Vous m'aviez donné vos mensurations et j'avais commandé l'article spécialement. J'avais oublié que je vous avais également donné mes mensurations, mais vous me le rappelleriez bientôt. Je vous ai envoyé un colis environ une semaine avant de venir. Quand je suis arrivé, tu m’as demandé : « Êtes-vous sûr que je voulais faire ça ? » J'ai simplement dit : « Oui, j'en ai toujours rêvé. » Tu as dit : « Souviens-toi juste que je suis très, très mouillée et que je gicle beaucoup et je veux dire BEAUCOUP. Deuxièmement, une fois que nous commençons, nous sommes tous les deux enfermés jusqu'à ce que la glace autour de la clé fonde. Troisièmement, j'ai lu tes écrits sur tes fantasmes et je vais en réaliser un autre pour toi, une enceinte entièrement en caoutchouc. » « Que veux-tu dire ? » demandai-je. Vous avez dit : « J’ai d’autres articles en plus de ceux que vous m’avez envoyés. N’oubliez pas que vous m’avez également envoyé vos mensurations. Si vous voulez porter ce que vous m’a...

Le lendemain Chris avait du mal à se concentrer sur son travail. Il ne pensait qu’à Sandrine et à leur rencontre. La nuit il rêvait d’elle. Jamais une semaine ne luit paraissait aussi longue. Finalement arriva le jour J. Il se rasa de près, prit une bouteille de bon whisky, embrassa sa cousine et s’apprêtait à sortir. - C’est une blonde ou une brune ? lui demanda sa cousine. - Hein ? - Je sais bien que tu vas chez une fille. - N’importe quoi ! - Amuse-toi bien. - Merci. La ville n’étant pas très grande, Chris décida de se rendre chez sa Féminisatrice à pieds pour pouvoir boire de l’alcool. Ponctuellement il sonna chez elle. - Salut, comment tu vas ? elle portait une longue robe noire, se fit un smokey eye et maquilla sa bouche en rouge vif. Les ongles aux mains arborait la même couleur que sa bouche sublime et ceux de pieds étaient vernis en noir. - Bonjour, Madame, vous êtes divine, il s’agenouilla devant elle et embrassa ses mains. - Tu m’flattes, tu sais ? Qu’est-ce qui m’...

Sandrine entama un nouveau paquet de mouchoirs. Elle passait son après-midi à pleurer. Après trois longues semaines passées à s’occuper de sa mère malade, elle apprit que son mari la trompait. C’est en rentrant chez elle qu’elle le surprit dans leur lit conjugal avec une autre. L’autre n'était pas moins surprise, elle croyait qu’elle habitait chez un célibataire, et oui elle s'installa déjà chez Sandrine pendant son absence. Folle de rage, elle les vira dehors. Sa voix, son regard et sa face exprimait une rage si forte, si sauvage et si incontrôlable que les tourtereaux n'osaient pas protester. Une fois l’adrénaline retombée elle commença à mettre les affaires de son con de mari ainsi que de sa salope dans des sacs poubelle. En sortant toutes ces choses une paire de menottes tomba par terre. Un court instant elle se rappela les moments coquins passés avec son mari, mais elle avait conscience que c’était fini. Fatiguée elle fit rapidement sa toilette et alla se coucher. Le lendemain...

Lucas attendait toujours sa princesse. Âgé de vingt six ans il n’avait jamais eu de copine. Vous vous demandez comment est-ce possible ? Vous imaginez sûrement qu'il était laid, gros ou misogyne, Rien de cela. Plutôt beau gosse, intelligent et hétéro, il se faisait draguer depuis son adolescence mais ne comprit jamais l'intention de filles qui s’intéressaient à lui. Sa timidité chronique ainsi que ses parents conservateurs n’amélioraient pas son cas. De plus il vivait dans son monde et ne sortait que lors de fêtes de famille. Sa réalité était celle de la télé et des médias sociaux. Il rêvait d’une femme parfaite. ne se masturbait même pas. Il travaillait dans la boutique spécialisé dans le matériel photographique appartenant à ses parents où des nombreuses belles femmes qui brisaient les cœurs des hommes tentaient de flirter avec lui mais il remarquait toujours un petit défaut qui disqualifiait la candidate potentielle. Rien d’étonnant qu’il était toujours puceau! Et il ne se masturb...

