Récits
Premières expériences et engrenages : Chapitre 116 : Après la pause
il y a 1 an

Quand l’engrenage chauffe, bruite ou émet de la fumée, inutile d’en accélérer le mouvement pour en faire disparaitre l’inconfort.

Chapitre 116 : Après la pause Le sourire qui élargissait l’ensemble du visage de Christian me fit frissonner malgré la température de la pièce que les deux projecteurs avaient élevée aux alentours, sans conteste, de trente degrés. J’essayai de dégager la chaîne du crochet, alors que Vlad fouillait toujours dans le coffre. Christian avait enlevé sa chemise et ses chaussettes, ne gardant que son survêt taché. Ses yeux sombres et sa barbe le faisaient ressembler maintenant plus à un personnage d’une période mégalithique soulevant des pierres pour assembler des dolmens, qu’à un dominateur tel que Basile, Lucifer ou même Vlad, plus sophistiqué. Il alluma le plug et me souleva en prenant uniquement appui sur le socle de celui-ci. Le malade, pensai-je. Il allait me l’enfoncer, si loin, comme un suppositoire, que je ne pourrai plus le ressortir. Vlad prit ses photos, tandis que le gorille, content de sa prestation physique, poursuivait sur autre chose. Il s’agissait maintenant de c...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 115 : Les photos
il y a 1 an

Ce n’est pas parce qu’un engrenage grince qu’il ne fonctionne plus, mais il y a de fortes chances qu’il s’use plus vite.

Chapitre 115 : Les photos - J’aurais dû monter avec des habits, répondis-je faussement embêté, sachant l’inutilité, voire le sarcasme de ma réponse. - Des photos de nus, reprit Christian, hermétique à mon humour. - J’espère qu’au moins il vous fait bien l’amour, plaignis-je Vlad, devant ce manque évident d’intelligence. Ce dernier sourit. Christian ne comprenait même pas ma remarque. Ils me conduisirent dans la chambre à coucher. Tout y avait déjà été préparé. Deux lampes, des projecteurs au vu de l’intensité lumineuse qu’ils dégageaient, dirigeaient leur éclairage vers le lit couvert d’un drap de satin noir. Il insisterait judicieusement sur la blancheur de mon corps, pensai-je en connaisseur. - Tu n’as jamais fait de photos ? - Des nus ? répondis-je. - En général. - Non. Aurai-je raté une carrière de top-model ? dis-je ahuri. Vlad rit de ma blague. Christian ne fit aucun mouvement. C’était étrange comme impression. J’étais mal à l’aise, pire que lorsque je...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 114 : Un voisin plutôt pressé
il y a 1 an

Dans un engrenage, quand le couple change, la vitesse aussi, comme l’inertie et l’usure, tout est lié.

Chapitre 114 : Un voisin plutôt pressé Nathalie se précipita pour ouvrir. - Bonsoir, vous êtes son voisin ? demanda-t-elle. Nous vous attendions. Deux hommes entrèrent. Christian et Vlad se présentèrent. J’étais certain de n’avoir jamais vu le prénom de ce dernier sur la sonnette ni sur la boite aux lettres. La connotation étrangère ne devait pas être appréciée. Il l’avait omise. Vlad était charmant avec ces dames, leur faisant même le baise-main. Mon appartement me paraissait d’un coup beaucoup trop petit. - Alors ? Avez-vous étudié ma proposition ? commença Vlad. - J’ai décidé de la rejeter et de vous en faire une autre. - Allez-y, répondit-il l’œil joueur. - Tous les dimanches soir hors vacances scolaires, jusqu’à fin mai, il viendra dans votre appartement avant dix heures du soir et vous le libérerez avant deux heures du matin. - Cela me semble un bon point de départ pour une discussion. Nous pourrions accepter mais nous voulons mettre deux conditions - Q...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 113 : Retour chez soi
il y a 1 an

Le redémarrage d’un engrenage permet de réaligner certaines roues qui parfois prennent un peu trop de jeu.

Chapitre 113 : Retour chez soi - Que proposez-vous ? répondit ma maîtresse ? - J’ai bien aimé quand il avait les orties en classe. Je le voudrais bien du mercredi midi au soir. Le titiller en public, j’avoue que cela m’excite. - Pas de soucis ! Et toi Valérie ? - Je ne sais pas. Occasionnellement. J’aimerai l’avoir durant des soirées, où il serait comme Ben, un esclave entièrement soumis à mes ordres. Je n’ai toujours pas profité de ses dons pour le cunnilingus. Maîtresse Diane et Lydia émirent un soupir similaire en même temps. J’avais du succès. Je remuai ma langue vers elles leur rappelant à mon bon souvenir. - Tu veux une autre tétine ? me menaça Lady Christine. J’arrêtai immédiatement, au grand désarroi de Lassie. - Es-tu d’accord avec cette organisation ? me demanda finalement Ladyscar maintenant que tout avait été figé. Oui, me hurla Lassie. Oui, oui et encore oui, me bourrait elle le crâne, m’empêchant de réfléchir. Que pouvais-je dire d’autre ? Je le...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 112 : Le contrat
il y a 1 an

Un bon cahier des charges entraine un bon produit ; c’est aussi valable pour un engrenage.

