Récits
Premières expériences et engrenages : Chapitre 5 Anniversaire
il y a 2 ans

Alors qu'il atteint ses dix-huit ans, le jeune homme découvre un colis d'anniversaire aux multiples implications. la ligne de non-retour a-t-elle été franchie?

Chapitre 5 : Anniversaire Il ne se passa pas grand-chose durant les trois semaines suivantes. Je fêtai mon anniversaire avec mes parents puis avec mes amis durant le week-end de façon raisonnable. Je repensais à ma rencontre informatique. L’excitation remontait progressivement. Je savais qu’il était possible qu’elle m’ait oublié depuis ce temps ou qu’elle n’avait jamais voulu me revoir. Après tout, je venais d’être majeur. J’avais un corps menu, maigre avec un mètre quatre-vingts pour soixante-huit kilos. Je me fixai l’objectif de faire un peu de musculation. Je faisais déjà du vélo et de la marche en montagne pendant les vacances, mais pas de façon intensive. De plus je fumais et je ne mangeais par forcément tous les repas, préférant une cigarette et dormir. Bref, je ne me plaisais pas. Je ne savais pas que ce corps fluet, imberbe, presque unisexe pouvait être source d’attirance. La semaine dans la ville universitaire et la plupart des week-end chez mes parents, le dimanche soi...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 4 Majeur
il y a 2 ans

La séance se termine, le narrateur doit finalement avouer son âge. Loin de clore la relation, la promesse de retrouvaille mets en attente le jeune homme …

Chapitre 4 : Majeur Elle m’autorisa à retirer les pinces de ma bite, uniquement pour me branler dans ma main. Là, en revanche, j’en comprenais la conclusion. Pour les autres pinces, je devais les garder après l’éjaculation. Je n’appréciais pas particulièrement cet ordre, mais je l’exécuterai. En tout temps, je considérais l’éjaculation comme le moment ultime de l’extase. Les douleurs ressenties avant n’étaient qu’une graduation progressive pour m’amener au point culminant, le plus haut possible. La douleur après n’était que de la douleur, sans intérêt, négative, néfaste. La libération, le nom de la phase que je donnais après l’éjaculation, se devait d’être la plus courte possible. Je la pratiquais parfois en apnée, retenant ma respiration, comme le temps, le plus longtemps possible. Il ne me fallut pas longtemps pour éjaculer et je montrai la paume de ma main à la webcam. - Lèche ! indiqua-t-elle comme message. Je cherchai, en faisant attention à ne dévoiler que le bas d...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 3 Découverte
il y a 2 ans

Un jeu du chat et de la souris s'opère entre le soumis et la maitresse sans que le narrateur ne s'en rende compte. Cela va l'entrainer un peu plus dans le grand bain où il n'aura plus de contrôle.

Chapitre 3 : Découverte Le public, l’exhibition n’entrait pas dans mes fantasmes. Je voulais juste prendre mon extase en jouissant dans la douleur. Je poursuivais, espérant lui faire oublier ce détail locatif. J’accrochai maintenant des pinces à linges de grandes tailles sur ma poitrine à raison de dix sur chaque. Dix vertes sur la droite, dix roses sur la gauche, laissant à nouveau mes tétons libres et m’attaquai à mes couilles et à mon sexe. Les couilles furent difficiles à attacher car le poids de la bouteille que je fixai généralement après, avait réduit la prise de peau flasque. - J’en veux une sur chaque couille qui la pince, pas juste sur la peau, m’écrit-elle. Je n’avais jamais essayé et en craignais la douleur, mais au contraire, si celle-ci était bien existante et pressante, elle accrut encore mon plaisir. - Merci maitresse, lui répondis-je face à un ordre qui me sortait de façon bénéfique de ma routinière t o r t u r e . J’utilisai les deux dernières plus puissantes enc...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 2 Maitresse
il y a 2 ans

Alors qu'il se promène sur Internet, il lie une première relation avec une dominatrice, mais quelques signaux l'alertent. Pourtant l'excitation est plus forte.

Chapitre 2 : Maitresse Pendant plusieurs semaines, je ne trouvais plus de femmes dominatrices voulant jouer avec moi. Sois je tombais sur des hommes, soient les femmes étaient vénales. Certaines m’insultaient même car je ne voulais pas payer. Elles prétendaient que toutes les dominatrices étaient professionnelles et qu’il fallait les rémunérer. Non seulement ma seule expérience me prouvait que non, mais l’analogie viendrait à croire que toutes les femmes qui faisaient l’amour étaient des prostituées. Je désespérai de trouver une nouvelle chance et je décidai d’appliquer une nouvelle stratégie. J’installais mes jouets douloureux et je m’autorisais un temps limite pour trouver un partenaire avant de finalement me branler. Désespérément les jours passèrent et j’allai de moins en moins sur les sites. Cela faisait presque une dizaine de jours que je n’avais pas tenté ma chance. Les cours augmentaient en intensité alors je jouais seul et vite pour me consacrer à mes études. Etant part...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 1 Indépendance
il y a 2 ans

