Récits
J’avais trop envie de sauter mon mari
il y a 2 ans

Pour elle, le gode ceinture n’est pas une punition mais une récompense et une autre façon de faire l’amour

Ce soir, j’ai très envie de faire plaisir à mon chéri. Ces trois dernières semaines de chasteté pendant lesquelles il n’a pas eu l’occasion de jouir, il m’a souvent fait jouir avec sa langue ou avec le gode-ceinture. Mais ce soir, c’est moi qui ai envie de le baiser, de prendre son petit cul. Alors qu’il me fait l’amour avec sa langue depuis un moment déjà et qu’il est terriblement excité, son sexe est gonflé dans sa petite cage de chasteté et ses couilles ont pris une magnifique couleur bleue, je lui demande de se mettre à quatre pattes. Il ne se fait pas prier, car il a très bien compris ce que j’avais en tête et qu’il en a lui aussi très envie. Après quelques secondes, je viens placer mon faux sexe contre son cul. J’enserre le bout dans ma main, ce qui me permet d’avoir un contact avec ses fesses afin de sentir les contractions de ses sphincters. Puis je commence à faire de tout petits va-et-vient, sans vraiment rentrer à l’intérieur, mais juste pour l’exciter, parce que j’ado...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 72 : Le retour des novices
il y a 2 ans

Plus il y a de roues, plus il y a de frictions.

Chapitre 72 : Le retour des novices - Alors, comment ça s’est passé jusqu’à présent ? demanda Nathalie à Maîtresse Diane. - Elle a été parfaite. Un peu turbulente, un peu maladroite et surtout beaucoup trop bavarde, répondit-elle en m’ôtant ma robe. - Une vraie pipelette, ajouta Valérie, se prenant au jeu du changement de genre. - Comme en classe, ajouta Nathalie. Je ne parlais pas tant que cela. Elle devait savoir pour Ladyscar, pensai-je, cherchant à ne pas réagir. - Elle a vraiment eu des relations avec des hommes ? demanda Valérie en détaillant mes sous-vêtements. - Oui et elle a aimé cela. Hein ma chérie ! Dis-leur à tes copines que tu aimes une bonne bite dans le cul et avoir la bouche pleine de sperme goûteux. - Oui, Maîtresse, murmurai-je, insuffisant au goût de cette dernière. - Dis-leur alors ! - J’aime avoir une bite dans le cul et du sperme dans la bouche. - Nous sommes obligés de lui laisser le plug dans le cul, sinon elle se sent perdu ave...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 71 : De retour à la maison
il y a 2 ans

Plus un engrenage tourne, plus il s’ébavure naturellement, faisant disparaître le petit bruit disgracieux de sa genèse.

Chapitre 71 : De retour à la maison Le retour vers la voiture fut désagréable. Mes maîtresses marchèrent vite et je me tordis la cheville par deux fois avec ces hauts talons qu’elles m’obligeaient à porter. Les poids étirant mes couilles les avaient rendues douloureuses. Le plug se déplaçait me frottant l’intérieur jusqu’à l’irritation. Le corset aussi me devenait insupportable. La position agenouillée, gardée trop longtemps, en était probablement une des raisons. Si les maîtresses ne m’avaient pas menti, je ne devrais plus les supporter que trois heures. - J’espère que votre journée répondit à vos attentes, nous reçut poliment le chauffeur italien, alors que nous montions, reprenant nos positions respectives. Elles ne lui répondirent que pas un large sourire. - Quand je vous ai dit qu’il avait un talent à donner du plaisir aux femmes, entama Maîtresse Diane, une fois la voiture fermée, en parlant indubitablement de moi. - Un vrai sex-toy aux piles longues durées, me com...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 70 : D’ébats lesbiens
il y a 2 ans

Qu’est un engrenage où les roues tournent toutes dans le même sens, à part un ensemble de roues concentriques.

Chapitre 70 : D’ébats lesbiens Entourant les trois vendeuses, Les dominatrices jouèrent de leur corps, de leurs mains et de leur bouche pour exciter ces jeunes femmes, tandis que ces dernières, m’entourant, perdaient de leur concentration. Les mains agiles des maîtresses accélérèrent leurs actions, devinrent plus efficace, approchant les vendeuses aux abords d’un précipice où la réalité et l’illusion se confondent, où l’esprit et le corps ne font qu’un, où sens et sensation se rejoignent. Libéré de l’excitation que les vendeuses m’apportaient, je trouvais de bon ton de les remercier pareillement. Choisissant l’une d’elle, guidé par ce que je connaissais le mieux, je m’agenouillai et entrepris de ma bouche et de mes doigts d’explorer et de respectueusement glorifier le triangle de celle-ci. Humide à l’excès, ouverte, désespérément suppliante, son sexe gonflé de plaisir réagit immédiatement à mes premiers coups de langue. Superficiellement, sans même la pénétrer par aucun de mes...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 69 : Un cadeau épineux
il y a 2 ans

Quand l’engrenage s’emballe, seul un frein efficace peut éviter sa destruction.

