Récits
Premières expériences et engrenages : Chapitre 113 : Retour chez soi
il y a 1 an

Le redémarrage d’un engrenage permet de réaligner certaines roues qui parfois prennent un peu trop de jeu.

Chapitre 113 : Retour chez soi - Que proposez-vous ? répondit ma maîtresse ? - J’ai bien aimé quand il avait les orties en classe. Je le voudrais bien du mercredi midi au soir. Le titiller en public, j’avoue que cela m’excite. - Pas de soucis ! Et toi Valérie ? - Je ne sais pas. Occasionnellement. J’aimerai l’avoir durant des soirées, où il serait comme Ben, un esclave entièrement soumis à mes ordres. Je n’ai toujours pas profité de ses dons pour le cunnilingus. Maîtresse Diane et Lydia émirent un soupir similaire en même temps. J’avais du succès. Je remuai ma langue vers elles leur rappelant à mon bon souvenir. - Tu veux une autre tétine ? me menaça Lady Christine. J’arrêtai immédiatement, au grand désarroi de Lassie. - Es-tu d’accord avec cette organisation ? me demanda finalement Ladyscar maintenant que tout avait été figé. Oui, me hurla Lassie. Oui, oui et encore oui, me bourrait elle le crâne, m’empêchant de réfléchir. Que pouvais-je dire d’autre ? Je le...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 112 : Le contrat
il y a 1 an

Un bon cahier des charges entraine un bon produit ; c’est aussi valable pour un engrenage.

Chapitre 112 : Le contrat C’était bien la peine de se cacher pendant les deux séances pour se dévoiler cinq minutes avant la fin, pensai-je. - Je le savais, je l’avais reconnue, s’exclama Nathalie. Je te l’avais dit, ajouta-t-elle à l’intention de sa copine. Valérie confirma ses dires et son sens de la déduction. - Elle me soutenait que c’était vous. Elle a reconnu votre style, vos expressions, la façon dont vous nous guidiez dès la première séance, très professorale. Elle trouvait même un truc dans votre voix et même votre attitude en cours depuis le lui confirmaient. - Et Ladyscar se doutait que tu savais, ajoutai-je à Nathalie. Je ne savais pas pourquoi j’avais dit cela. Peut-être qu’à nouveau je prenais la défense de ma maîtresse à la voir dévalorisée de ses efforts infructueux à rester secrète. Un silence s’installa. On espérait ne pas entendre des mots sortant de la bouche des étudiantes comme révélation, démasqué, on saura… Finalement ce fut Maîtresse Diane qui...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 111 : Subterfuge dévoilé
il y a 1 an

Avoir une vue d’ensemble sur un engrenage ne permet pas de déterminer le rôle de chacune de ses roues.

Chapitre 111 : Subterfuge dévoilé - Sébastien et une maîtresse, répondis-je honnêtement. Tous les regards se tournèrent vers Tata Marguerite. Les avis respectifs entre Christine et Marguerite sur Maitre Lucifer, l’insistance de Tata Marguerite à me faire boire ce biberon, alors que l’envie de jouer n’y étais pas après ma démonstration chez Lucifer, la facilité de Lady Christine à toujours me défendre, tout convergeait. - Vous n’avez pas le sadisme nécessaire, accusa-t-elle alors Maîtresse Diane, devant nos regards insistants. Jamais prête à aller aussi loin que lui. Ethique, accord préalable, concilier, négocier… Les soumis ne doivent marcher qu’à la douleur et aux médocs. Ils ne sont rien et leur avis ne compte pas. - Tu dis cela alors que tu as sûrement le soumis le plus libre, car le plus pris par ses activités extérieures, celui qui a les plus grands pouvoirs. Que ce soit d’ailleurs en dehors de nos jeux, mais également dans le choix de décider des séances auxquels il p...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 110 : Démasqués
il y a 1 an

…incrustés dans les murs et la pierre, si on ne nettoie pas ces débris immédiatement, il arrive qu’on les retrouve des années plus tard, empoisonnant notre existence.

Chapitre 110 : Démasqués C’est le bruit qui me réveilla. De nombreuses personnes discutaient en même temps. Le ton semblait plus proche du conflit que de juste une altercation enflammée. Je ne reconnaissais que partiellement certaines voix, et les mots distingués ne formaient pas dans mon esprit de phrases suffisamment intelligible. Je décidai de garder les yeux fermés, le temps de savoir où j’étais et surtout ce qui se passait. - Je n’ai rien senti, jura Myriam. - On ne ressent pas le sperme avec un préservatif, répondit une voix d’homme plus loin de moi. - Elle était toute molle, insistait-elle. - Vous aviez l’air pourtant de vous éclater, dit Nathalie. - Je faisais semblant. Il n’a pas pu éjaculer avec une bite molle, de toute façon. - Elle n’a pas besoin d’être dur pour éjaculer, entendis-je maintenant plus distinctement la voix masculine. Je croyais reconnaître un des valets, mais je n’arrivai plus à savoir lequel. J’avais encore besoin de temps pour m’évei...
L'éducatrice (partie 5/5)
il y a 1 an