Chapitre 112 : Le contrat C’était bien la peine de se cacher pendant les deux séances pour se dévoiler cinq minutes avant la fin, pensai-je. - Je le savais, je l’avais reconnue, s’exclama Nathalie. Je te l’avais dit, ajouta-t-elle à l’intention de sa copine. Valérie confirma ses dires et son sens de la déduction. - Elle me soutenait que c’était vous. Elle a reconnu votre style, vos expressions, la façon dont vous nous guidiez dès la première séance, très professorale. Elle trouvait même un truc dans votre voix et même votre attitude en cours depuis le lui confirmaient. - Et Ladyscar se doutait que tu savais, ajoutai-je à Nathalie. Je ne savais pas pourquoi j’avais dit cela. Peut-être qu’à nouveau je prenais la défense de ma maîtresse à la voir dévalorisée de ses efforts infructueux à rester secrète. Un silence s’installa. On espérait ne pas entendre des mots sortant de la bouche des étudiantes comme révélation, démasqué, on saura… Finalement ce fut Maîtresse Diane qui...
L'éducatrice (partie 5/5)
il y a 1 an

Le piège se referme

[Le début de cette saga est ici](/recit/199526) — Très bien, Marc ! Je suis fier de toi ! me félicita Kassandra en caressant mes fesses endolories. Tes fesses sont bien chaudes ! Elles ont pris une belle couleur voilette ! Je prends une photo pour l’envoyer à ta belle-mère, qu’elle puisse constater que tu as bien été puni ! J’entendis le déclenchement de l’appareil photo du potable de Kassandra à trois reprises. Kassandra alla déposer la canne loop sur son bureau et revint vers moi. Je sentis sa douce main, me caresser les fesses. Mon postérieur était si brûlant, que sa main me sembla glacée. Quand elle me détacha du banc à fesser, j’eus la plus grande peine du monde à me relever. J’étais exténué. Mes jambes étaient flageolantes. — Mets tes mains sur la tête, Marc ! me réclama Kassandra. Ça serait dommage de ne pas monter à ta belle-mère que ton vilain petit oiseau est bien enfermé dans sa belle petite cage, maintenant ! s’enjoua Kassandra. Elle prit deux photos. La premièr...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 109 : Le piège se referme
il y a 1 an

Si un engrenage doit céder, les débris en parcelleront la pièce plus densément qu’un ciel étoilé.

Chapitre 109 : Le piège se referme - Oui, avouai-je enfin. Je me sens fatigué. - Penses-tu que cela pourrait être à cause des substances que j’ai mis dans le lait ? me demanda-t-elle cyniquement. - Qu’as-tu mis ? m’inquiétai-je. Le goût de fraise ! réalisai-je. - C’était de l’arôme fraise naturel, une petite attention de ma part, que n’aurait pas eu tes maîtresses. Même si je l’ai ajouter pour masquer le reste des produits : un petit cocktail de ma composition, un mélange de somnifère, d’anti-dépresseur ainsi qu’un produit que la loi impose à ceux comme toi qui ont exagéré sexuellement, un castrateur chimique. - Pourquoi ? - Connais-tu l’enjeu du pari entre Ladyscar et Basile ? - Non, répondis-je, alors que Myriam poursuivait son va-et-vient inutile, tenant surtout à me garder allongé, enfoncé dans mon cercueil. J’étais certain, qu’à mon rythme, dans une autre position, je pouvais surmonter ce mélange, dont je soupçonnais qu’il n’avait pas complétement fait effe...
L'éducatrice (partie 4/5)
il y a 1 an

Tawse, Martinet et cravache, que ces deux vilaines fesses, en rouge soit colorié de la taille aux cuisses.

[Le début de cette saga est ici](/recit/199526) Et ce fut une nouvelle surprise pour moi. Charlotte et Margaux n’étaient pas des femmes, mais de jeunes garçons habillés de robes de soubrette en satin. Charlotte portait une robe classique noire avec un tablier blanc alors que Margaux portait une robe rouge avec un tablier noir. C’était donc ça des sissys ? Des hommes travestis en femme ! Elles étaient honteuses, la tête basse. Et moi, j’espérais de ne pas devoir subir la même humiliation. — Déshabillez-vous et mettez-vous au coin les filles ! réclama Kassandra. Je m’occuperais de vous quand j’en aurais fini avec ce garnement ! — Oui, Maîtresse Kassandra ! répondirent en cœur les deux sissys. Kassandra me laissa les regarder se dévêtir. — El… Il… bafouillais-je. — Tu peux dire elle ! me coupa Kassandra. — Elles sont venues ici, habillées comme ça ? questionnais-je. — Non ! Elles sont venues en voiture ! Le chauffeur de leurs maîtresses les a accompagnés ! m’expliq...
L'éducatrice (partie 3/5)
il y a 1 an

Le vilain oiseau entre en cage, et les fesses rougissent.