Chapitre 69 : Un cadeau épineux Je réajustai à nouveau ma robe. Quelques pas suffisaient à la relever. M’habituant peu à peu aux chaussures haut talons, je commençai à élargir mes pas, profitant qu’aucune chaîne ne les entravait. Nous avions quitté le centre pavé, douloureux à mes chevilles, et nous nous dirigions vers le quartier commercial. Je remarquai que les hommes avaient leurs regards attirés par notre groupe et finissaient immanquablement à se fixer sur moi. Conformément aux ordres, je leurs souris et beaucoup d’entre eux me répondirent. J’entendis même deux ou trois couples se disputer juste derrière nous. - Avons-nous prévu beaucoup de magasin, demandai-je alors que je sentais le regard d’un homme, caché par un panneau de bus, plus captivé, me fixer. - Un seul me répondit Ladyscar, le voilà. Une boutique de lingerie nous fit face. Un panneau y avait été accroché : Inventaire, réouverture vers seize heures. Je m’étonnais plus de ce panneau que de l’absence de dé...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 68 : Restaurant cinq étoiles
il y a 2 ans

L’entretien passe aussi par l’inaction qui réduit les tensions

Chapitre 68 : Restaurant cinq étoiles Nous nous habillâmes et sortîmes. Une grande voiture, une Royce Rolls peut-être, nous attendait moteur allumé. Il s’agissait du valet italien au volant. Nous nous mîmes à cinq à l’arrière dans des sièges en cuir se faisant face. Ma Maîtresse et Diane me faisaient face alors que j’étais entourée de Marguerite et de Christine, cette dernière ne prenant pas beaucoup de place. - N’oublie pas que tu es une femme ce midi ! me rappela Ladyscar. J’aurai bien répondu par sarcasme que je ne pouvais alors ni roter, ni péter, mais je ne voulais pas gâcher l’instant. A la place, je fis un sourire que j’espérais aguichant. Nous prîmes moins de quinze minutes pour arriver. La voiture s’arrêta en plein centre-ville, le temps que nous en descendîmes. Déjà le regard d’un passant, alors que je n’étais pas totalement sortie de la voiture, m’obligea à tirer sur ma robe en me déhanchant pour la faire descendre. Il était maintenant clair que je ne devrais pas m’...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 67 : Sorties pour déjeuner
il y a 2 ans

Le choix des matières d’un engrenage est essentiel, ductilité, résistance à l’usure, type de lubrifiant, tout est réfléchi, pensé.

Chapitre 67 : Sorties pour déjeuner Ladyscar m’ôta les pinces. Cette fois la douleur était sans commune mesure. Je les avais gardées trop longtemps et ce n’étaient plus les jouets de débutants qu’elle m’avait offerts quinze jours auparavant. Je me frottais longuement les tétons sans qu’aucune maîtresse ne me le proscrive. J’espérai qu’elles poursuivraient le démontage, mais à part de dévisser les crins de cheval du plug et de ne me remettre ni le bâillon ni le masque, je gardais la même tenue que ce matin. Outre les vêtements féminins, il me restait l’attirail au centre de mon corps, le plug anal, la cage électrique et les poids alourdissant mes testicules. Ben redescendit avec une robe d’été bleue un peu transparente. Elle était courte, élastique et très moulante. Elles se mirent à plusieurs pour me l’enfiler. - Le plug est trop visible, dit Ladyscar. - C’est un problème ? demanda Tata Marguerite, usant d’un ton démentant la question-même. - C’est dommage qu’on lui enfi...
Premières expériences et engrenages :Chapitre 66 : Humiliation ultime
il y a 2 ans

Parfois un engrenage prévu pour de petites charges, par suite d’un écartement parfait des dents, peut en soulever de grandes.

Chapitre 66 : Humiliation ultime - Tu as déjà une idée, n’est-ce pas ? demanda Lady Christine. - Si tes autres valets déchargeaient dans la figure de ta pute, proposa Tata. - Nous avons passé beaucoup de temps à la maquiller, protesta Diane. - Alors, juste dans sa bouche. Regarde, il t’en redemande, ajouta-t-elle, alors que sans instruction, je continuai à la garder ouverte. J’avais l’impression qu’en refroidissant le sperme commençait à me coller à la bouche et aux dents et je n’avais qu’une envie, m’en débarrasser d’un côté ou de l’autre. - Vous serez capable de viser, sans en mettre partout, leur demanda leur patronne. Ayant écouté toute la conversation, tous répondirent par l’affirmative. Aucun n’aurait pris le risque de se voir rejeter de ce jeu qui semblât les amuser grandement. Je dois vous avouer, qu’à ce moment précis, cela ne m’inquiétait, ni ne me dérangeait. Mon esprit était entièrement focalisé sur le mexicain et ce qu’il avait dévoilé un peu plus tôt...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 65 : Au cul de basse-fosse
il y a 2 ans

Une fois activé et lancé, le plus dur pour un engrenage c’est de savoir l’arrêter, car souvent il ne veut pas lui-même