Les lumières étaient éteintes. Je ne me souviens pas qu'elles aient été éteintes. Même à travers ma capuche, j'avais vu un filet de lumière, mais maintenant c'était l'obscurité totale. J'ai remarqué qu'il était difficile de bouger ma mâchoire comme si elle avait été attachée. J'ai aussi réalisé que j'étais debout. Combien de temps s'était écoulé. J'avais une sensation de pression, comme si une perfusion avait été mise en place. Et j'avais l'impression que quelque chose avait été inséré à l'intérieur de mon pénis. Je ne pouvais pas bouger du tout. En fait, je ne pouvais pas bouger d'un pouce. J'étais dans une sorte de lit à dépression vertical. Je respirais à travers une sorte de masque qui avait été attaché à mon nez et à ma mâchoire. Je ne pouvais pas ouvrir la bouche, mais je pouvais respirer à travers le tube placé entre mes dents. Elle m'avait dit que je ne deviendrais rien et j'étais là. Un objet immobile, sans défense, sans but, enfermé dans du caoutchouc. J'ai entendu u...

Le lendemain de bonne heure il arriva chez Claire. - Salut, entre, t’es vraiment impatient de devenir ma poupée, j’ai même pas eu l’temps de prendre mon ptit-déj. - J’y ai pensé, je t’ai apporté des croissants, il montra un sachet en papier blanc comme s’il s’agissait d'un trophée. - C’est sympa, moi aussi j'ai une surprise pour toi, elle sourit. - Une surprise ? après sa matinée avec Mélanie il appréhendait les surprises. - Allez viens, elle le tira par la main et l’emmena dans sa chambre, j'ai fait un peu de ménage hier et j'ai retrouvé mon vieux joujou, elle lui montra des menottes peluche. Subitement Adrien eut une idée. - Te laisserais-tu menotter? il demanda à la jolie blonde. - Certainement, elle tendit ses mains en avant. Tremblant et maladroitement il passa les menottes à sa charmante amie, puis il s’approcha d’elle et posa les avant-bras de la fille sur ses épaules, la prit par les hanches et embrassa sur la bouche. Elle lui rendit le baiser et continuait à l’embras...

Adrien ouvrit les yeux. Il s’habituait à la pénombre qui régnait dans la pièce. Quelques instants après, les contours devenaient plus nets. Il se rendit compte que c’était la chambre de Mélanie, la plus belle femme de cette petite ville qui finalement accepta un rendez-vous avec lui. La dernière chose dont il se rappelait c’était elle, cette belle brune de 23 ans qui lui remplissait son verre. Il voulait vérifier l’heure sur son portable mais réalisa que quelque chose retenait ses mains. Il tourna la tête et constata que ses poignets étaient menottées au cadre du lit. Surpris, il essayait de bouger ses pieds mais s’aperçut qu’ils étaient attachés avec des sangles en cuir noir. Cette situation l’excitait, il se demandait qu’est-ce que sa belle copine fit encore de lui. Il entendit des pas dans l’escalier et s’excita davantage à l’idée de voir sa bourrelle. La porte s’ouvrit, le cœur du menotté accéléra, son pénis durcit, à ce moment-là il sentit une douleur, comme si une poignée de fer...

Malgré notre jeune âge à ma copine et moi, 18 ans tout les deux actuellement, on a un minimum d’expérience en terme de sexe dit conventionnel, j'ai fais ma première fois à 15 ans et elle à 16. Cependant, j'ai beaucoup d’expérience en SM depuis un moment déjà, mais uniquement en solo, le sujet n'est pas du tout tabou entre nous, on en discute régulièrement de manière très ouverte et sans gêne, bien qu'elle n'ai pour sa part que quelques connaissances théoriques de ce monde. Je vous mets donc dans le contexte du week end, on avait déjà 18 ans, mais encore au lycée, aujourd'hui, on est à l'université, c'est galère pour se voir. Mais mes parents partaient ce week end là pour voir de la famille loin, ils partaient le vendredi après midi et revenaient dans la nuit de dimanche à lundi. On avait donc 2 jours et une soirée rien que pour nous vu que mes parents étaient d'accord pour qu'elle vienne dés vendredi. Le vendredi, on finissaient tous les 2 assez tôt, on a donc mangé au lycée et on e...