L'histoire d'un jeune homme de dix-sept ans qui découvre que sa passion du masochisme est partagée aux travers de diverses rencontres qui l'emmèneront de plus en plus loin. Dans ce premier chapitre le décor est posé

Premières expériences et engrenages / Chapitre 1 : Indépendance J’avais dix-sept ans quand mon histoire commença. Je venais d’avoir mon baccalauréat et j’étais inscrit dans une école d’ingénieur. Mes parents m’avaient trouvé un petit F1 au rez-de-chaussée pour ne pas à avoir à revenir chez eux tous les soirs. Il y avait une heure de transport en commun et je n’avais pas l’âge de passer mon permis. Alors que j’avais été jusque-là enfermé, cocooné par ma famille, je me retrouvais soudainement indépendant. Beaucoup d’autres étudiants se lâchaient complétement : Soirées alcoolisées, activités sportives ou profondément immergés dans leurs livres. Chacun suivait, en dehors des cours, ses propres passions. Moi, ma passion était différente. J’étais adepte du masochisme. Ce n’était pas le bondage, ni le fétichisme, mais réellement le besoin, l’envie, la nécessité de sentir de la douleur afin de prendre un maximum de plaisir. De mémoire je devais avoir treize ans quand j’ai commencé à p...
Une Maîtresse particulièrement sévère avec son soumis
il y a 2 ans

Une punition est toujours plus dure en public

##### MAlice est une jeune Maîtresse âgé de 30 ans, jolie comme un coeur et avec un caractère bien trempé, elle fait tourner la tête des hommes. Hélas pour eux, elle est amoureuse de Henri son mari et soumis. Ne donnant pas dans la pluralité ni le libertinage, SON homme lui suffit amplement. Henri est également un bel homme, un soumis heureux et comblé même si sa femme est tout sauf tendre avec lui. Etant exclusive de nature, hormis le jour de leur mariage, il est sous [cage de chasteté](https://abcplaisir.com/fr/23-cage-de-chastete-metal) quasiment depuis qu’ils sont ensemble. Cette cage de chasteté ne les empêche pas de faire l’amour quand Madame a des envies, elle bloque tout simplement la masturbation. Que son mari et soumis puisse se masturber est au dessus de l’entendement pour MAlice. M pour Maîtresse, Alice pour son prénom. Pour elle, son mari n’a droit au plaisir que si elle le désire, et ce plaisir doit toujours être en sa présence. Le problème de Henri, est qu’a...
Test d'un récit
il y a 2 ans

Moment de nuit de partage

Il y aura certainement beaucoup de fautes certainement beaucoup de maladresse de mauvaise ponctuation etc non par maladresse mais apres tout ma dyslexie ne doit pas m'interdire un petit bout de text romantique et sensible à mes yeux Je m'essaie donc. Encore embrumé dans mes songes tard dans la nuit je me réveille apaisé par la pluie battante sur les fenêtres. Cette mélodie si particulière d'une nuit ou le vent souffle et fort et où l'orage gronde. Cela me fait prendre quelques secondes pour me sortir de ma torpeur. Et c'est à ce moment la que je me rencontre que je suis seule dans le lit. A cet instant je m'aperçois que derrière l'entrebâillement de la porte passe une douce lumière, le genre de lumière jaune et douce, lumière de la lampe du salon choisi par ma douce moitié pour lire lors de ces moments perdus. Dans les pages de ses livres préférés les nuits où le temps mouvementée se suspend et devient unique. Étant peut couverte j'enfile mon déshabiller rose et je me lèv...
Des défis entamés
il y a 2 ans

La suite Des Défis. L'éducation commence.

Debout je dû patienter, depuis un moment ; alors je croisai les bras. La posture de celui qui ne se sent pas à sa place, à l’opposé de Sabine toute détendue virvoltante, prises dans ses occupations. Elle avait étalé de multiples cartes et plans sur la grande table, sortis des tiroirs de son bureau. Ce désordre jurait avec son bel intérieur, l’ameublement du séjour que j’avais aperçu avant d’être cantonné ici dans un couloir est finement raffiné. Sabine me disait qu’il y avait là une activité typique à confier à un homme, un de ceux qui voulaient bien admettre son autorité. L’activité, qualifiée d’annexe, consistait à trier les documents déployés sur la table et leur présences ostensibles étaient le message que l’homme secondant la Femme donc assigné aux tâches annexes pourrait être moi. J’attendais l’ordre d’entrer dans la salle de bain de mon Hôtesse, tout encore habillé sauf les pieds nus. Enfin l’autorisation tomba, Sabine m’expliqua d’ôter tous mes vêtements afin de sauter dans...
BDSM AU BOULOT
il y a 2 ans

C'EST SUR SON LIEU DE TRAVAIL QU'UNE FEMME TRENTENAIRE, LISA, A DECOUVERT SA VRAIE NATURE.