Chapitre 65 : Au cul de basse-fosse Dès le début, je sentis que je n’avais plus affaire à mon meilleur ami, intimidé qui ne recherchait qu’une fellation amoureuse. Il s’agissait de deux hommes plus expérimentés qui ne voyaient en moi que de la chair fraiche pour les satisfaire d’un besoin élémentaire. Il n’y avait plus la douceur qu’avait mise Vincent, que je ne décelais que maintenant qu’elle était absente, cachée par la honte, la peur et le dégoût qui saturaient mes sens depuis que j’avais compris ce qui allait m’arriver. Pourtant, je protestais à peine. Je laissai aller mon esprit vagabonder sur les prairies de mon imagination. J’omettais cet instant de mon esprit, comme lui demandant de couper l’enregistrement de ce qui allait suivre, jusqu’à ce que ce soit fini. Ou, si je ne pouvais pas, l’enregistrer dans le cerveau pervers et féminisé de Lassie qui appréciait follement ce qui m’arrivait. Cette part de moi que je refusais de reconnaître malgré le plaisir que je pris à te...
Habilement éduqué par les défis
il y a 2 ans

C'est le 4eme récits de l'histoire "des défis" et qui clôure cette histoire.

- «Avec ta mine épanouie et éthérée je ne suis pas certaine que tu ai retenu quoi que ce soit...» En effet, Faby, aimablement descendue à mon bureau pour discuter, a reçu en échange, mon attitude lointaine, un peu ailleurs. J'apprécie converser avec cette collègue mais là je suis sur les ondes du BDSM, des ordres successifs de Sabine. Car à l'évidence Elle m'a éduqué afin que je devienne son soumis, un de ses soumis. Lorsqu'Elle vint chez moi pour établir entre nous des règles qui furent alors qualifiées de défis, la Domina un pouvoir sur moi : je ne pouvais pas savoir où j'allais mettre les pieds. Très justement me mettre à ses propres pieds ! - «Je ne t’écoute pas vraiment Faby, pardonnes-moi. Veux-tu qu’on déjeune ensemble demain ? Je serais plus disposé au dialogue, tout de suite accaparé par les caprices de mon âmes.» - «Çà me tente oui. Mouais ! Soit-disant ton âmes délurée, je crois plutôt une aventure dans un plumard. Tu me raconteras au resto demain ?» Me demande t-elle m...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 64 : Tête-à-queue
il y a 2 ans

Quand un nouvel engrenage débute, il ne sait pas plus que nous comment tourneront ses roues lors du premier tour.

Chapitre 64 : Tête-à-queue Vincent passa devant moi. Je fermais les yeux. Peut-être cela serait-il plus supportable comme cela, si je n’en gardai pas l’image en mémoire ? Que devais-je faire maintenant ? Juste ouvrir la bouche ? - Dans quelle situation t’es-tu donc mise, dit-il, usant comme mes maîtresses de ma féminisation pour m’en attribuer le genre. Alors que je voulais répondre, elles me mirent un objet dans la bouche. Cela me fit rouvrir les yeux, juste devant son sexe bandant. Je voyais même à cette distance, le flux et le reflux sanguin qui le faisait tenir droit, horizontal. Je ne pus que le jalouser. Non seulement il était plus gros que le mien, mais il était libre et fonctionnel ! L’appareil dans ma bouche était une sorte d’écarteur qui prit naturellement sa place derrière mes dents avant d’être mis en tension, ouvrant ma bouche, écartant mes mâchoires. Pendant que Ladyscar le manipulait, les autres maîtresses, devant mon corps attaché, ne purent éviter d’en u...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 63 : Trahison
il y a 2 ans

Deux dents s’accouplent ou se mettent en porte-à faux, dans le dernier cas, les contrevenants en subiront les conséquences.

Chapitre 63 : Trahison Vincent mon ami d’enfance ! - Salut, comment tu vas ? me dit-il simplement, comme si nous nous rencontrions par hasard dans notre rue, à une vingtaine de kilomètre de là. Que faisait-il ici ? Avait-il suivi la veille Ladyscar ? S’était-il fait attraper ? Avait-il négocié pour servir de garde-fou, si cela dégénérerait ? - Je vois que tu t’es déjà bien amusé, poursuivit-il en s’approchant de moi. Tu devais me prévenir pour que je ne m’inquiète pas. Tu te rappelles ? - Oui, acquiesçai-je. Mais je ne sais pas comment j’aurai pu. - C’est une excuse ? dit-il. Son ton avait changé. J’allai bien. Je n’avais pas besoin de lui. C’était en même temps rassurant et dérangeant de le savoir ici. - Que fais-tu là ? demandai-je un peu perdu. - C’est Ladyscar qui m’a invité la semaine dernière. Vendredi dernier exactement, quand elle m’a envoyé les photos de toi. - Avant que tu ne m’en parles ? me rappelant qu’il n’avait dit n’en avoir reçu qu’une et...
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