stricte et sévère éducatrice pour homme, afin d'être puni.

Je sortis mon téléphone de ma poche afin de vérifier une fois de plus l’adresse de mon rendez-vous. J’avais la peur au ventre. Et je ne souhaitais vraiment pas me présenter chez cette femme. Mais ma belle-mère avait été intransigeante. Soit j’acceptais la punition, soit je quittais la maison. Quant à mon père, il me lançait des regards mi-colère, mi-compatissant depuis que ma belle-mère m’avait surpris à me branler dans l’une de ses culottes. Moi, j’avais honte. Honte d’avoir cédé à ma perversité. Vous pourriez me demander « pourquoi accepter d’être puni et ne pas quitter la maison ? ». Tous simplement pour la raison que j’étais au chômage et ne parvenais pas à trouver un travail stable. Ce qui veut dire que le choix était bien plus en ma défaveur. En réalité, c’était soit accepter la punition, soit me retrouver dans la rue. La femme chez qui j’avais rendez-vous était une amie de ma belle-mère. Et bien évidemment, elles partageaient les mêmes convictions. Celles que la femme devait con...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 105 : Change et changement
il y a 1 an

Si un engrenage ne convient pas, il ne faut pas hésiter à le démonter : les roues resserviront bien un jour.

Chapitre 105 : Change et changement - C’était trop tôt, dit Tata Marguerite, avant que ne nous rejoignissions la voiture. - Non. Nous ne l’avons pas assez préparé, corrigea Lady Christine. Il ne savait pas que c’étaient de vrais bébés. Au moins pour les deux hommes. - De vrais bébés ? demandai-je, alors que dans la précipitation je sentais que ma crotte bougeait, libérant à nouveau le conduit du plug. - Oui. Leur dominatrice les ont fait régressés, m’expliqua Ladyscar. - Régressé ? - C’est fastidieux, compliqué à expliquer et à réaliser. Cela prend aussi beaucoup de temps. Lydia t’expliquera mieux que nous, dit Maîtresse Diane. - Ce n’est pas l’important. Nous avons été bannies, rappela Tata Marguerite en montant dans la voiture. - Je suis désolé de vous avoir mis dans l’embarras, dis-je en montant à mon tour dans la voiture. Dario était surpris de nous voir rentrer si tôt. Il rangea son livre dans la boite à gants, « le rouge et le noir ». Il lisait du class...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 104 : Départ imprévu
il y a 1 an

Une fois que l’engrenage s’arc-boute, forcer n’amène qu’à le briser.

Chapitre 104 : Départ imprévu Cette suite, elle ne se fit pas tarder. Tata Marguerite et Maîtresse Diane me firent sortir manu militari du parc, m’infligeant à tour de rôle de grosses fessées sans crainte que ma couche n’explose également. Chacune d’elle libéraient cependant du liquide de mon cul en actionnant le coulisseau du plug à chaque impact, mais je n’en étais plus à ce problème. Elles m’obligèrent à m’asseoir dans une chaise géante de bébé qui enclencha l’ouverture, libérant vers ma couche, cette fois sans discontinuité, le fluide que retenait mon corps. Aucun effort de mes muscles fessiers ne pouvait l’en arrêter puisqu’il s’écoulait dans le conduit interne de l’objet importé. Pourtant, malgré mon impotence, le fluide s’arrêta brutalement, coincé par un bouchon solide de déjection. Libéré par les produits laxatifs de la tétine et du lavement, et voulant emprunter le même chemin de liberté, il s’était coincé dans l’ingénieux mais fragile système du coulisseau. Les m...
Compte à rebours
il y a 1 an

Sous couvert de lui injecter des hormones féminines pour qu'il devienne la femme qu'il rêve d'être, une femme va faire vivre à un homme la plus improbable des mésaventures. Une véritable régression.

Compte à rebours. A bientôt 38 ans, ma vie semblait couler paisiblement. J’étais marié, père de deux petites filles adorables, j’avais un boulot, qui, à défaut de m’épanouir, me permettait de nourrir ma famille. Ma femme travaillait également ; il y avait pire comme situation. Pourtant, au fond de moi, une sensation de solitude se développait. Lancinante. Abstraite et tellement réelle. Un jour mon patron m’annonça qu’il cessait le projet sur lequel je travaillais et que par conséquent, soit j’acceptais de retourner à des tâches plus ingrates, soit je prenais la porte. Depuis quelques temps déjà, je sentais que le lascar me préparait un sale coup ; mais celui-là, je ne l’avais pas vu venir ! Une vague de haine et de rancune, enfouies depuis des années à son service, remonta soudainement du fond de mes entrailles pour se concentrer dans mon poing qui, comme la foudre, vint le surprendre en pleine figure. Tel un volcan qui venait de se réveiller, je n’avais qu’une envie, déve...
Publicité en cours de chargement