Bonjour ! Je m’appelle Lisa, j’ai 38 ans, mariée, une fille de 7 ans. Depuis 6 ans, je travaille au sein de PROG-XL, un éditeur de logiciels spécialisés dans les télécommunications par satellite. PROG-XL compte 110 personnes. Je suis intégrée au service Administration Des Ventes, en tant qu’assistante commerciale. Depuis maintenant 3 ans, j’assure le secrétariat de 5 attachés commerciaux : suivi des fichiers clients, plannings et agendas, soutien téléphonique, organisations des déplacements, notes de frais... Tout un programme qui ne me laisse pas le temps de souffler, à tel point que je dépasse allègrement 45 heures par semaine. Dur dur quand on a une vie de famille. Mais j’aime mon travail et je m’épanouis pleinement dans cette entreprise, où règne une ambiance plutôt sympa et bon enfant entre collègues. Il y a moins d’un an maintenant, un nouveau boss est arrivé. Il s’agit de Hervé, le neveu de Noël, notre PDG. Il a surtout été recruté pour seconder Noël, celui-ci ayant dé...
Centre de réalisation des fantasmes
il y a 2 ans

Les clients et clientes vont vivre des choses horribles !

Le centre a mis au point une technologie innovante permettant à chacun de vivre ses fantasmes les plus fous sans intervention extérieure. La discrétion est totale, ce n’est en aucun cas de la prostitution. Eclatez-vous, envolez-vous dans une totale discrétion. Cette publicité lancée sur le net il y a quelques temps a généré un gigantesque raz-de-marée sur le site internet du centre. Les curieux bien sur, les fétichistes de tous bords ainsi que la police suspectant une activité illégale. Les explications données par le CRF (Centre de réalisation des fantasmes) sont d’une clarté totale bien que surprenante. A partir de 200 euros (moyen de paiement à votre convenance) nous mettons à votre disposition une cabine privée avec un ordinateur vous permettant grâce à nos logiciels de programmer vos envies et désirs les plus fou. A la suite de quoi, vous êtes invités à vous mettre intégralement nu et à entrer dans une sorte de scaphandre qui se refermera sur vous et grâce à not...
La catastrophe informatique du Centre de réalisation des fantasmes
il y a 2 ans

Tout se mélange pour rire ou pour pleurer mais attention, c’est chaud ! ! !

Tout allait bien sauf que....... mais écoutons encore quelques témoignages avant la catastrophe Témoignage d’une femme de 31 ans mère de famille Le fantasme du v i o l me suit depuis mon a d o l e s c e n c e . A cette époque, l’inconsciente que j’étais lisait le journal à la recherche de ces faits divers horribles, ma libido exacerbée faisait le reste la nuit sous ma couette. Comme mon mari est coincé du cul, j’ai abandonné l’idée de lui demander de m’attacher pour me prendre sauvagement, le jour où j’ai essayé de lui parler de mes fantasmes, il m’a traitée de folle. Pour moi, le Centre de réalisation des fantasmes pouvait me permettre de vivre secrètement et sans danger ce fantasme qui me suit depuis plus de 16 ans. Le Centre de réalisation des fantasmes devenu une obsession, je me suis souvent garée à côté pour observer les allers et venues. Les gens sortant de là affichant tous un visage radieux, j’ai fini par me décider mais j’ai payé en espèce grâce à de petites écon...
Contraintes maximums pour un soumis
il y a 2 ans

Enchaîné dans la cave d’une Maîtresse perverse

La chambre de lulu n'avait pas de fenêtre. C'était une petite pièce au sous-sol aux murs nus et au sol froid et dur. Maintenant, lulu était réveillé depuis un moment, bien qu'il ne puisse jamais être certain depuis combien de temps cela avait été vraiment. La seule lumière émanait du petit espace sous la porte. Aux yeux de lulu, elle était brillante, presque aveuglante. Cela le rendait presque certain qu'il faisait déjà jour. Il déplaça un peu son poids, essayant de soulager la raideur de ses muscles, et sa chaîne trembla. Elle était lourde et faite d'acier. Elle était attachée au collier de lulu ainsi qu'au mur de la pièce. Alors qu'il se déplaçait, un de ses pieds glissa du petit tas de paille, et un frisson parcourut son corps quand il toucha la pierre froide. Rapidement, il rétracta son pied nu. Comme d'habitude, lulu était presque entièrement nu dans ses petits quartiers. Sa queue, bien sûr, était dans sa cage. Il l'avait porté pendant au moins un bon mois et lulu ne pouvai...
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