Le piège se referme

[Le début de cette saga est ici](/recit/199526) — Très bien, Marc ! Je suis fier de toi ! me félicita Kassandra en caressant mes fesses endolories. Tes fesses sont bien chaudes ! Elles ont pris une belle couleur voilette ! Je prends une photo pour l’envoyer à ta belle-mère, qu’elle puisse constater que tu as bien été puni ! J’entendis le déclenchement de l’appareil photo du potable de Kassandra à trois reprises. Kassandra alla déposer la canne loop sur son bureau et revint vers moi. Je sentis sa douce main, me caresser les fesses. Mon postérieur était si brûlant, que sa main me sembla glacée. Quand elle me détacha du banc à fesser, j’eus la plus grande peine du monde à me relever. J’étais exténué. Mes jambes étaient flageolantes. — Mets tes mains sur la tête, Marc ! me réclama Kassandra. Ça serait dommage de ne pas monter à ta belle-mère que ton vilain petit oiseau est bien enfermé dans sa belle petite cage, maintenant ! s’enjoua Kassandra. Elle prit deux photos. La premièr...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 109 : Le piège se referme
il y a 1 an

Si un engrenage doit céder, les débris en parcelleront la pièce plus densément qu’un ciel étoilé.

Chapitre 109 : Le piège se referme - Oui, avouai-je enfin. Je me sens fatigué. - Penses-tu que cela pourrait être à cause des substances que j’ai mis dans le lait ? me demanda-t-elle cyniquement. - Qu’as-tu mis ? m’inquiétai-je. Le goût de fraise ! réalisai-je. - C’était de l’arôme fraise naturel, une petite attention de ma part, que n’aurait pas eu tes maîtresses. Même si je l’ai ajouter pour masquer le reste des produits : un petit cocktail de ma composition, un mélange de somnifère, d’anti-dépresseur ainsi qu’un produit que la loi impose à ceux comme toi qui ont exagéré sexuellement, un castrateur chimique. - Pourquoi ? - Connais-tu l’enjeu du pari entre Ladyscar et Basile ? - Non, répondis-je, alors que Myriam poursuivait son va-et-vient inutile, tenant surtout à me garder allongé, enfoncé dans mon cercueil. J’étais certain, qu’à mon rythme, dans une autre position, je pouvais surmonter ce mélange, dont je soupçonnais qu’il n’avait pas complétement fait effe...
L'éducatrice (partie 4/5)
il y a 1 an

Tawse, Martinet et cravache, que ces deux vilaines fesses, en rouge soit colorié de la taille aux cuisses.

[Le début de cette saga est ici](/recit/199526) Et ce fut une nouvelle surprise pour moi. Charlotte et Margaux n’étaient pas des femmes, mais de jeunes garçons habillés de robes de soubrette en satin. Charlotte portait une robe classique noire avec un tablier blanc alors que Margaux portait une robe rouge avec un tablier noir. C’était donc ça des sissys ? Des hommes travestis en femme ! Elles étaient honteuses, la tête basse. Et moi, j’espérais de ne pas devoir subir la même humiliation. — Déshabillez-vous et mettez-vous au coin les filles ! réclama Kassandra. Je m’occuperais de vous quand j’en aurais fini avec ce garnement ! — Oui, Maîtresse Kassandra ! répondirent en cœur les deux sissys. Kassandra me laissa les regarder se dévêtir. — El… Il… bafouillais-je. — Tu peux dire elle ! me coupa Kassandra. — Elles sont venues ici, habillées comme ça ? questionnais-je. — Non ! Elles sont venues en voiture ! Le chauffeur de leurs maîtresses les a accompagnés ! m’expliq...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 108 : Jour J
il y a 1 an

Il existe un point d’efficience maximum pour un engrenage, un panachage unique de couple et de vitesse.

Chapitre 108 : Jour J Je voulais profiter de l’occasion unique d’avoir une relation avec une maîtresse et j’avais déjà profité de Diane, mon choix se portera donc sur la dernière. En ce qui concernait la second personne, ou plutôt la première, je me faisais une joie de ne pas prendre Nathalie sachant que cela la rendrait plus sadique encore. Je connaissais déjà intimement Lydia et la vendeuse rousse et je préférais choisir quelqu’un de nouveau et que je ne reverrais probablement plus. En cas de maladresse ou d’échec, je n’aurai plus à croiser son regard. - Ce sera Myriam et Tata Marguerite. Myriam était une de deux autres jeunes vendeuses. Fine, petite, beaucoup plus que Sandrine la rousse, elle était brune aux cheveux sombres. Sa peau n’était pas juste bronzée. Elle avait assurément des parents d’origine et de couleurs différentes. Mais ce n’était pas sa couleur de peau que j’avais apprécié le plus dans le magasin. Sa poitrine ferme, petite, tendue à l’auréole discrète mais...
L'éducatrice (partie 3/5)
il y a 1 an

Le vilain oiseau entre en cage, et les fesses rougissent.