- Pour des raisons de discrétion les noms, ainsi que ceux de certains lieux, ont été modifiés - Chapitre 1 : Week-end vicieux en amoureux. Partie 1 - Conditionnement à distance. Je me réveille dans la douleur. Un faux mouvement a dû bouger ma cage de chasteté qui me pince horriblement d'un coup. Je me lève et fonce dans les toilettes du train pour la remettre en place à l'aide de sa clé que je passe entre les ouvertures pour faire bouger ma queue à l’intérieur. Bien évidemment dans la précipitation je réussis à me faire un peu plus mal. Les joies de la soumission ... Je profite d'être là pour pisser. Je m'assois sur le chiotte (cage oblige!) qui ne manque pas d'être humide des précédents visiteurs (Alors certes, dans ce contexte ça me plaît mais, par pitié messieurs, levez cette putain de lunette !). En savourant le plaisir de souiller mon cul dans l'urine d'inconnus, je sors mon téléphone de ma poche pour voir combien de temps il me reste de voyage avant mon arrivée à Par...

De retour chez lui, après avoir passé une nuit de rêve, Clément savait qu’il ne lui restait plus qu’une chose à faire. Par contre c’était la plus importante et peut-être la plus difficile. Il fallait convaincre Mylène de la rejoindre dans son projet, car sans elle tous ses efforts n’auraient aucun sens. La camionnette était déjà prête grâce à des longues heures de travail, les quatre dernières semaines épuisaient Clément. Il avait besoin de repos et de se changer les idées. ''Pour commencer je mangerais bien quelque chose’’ se dit notre amateur de féminisation. Il se rappela que sa mère acheta hier une pastèque alors il descendit dans la cuisine prit le fruit ainsi qu’un grand couteau et revint dans sa chambre. Il n'eut le temps de manger qu'un morceau lorsque son téléphone sonna. C’était Mylène. - Salut, comment vas-tu ? Ça fait longtemps. - J’suis fatigué. - Toi, t’es fatigué? Mais qu'est-ce que t'as fait? - Viens chez moi alors je te le montre. - Ok, j’arrive. Elle ne s...

##### « Une dominatrice est une femme avant tout. Son statut de Maîtresse n’est pas incompatible avec des besoins ou envies d’un ou plusieurs sexes mâles. A cela se rajoute, que parmi les hommes, être soumis et ramper aux pieds des femmes, lécher leurs sexes ou fesses comme des larbins sont des fantasmes récurrents. Je suis convaincu qu’ouvrir un club libertin avec cette orientation nous permettrait de faire fortune tout en comblant des hommes et des femmes ». C’est avec cette idée que Marc racheta un club libertin à Saragosse après la vague destructrice du Covid. A cette époque, les clubs en berne suite à la crise économique se vendaient pour une bouchée de pain. Son choix géographique était basé sur une stratégie économique et pratique. Madrid et Barcelone étant déjà des lieux orientés gays puis des villes pourvues de clubs divers, son choix portait à la fois sur le côté pratique puisque son gîte fétichiste n’est qu’à 40 minutes de Saragosse et surtout, un secteur ou les club...

Clément n’arrivait pas à dormir, deux questions le tracassait. À la première il essayait de répondre depuis un certain temps déjà. Comment ça se fait qu’ils avaient du mal à trouver un travail. La seconde apparut ce soir. Pourquoi était-il tellement excité de porter des vêtements de femme, de se faire maquiller etc? Il était pourtant hétéro. Avait-il des penchants? Il passait toute la nuit sur son téléphone pour trouver des réponses et il découvrit le monde fascinant du travestissement. La lecture de témoignages, récits, conseils et surtout le visionnage de vidéos l'excita autant que sa transformation en femme. Il constata également que la demande était supérieure à l’offre, c’est-à-dire il y avait beaucoup plus d'hommes qui rêvaient de se transformer en filles que de femmes qui auraient voulu le faire. Et bien cela lui donna une idée. La nuit-même il publia une annonce qu’il débarrasserait de vieux vêtements qui encombrent les caves, greniers et autres placard. Mamie sera contente qua...