[Le début de cette saga est ici](/recit/199526) — Je sais, Marc ! Mais je te la mettrais que tu le veuilles ou non ! balaya Kassandra. Puis, elle m’expliqua en desserrant les dix vis fixées sur la cage avec sa clé en forme de cœur et les plaçant une à une dans le creux de sa jupe. Les pointes sont faites pour prévenir toute érection ou tentative de tricherie de ta part, Marc ! Mais si tu restes sage, tu n’auras pas à les porter ! Quand elles sont en place, elles rendront tes érections très douloureuses pour te rappeler que tu ne dois plus te comporter comme un petit pervers ! Mais ne t’inquiète pas ! Les pointes sont émoussées pour qu’elles ne soient pas blessantes ! Tu les porteras pour ta première journée en cage ! Je pense qu’il est très important que tu comprennes rapidement qu’elle est ta nouvelle place ! Avec ta belle-mère, nous te surveillerons ! Et si nous constatons que malgré la cage tu tentes de te toucher, nous remettrons les pointes en place pour vingt-quatre ou quarant...
L'éducatrice (partie 2/5)
il y a 1 an

Après avoir été recadré, Marc découvre enfin sa cage de chasteté.

La réaction de Kassandra fut immédiate. Elle reposa le sac en velours sur son bureau et le visage rouge de colère, elle s’avança vers moi d’un pas pressé et me flanqua une gifle. — C’est quoi ce langage de charretier ? Les mots de ce genre sont interdits chez moi ! pesta-t-elle. Passé la surprise de la gifle, je criai à mon tour. — Dans ce cas, laissez-moi partir ! — Oh, non ! Certainement pas ! Tu m’as été envoyé pour que je fasse de toi un parfait homme soumis, alors je vais te mater et faire de toi un parfait homme soumis, Marc ! rejeta Kassandra. Quand elle voulut me mettre une nouvelle gifle, j’attrapai son bras avec un sourire. Moi qui pensais l’avoir prise aux dépourvues et pris le dessus sur elle. C’était une grave erreur. Sans la moindre difficulté, elle retourna la situation à son avantage. Sa main se referma sur mon poignet, puis elle me tordit mon bras dans le dos, m’attrapa l’oreille de sa main libre, me força à allonger mon corps sur son bureau et avant mêm...
L'éducatrice (partie1/5)
il y a 1 an

Après s'être fait surprendre à se masturber dans l'une des culottes de sa belle-mère, Marc est envoyé chez Kassandra, une stricte et sévère éducatrice pour homme, afin d'être puni.

Je sortis mon téléphone de ma poche afin de vérifier une fois de plus l’adresse de mon rendez-vous. J’avais la peur au ventre. Et je ne souhaitais vraiment pas me présenter chez cette femme. Mais ma belle-mère avait été intransigeante. Soit j’acceptais la punition, soit je quittais la maison. Quant à mon père, il me lançait des regards mi-colère, mi-compatissant depuis que ma belle-mère m’avait surpris à me branler dans l’une de ses culottes. Moi, j’avais honte. Honte d’avoir cédé à ma perversité. Vous pourriez me demander « pourquoi accepter d’être puni et ne pas quitter la maison ? ». Tous simplement pour la raison que j’étais au chômage et ne parvenais pas à trouver un travail stable. Ce qui veut dire que le choix était bien plus en ma défaveur. En réalité, c’était soit accepter la punition, soit me retrouver dans la rue. La femme chez qui j’avais rendez-vous était une amie de ma belle-mère. Et bien évidemment, elles partageaient les mêmes convictions. Celles que la femme devait con...
Rencontre gay sous cage de chasteté
il y a 1 an

La cage de chasteté n’empêche pas de baiser au gode ceinture

Wouah le mec ! Une soirée en boite des plus banale. Fred, la tafiole du coin se faisait remarquer comme d'habitude, il dansait torse nue au milieu de la piste et jouait les gogo danseurs. Un couple se pelotait, ils étaient torse nue et n'avaient pas remarqué que la séquence slow était terminée … C'est beau l'amour … Et c'est à ce moment qu'il est entré, tous les regards se sont dirigés vers lui, sauf toujours les deux amoureux qui continuaient à danser le slow en plein milieu d'un bon vieux rock. Eux, ils n'ont rien vu. Il était habillé tout en jeans, le pantalon bien sûr, la chemise, la veste et le chapeau, les santiags devait être en cuir, je précise parce que j'avais dit tout en jeans … Bref il avait de l'allure. Ou je sais, une telle tenue avait tout pour être ridicule mais lui, ça lui allait bien, il avait de l'allure, il était beau comme un cow-boy à la télé, plus beau que Montgomery clift et plus viril que John Wayne, c'est tout dire, si vous voyez de quoi je parle …...
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