[Le début de cette saga est ici](/recit/199526) — Je sais, Marc ! Mais je te la mettrais que tu le veuilles ou non ! balaya Kassandra. Puis, elle m’expliqua en desserrant les dix vis fixées sur la cage avec sa clé en forme de cœur et les plaçant une à une dans le creux de sa jupe. Les pointes sont faites pour prévenir toute érection ou tentative de tricherie de ta part, Marc ! Mais si tu restes sage, tu n’auras pas à les porter ! Quand elles sont en place, elles rendront tes érections très douloureuses pour te rappeler que tu ne dois plus te comporter comme un petit pervers ! Mais ne t’inquiète pas ! Les pointes sont émoussées pour qu’elles ne soient pas blessantes ! Tu les porteras pour ta première journée en cage ! Je pense qu’il est très important que tu comprennes rapidement qu’elle est ta nouvelle place ! Avec ta belle-mère, nous te surveillerons ! Et si nous constatons que malgré la cage tu tentes de te toucher, nous remettrons les pointes en place pour vingt-quatre ou quarant...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 107 : Le cadeau
il y a 1 an

La conception d'un engrenage ne consiste pas uniquement en une création issue du néant, il faut souvent se guider dans des choix circonscrits.

Chapitre 107 : Le cadeau - Nous avons rattrapé le programme ? lançai-je, toujours troublé par ce que je venais de faire. Après m’avoir nettoyé une seconde fois, j’eus le droit de profiter de la salle de bain de l’étage où Ladyscar remplissait un nouveau bain. - Tu sais que je ne pourrais pas participer, me rappela-t-elle, alors que nous n’étions plus que deux. - J’avais oublié, avouai-je. Vous ne pouvez pas vraiment vous dévoiler ? - Non. Tu sais que rien n’a changé depuis hier. Cela t’a probablement paru long, mais pour moi, et encore plus pour elles, la situation est identique. Je comprenais. Je comprenais très bien. Je savais que cela l’ennuyait. Je voulais lui dire quelques mots, mais au lieu de cela, incapable de trouver quelque chose de gentil, je me glissai dans le bain chaud. - Que va-t-il se passer ? - Tu verras. C’est ta récompense, ton cadeau pour ce weekend. - Mon dépucelage. Mon dépucelage avec une femme. - Oui. Cela ne te tente pas ? Tu m’as...
L'éducatrice (partie 2/5)
il y a 1 an

Après avoir été recadré, Marc découvre enfin sa cage de chasteté.

La réaction de Kassandra fut immédiate. Elle reposa le sac en velours sur son bureau et le visage rouge de colère, elle s’avança vers moi d’un pas pressé et me flanqua une gifle. — C’est quoi ce langage de charretier ? Les mots de ce genre sont interdits chez moi ! pesta-t-elle. Passé la surprise de la gifle, je criai à mon tour. — Dans ce cas, laissez-moi partir ! — Oh, non ! Certainement pas ! Tu m’as été envoyé pour que je fasse de toi un parfait homme soumis, alors je vais te mater et faire de toi un parfait homme soumis, Marc ! rejeta Kassandra. Quand elle voulut me mettre une nouvelle gifle, j’attrapai son bras avec un sourire. Moi qui pensais l’avoir prise aux dépourvues et pris le dessus sur elle. C’était une grave erreur. Sans la moindre difficulté, elle retourna la situation à son avantage. Sa main se referma sur mon poignet, puis elle me tordit mon bras dans le dos, m’attrapa l’oreille de sa main libre, me força à allonger mon corps sur son bureau et avant mêm...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 106 : Un gros biberon
il y a 1 an

Tout est question de convenance, comme le liquide et l’engrenage. Si l’eau est son ennemi, l’huile lui sied.

Chapitre 106 : Un gros biberon Ladyscar me sourit. Cette phrase n’était pas de moi. C’était une de celles qu’elle ressortait souvent en classe lorsqu’un de ses étudiants tombait dans le piège de ses exercices. Ce ne m’était jamais arrivé, je devais bien l’admettre, qu’importe ma modestie. J’avais d’autant plus apprécié sa philosophie que je n’y avais pas été personnellement affecté. Je ne m’étendrais pas sur mon nettoyage, même si certains détails appréciables seraient par d’autres appréciés. J’essayai même d’en occulter la vision comme l’odeur, me concentrant sur la conversation, trop heureux d’avoir retrouvé une bouche et une gorge dégagée, même si je l’eusse préférée entièrement rincée. Je ne trouvai au début rien d’érotique à cette activité, même si les huit mains recouvertes de leurs gants de caoutchouc, se promenant sur mon corps, mes fesses et mon sexe libéré. Ce n’est que lorsque la propreté revint, que je retrouvais certaines envies dont mon sexe s’en arbora fièrement...
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